Retraites, une réforme à venir ! Non une réformette.

Retraites, une réforme à venir ! Non une réformette.

Le rapport du COR « oublie » courageusement, tout comme nos politiques, les régimes « spéciaux » ! Les régimes des fonctions publiques ! Régimes qui cotisent peu et touchent plus : 50 % des pensions pour 20 % de bénéficiaires. En 2020 , 60 % des déficits, ce sera eux ! Egalité, équité…

Un combat pour l’équité que les syndicats oublient eux aussi ! Pas question d’y toucher, à leurs acquis, cela fâcherait … Le passage à un régime unique pour tous les Français est pourtant la condition indispensable d’un retour à l’équilibre pour un système qui est plombé par les privilèges des uns, les bonifications des autres.

La solution, c’est l’égalité : assiettes de cotisations, employeurs-salariés ; taux de cotisations ; durée de carrière ; et bien sûr, prestations finales ! L’égalité totale entre le public et le privé, à l’horizon de 2015-2020.

La vérité, au fond, chacun la connaît. Les syndicats et le patronat, la gauche et la droite. Les débats à la télévision et dans les médias sont affligeants. Les responsables qui gouvernent sont tétanisés par la peur, ne disent pas la vérité aux Français, notamment à la sphère publique. Les gauches ne vénèrent que le veau d’or de la taxation des « riches ». Hélas, ce n’est pas seulement dans la poche des « riches », ni dans la taxation des capitaux, que l’on trouvera les 30 à 50  milliards qui manqueront en 2015-2025.

La solution passe par :

  • un pourcentage de capitalisation libre et aidée (il est absurde de continuer, par pure idéologie, à lui fermer la porte) ;

  • le calcul des droits par points cotisés, ce qui résout le mistigri de la pénibilité !

  • La retraite à 64-65 ans ;

  • la baisse lente et mécanique des pensions ;

  • l’augmentation très modérée des cotisations ;

  • 41-42 ans de cotisation pour une retraite à taux plein, avec un système de surcote et de décote unique.

Gérard Gelé

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Comments (14)

  • charentais Répondre

    Il ne fait pas trop taper sur la retraite des fonctionnaires: les "avantages" par rapport au privé ne sont pas aussi énorme que l’on veut bien le dire: les primes ne sont pas intégrées dans le calcul, les heures supplémentaires non plus.

     

    Mais il faut être raisonnable: on ne peut continuer à payer une retraite à 60 ( quand ce n’est pas 55)ans à tout le monde. Il y a des métiers très éprouvants, où on est usé à 55 ans, mais où on ne part pas avant 60, et d’autres où on est en pleine forme à 60 ans, mais où on part à 50 ou 55.

    La justice passe par la prise en compte de cette réalité.

    Ainsi, en demandant 45 ans de cotisations, modulés en fonction du métier, par exemple une année de terrassier valant 15 mois d’enseignant, on aurait un système moins inégalitaire 

     

    9 juin 2010 à 19 h 26 min
  • gele Répondre

    jaurés !  un % par capitalisation  comme en Suède.

    A la suite de réaction sur mon texte relatif aux retraites, je précise ma pensée! Le but n’est pas de mettre en cause notre brave facteur, notre gentil institutrice, etc. mais de prévoir la survie  en 2020/2030 de notre système social. Le bon sens, face aux chiffres du COR c’est bien l’égalité, l’équité pour tous 

     

    Du président de la république aux simples smicards les retraites devrais être égalitaires dans 20/30 ans . Assiettes de cotisations; employeurs-salariés! Taux de cotisations ! Durée de carrière! Prestations finales.

     

    Les exemples en Europe sont a étudier avec sérénité . le déni des réalités, l’immobilisme, c’est tragique pour la France, pour nos enfants, et vu notre dette nos petits enfants.

    9 juin 2010 à 16 h 16 min
  • Anonyme Répondre

    RE: IL FAUT SAVOIR

    en fait pour les emtrprises d’état c’est le client-contribuable qui paye !

    des chiffres de l’insee.

     

    Le montant des pensions des fonctionnaires et des régimes spéciaux n’a jamais été affecté, par les réformes mise en œuvre.

     

    La capitalisation par la Prefon et la RAFP, défiscalisée, est  réserver  aux agents publics ! Ce qui ne manque pas de sel quand on connaît l’hostilité farouche des syndicats sur-représentés dans la fonction publique, à toute formule d’épargne retraite……………..Sauf pour eux………..

     

    Durée, prestations, plus que favorable, cela au détriment du principe d’égalité.

    A l’exemple   des  cotisations!

     

    La différence entre cotisation des salariés du privé et du public est flagrante:

     

    Privé: 10,55 % du salaire plus les cotisations patronales à 15,60 %

     

    Public: 7,85 % !  Et leur employeur l’Etat:  62 %……….chiffres moyens

     

     

    En fait, les contributions des fonctionnaires sont fictives. Les pensions sont en fait payées au fil de l’eau par le budget de la nation, c’est-à-dire par l’ensemble des contribuables. Egalement par les clients des monopoles étatiques.

     

    Dernier chiffres du pourcentage des cotisations pour payer les retraites privilégiées ; des fonctionnaires.

     

    Ce qui expliquent leurs avantages et leur acharnement à toutes réformes ! Cela au mépris du principe d’égalité, du  manque de solidarité vis à vis des français du privé. Et le viol de nos libertés par des lois et des cotisations obligatoires !

     

    Fonctions  d’État sont à 69%,

    Collectivités locales et hospitalières 35 %

    EDF à 86%,

    RATP 52 %

    La SNCF à 106% !

     

    9 juin 2010 à 16 h 12 min
  • François Répondre

    " les prélèvements obligatoires ne nuisent ni à la croissance ni à l’emploi"
     Depuis 30 ans, la France est championne des prélèvements obligatoires. Il est bien évident que depuis 30 ans cela n’a nuit  en France ni à la croissance ni à l’emploi. ( 1,5 point de croissance en moins et 2,5 points de chomage en plus en moyenne sur la période)!
     Comme vous dites, " cessons ces à priori idéologiques démentis par les faits"…

    9 juin 2010 à 15 h 17 min
  • D.Besson Répondre

    Bien des facteurs sont à prendre en ligne de compte lorsque l’on parle de retraite…Ce terme "retraite" ne me convient pas; On retraite les déchets, on bat la retraite, on part à la retraite, pauvre être humain déclassé et considéré comme un numéro,.. On est loin de la mise en valeur de l’homme , de son développement ,son élévation spirituelle …Le système consistant à financer les prestations des anciens par des cotisations prélevées sur les nouveaux salariés me semble intéressant, car il signe une certaine solidarité entre les hommes et femmes constituants un peuple, une nation, une fratrie…Nous devons, je pense, tout d’abord créer des emplois et donner une préférence à notre peuple, aux Français pour être plus direct. La France n’a plus depuis fort longtemps, les moyens  de financer les dépenses liées à l’immigration qui ruine notre pays…lIl faut également abolir les privilèges octroyés à bon nombre de fonctionnaires , élus du peuple et de la République, réduire les "train-de-vie"…et reparler de la monnaie !!!

    9 juin 2010 à 14 h 34 min
  • Jaures Répondre

    Oh, Scottkiller, la sainte colère !
    Voilà qui est bien Français ! On reluque sur le petit avantage de son collègue de bureau et on ignore le parachute doré de son patron.

    Pour ce qui concerne les fonctionnaires, je ne suis pas opposé à l’aligner sur le privé, mais alors totalement, notamment en intégrant les primes dans le calcul des pensions. Il faut savoir que cela coûterait des centaines de millions d’euros à l’état en cotisations supplémentaires et, si certains salariés y perdront sans doute, d’autres y gagneront fortement.
    C’est pourquoi l’état est peu enclin à instaurer ce principe qui accroitrait son déficit sans guère combler celui de la CNAV.

    De même pour les élus. On pourrait effectivement réformer ce système qui, il est vrai, cumule un peu trop d’avantages. Cependant, même si vous supprimez totalement les droits à la retraite des élus, l’économie est de…50 millions d’euros.

    En ce qui concerne les régimes spéciaux, il faut savoir que bien longtemps ceux-ci ont permis aux entreprise publiques comme la SNCF et EDF de recruter des diplômés malgré des rémunérations peu attractives jusqu’au début des années 80. Il n’était pas rare à l’époque qu’il y ait plus de postes ouverts aux concours que de candidats. C’était également le cas pour les enseignants, d’ailleurs. Ces régimes étaient inscrits dans les contrats. Que diriez-vous si votre employeur changeait unilatéralement les termes de votre contrat ?

    Et en terme de compensation, ce ne sont pas les régimes spéciaux qui coûtent cher à la CNAV. Ainsi, 75% des transfert de la CNAV vont au régime des salariés agricole et 15% aux professions libérales.
    Seuls 10% vont aux fonctionnaires. En fait, ces transferts sont liés à l’évolution démographique de ces professions.
    La réforme du régime spécial de la SNCF n’a rapporté que 500 millions à l’état en 2009.
    L’état en a reversé 5 fois plus aux restaurateurs et la niche fiscale Copé 19 milliards en 2008 et 2009 !

    Enfin, cher Scottkiller, jamais un avantage retiré à un salarié n’a été reversé à un autre salarié. Au contraire. On aligne toujours vers le bas. Souvenez-vous en. La suppression des régimes spéciaux ou les changements de calcul de telle ou telle pension ne vous rapportera strictement rien si vous êtes salarié.

    La stratégie, malheureusement souvent gagnante, est toujours de dresser les travailleurs les uns contre les autres.

    9 juin 2010 à 10 h 20 min
  • SAS Répondre

    LES MANCHES A COUILLES DIRIGEANT D AUTRES MANCHE A COUILLES…….

    sure que les trains de mesures indigestent vont tomber pendant les vacances d été…..pendant que le veaux de base est au champ….

     

    La rentrée va être chaude

    sas

    9 juin 2010 à 0 h 35 min
  • scottkiller Répondre

    Pour sauver les retraites par répartition, il faut: – élargir l’assiette des cotisations aux revenus du capital – arréter les allègements systématiques de charges – surtaxer les profits de certaines entreprises (pétrole, banques) – lutter contre le chômage des seniors en taxant les licenciements – faire une réelle politique de l’emploi pour élever le nombre de cotisants – supprimer les niches fiscales inefficaces et coûteuses (comme la niche Copé) et en affecter le produit au fonds pour les retraites (plus abondé depuis 2002) Cette liste n’est pas exhaustive. Evidemment, on va hurler ! Des impôts encore des impôts ! Mais que sont devenues les économies de ceux qui ont crû (mais avaient-ils le choix) en la capitalisation ? “les revenus d’épargne, pensions privées comprises, représentent en moyenne un quart des revenus des retraités dans les pays de l’OCDE. Dans sept d’entre eux, ils atteignent plus de 40 %”, rappellent les auteurs du rapport de l’OCDE sur les retraites 2008 ! En moyenne la baisse atteint 28% ! Vive le système de retraites par répartition ! voila les propos de joresse. pour les retraites, il faut aligne les retraites du prive sur celle des fontionnaire. elargir l assiette des cotisations a tous les exoneres de la republique en commencant par les deputes, les senateurs, les ministres, lesconseillers en tout genre. abolir tous les privileges des regimes speciaux, et si les fonctionnaires sont pas contents ben qu ils trouvent du boulot ds le prive et s ils ne trouvent pas, qu ils s expatrient comme le font les salaries du prive. Tant qu il y aura cette disparites, aucunes reformes des retraites ne pourra se faire. JORESSE,en tant que syndicaliste je ne vous entends pas dire tous egaux au niveau des retraites. Moi aussi je veux en etre, ma retaite calculee sur mes derniers 6 mois, je n entends rien concernant tous les parasites de la republique que sont tous les elus. pourquoi ? parce que si leurs privileges tombent les votres aussi. Vous etes en train de vous battre pour garder vos acquis, faire des arrangements entre amis. J espere de tout coeur que dans un avenir proche l etat ne puisse plus rien payer du tout… et la on verra ce qui se oasse. bref on voit bien que vous roulez pour une seule categorie.

    8 juin 2010 à 17 h 27 min
  • Jaures Répondre

    M Gelé, le taux de prélèvement obligatoire ne nuit ni à la croissance, ni à l’emploi.

    Ainsi, avec un taux de prélèvement ridicule, l’Irlande est en faillite et le chômage à 15%. Le taux très bas de prélèvement de la G.Bretagne ne l’a pas plus protégée de l’endettement et de la récession.
    Les Pays Bas, la Norvège ou la Finlande avec un taux de prélèvement comparable à la France s’en sortent bien mieux.

    Ce qui compte n’est pas le taux d’imposition mais l’usage qui est fait de l’impôt.

    Investi dans la recherche, l’éducation, la culture, les infrastructures, la formation, l’impôt est efficient et enrichit le pays.
    Parallèlement, les allègements de charges et d’impôts pratiqués depuis 2002 n’ont pas créé un emploi.

    Cessons ces a priori idéologiques démentis par les faits.

    8 juin 2010 à 14 h 01 min
  • gele Répondre

    Tous victimes: "les pauvres"  "les riches" "les entreprises"

    Les "pauvres" Vous, contribuables français,  ployez sous les impôts. Mais vous n’êtes généralement pas conscients de leur nombre. Ainsi, lorsque vous n’êtes pas assujettis à l’impôt sur le revenu, vous avez tendance à vous croire à l’abri du fisc…

    En fait, le fisc ne prend pas uniquement quand vous gagnez, au moyen de l’impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux. Le fisc prend aussi quand vous possédez : ce sont les droits d’enregistrement et assimilés : Impôt sur la fortune (ISF), droits de mutation, droits de timbre, et d’autres petites taxes liées à la possession d’un bien..

    Le fisc prend quand vous achetez : la TVA,de multiples  taxes  (par exemple sur le tabac, l’alcool, le pétrole), les jeux (loto, PMU, casino),

    Le fisc prend là où vous habitez : impôts locaux (taxe foncière sur les propriétés bâties, taxe d’habitation, taxe d’enlèvement des ordures ménagères, taxe foncière sur les propriétés non bâties), et diverses taxes annexes.

    Les "Riches": pour eux c’est l’enfer malgré le "bouclier" à 50 % : Résultat: émigration  des forces vives, des capitaux et des emplois. Les raisons, elles sont multiples : en premier L’ISF, les droits de successions, les persécutions administratives et morales pour nos millionnaires!   Pour nos jeunes diplômés entreprenants  l’avenir est bouché par des offres d’emplois  très restreintes.  Pour eux la création d’entreprise est un chemin couvert d’embûche.

    Résultat : Le monde libéral, où la liberté d’entreprendre est plus facile, mieux valorisée, accueillent à bras ouverts nos "Emigrés" avec leurs coûteuses formations, leurs talents et leurs capitaux.

     

    Les "entreprises": Par des charges excessives, on  pousse aux délocalisations et l’on pénalise nos entreprises face à nos concurrents, ce qui explique notre chômage de masse et nos salaires bloqués. Le fameux pouvoir d’achat est en berne !  Seule la création de richesses par le travail et par l’épargne peut générer du pouvoir d’achat.

     

    L’état, pour faire ses fins de mois, accumule donc des dettes abyssales. Ces prélèvements pénalisent notre jeunesse, retardent leur entrée dans la vie active, emplois, famille, achat de leurs maisons. Même quand ils ont un emploi,  ils ne peuvent plus se constituer un petit patrimoine ! En cas de chômage, c’est un drame. Difficultés face à  un marché du travail atone.

     

    Avec des prélèvements de 46/48 %  une dépense publique de 54/56 %  l’utilisation de nos impôts est d’une inefficacité totale. Chômage, pauvreté,  émigration, délocalisation, services publics a la dérivent, etc…..

     

    8 juin 2010 à 9 h 59 min
  • Jaures Répondre

    La capitalisation aidée existe déjà: PER, Assurances Vie, PEA, …sont des placements défiscalisés au bout de quelques années. Ceux qui veulent, et surtout qui peuvent, se faire un complément retraite disposent de produits disponibles.

    Le problème est que les libéraux voudraient bien que la totalité des cotisations rejoigne la Bourse (d’où la proposition de G.Gelé de baisser les pensions). On voit ce que cela donne aux USA, par exemple, où des septuagénaires mendient des jobs à 3 dollars de l’heure ou en Irlande où la disparition d’entreprises a ruiné des milliers de retraités.

    Pour sauver les retraites par répartition, il faut:
    – élargir l’assiette des cotisations aux revenus du capital
    – arréter les allègements systématiques de charges
    – surtaxer les profits de certaines entreprises (pétrole, banques)
    –  lutter contre le chômage des seniors en taxant les licenciements
    – faire une réelle politique de l’emploi pour élever le nombre de cotisants
    – supprimer les niches fiscales inefficaces et coûteuses (comme la niche Copé) et en affecter le produit au fonds pour les retraites (plus abondé depuis 2002)

    Cette liste n’est pas exhaustive.

    Evidemment, on va hurler ! Des impôts encore des impôts !
    Mais que sont devenues les économies de ceux qui ont crû (mais avaient-ils le choix) en la capitalisation ?
    "les revenus d’épargne, pensions privées comprises, représentent en moyenne un quart des revenus des retraités dans les pays de l’OCDE. Dans sept d’entre eux, ils atteignent plus de 40 %", rappellent les auteurs du rapport de l’OCDE sur les retraites 2008 ! En moyenne la baisse atteint 28% !

    Vive le système de retraites par répartition !

    8 juin 2010 à 9 h 57 min
  • messagère Répondre

    Capitalisation libre et aidée !….  Qui à part les riches pourra sur un SMIC mettre un capital de coté ?. Aidée !  Qui va donné l’aide ? un état complètement fauché et à l’agonie, penser bien qu’ils se servirons les premiers ( c’est déja ce qu’ils font).

    Calculs par points cotisés !….  vous oublier une chose Monsieur, que vont avoir ceux que l’on aura viré à 50 ans pour prendre un jeune qu’ils paieront deux fois moin cher.

    La retraite à 64-65 ans !….Si à 50 ans ont est déja trop vieux, alors 64-65 ans !!!!

    Et par dessus toutes ces mesures, vous préconisez une baisse lente et mécanique des pensions, se qui sur la retraite d’un smicar finira à combien ????? Et le pompon, Augmenter les cotisations, ça ils n’ont pas besoin de vous pour leur donné cette idée, car avec tous les gouvernants que le peuple d’en bas à dû subir, la seule parade à leur gestion égocentrique : Augmenter tout ce qu’ils peuvent, pour conserver leurs train de vie pharaonique.

    Et si au lieu d’augmenter tout et n’importe quoi, ont commencer par réduire les dépenses de l’état :

    1) Diminuer le salaire du Président…..Après tout il est nourri, logé, blanchi, et tous les frais inérant à son entretien et déplacement sont à notre charges.

    où le régime suivant :

    2) Que les ministres, les députés, les sénateurs, bref.. tous ceux qui pompe allègrement dans les caisses de l’état sans état d’âme, est un salaire fixe et qu’ils assument sur leur deniers leur logements, leur nourriture, leur déplacements avec comme pour tout français des droits à réductions d’impôts calculés selon le même barème. ( ça évitera les débordements du genre des 116000€ pour un voyage en avion. )  

    3) Que l’on arrete de subventionner toutes sortes d’associations, qui vivrons ou pas avec leur cotisations propres. Si elles ne peuvent survivrent par elles-même c’est quelles ne sont pas valables.

    4) Nationnaliser toutes les entreprises où l’état à encore des billes et qui nous coûtent trop chères en entretien. L’état n’a plus les moyens d’entretenir des danseuses.

    5) Revoir la politique de la famille, notament avec les étrangers qui ont plusieurs concubines et des dizaines de gosses, s’ils avaient beaucoup moin d’allocations de toutes sortes ils seraient obligés d’aller travailler ( y compris les femmes). Car n’oubliez pas qu’un jour ces hommes et ces femmes qui n’ont rien apporté à la France demanderont la retraite. Qui paiera pour eux ?????

    6) Imposer à 100% les bénéfices des entreprises qui se délocalise en licenciant les salariés qui ont par leur travail permit cet enrichissement.

    Je rêve peut-etre !!!…mais seul un régime draconnien à tous les niveaux  sera efficace, sommes nous donc plus bête que le Canada ? Ils s’en sont sortis en douze ans.

    Ca ne plaira pas à tout le monde, mais j’assume mes opinions et mes mots

    8 juin 2010 à 9 h 35 min
  • lambrays Répondre

    Bonjour

     

    Les fonctionnaires des diverses fonctions publiques se comportent comme les nobles à la veille de la Révolution. On a une situation quelque peu voisine : des changements de société, un pouvoir veule et des privilégiés arc boutés sur leurs privilèges.    

    8 juin 2010 à 2 h 09 min
  • arnaud Répondre

    le gouvernement et les syndicats parlent des reformes pour les retraites qui ne sont pas en faveur du futur retraité

    il serais souhaitable de parler de réformer les allocations familiale suprimer la pilygames et la CMU dans certain cas

    la france ferai de reelle économies

    cl arnaud

    7 juin 2010 à 22 h 34 min

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