Transformer la France en paradis fiscal
La France veut punir les pays où les « riches » sont moins imposés, ce qu’on appelle les « paradis fiscaux ». C’est une erreur. Elle doit, au contraire, devenir elle-même un paradis fiscal, un paradis supérieur à tous les autres.
Le premier moyen à utiliser pour y parvenir est de supprimer la progressivité de l’impôt sur le revenu. Riches ou pauvres devront payer l’impôt sur le revenu au même taux.
En France, l’État confisque plus de la moitié de nos revenus pour nous offrir une médecine presque gratuite, une indemnité chômage durant parfois plusieurs années, ou une retraite à 60 ans. Tout cela est bien agréable, mais il faut le payer. Et c’est, bien entendu, en imposant les « riches » qu’on y arrive. On les impose donc de plusieurs façons, en particulier avec un impôt progressif sur les revenus.
Mais la situation française dans ce domaine est actuellement farfelue. Il existe, en effet, un impôt progressif sur les revenus. Mais les gouvernements successifs proposent en même temps à celui qui a de gros revenus des « niches fiscales ».
On lui dit par exemple : « Si tu donnes tes sous pour entretenir un bâtiment classé “monument historique”, tu pourras déduire cet argent de tes revenus. » Ainsi, le propriétaire d’une maison située dans une zone classée par les Monuments Historiques peut déduire de ses revenus tout l’argent qu’il consacre à l’entretien normal de sa maison.
On peut même, avec l’aide d’un spécialiste, programmer les sommes qu’on doit consacrer tous les ans à l’entretien de sa maison. On peut ainsi ne pas avoir à payer d’impôt sur le revenu…
Les gouvernements mettent aussi à notre disposition d’autres façons de ne plus avoir à payer d’impôt sur le revenu.
La forte imposition française pousse tous ceux qui le peuvent à se procurer des revenus non imposables, des « avantages en nature » : comme la voiture ou la maison de fonction, le billet gratuit sur la SNCF ou sur Air France, avec ou sans sa femme… Un bon repas offert uniquement à des clients ne doit pas être considéré comme un avantage en nature. Mais le contrôleur fiscal ne sait pas qui est invité à ce repas.
Par ailleurs, la forte imposition française pousse tous ceux qui ont de gros revenus à avoir un domicile fiscal à l’étranger, dans un pays moins imposé, dans un « paradis fiscal ». La loi française les contraint à demeurer au moins six mois en France. Tous ceux dont le métier le permet : les joueurs de football, les chanteurs de renom ou les salariés d’entreprises multinationales, profitent bien évidemment de cette possibilité. Ils payent bien moins d’impôts à l’étranger.
Ainsi, les « riches » vont dépenser la plus grande partie de leur argent à l’étranger. Ils y achètent et entretiennent de belles maisons. Ils achètent des draps ou des fleurs. Ils y achètent des voitures, du pain, des gâteaux ou du caviar…
Ce sont des milliards d’euros qui sont ainsi dépensés en dehors de la France. Ce sont des centaines de milliers d’emplois, peut-être même des millions, qui fuient ainsi notre pays.
Et, finalement, ces riches payent moins d’impôts que la moyenne des Français. Il fallait le faire ! Bravo la France !
Il existe une solution très simple. Il suffit de transformer la France en un paradis fiscal plus attrayant pour les riches que la Suisse, Guernesey, ou le Luxembourg.
Dans l’état actuel de notre fiscalité, il est, en pratique, impossible de calculer l’incidence de la suppression de la progressivité de l’impôt sur les revenus de l’État.
Il y aura immédiatement une petite réduction des impôts, c’est évident. Mais, très rapidement, avec le retour en France des « riches », les rentrées fiscales augmenteront.
Et, surtout, le nombre des chômeurs diminuera fortement. C’est l’essentiel
Comments (18)
J’oubliais,…
Les écrans plats, en plus, ils sont TOUS fabriqués en Chine !!!
500 euro qui deviennent + de 700000 après 40 ans ? En euro constants ?
5% d’intérêts, il y a belle lurette que ce n’est plus le cas, 2, peut-être 3 et encore. Ensuite, il y a l’inflation.
Un tout petit exemple, les 100 g.de Grana Padano, l’année passée à 0;98 €, ce mois ci à 1,25, dans un magasin lowcost, c’est plus de 25% d’augmentation.
L’essence à 1,7 €, là, on n’arrive même plus à calculer, la seule chose que je vois, c’est qu’elle est CHAQUE jour en augmentation. On la prévoit à 2 € pour la fin de l’année, c’est faux, à certaines pompes on y est déjà.
Vous rétorquerez que l’écran plat de 32 " est 20 % moins cher dans le même temps, oui mais lui, il ne se mange pas, on peut s’en passer, pas de son bifteck !
Cher Gouffio, je vous remercie de votre réponse exhaustive qui mérite qu’on la reprenne point par point.
Tout d’abord, je vous confirme que la concentration du patrimoine est une constante, de même que celle des plus hauts revenus. Ainsi, selon l’Insee que vous citez également, 90% des revenus en France sont inférieurs à 3000€ net mensuel. Le salaire moyen étant d’environ 1600€, les classes moyennes se situent donc entre ces 2 chiffres. Le problème est que l’on va retrouver dans la même catégorie des "privilégiés", les 10% restant, le cadre moyen, l’ingénieur ou le médecin de campagne avec le footballeur du PSG, le patron d’une entreprise du CAC40 et le chirurgien esthétique. On constate que cette dernière catégorie, alors que la première tient dans une échelle des revenus de 1 à 3, compte des membres dont les disparités vont de 1 à plus de 100 !
On voit bien que l’essentiel des inégalités concerne non pas une catégorie sociale mais un cénacle de privilégiés qui appartiennent aux mêmes familles, fréquentent les mêmes écoles, possèdent l’essentiel du patrimoine qu’ils se transmettent grâce à des lois sur les successions particulièrement avantageuses en France.
La question est: cet état est-il favorable à l’Economie d’un pays ? Souvenons nous qu’il en était ainsi sous l’Ancien Régime et que Turgot qui demandait que les classes privilégiées participent à l’effort national fût gentiment écarté.
L’argument souvent avancé par les libéraux que si les charges étaient redistribuées aux entreprises et aux salariés, ces derniers en feraient meilleur usage que les organismes sociaux est très contestable.
Tout d’abord, rien ne dit que les entreprises reverseraient aux salariés la totalité du montant des cotisations. On a vu avec la baisse de la TVA sur la restauration qu’il a fallu de longues négociations pour qu’une part du gâteau soit redistribuée en salaires et en emplois.
Ensuite, on a vu dans les pays qui ne pratiquent pas la retraite par répartition ce qu’une crise peut générer comme désastre. En Irlande, le pouvoir d’achat des retraités a baissé de 30%, certains ont tout perdu. Aux Etats-Unis, des sexagénaires concurrencent leurs petits enfants sur le marché de l’emploi.
De même, on voit que le système privé de santé amène une dépense globale plus importante : 11,8% du PIB en France contre 17,4% aux Etats-Unis avec les aberrations que l’on connait (free clinics, espérance de vie en baisse,…).
On cite souvent les effectifs de l’Etat et les systèmes sociaux comme causes de la dette mais les pays qui ont une part moins importante de dépenses obligatoires dans leur PIB ne vont pas mieux (R.U, Etats-Unis, Japon). De même, les pays qui étaient à l’équilibre budgétaire en 2007 (et souvent pour cela pris en exemple par les libéraux, comme l’Espagne ou l’Irlande) sont aujourd’hui exsangues.
En fait, l’impôt ou la cotisation sociale ne sont en soi ni bon ni mauvais. Ce qui compte, c’est ce qu’on en fait. Ces 20 dernières années, et la gauche comme la droite ont leur part de responsabilité, on a voulu maintenir un système social de qualité, tout en exonérant d’impôt, pour satisfaire l’idéologie dominante, toute une part de revenus que l’on a compensé par de la dette. Les systèmes sociaux sont amenés à accaparer un peu plus chaque année de la richesse nationale. Sauf à renoncer à soigner ou à stopper l’espérance de vie, il faut accepter qu’une part croissante de son revenu serve à améliorer notre système de santé et de retraite. La gauche veillera à ce que cette part varie selon le niveau de revenu.
Enfin, la France a 7 points de plus de dépenses publiques/PIB que le Royaume Uni, ce dernier se porte -t-il mieux pour autant ? Par contre, leur système de santé se délite et la retraite publique (400€) devient souvent la seule ressource de retraités qui ont vu leurs fonds de pension faire faillite. La faiblesse du niveau des retraites et l’âge de départ (67 ans) n’a pas là bas empêché des déficits abyssaux.
Qu’un ministre soit diplômé en économie ou non, quelle importance puisque pourvus du même diplôme, deux économistes peuvent défendre des mesures exactement contraires ? Certes, je prendrai l’avion avec un pilote bien formé mais tous apprennent les mêmes manoeuvres à accomplir selon les types d’avion. Que diriez vous si l’on vous proposait le choix entre des pilotes préconisant des manoeuvres différentes à l’atterrissage ou en cas de panne de moteur ? L’Economie, comme la météo n’est pas une science exacte. On peut obtenir un prix Nobel en développant des théories contraires à un prix Nobel précédent. Ecouter les économistes est utile mais il importe au politique de prendre ses responsabilité après les avoir consultés.
Enfin, le terme "égalitarisme" est utilisé par les néoconservateurs pour fustiger l’égalité comme ils parlent de "laïcisme" pour dévoyer la laïcité. Les socialistes veulent l’égalité des droits et des chances pour que soient récompensés le vrai mérite, pas celui de la naissance, et le travail plutôt que la rente. Le travail n’est pas d’ailleurs à considérer comme un but en soi mais comme un moyen pour atteindre un objectif. Si ce dernier est la jouissance, pourquoi pas ? Mais la jouissance au sens large: celle de vivre paisiblement auprès des siens, de profiter de sa retraite en bonne santé, de voir ses enfants réussir, de profiter de la vie culturelle et d’une nature préservée.
Ecrire demande du temps et du recul que je n’ai pas toujours.
Vous écrivez : « Le socialisme n’est absolument pas la recherche de l’égalité des revenus », je ne sais pas comment vous pouvez définir le mot égalitarisme qui est plutôt le mot couramment utilisé par les socialistes. Et puis vous savez bien que ces gens là n’aiment pas le travail mais la jouissance.
@ Hans c’est sans doute pour récompenser le mérite que les syndicats comme les socialistes sont contre tout avancement au mérite, tout intéressement aux résultats ou toute sélection.
Peut être qu’un jour, pour satisfaire leur besoin "d’égalité", arriveront ils à imposer que tous ceux qui jouent au loto gagnent la même chose?…
C’est vrai que c’est insupportable ces gains qui ne sont pas "mérités"…
Et puis pourquoi ceux qui courent moins vite n’auraient ils pas droit de participer aux jeux olympiques? Et même de les gagner? Insupportable! Comme on ne sait pas les faire courir plus vite, on pourra toujours mettre des boulets à ceux qui sont trop bons, comme cela tout le monde serait "à égalité de chances"…
<<Enfin, le socialisme n’est absolument pas la recherche de l’égalité des revenus. Chacun selon son mérite est l’antienne affichée depuis toujours. Mais pour que le réel mérite soit récompensé, il faut l’égalité des chances. Les socialistes pensent également que des revenus qui ne correspondent plus à un mérite mais à l’arbitraire nuisent au lien social, c’est pourquoi il est nécessaire qu’une limite fiscale soit politiquement édifiée.>>
Et c’est l’intervenant qui sera tout naturellement le commissaire politique décidant qui aura mérité son salaire et qui ne l’aura pas. Les récalcitrants atterriront par wagons spéciaux sur le quai des brumes en face du célèbre panneau "Arbeit macht frei". Avec les socialos et leurs national-compagnons l’histoire n’est en fait qu’un éternel recommencement. Amen!
Je vis dans un pays où le pouvoir de nuisance des syndicats a été détruit par le secrétaire de l’équivalent local de notre CGT (cherchez Bob Hawke)
Les syndicats passaient leur temps à faire chier le monde, grève par ci, grève par là, si bien que j’avais toujours en réserve deux jerrycans d’essence.
Depuis que Bob Hawke leur a cassé les crocs il n’y a plus jamais eu besoin de recourir à des réserves.
Vous, en France, ne pouvez que rêver d’avoir des hommes politiques comme celui-là.
C’est curieux, il en va de même pour David Lange, un Néo-Zélandais.
Vivre aux antipodes rendrait-il intelligent?
Cher Goufion, merci pour votre exposé et, bien entendu, n’attendez pas la moindre remarque de Tremeau qui ne répond jamais et est capable d’écrire les mêmes inepties durant des mois. J’ai connu cela durant les années où il nous exhortait à copier l’Irlande d’urgence jusqu’à sa récession. Silence sur mes commentaires l’incitant au moins à la prudence et depuis,Tremeau ne sait même plus que l’Irlande existe.
Si je partage vos arguments techniques sur la fiscalité, je suis en désaccord sur votre analyse des difficultés d’aujourd’hui.
Tout d’abord, la France ne souffre pas du moindre égalitarisme: jamais les écarts entre les revenus les plus hauts et les plus bas n’ont été si grands. Il en est de même du patrimoine, les inégalités ayant encore été creusées avec les lois sur les successions de 2007. Les revenus des 5% des Français les plus riches se sont envolés ces 10 dernières années. Si selon vous les inégalités de revenus sont profitables à l’Economie, nous aurions dû, depuis 2002 connaître des années fastes !
Par ailleurs, je ne demande pas à un ministre d’être bardé de diplômes: les économistes sortant des mêmes écoles, affichant les mêmes diplômes peuvent avancer des thèses totalement opposées. 42 économistes enseignant dans les plus grandes universités de France, d’Europe ou des Etats-Unis viennent de signer un appel pour F.Hollande. Je suis sûr qu’on en trouvera autant signant pour Sarkozy.
Dés lors, n’est-ce pas à un politique de prendre les décisions selon son expérience et ses conviction ?
Je vous rappelle que la seule candidate affichant un diplôme d’Economie (une agrégation) est…Natahlie Arthaud. En déduisez-vous qu’il s’agit là de la seule personne qualifiée dans la course à l’Elysée ?
Enfin, le socialisme n’est absolument pas la recherche de l’égalité des revenus. Chacun selon son mérite est l’antienne affichée depuis toujours. Mais pour que le réel mérite soit récompensé, il faut l’égalité des chances. Les socialistes pensent également que des revenus qui ne correspondent plus à un mérite mais à l’arbitraire nuisent au lien social, c’est pourquoi il est nécessaire qu’une limite fiscale soit politiquement édifiée.
@ goufio
vous devriez intervenir plus souvent pour redresser les erreurs conceptuelles et d’analyse du Dr Trémaux qui comme je l’ai souvent dit sur le site n’a rien d’un économiste , pas plus que Monsieur Millière n’est un " géopoliticien " d’envergure … mais que voulez vous , ils plaisent au lectorat des " 4 V2 " ce qui nous permet , comme sur un thermomètre , de lire la fièvre des Français
<<Ainsi, nous serons plus riches, moins nombreux sur un territoire moins étendu. Mais nous ne serons plus en France.>>
L’intéressé a raison, appliquons illico presto les principes qu’il énonce si clairement. Cela ne peut être que juste puisque venant d’un socialo. Amen!
A ma connaissance , il semble exister AU MOINS un paradis fiscal , territoire " Français " : Saint Martin , comme il existe un pavillon de complaisance " Français " : les iles Kerguélen
ETONNANT !!!
Mais O combien réel !
Blague à part…..les gouvernoeuds ne savent pas prédirent l’avenir, tout du moins pas complètement alors ils engrangent du fric pour eux et pour les copains qui seront redevables envers eux et tout celà sur notre dos.
Pourquoi économiser, puisque les cons vont payer à leur place ?
Alors pour que la France devienne un paradis fiscal, il faut en premier lieu supprimer les fuites de notre baignoire, parce que si on les conservent ( ceux qui dépensent)…..paradis ou non, la dette sera toujours la même.
IOSA
Trop d’extension géographique et trop peuplée pour cela,les paradis fiscaux son tous des "cités nations",si tous les pays en étaient les avantages s’annuleraient.
C’est la nouvelle lubie de Tremeau: faire de la France un paradis fiscal.
Pourtant notre fin économiste devrait comprendre que ce n’est pas parce qu’un pays est un paradis fiscal qu’il devient riche mais parce qu’il est peuplé de riches qu’il devient un paradis fiscal. C’est pourquoi les paradis fiscaux sont des petits Etats: de 30 000 à 500 000 habitants à fort niveau de vie. Ces Etats n’ont pas besoin d’infrastructures, de systèmes sociaux, ont renoncé à leur défense nationale, à jouer un rôle international, …Seule la Suisse, pour des raisons historiques, est à cet égard singulière Comme je l’écrivais ailleurs, faîtes un Etat avec Auteuil-Neuilly-Passy et vous pourrez créer un paradis fiscal (comme la City au R.U).
L’ atout des paradis fiscaux n’est pas tant la non progressivité de l’impôt que le secret bancaire. C’est cela que viennent chercher les millionnaires.
D’ailleurs, la progressivité de l’impôt n’a guère à voir avec l’état de l’Economie. Ainsi, la Belgique possède un impôt progressif plus rude que le Français: taux jusqu’à 50%, progressivité plus rapide (le taux maximum belge est atteint dés 34 000€ pour 72 000€ en France). Pourtant la Belgique a un taux de croissance supérieur et 1 point de moins de chômage.
Si Tremeau veut faire de la France un paradis fiscal, il faut qu’il renonce aux départements ruraux, ne garder que les terres agricoles très rentables, rendre leur indépendance à la Corse et aux territoires d’Outre-Mer, retirer leur nationalité aux chômeurs, exiger un patrimoine minimal pour demeurer ou devenir Français, diviser par trois nos dépenses militaires et renoncer à l’arme nucléaire, accepter une immigration plus importante (car, comme en Suisse, les Français riches et ventrus ne travailleront plus dans la restauration ou le bâtiment),…
Ainsi, nous serons plus riches, moins nombreux sur un territoire moins étendu.
Mais nous ne serons plus en France.
Autre chose, si il y a des redresseurs de tort lors d’une réunion de famille … je n’hésite pas à boycotter cet évènement. ça va dire que je m’en vais le plus tôt possible où que je change de table, étant majeur plus personne ne m’en tient rigueur.
Oui mais il y a le syndicaliste local qui ne voudra jamais que la France devienne un pardis fiscal. Laissons faire ce triste personnage … Je propose une autre solution face à monsieur Jaures. Pratiquer la politique de la terre brûlée, c’est à dire d’en faire le moins possible et de ne pas être riche. C’est facile, cela consiste à ne pas accepter certaines promotions et de limiter ses heures de travail. Bon bien sur la conséquence est une perte de pouvoir d’achat et de qualité de vie. Je ne parle pas des relations avec son entourage.
Avec le syndicaliste local, il ne faut pas être dans la classe moyenne, mais sois très pauvre et alors c’est le jackpot pour les aides sociales … Soit très riche comme Mr Denis Gauthier Sauvagnac pour payer des pots de vin à son syndicat.
En s’y mettant en groupe on devrait y arriver. Quand il n’y aura que des pauvres l’état en trouvera plus rien à grapiller. Sauf si il veut s’emparer de tout le patrimoine des gens, auquel cas mr jaures assumera la responsabilité d’une guerre civile ou de troubles sociaux majeurs.
La france ne deviendra jamais un paradi fiscal vu que françois Hollande est donné gagnant. Pour venir à bout de la gauche, il faut lui empoisonner l’existence via l’immigration de masse (invasion du kebab par exemple), les pots de vin de Mr sauvagnac. En parallèle il faut complètement boycotter les gens comme jaures, ne leur parler que pour le strict minimum vital dans la vie courante.
L’URSS a coulé en 1991, on arrivera bien à liquider le communisme quand même.