Un brave homme peut-il vivre tranquillement en France ?

Un brave homme peut-il vivre tranquillement en France ?

Quelle question ! Bien sûr que non. L’honnête homme en France est constamment harcelé, j’allais dire menacé, par l’appareil d’État, alors que cet appareil – l’administration – est chargé de le protéger et de lui venir en aide.

L’honnête homme en France est d’abord une cible, visée par l’artillerie lourde de l’État, c’est-à-dire l’impôt qui utilise des canons de marine de gros calibre et des mitrailleuses à tir multiple. Je vais être précis. Je le serai grâce à l’étude Me Virginie Pradel, avocate fiscaliste, qui vaut largement les 17 euros de son prix modeste.

S’agissant, par exemple, de la facture d’électricité, elle donne lieu au paiement de 4 prélèvements représentant plus de 37 % du montant : la contribution au service public de l’électricité (CSPE), les taxes sur la consommation finale d’électricité (TCFE) – pourquoi finale ? on n’en sait rien –, la TVA et la contribution d’acheminement (CTA). Il faut bien, me dit-on, payer l’électricité consommée par les migrants habitant dans les zones de non-droit !

Pour les carburants, c’est pire encore. Vous avez remis à l’État la moitié du plein d’essence que vous venez de faire.

Mais il y a mieux encore. Lisez bien : « Un salarié célibataire percevant un salaire brut annuel de 65 860 euros, s’est, quant à lui, vu prélever en 2018 la somme de 22 460 euros au titre des cotisations salariales et de l’impôt sur le revenu. Mais, si on inclut le montant des cotisations patronales (28 670 euros), on arrive à un montant global prélevé de 51 130 euros, écrit Me Pradel (p. 79). » Soit un taux moyen de prélèvement de plus de 77 % !

Pour les fonctionnaires, même chose : l’État a deux bras, l’un qui donne et l’autre qui reprend la moitié de ce qui a été donné. « Je gagne officiellement 6 000 euros par mois. Ce n’est pas mal. – Non, Monsieur, vous recevez 6 000 euros et l’État vous en reprend 3 000. »

Ces taux de prélèvement sont les plus élevés des pays de l’OCDE, qui ont en moyenne 14 points de moins que la France. Et ce n’est pas la crise sanitaire actuelle et les prêts gigantesques auxquels elle donne lieu qui vont faire baisser l’impôt. Attendez-vous au pire.

Une question : l’État, qu’est-ce qu’il en fait de ces 1 000 milliards qu’il prélève d’autorité dans la poche des braves gens qui travaillent souvent d’arrache-pied pour survivre ? Eh bien, je vais vous le dire – sans pour autant tout vous dire –, toujours grâce à Me Pradel.

Sont subventionnés le CNC, le CNL, le CNV, les CCI, l’ASB, le FNAP, le VIVEA et l’INOV. Le Vivea, c’est le fonds pour la formation des entrepreneurs du vivant et l’Inov, c’est l’instance nationale des obtentions végétales (p. 49). N’oublions pas non plus les associations qui se comptent par centaines de milliers et qui, elles aussi, sont subventionnées ! Mais, surtout, les migrants, très nombreux, venus de partout, d’Afrique, du Moyen-Orient, de Chine, d’Amérique latine, qui peuvent vivre presque aussi bien que ceux qui travaillent laborieusement. Un homme politique du XIXe siècle, Achille Tournier, avait fort bien compris la situation créée par le socialisme : « Il y a, disait-il, deux partis en France : ceux qui vivent de l’impôt et ceux qui en meurent. »

Sachez aussi, et c’est l’essentiel, que vos avoirs ne vous appartiennent qu’à titre précaire. Si l’État en a besoin, il se sert désormais directement sur votre compte en banque, sans même prendre la peine de vous faire connaître la raison de ce prélèvement.

À ce sujet, Me Pradel écrit (p. 38) : « Contrairement à ce que nous a martelé le gouvernement pendant des mois, l’objectif principal du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu n’est pas de nous simplifier la vie, mais de nous prélever plus d’argent et plus rapidement. » Cette décision a effectivement compliqué la vie de millions de foyers qui s’avère encore plus difficile qu’auparavant. Cet impôt-mania qui obsède tout l’appareil d’État conduit les contribuables à travailler jusqu’au 28 juillet pour l’État. Il leur faut payer des taxes coûtant plus cher à prélever qu’elles ne rapportent. Oui, mais on a appauvri et emm … le contribuable. C’est ce qu’on appelle, paraît-il, la jouissance fiscale de l’État.

Tout ceci étant constaté, estimez-vous, malgré tout, heureux, après avoir été tondus par l’État, de ne pas avoir reçu de coups de couteau. Il y a quelques jours à Romans-sur-Isère, petite ville de la Drôme, un Soudanais musulman du nom d’Abdallah Ahmed-Osman a tué deux chrétiens de cette petite ville et en a blessé 5 autres – à la demande, a-t-il dit, de Sa Sainteté Allah le Tout-Puissant. Il aurait chaleureusement remercié le boucher de lui avoir prêté un couteau bien aiguisé, ce qui a coûté moins cher que d’aller en acheter un à Thiers, petite ville du Puy-de-Dôme et capitale du couteau.

L’auteur du crime vient du Soudan du Nord où la France n’a aucun intérêt particulier. Cet Abdallah n’en a pas moins reçu le statut de réfugié, avec tous les privilèges qui y sont attachés. Des Abdallah à qui l’asile a été accordé, nous en avons un très grand nombre et surtout des musulmans.

Aux États-Unis, les Blancs seront bientôt minoritaires chez eux. En France, c’est la même évolution. Les Français seront bientôt minoritaires en France. Peut-être faut-il donc dès maintenant donner à notre pays un nom adapté à sa nouvelle population. Pour ma part, je suggère la Nouvelle Arabie Africaine (NAA), dont l’emblème national serait un dromadaire et une mosquée. On en compte des milliers, construites grâce à la générosité des fidèles, des émirs et de notre impôt !

Un mot encore pour terminer : une association d’entraide chrétienne, protestante, en faveur des migrants, veillait à ce qu’Abdallah soit bien traité et qu’il ne lui manque rien …

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Comments (2)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    comment vivre ” tranquillement ” , honnête ou malhonnête,” avec l’ épée du coronavirus 19 en permanence au-dessus de nos têtes ?

    25 avril 2020 à 15 h 57 min
  • OMER DOUILLE Répondre

    Le soudanais, pays où la France n’a jamais mis les pieds et n’a par conséquent par de devoir “de mémoire”, s’est payé un toubab. Pour le plaisir.
    C’est ainsi lorsque l’on “réchauffe un serpent en son sein” .
    L ‘afrique , nord et sud confondus, est un baton merdeux qu’il vaut mieux s’éviter de toucher, même avec des pincettes.
    Par ailleurs “l’organisation chrétienne” supporter du tueur est d’obédience protestante, comme quoi il n’y a pas que l’église catholique qui nous porte tord.
    Le pire a venir se produira lorsque les blancs que nous sommes ne seront plus en mesure de payer pour tous ces jean-foutre : il tueront la poule aux oeufs d’or que nous sommes à leurs yeux.

    21 avril 2020 à 17 h 13 min

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