Vous avez maintenu comme préalable le dogme le système de la répartition. Alors qu’il est mathématiquement condamné

Vous avez maintenu comme préalable le dogme le système de la répartition. Alors qu’il est mathématiquement condamné

Dans une génération, lorsque l’étudiant d’aujourd’hui prendra sa retraite, nous aurons 1 cotisant pour 1 retraité. En 2040 ! En restant en répartition pure, cela veut-il dire que pour continuer à servir la même retraite, il faudra multiplier la cotisation par quatre ? Les cotisants le pourront-ils, le voudront-ils ?

 

Cela veut-il dire aussi que la retraite devra être divisée par quatre ? Même la situation médiane, doublement des cotisations pour une retraite divisée par deux, est inacceptable. Ces prévisions à 35-40 ans sont-elles justes ? La démographie est une science assez précise, elle consiste à prévoir que ceux qui ont 25 ans aujourd’hui en auront 65 dans 40 ans. Ceux qui seront à la retraite dans 40 ans sont déjà tous nés depuis très longtemps. Ces prévisions à 35-40 ans sont-elles nécessaires ?

 Celui qui va s’installer aujourd’hui et que l’on va obliger à cotiser pendant 40 ans a le droit de savoir ce qu’il aura en échange, de quoi il vivra à la retraite pendant plus de vingt ans. Nous n’avons pas le droit de tricher sur ces informations. Ailleurs les problèmes sont les mêmes. Dans toutes les professions, la démographie va tomber à un actif pour un retraité dans quarante ans.


Pour le régime général, comptant plus de 20 millions d’actifs, ce rapport va passer de 2/1 à 1/1 en quarante ans. En euros de 2010 et en moyenne, à la louche.
 
41 ans de cotisations
18 ans de retraites
Retraite moyenne : 1377 euros par mois
un cotisant pour un retraité en 2040
pour payer la retraite chaque travailleur devra cotiser chaque mois 604 euros pendant 41 ans.
Soit en cotisation pour le privé, soit en impôt pour le public !
 

Mathématiquement la répartition a 100 % est morte

Partager cette publication

Comments (22)

  • sas Répondre

    a eureka….

    juste une précision ….non seulement faut arreter immédiatement les tratement iniques et dyscriminatoires…..mais en plus récupérer les trops percus qu ils se sont octroyés par combines, ententes , passe droit, faiblesse et mediocrité depuis 40 ans….

     

    LA  SERA la JUSTICE……et l égalité entre citoyens…

     

    sas

    13 novembre 2010 à 15 h 24 min
  • sas Répondre

    BIEN SURE ET BRAVO EUREKA………

     

    c est simple , évident et vertueux……..

     

    c est pour cela qu il n en sera jamais ainsi…..toujours pas par ,ni ,pour, ni ,avec les enclumes qui nous sinistrent…..

    sas

    13 novembre 2010 à 15 h 20 min
  • Euréka Répondre

    Que les fonctionnaires agents de l’état, parlementaires, bénéficiaires de régimes spéciaux mettent au pot leurs privilèges et là seulement nous pourrons parler de réforme des retraites réussie.

    J’enrage de voir les Instits manifester leur mécontentement parcequ’on repousse de 2 ans l’âge de leur départ en retraite. 57 ans au lieu de 55 ans. Et seulement à partir de 2018, les pauvres chéris !!!!  Mais c’est quoi ce pays qui se targue d’être le champion des droits de l’homme alors qu’il a instauré dans ses lois l’inégalité des statuts. ? Pourquoi les retraites de reversion des fonctionnaires sont-elles attribuées quels que soient les revenus alors que pour les salariés du privé il y a un plafond de revenus ? Pourquoi le calcul de la retraite se fait sur la base des 20 dernières années pour les salariés du privé et seulement sur le salaire des 6 derniers mois pour un fonctionnaire ?  lol  c’est incroyable !!! et ils ne sont pas contents.

    La France se dirige tout droit vers une nouvelle révolution à cause de ces injustices.

    12 novembre 2010 à 19 h 57 min
  • Euréka Répondre

    " Vous reagissez comme si tous les pays etaient comme la France, abrutis de propagande marxiste avec des ultra-minorites de syndicalistes ne foutant rien, recevant des subsides de l’etat et ne pensant qu’a detruire leur outil de travail au nom de leur ideologie. Mais vu votre cursus de syndicaliste, je le comprends tres bien. Essayez par contre de depasser vos dogmes surranes et comprenez que par votre attitude (vous et vos complices syndicalistes) c’est votre pays que vous faites couler. Enfin je pense que vous vous en fichez completement, l’ideologie prime!"

    @ Alain

    Je n’en peux plus de ce pays, de cette racaille marxiste, cette gauche qui a fait main basse sur la France, qui s’approprie la légitimité de discuter de tout, d’imposer son idéologie de pacotille à toute la société, qui depuis 40 ans a bousillé l’éducation de plusieurs générations d’écoliers. Aujourd’hui à Sciences Po, un étudiant doit cacher qu’il  est de droite pour avoir une chance d’avoir son diplôme. Les Français sont discriminés et persécutés par les assos de gauche.  Elles n’auront de cesse que de détruire notre pays, décourager les jeunes talents et faire fuir les forces vives qui trouveront un peu d’air à l’étranger.  Les personnes de valeur qui restent sont pressées comme des citrons pour subvenir à l’entretien d’une masse toujours plus grande de parasites et de profiteurs.  Un Florent Pagny aura toujours la ressource de scolariser son fils aux Etats Unis puisque le gamin a peur de la pression rebeu qui s’excercait dans son lycée. Une fois de plus,  les Français qui n’ont pas les revenus d’un Florent Pagny devront subir sans moufter. Le syndicaliste Jaurès n’a pas honte des grèves à répétition qui paralysent le pays (NMPP ,  par exemple en grève une bonne dizaine de fois par an !!!!).Syndicats payés par les contribuables via les subventions que leur accordent les Conseils Généraux.

    Vous avez eu raison de ne pas vouloir subir le chantage des CFDT etc…  et bravo d’avoir mis fin à leurs agissements de type mafieux.

     

     

    12 novembre 2010 à 19 h 44 min
  • sas Répondre

    au maileur du dessus….(3 au dessus)

     

    bravo tu viens enfin de comprendre ce que sas braille et annone depuis 5ou6 ans sur ce site….

    EN 1945 EN FAIT LA GUERRE EN EUROPE A ETE PERDUE ET LES ACCORDS DE YALTA ONT ENTERINES…..la soviétisation  définitive de la france…..et de son economie.

    …le sociale en fait n a jamais été financé ….le privé a toujours eté dépouillé au profit exclusif du public…ET SEULME LA DETTE PUBLIQUE A PAYEE LA FETE PONCTUELLE…..

    ET L HEURE DES COMPTES ARRIVANT….nous sommes ruiné  3 000 milliards dus….plus d industrie….plus d or ni de tresorerie….et une faune internationale dans nos fontières…..plus d armée…..des jeunes idiots et décérébrés qui comprenent rien a rien…….

    on a perdu….on est BAISE….

    cqfd

    SAS

     

    26 octobre 2010 à 22 h 24 min
  • gele Répondre

    Peut on m’expliquer ? UMP FN ?

     

    le PS : A gauche toute ! pour capter les électeurs PC, PDG, NPA, etc

    La droite fait la même chose pour capter les électeurs de l’extrême droite !

    Score ; 0 partout balle au centre !

     

    Politiquement correct ! Nos "Gentils" extrémistes  Français.

     

    Peut on m’expliquer pourquoi les alliances électorales sont normales et naturelles à gauche

     

    Malgré des  accords contre nature : alliances avec des partis d’extrême gauche  tous adeptes des idéologies communistes !

     

    Partis marxistes responsables de la ruine des libertés, de la démocratie, avec en plus  la misère économique et pour finir des crimes qui ont  fait depuis 1917 plus de 100 millions de victimes dans le monde.

     

    Peut on m’expliquer pourquoi les alliances électorales sont monstrueuses et ignobles à droite avec les partis d’extrême droite ?

     

    Partis adeptes des idéologies nationalistes qui en 1939, ont été responsables de la deuxième guerre mondiale avec ses crimes abominables, soit 80 millions de victimes. 

     

    Certes les partis extrémistes français  jouent la carte de la démocratie et les épithètes  qui les traitent de "fascistes" "de nazis" ou de "stalinistes" sont un peu ridicules en 2010.

     

    Les programmes des partis "extrémistes" sont très virulents ! Démagogiques ! Spoliateurs ! Ces organisations n’ayant pas l’envie ni la vocation de prendre des responsabilités gouvernementales.

     

    Les prises de position du FN sur l’Europe, la mondialisation sont tout aussi utopiques que le programme économique étatique de spoliation des gauches radicales.

     

    En fait, ces partis sont des alliers objectifs: avec pour résultat que le FN facilite la victoire du socialisme et que les gauches radicales bloquent l’évolution du PS vers une sociale démocratie à la française.

     

    Le résultat est dans la démagogie un immobilisme, des réformettes, le déclin permanent de notre pays vers plus de chômage, de déficits.

     

    Après publications multiples, presse, forums, et courrier……………0 réaction ?

    !

    23 octobre 2010 à 17 h 05 min
  • Jaures Répondre

    Cher Sembour, avant la crise, le déficit budgétaire était d’environ 50 milliards, il est passé en 2009 à environ 150 milliards. Il n’est guère besoin d’être grand clerc pour y voir une raison de cause à effet sachant que tous les pays ont subi un choc parfois un peu inférieur (Allemagne) souvent nettement supérieur (Italie, Irlande, Angleterre, Espagne,….).

    De la même façon, le déficit du régime des retraites est dû, pour les mêmes raisons aux effets de la crise pour les 2/3. La volte face de Sarkozy qui affirmait encore il y a 18 mois qu’il "n’a pas mandat pour réformer les retraites" est due à une injonction des grands groupes financiers qui ont encaissé les milliards des plan de relance et veulent maintenant que les populations renflouent les caisses, des fois qu’ils en auraient encore besoin.

    François, les fonds de pension qui gèrent les retraites sont des fonds spéculatifs extrêmement risqués (voir les baisses de niveau de pension en Angleterre et en Irlande). Par contre, les dividendes sont eux relativement stables. Mme Bettencourt perçoit 280 millions par an et la crise n’a guère entamé ses revenus.
    La raison en est que pour servir une retraite payée en dividendes, le salarié devrait disposer d’un capital énorme. Pour pouvoir le servir, les fonds de pensions doivent donc obtenir des rendements 4 à 5 fois supérieurs aux dividendes.

    Ce qu’il faut taxer, au même niveau que les salaires, ce sont les revenus des dividendes actuellement protégés. Ceux de la spéculation aussi, bien sûr, mais ils sont plus aléatoires.

    22 octobre 2010 à 16 h 32 min
  • Anonyme Répondre

    Chômage! Des jeunes

     

    Depuis vingt-cinq ans, nos politiques nous promettent la baisse du chômage ! Toutes les formules ont été essayées : emplois aidés, T.U.C., stages, emplois jeunes, exonérations de charges, contrats de travail divers et variés, CNE, CPE, indemnisation longue et généreuse pour acheter la paix sociale, RMI, en maintenant le RSA etc. En 2009, c’est une relance mise en place à "crédit" par les investissements ! Et comme d’habitude, des enveloppes  aux "victimes" de la crise à venir……

     

    Triste constat : pour financer notre protection sociale à la dérive, les prélèvements fiscaux et sociaux représentent 71, 3 % du salaire moyen ! Ce qui porte atteinte au pouvoir d’achat des travailleurs qui ne touchent que 28,7 % du coût de leur labeur. En réalité, les contribuables français financent leurs propres malheurs. Assistanat géré par des administrations nombreuses qui prélèvent de 15 à 25 % des aides en frais de gestion !

     

    L’état, pour faire ses fins de mois, accumule donc des dettes abyssales. Ces prélèvements pénalisent notre jeunesse, retardent leur entrée dans la vie active, emplois, famille, achat de leurs maisons. Même quand ils ont un emploi,  ils ne peuvent plus se constituer un petit patrimoine ! En cas de chômage, c’est un drame. Difficultés face à  un marché du travail atone. 

     

    La seule la formule qui marche dans le monde et qui n’a pas été mise en œuvre  en France !!! A savoir " la liberté " pour les entreprises. Créatrices de richesses, d’emplois ! Il faudra admettre une fois pour toutes, clairement, en France, l’économie de marché, ouvrir le plus possible l’économie à la liberté d’entreprendre, de pouvoir bénéficier normalement des fruits de son travail, par des prélèvements proche de nos voisins européens. 

     

    Réduire  le poids et le coût de l’état, simplifier nos réglementations, réformer notre système fiscal, supprimer l’ISF, ne plus diaboliser les entrepreneurs, les "riches" qui participent avec leur talent et leurs capitaux à la création des emplois que nous souhaitons pour nos enfants.       

     

    La droite et la gauche, au lieu de pleurnicher aujourd’hui, auraient mieux fait de créer les conditions d’un meilleur environnement économique pour les entreprises. La France est le seul pays qui compte plus de fonctionnaires que d’actionnaires ! Actionnaires ruinés en 2009 et dont les dividendes de 0 a 4 % sont qualifiés "d’indécent"  par les médias, la gauche et une partie de la droite. Dans ces conditions qui va financer nos entreprises, nos emplois ? 

     

    Les entreprises manquent d’investisseurs car les prélèvements obligatoires servent à financer les frais exorbitants de fonctionnement de notre très cher Etat Obèse, dilapidateur, mauvais gestionnaire de nos finances, de ses personnels, Beau cadeau pour nos enfants ! Des dettes, un marché du travail atone, le financement de nos retraites à crédit!

     

     

     

     

    21 octobre 2010 à 16 h 17 min
  • Jaures Répondre

    Cher Iosa, je ne comprends comment d’une répartition prenant en compte tous les revenus vous aboutissez à une retraite égale pour tous ! Votre raisonnement m’intrigue.

    Le fait de mieux répartir le financement permet en effet de maintenir notre régime en l’état qui, certes, instaure un revenu minimal, mais permet de multiples nuances puisque, au delà de la retraite de la CNAV, (environ 52% du dernier salaire), vous cotisez aux régimes complémentaires par points et pouvez souscrire, à titre individuel, à des plans épargne-retraite ou placer sur un PEA ou une assurance-vie les sommes disponibles.

    Que la fourmi profite des fruits de son épargne, mais que la cigale dispose de ce qu’elle a cotisé et que l’abeille, qui n’a travaillé que pour la reine, puisse vivre dignement les dernières années de sa vie.

    Enfin, j’entends souvent parler ici de "mes avantages". J’aimerai, comme ça, pour voir, qu’on m’explique en quoi ils consistent et s’ils me sont réservés.

    20 octobre 2010 à 10 h 41 min
  • françois Répondre

       Je ne comprends toujours pas que l’on puisse dire à la fois " taxer les revenus boursiers permettra de sauver les retraites" et " placer l’argent destinée aux retraites en bourse mène à la banqueroute ( voyez tel et tel exemple..)". Si cela amène des revenus dans le premier cas, cela en amène aussi dans le second. Et donc la deuxième affirmation est fausse. Mais si la deuxième affirmation est juste, alors on ne voit pas pourquoi elle ne serait pas transposable au premier cas. Et donc on n’y récupère pas de revenus. Et donc il n’y a rien à taxer. Et donc on ne peut sauver les retraites par ce moyen…
      La logique socialiste, c’est comme son arithmétique: 9×7=76…

    20 octobre 2010 à 8 h 54 min
  • Alain Répondre

    Jaures.

    > quand vos salariés commenceront à revendiquer (cela viendra, vous verrez) il vous faudra songer à déménager au Bangladesh.

    Non: Ils revendiquent deja, PACIFIQUEMENT: Pas de chantage, pas de blocage, pas de violences comme en France. Et ca marche, puisque le VOYOU que je suis les ecoute, et accede a leurs demandes si cela ne met pas en danger l’entreprise elle-meme.

    Vous reagissez comme si tous les pays etaient comme la France, abrutis de propagande marxiste avec des ultra-minorites de syndicalistes ne foutant rien, recevant des subsides de l’etat et ne pensant qu’a detruire leur outil de travail au nom de leur ideologie. Mais vu votre cursus de syndicaliste, je le comprends tres bien. Essayez par contre de depasser vos dogmes surranes et comprenez que par votre attitude (vous et vos complices syndicalistes) c’est votre pays que vous faites couler. Enfin je pense que vous vous en fichez completement, l’ideologie prime!

    Alain

    20 octobre 2010 à 7 h 07 min
  • Anonyme Répondre

    Jaurès écrit:

    « Il est quand même un peu surprenant que personne sur ce site ne s’offusque que les travailleurs paient la note d’une crise due à la spéculation immobilière américaine relayée par les banques européennes. »

    Il est amusant que Jaurès n’ait pas le reflexe d’en imaginer la raison toute bête:

    Personne sur ce site ne pense que la note payée par les « travailleurs » avec leurs problèmes à rallonge concernant leurs retraites, ne soit due à la crise américaine pour les 2/3 (d’ailleurs d’où sort ce chiffre bizarre et suspect?), ni d’ailleurs pour une autre part à identifier.

    Le théorème gauchiste « c’est la faute a la crise », indémontrable parce que faux, volera en éclat quand la crise sera entièrement  résorbée en Amérique et ailleurs, alors qu’inexplicablement les « travailleurs » français seront encore plus dans la panade pour leurs retraites.  

    Je ne suis pas curieux de connaitre la nouvelle future explication….

    19 octobre 2010 à 23 h 43 min
  • IOSA Répondre

    Comme tout le monde le sait, le sieur jaurès est pour la conservation des avantages acquis même indument et dont voici la preuve tirée de son propre commentaire :

    L’allongement de la durée de la vie nécessite un allongement de la durée de cotisation. De même, les retraites ne doivent pas reposer seulement sur les salaires mais sur l’ ensemble des revenus.

    Avec un tel raisonnement, nous allons toujours dans la même direction…droit dans le mur !

    Une retraite identique pour tous…même montant quel que fut le salaire antérieur et ce y compris les fonctionnaires et hauts fonctionnaires qui ont eu largement le temps d’engranger le fruits de nos impôts dans leurs poches.

    Et surtout, pour suivre l’adage que se pare la république dans ses trois mots célèbres…Liberté, Egalité & Fraternité, durée de cotisations identique à l’humble pékin pour percevoir sa retraite.

    Jaurès, tirez donc une leçon de cette fable..la cigale et la fourmie et cessez de polluer les esprits sains avec vos idioties svp!

    Car en fait, vous n’êtes surement pas socialiste, puisque vous ne pensez qu’à conserver vos avantages au détriment de ceux qui en ont pas du tout.

    IOSA

    19 octobre 2010 à 22 h 45 min
  • ozone Répondre

    L’avantage de la retraite par capitalisation est qu’elle met dans les mains des gestinnaires des sommes fabuleuses pour spéculer et se remplir les poches,chouette non ?

    Aux USA pendant la periode Reagan cela a fabriqué le systéme qui à planté en 2008 et qui à ruiné beaucoup de ceux qui avaient fourni les fonds pour amorcer la pompe.

    Bien sur,pas les gestionnaires.

    19 octobre 2010 à 21 h 30 min
  • sas Répondre

    Descriptif/Commentaire LBS : Ça va, pour la famille Sarkobiz, entre l’un des frères Sarkozy, qui est responsable du business pharmaceutique, nous avons maintenant, les retraites, gérer par la famille Sarkozy … La mère Bétancourt, à côté du BARON SARKOZY, c’est Kazimir … (LBS)


    Guillaume Sarkozy, futur bénéficiaire de la réforme des retraites ?

    Le site d’information Médiapart affirme jeudi 14 octobre que la réforme des retraites pourrait favoriser les intérêts du groupe Malakoff Médéric, dont le délégué général n’est autre que Guillaume Sarkozy, le frère du chef de l’Etat.

    Selon Médiapart, la réforme "va conduire à l’asphyxie financière des grands régimes par répartition" et sera donc "propice à l’éclosion de ces grands fonds de pension qui n’étaient pas encore parvenus à s’acclimater en France, à quelques rares exceptions près". Parmi les opérateurs privés d’ores et déjà sur les rangs, figure le groupe Malakoff Médéric.

    Des alliés puissants

    "Il ne s’agit pas que d’une coïncidence. Mais bien plutôt d’une stratégie concertée en famille", écrit Médiapart, "l’un assèche les régimes par répartition tandis que l’autre pose les fondements du système par capitalisation". Le site ajoute : "Guillaume Sarkozy a engagé son entreprise dans une politique visant à en faire un acteur majeur de la retraite complémentaire privée. Et il a trouvé des alliés autrement plus puissants que lui, en l’occurrence la Caisse des dépôts et consignations (CDC), le bras armé financier de l’Etat, et sa filiale la Caisse nationale de prévoyance (CNP). Ensemble, tous ces partenaires vont créer, le 1er janvier prochain, une société commune qui rêve de rafler une bonne part du marché qui se profile."

    "Cette société n’aurait jamais vu le jour sans l’appui de l’Elysée", écrit Médiapart. En effet, la Caisse des dépôts et consignations est une institution publique présidée par un parlementaire. Pour sa part, la Caisse nationale de prévoyance (CNP) est une filiale de la Caisse des dépôts et consignations, de la Banque postale et du groupe Caisses d’Epargne , lui-même présidé par François Pérol, ancien secrétaire général adjoint de l’Elysée.

    En outre, la Caisse des dépôts gère le Fonds de réserve des retraites. "Pourquoi la CDC se lance-t-elle dans pareille aventure pour faire le jeu du système adverse, celui par capitalisation ?", demande Médiapart. "Et pourquoi, de surcroît, le faire avec une entreprise dont le patron est le frère du chef de l’Etat ?"

    L’enjeu n’est pas mince. Le marché pourrait représenter "40 à 100 milliards d’euros" : en fonction de l’aspect final de la réforme, les Français connaîtront une baisse plus ou moins considérable du taux de remplacement, c’est-à-dire du montant de la pension rapporté au salaire, et donc se précipiteront sur les systèmes de retraite complémentaire. Médiapart publie notamment un "business plan" confidentiel, qui fixe pour objectif une part de marche de "17%" d’ici dix ans.

    19 octobre 2010 à 12 h 53 min
  • Jaures Répondre

    " Je suis un "patron voyou", et fier de l’être!" dit Alain

    Il n’y a pas de patrons voyous, il y a des voyous tout court.


    Mon patron avec son entreprise de 500 salariés reste en France, malgré les méchants syndicalistes et, vu son train de vie, ne semble pas mal s’en porter. Ceci dit, votre situation est précaire: quand vos salariés commenceront à revendiquer (cela viendra, vous verrez) il vous faudra songer à déménager au Bangladesh.

    A moins que vos clients ne se tournent vers une société à la main d’oeuvre meilleur marché.

    19 octobre 2010 à 11 h 41 min
  • Gilles2 Répondre

    @ Gelé Gérard

     

         Il n’y a pas d’autre modalité de retraite que la répartition : toute retraite (y compris par capitalisation) est toujours payée aux retraités de l’instant «t» par les actifs de ce même instant «t», et non par une hypothétique cagnotte transportée à travers le temps. La retraite par capitalisation est une arnaque…

     

         Ce n’est pas le ratio d’actifs par rapport aux retraités qui compte mais la productivité du travail, c’est-à-dire la quantité de biens (produits ou services) fournie par actif – et je précise, de biens réels et non monétaires. En 1910, plus de 60 % de Français travaillaient dans l’agriculture pour nourrir 41 millions d’habitants : aujourd’hui, ils sont 3 % pour près de 65 millions. Donc, si on suit votre raisonnement, dans la France de 2010, on crève de faim…

     

         Ce n’est pas, non plus, la richesse globale qui importe que sa répartition : du début des années 1980 à aujourd’hui, la distribution du PIB a ripé de 5 à 6 points des salaires vers le capital. Les cotisations retraites étant assises sur le montant des salaires, le retour des proportions des années 1980 suffirait très largement à éponger le (relatif) déficit, et ce sans agir sur les prix, puisque ceux-ci comprennent la rémunération du salaire comme celui du capital.

    19 octobre 2010 à 8 h 47 min
  • Florin Répondre

    La retraite, tout comme le salaire, tout comme les allocs, tout comme la paie des fonctionnaires, dépend de la richesse créée dans le pays. Bizarre quand-même ! Le PIB ne dégringole pas, sauf en 2008-2009, mais tout le reste se casse la gueule, sécu, avantages divers, blocage des salaires etc etc. Sans être de gauche, il est évident qu’il y a un souci de répartition … et de frontières ouvertes.

    19 octobre 2010 à 1 h 26 min
  • Alain Répondre

    > De même, les retraites ne doivent pas reposer seulement sur les salaires mais sur l’ ensemble des revenus.

    Oui oui, taxons les revenus du Kapital! Voila le dogme du Kamarade Jaurès! Taxons aussi les sociétés, dont les patrons sont, comme chacun sait, d’ignobles exploiteurs des masses prolétariennes!

    Je suis l’un de ces exploiteurs, kamarade Jaures! Dans mon entreprise (300 salaries), il n’y a ni syndicat, ni grèves, depuis 5 ans. Tous mes employés reçoivent un pourcentage du bénéfice net après impot, ce qui leur fait un mois et demi de salaire en moyenne depuis 5 ans.

    Depuis 5 ans, oui. Car il y a 5 ans j’ai délocalisé mon entreprise qui croulait sous les menaces des crapules de la CGT dont les 7 syndiqués prétendaient empêcher les 120 non syndiqués de travailler. Et qui croulait aussi sous les diverses taxes et obligations imposées par un gouvernement otage des syndicats marxistes.

    J’ai donc, profitant (c’est amusant, n’est ce pas?) du week-end du premier Mai, jour ou la canaille syndicale hurle ses slogans éculés, déménagé le matériel. J’ai rouvert en juillet en Hongrie, j’emploie maintenant presque 3 fois plus de salariés qu’en France, qui sont tous heu-reux de travailler avec moi. Je suis heu-reux de payer mes (faibles) impots (personnels et professionnels) en Hongrie et de ne pas ainsi financer les syndicats ultra-minoritaires comme en France.

    Voila une des conséquences des recettes que préconisent le Kamarade Jaurès et ses complices!

    Kamarade Jaurè! Courez me dénoncer à la canaille syndicale que vous défendez: Je suis un "patron voyou", et fier de l’être!

    18 octobre 2010 à 19 h 00 min
  • ozone Répondre

    Volontairement condamnés plutot,le magot des retraites éxite au plus haut point assureurs et banqsters

    La durée de vie?

    Si on emploi cet argument il faut mettre dedans les stadistiques des différences entre catégories sociales

    Alors tant que ce n’est pas le cas son utilisation dans le débat est nulle et non avenu,pour rester trés,trés poli

    18 octobre 2010 à 18 h 35 min
  • françois Répondre

     Ce qui est bizarre, c’est que quand il faut taxer les revenus du capital ( donc la bourse) pour financer les retraites, c’est la panacée pour la gauche car la bourse produit alors des revenus dantesques et indus… Mais quand on propose d’investir en bourse les cotisations retraites, d’un seul coup, non seulement cela ne produit plus rien, mais en plus cela fait perdre tout ce que l’on a investi…Moi le dernier des andouilles, mais moi ne pas comprendu…

    18 octobre 2010 à 15 h 26 min
  • Jaures Répondre

    Personne n’a dit que la retraite par répartition doit être conservée en l’état.

    L’allongement de la durée de la vie nécessite un allongement de la durée de cotisation. De même, les retraites ne doivent pas reposer seulement sur les salaires mais sur l’ ensemble des revenus.
    L’évolution de la démographie doit donner lieu à une réforme mais celle que propose le gouvernement n’est qu’un paiement du déficit lié à la crise (les 2/3) par les salariés.

    Il est quand même un peu surprenant que personne sur ce site ne s’offusque que les travailleurs paient la note d’une crise due à la spéculation immobilière américaine relayée par les banques européennes.

    C’est qu’il ne doit pas y avoir beaucoup de salariés rédacteurs et abonnés aux 4V.

    18 octobre 2010 à 13 h 44 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *