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Comments (6)
Les partisans de l’euro ont menti. Ils ont menti quand ils ont dit que l’euro allait créer des emplois, ils ont menti quand ils ont dit que l’euro allait créer de la croissance, ils ont menti quand ils ont dit que l’euro allait nous faire gagner du pouvoir d’achat et ces mêmes partisans de l’euro nous mentent encore et encore quand ils nous disent qu’il ne faut pas dévaluer. Je ne comprend pourquoi il y en a qui font confiance encore et encore à des menteurs
Le général de Gaulle lui même a fait plusieurs dévaluation, une de 20% en Juin 1958 plus une autre de 17,55% en décembre de la même année et la France est entrée de plein pieds dans les 30 Glorieuses avec des taux de croissance de plus de 5% pendant au moins quinze ans. Une autre dévaluation de 11% pour contrecarrer le choc de mai 1968 qui sur le plan économique est par la suite passé inaperçu. Et nous avons eu la bulle pompidolienne avec des taux de croissance de 7% par an.
Mitterand a dévalué au moins trois fois en 1981, en 1982 et en 1983. ce qui correspond à une dévaluation de 16%. Très curieusement à cette époque la aucun, je dis aucun économiste fut’il de gauche n’a critiqué ces dévaluations tellement il était évident pour tout le monde qu’il fallait dévaluer, à commencer par tous les journalistes du JT
Pourquoi faut’il dévaluer ? la réponse est très simple, il y a les fourmis qui travaillent beaucoup, qui font attentions à la hausse des dépenses publiques, qui ont des hausses de salaires modérés. etc etc…….
Il y a aussi les cigales qui font la fête tous les jours qui travaillent peu et qui sont tout le temps en grève, qui se font une gloire d’augmenter les salaires et les dépenses publiques inutiles etc…..
Bien sûr, chez les cigales, le chômage explose alors que chez les fourmis il y a le plein emploi, la solution consiste à utiliser une soupape de sûreté qui s’appelle dévaluation compétitive qui va aligner le coût de production des cigales sur celui des fourmis et rendre les cigales compétitives. En principe, ce qui rend la dévaluation nécessaire, c’est le chômage aussi ceux qui s’opposent à la dévaluation sont aussi ceux qui ignorent purement et simplement la nécessité de créer des emplois.
Il ne faut donc pas avoir peur de la planche à billets…………….française !!
Il ne faut donc pas avoir peur de donner sa voix à MLP.
il faut absolument sortir de cette spirale infernale qui consiste à nourrir les banques et les spéculateurs.
Je crains fort que la question ne soit pas de savoir si la dévaluation soit ou non la bonne solution (elle est toujours mauvaise lorsqu’on peut faire autrement). Mais, hélas, et comme l’écrit Marie, elle est déjà là de fait, même si elle est encore un peu masquée par un euro dopé a l’économie allemande. Attendez – pas trop longtemps- que le “marché” prenne réellement en compte la véritable situation de la France et vous verrez si, d’une façon ou d’une autre, nous n’y aurons pas droit.
Ce n’est pas une bonne solution,c’est la seule
la dévaluation c’est se dévaluer soi-même !
un peu d’orgueil et de courage !
laissons cela aux ” gaullistes ” et aux ” rad-socs ” !
et quelle est la bonne solution ?
La dévaluation nous la subissons déjà.
Je ne sais pas ce que vous écrivez dans l’article n’étant pas abonnée mais la solution c’est surtout de s”‘occuper des banques !!
Elles se sont suffisamment engraissées sur le dos des gens.
UBS est déjà partie en Asie, peureuse de ce qu’il pourrait lui arriver en Europe.
Les USA ne se gênent pas pour faire chez eux un paradis fiscal : le Delaware
Voici un siècle que le Delaware est l’Etat privilégié par les entreprises pour leur immatriculation.
Aujourd’hui, plus de la moitié des 500 plus grosses fortunes et 43 % des sociétés cotées à la Bourse de New York sont domiciliées dans le Delaware.
Cet Etat est également considéré comme le point de départ idéal pour la conquête du marché américain.
Les avantages qu’il présente sont de deux natures, mais leur portée diffère en fonction de la situation de chaque entreprise.
La Suisse a peur.
Nous, il y a longtemps que l’on a été mangé.
Remettons notre planche à billets en route.
Après tout, certains ne se gênent pas !