L’étrange campagne du oui au référendum

L’étrange campagne du oui au référendum

Après plusieurs semaines où les défenseurs du non à la Constitution européenne ont été seuls à parler clairement, les médias nous annoncent le lancement de la campagne du oui. Mais cette campagne commence à être fort étrange.
Tout d’abord, voici au moins trois fois qu’on nous parle de son lancement: lors du référendum interne au PS, lors du conseil national de l’UMP et, aujourd’hui, alors que le Président de la République est censé se jeter dans la bataille… Il n’est pas sûr que ces bégaiements au démarrage contribuent à asseoir la crédibilité du oui.
Ensuite, cette campagne répond à de curieuses logiques stratégiques. On assure avec aplomb aux électeurs qu’il ne s’agit pas d’un débat de politique interne, mais les tenants du oui, comme ceux du non, n’ont de cesse de diaboliser leurs adversaires sur la base d’arguments de politique intérieure (du style: si vous votez non, vous voterez comme Mme Buffet ou M. Le Pen, vous ne serez pas avec les gens « responsables »…).
On assure également aux électeurs que, puisque la campagne n’est pas de politique intérieure, on ne fera pas de campagne nationale, mais une « campagne de proximité ». C’est ainsi que l’UMP a annoncé son désir d’organiser une réunion publique réduite dans chacune des 577 circonscriptions… Comprenne qui pourra: on débat d’un texte ayant vocation à surplomber notre constitution et, plutôt que d’écouter le Premier ministre, on préfère laisser la parole aux sous-préfets!
Enfin, ce nouveau départ se fait dans les plus mauvaises conditions.  Jacques Chirac est la personne la moins bien placée pour relancer le oui: le non est surtout fort à gauche et les électeurs de gauche sont excédés d’avoir dû voter Chirac en 2002. Par ailleurs, les électeurs de droite savent à quoi s’en tenir sur ce quiquennat qui, malgré l’écrasante majorité de l’UMP, n’a toujours pas commencé à examiner les réformes urgentes!
En outre, le débat annoncé n’en sera pas un: aucun tenant du non ne sera invité à porter la contradiction au chef de l’État qui préfère jouer les instituteurs en s’adressant à des jeunes triés sur le volet, au milieu d’un brillant plateau d’animateurs « people ». Rien qui puisse redonner goût à la politique!
Bref, cette campagne pour le oui dépasse l’entendement. Il est d’ailleurs vraisemblable que le oui sera d’autant plus haut dans le résultat final que, de faux départ en vrais ajournements, la campagne n’aura jamais vraiment commencé…

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Comments (11)

  • JEAN YVES METAYER Répondre

    Un NON d’Avenir ! Pour la France en Europe par Jean-Yves Métayer Loin des incantations si chères au Président Giscard , J’aimerais rappeler aux Français l’article 4 de la Constitution française : « les partis politiques concourent à l’expression du suffrage universel… ils doivent respecter le principe de la souveraineté nationale et de la démocratie. » Contrairement à ce qu’affirment les partisans du oui, le projet de constitution européenne démantèle la Nation. Les lois européennes seraient supérieures aux lois françaises(art 1-6). La France perdrait son indépendance avec la nomination d’un super Ministre européen des Affaires étrangères(art1-28).C’est bien l’abandon de la Souveraineté nationale dont il s’agit…N’y aurait-il pas violation de la constitution française ?C’est la cour de justice qui interprètera le présent Traité .De plus,rappelons également l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen : « le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation .Nul corps,nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément ».Il y a donc la aussi une incompatibilité évidente entre la Déclaration des droits de l’homme et ce projet de constitution européenne. Les français doivent se poser les questions suivantes : Voulons-nous garder le pouvoir de décider en France de notre avenir ? Voulons-nous confier aux technocrates notre politique économique et sociale ?Voulons-nous d’une Europe ultra-libérale qui encourage les délocalisations ? Avec cette constitution,les services publiques seraient soumis à la rentabilité .Cela veut dire que EDF-GDF ne pourrait certainement plus assurer le même service pour tous ;l’aménagement des campagnes françaises ne serait pas assez « rentable »…Que dire de la directive Bolkestein,non retirée,qui prévoit qu’un prestataire de service intervenant en France serait uniquement soumis au droit du travail de son pays d’origine…Les conséquences seraient la baisse des salaires en France,le nivellement par le bas et une concurrence déloyale pour nos PME, il s’agit bien d’une régression sociale et non de « l’entrée du droit social »comme le disent les partisans du oui. Je suis convaincu de la nécessité d’une organisation de l’Europe. Nous devons redéfinir une Europe de la libre coopération et des échanges,une Europe qui respecte les règles nationales. Je suis pour la défense des diversités régionales et du monde rural qui font la richesse de la France. Le souverainisme est un mouvement qui défend ce qui part d’en bas,contre ce qui veut s’imposer d’en haut. Je suis donc contre les impositions d’une Europe des commissaires,mais pour une Europe des peuples libres. Nous pouvons,vous pouvez envoyer un signal fort le 29 mai prochain . Ce Non peut encourager les autres pays d’Europe à dire Non. C’est la chance que nous avons de renverser cette politique du libre-échangisme mondial qui détruit nos entreprises,notre artisanat,notre agriculture et notre héritage culturel. Nos parents nous ont laissé une France Libre, un pays si longtemps admiré aux quatre coins du monde…Nous devons dire NON,tous ensemble le 29 mai, avant qu’il ne soit trop tard. Jean-Yves Métayer Président des Clubs Souverainisme & Démocratie http://souverainis.site.voila.fr

    22 avril 2005 à 9 h 00 min
  • souverainisme & démocratie Répondre

    Que les souverainistes… ——————————————————————————– Alain BOURNAZEL – secrétaire général du RIF C’est la vocation au RIF d’être un pont qui permette la rencontre des souverainistes des deux rives. Des gens qui n’avaient jamais pensé être ensembles, sont heureux de se retrouver ensembles, engagés dans le même combat. Cette simple constatation révèle la puissance de l’idée souverainiste, surtout si on l’oppose à celle de nos adversaires. Les Fédéralistes sont unis dans leur volonté d’abandonner les problèmes de la France à des acteurs étrangers. Les Souverainistes sont unis sur ce qui est finalement l’essentiel : les problèmes de la France doivent être réglés par les Français. Contre la Constitution européenne résolument : Le projet de Constitution européenne constitue pour les Souverainistes un événement majeur. Parce qu’il intervient à un moment où deviennent de plus en plus manifestes les effets pervers de la dite construction européenne. De traité en traité, les États nations ont perdu beaucoup de compétences : — nous n’avons plus de politique industrielle car Bruxelles décide souverainement des règles de la concurrence, — nous n’avons plus de politique monétaire du fait de l’euro, — nous n’avons plus de relations économiques extérieures car elles ont été transférées à la Communauté européenne, — nous n’avons plus de maîtrise de l’immigration avec les accords de Schengen. La liste n’est pas close. Mais il est inutile de poursuivre cette douloureuse énumération. Il est clair que la Constitution européenne achèverait de dépouiller la France des derniers territoires de souveraineté qui lui restent encore à savoir la souveraineté politique du fait de la personnalité juridique de l’Union européenne, la souveraineté militaire du fait de l’intégration à l’OTAN. A cela s’ajoute d’autres dommages collatéraux comme l’impôt européen ou l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Mais quels sont les effets des abandons de souveraineté que l’on voudrait encore prolonger. Les Français vivent-ils mieux qu’avant ? La sécurité est-elle mieux assurée ? Les programmes de télévision sont-ils devenus plus intéressant ? Où est ce grand espace de croissance et d’emplois que devait nous apporter la zone euro ? Si un mot devait résumer les effets de l’intégration européenne, c’est celui d’appauvrissement. Chaque année les Français sont plus pauvres : non seulement sur le plan économique, mais aussi sur le plan politique, sur le plan citoyen, sur le plan culturel. Bref l’Union européenne n’est rien que ce vecteur du mal qui frappe toutes les sociétés, mais plus particulièrement les sociétés anciennes : la décadence. Il est évident que cette situation n’est pas sans poser quelques problèmes y compris dans le camp fédéraliste. On n’a jamais trouvé de serviteurs plus zélés de la construction européenne, et, ce qui est lié, de la soumission à l’Europe à l’empire américain, que les représentants de la social-démocratie française. Or le doute en arrive à saisir un homme comme Monsieur Laurent Fabius qui, jusqu’à présent, ne s’était guère singularisé par la force de ses sentiments souverainistes. C’est dire qu’aujourd’hui, l’équilibre politique est profondément remis en cause. Si le Non l’emportait au référendum de 2005, il y a fort à parier que l’équilibre traditionnel ne se reconstituerait pas à l’identique, comme ce fut le cas après Maastricht mais que le paysage politique serait complètement transformé. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’aujourd’hui, le mouvement souverainiste existe en tant que force autonome. L’organisation de la campagne et l’unité du mouvement souverainiste : Un référendum permet à tous les souverainistes de faire campagne sous leurs propres bannières, avec leurs programmes, leurs slogans. Les souverainistes pourraient bien participer à la campagne référendaire en ordre dispersé : je le dis nettement, cette méthode n’est pas la bonne. Le problème majeur du mouvement souverainiste c’est son unité. Ce mouvement procède d’ initiatives citoyennes ou d’initiatives de quelques personnalités courageuses. Cette diversité fait incontestablement la force du mouvement souverainiste qui apparaît composite, pluriel, riche de ses différences et de la variété de ses cultures. Mais dans l’opinion publique, ce morcellement entache la crédibilité des souverainistes. Vous n’avez pas de chef, nous dit-on parfois. Il ne suffit pas en effet de l’autoproclamation pour faire un chef. Le chef, c’est celui qui est reconnu et aucun des responsables des différentes composantes du mouvement souverainiste ne peut dire qu’il est chef de tous. Bref, il n’y a pas de chef, mais il y a peut-être des chefs, et certains pensent sans doute, qu’ils sont plus chefs que d’autres. Mais ceci n’a aucune importance. En revanche, il faut savoir comment réaliser l’unité du mouvement souverainiste. Pour moi, la réponse est claire. L’unité des souverainistes se fera dans l’action. Je souhaite qu’au cours de cette campagne, les partisans du Non puissent au maximum développer les arguments en commun, scander des slogans en commun, organiser des manifestations en commun, et bien montrer à l’opinion que la diversité des opinions ne fait pas obstacle à l’unité des engagements pour la France. Mais je souhaite que l’on aille plus loin. Les souverainistes ne sortiront jamais de l’adolescence si leur ambition se borne à être l’appoint pour les uns, des forces de gauche, pour les autres, des forces de droite. Une question se pose parfois : faut-il parler de l’UMP ? Je reprends pour la prétendue Union une phrase adaptée de Shakespeare dans La Nuit des rois : l’UMP, quand on en n’a rien dit, on en a tout dit. Pour traduire un sentiment général, je dirais que l’UMP ne nous intéresse pas. Ce qui importe c’est que les souverainistes se rassemblent pour réaliser un vrai changement, et pour qu’on en finisse avec cette lancinante alternance d’une fausse droite et fausse gauche, qui font, à peu de chose prés, la même politique, car cette politique est décidée à Bruxelles, voire à Washington. Je souhaite par delà tout ce qui les divisent, que les souverainistes enfin rassemblés puissent conclure dans le respect de leur identité, dans le respect de leur diversité, un engagement commun. Cet engagement commun permettrait aux souverainistes de n’être plus une force de contestation mais une force de proposition, permettant aux souverainistes de n’être plus une force d’opposition mais une force de gouvernement et, par-dessus tout, d’être une force qui mettrait la France en capacité de reprendre la conduite de ses affaires. Tel devrait être le grand défi des souverainistes pour le combat de 2005. La perspective est difficile mais elle est grandiose et exaltante. Que les souverainistes s’unissent pour conduire les Français à la reconquête de la France. Alain BOURNAZEL secrétaire général du RIF – 20 AVRIL 2005 SERA AU HAVRE invité du Club Souverainisme&Démocratie le 13 MAI à L’ACROBATE

    21 avril 2005 à 16 h 04 min
  • Le corre Répondre

    Je pense que Chirac peut très bien s’accomoder d’un non. Car il pourra continuer à régner en nous “engueulant” et en faisant porter le chapeau de ce qui ne va pas aux partisans du non. Finalement c’est une excellente excuse pour lui si le non l’emporte. Et si c’est le oui. Il ne sera pas responsable ce sera Bruxelles et il expliquera que plus tard, un jour nous aurons le bénéfice de la chose il mentira une fois de plus. Dans ses rêves les plus fous peut être rêve t-il d’un oui qui lui permettrait de remplir son porte monnaie sans se sentir responsable de notre dégringolade.

    21 avril 2005 à 14 h 53 min
  • souverainisme & démocratie Répondre

    Vendredi 13 mai 18h30 « le NON écologiste et SOUVERAINISTE » avec JEAN ROUX secrétaire général de la Confédération des ECOLOGISTES INDEPENDANT et ALAIN BOURNAZEL secrétaire général du R I F L’Acrobate rue Louis Brindeau LE HAVRE Club Souverainisme & Démocratie http://souverainis.site.voila.fr

    20 avril 2005 à 14 h 38 min
  • sas Répondre

    A sos, l’heure est grave pour la France,pour la démocratie et pour la morale chrétiene…nous n’avons pas le temps pour le formalisme, la politesse et le politiquement correcte…miel et stratégie des méchants…pendant que nous nous offusquons sur la sémentique…eux “les initiés et élus” nous bourre (c’est mieux ???) le derche..(tu vois je fais un effort)…trèffle de plaisanterie, il nous faut un sursaut des “justes”…il faut choquer…il faut secouer…moi ce qui me heurte profondément,cher ami, c’est de voir la moitié de l’assemblé nationnale trusté par des sectaires maçonniques dont les lois internes sont supèrieures aux codes pénale et civil…ce qui me heurte c’est de voir un droit commun comme chirac entraîner la france dans une affaire dont elle ne serelèvera pas…ce qui me heurte,mon ami, c’est de voir qu’en france et avec le laxisme et la complicité des services de l’etat..on puisse baiser, tuer et martiriser des enfants, des handicapés et des vieux…de voir que des mères doivent fuirent la france en clandestinité pour soustraire leurs enfants torturés, et d’éviter les pères, les mères et les juges des affaire familliales qui les replongent systématiquement dans l’horreur. Aussi vulgaire que je puisse être ,jamais je n’arriverais au chevillles de ceux qui nous sont montrés quotidienement en exemple et qui représente notre ripoublique. ps: prend le contenu et non l’emballage ami…et tu devrais t’habituer à ce terme vu, la promotion de notre élite bien pensante pour les afficionados du fion…il convient d’appeler un chat un chat….m^me si il est maire de PARIS…il ne faut pas que le terme te choque…puisque c’est un acte “naturel”…”parisiennement promotionné” sas

    19 avril 2005 à 15 h 36 min
  • sos Répondre

    à SAS, allez vous vous dévoiler enfin?cher SAS… vos propos nous choquent! votre terme d’ENCULE également! gardez mesure mon cher ! la MESURE,vous connaissez ?

    18 avril 2005 à 21 h 29 min
  • sas Répondre

    Il n’y a pas d’étrangeté dans notre ripoublique…La méthode du “oui” auréférendum sur la constitution vaut la pratique des législatives, en ne discutant pas avec le challenger LEPEN…c’est une pratique d’enculé,sans honneur ,ni débats,ni démocratie….les “droits communs” oeuvrent et se comportent comme des “droits communs”…en revanche les ben “ouioui” qui trouvaient normal de ne pas débattre avec LEPEN le 21 AVRIL…nous jouent les “vièrges offensées” aujourd’hui ?????…on a vraiment en FRance que la classe dirigeante , politique et médiatique, que les français méritent…. …..pour soigner cette vérolle n’ayez craintes la poubelle gaucho/TROTSKYSTE revient par la fenêtre…toujours crasseuse ,antinationnale et minoritaire…comme la droite classique quoi pauvre france…. sas

    18 avril 2005 à 16 h 43 min
  • Pierre Répondre

    Et si le non arrangeait bien notre “chichi” ? Ce n’est qu’une hypothèse, mais il faut l’envisager. La sécurité sociale française est déclarée illégale par les directives européennes, nos déficits sont intenables encore très longtemps devant Bruxelles, notre voix devient de plus en plus minoritaire en europe. Quoi de mieux que de dire non au traité pour ensuite pouvoir dire aux autres membres: « Vous voyez, le peuple français refuse le libéralisme européen revenons sur un modèle social à la française. » Si vous regardez bien personne ne se bat pour défendre ce traité. Je suis partisan du “non” bien que libéral. Mais je pense sincèrement que beaucoup de nos politiciens qui désirent plus que tout pouvoir continuer à s’accrocher à leurs fauteuils le sont aussi sans vouloir l’avouer ouvertement.

    18 avril 2005 à 1 h 14 min
  • LESTORET Répondre

    Vous avez tout à fait raison Mr Rouxel: la campagne du OUI dépasse l’entendement. La prestation de notre Président de la République lors de l’émission télévisée du 14 Avril montre à la fois son engagement délibéré dans le OUI et son incapacité à trouver des arguments sérieux à l’appui de sa position officielle. Encore ne s’adressait-il qu’à des jeunes sans doute peu formés au roueries de la politique. Je crois que la vérité est que le OUI n’a pas d’arguments (si ce n’est celui de ‘N’ayez pas peur’ qui est ridicule)mais comme les partisans du OUI tiennent presque tous ,les moyens de communication, presse écrite et télivision, on voit assez peu la campagne du NON. C’est bien dommage car ceux que l’on arrive à entendre ont des arguments bien plus sérieux que le “N’ayez pas peur”.

    17 avril 2005 à 15 h 08 min
  • JPBussereau Répondre

    je vois que ce n est pas le courage qui étouffe les internautes puisque personne ne vous a encore répondu.La campagne pour ce référendum dépasse de loin toute politique partisane.C’est de l’ avenir de notre pays qu’il s’agit.Dernière remarque d’ordre générale,si vous regardez les forums,peu d’arguments et beaucoup de venin,ce qui nous donne une idée de la place de la politique chez l’électeur moyen….Je suis parfaitement en accord avec vos remarques. Mais quand on y réfléchit,que le Président pouvait il faire d’autre que de se livrer à cette désolante exhibition?D’autant plus qu’à mon sens il saura parfaitement s’accommoder du NON…La politique européenne étant une affaire d’initiés-voire la la directive Bolkestein qui est maintenue quoi qu’on dise-le “chef” de l’Etat ne prend pas beaucoup de risques.Il y aura toujours un âne à accuser de tous les maux .le non au référendum n’empêchera pas la classe politique de continuer à guider le bateau d’un récif à l’autre.Ce qui serait intéressant serait un referendum sur le”système”mais ça,c’est du domaine du rêve!

    17 avril 2005 à 9 h 59 min
  • john Répondre

    Cette campagne pour le oui cache en fait une campagne en faveur du maintien de la classe politique en place. Or les Français ne veulent plus d’eux. D’où le non massif dans quelques semaines.

    17 avril 2005 à 9 h 17 min

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