À quoi sert le peuple palestinien ?

À quoi sert le peuple palestinien ?

Je viens de publier aux éditions David Reinharc un petit livre composé de deux de mes textes et d’un texte de David Horowitz, que j’avais déjà traduit autrefois, mais que j’ai, avec son accord, actualisé.

Je conçois ce livre comme un antidote au poison intellectuel déversé sans cesse, dans les médias, concernant le Proche-Orient.
J’ai appelé le livre « Comment le peuple palestinien fut inventé », parce qu’il s’agit précisément de cela. Aussi loin qu’on remonte dans le temps, il n’y a jamais eu de pays appelé Palestine, jamais de « territoire palestinien », jamais de culture palestinienne, et jamais de peuple palestinien.

comment le peuple palestinien fut inventéUn territoire a été appelé Man­dat palestinien lors du démantèlement de l’empire ottoman et il était censé devenir le foyer national juif. La Grande-Bre­tagne en a détaché 80 %, et en a fait la Transjordanie, devenue Jordanie. Le plan de partition voté par les Nations Unies en 1947 a été refusé par le monde arabe qui a déclaré une guerre d’extermination à Israël tout juste né. La Judée-Samarie a été annexée par la Jordanie et Gaza par l’Égypte. La Judée-Samarie a été perdue par la Jordanie et Gaza par l’Égypte lors de la guerre de 1967.

Les reportages de l’époque montrent sans ambiguïté que les Arabes vivant en Judée-Samarie se considèrent comme Jordaniens et les Arabes de Gaza comme Égyptiens. Aucun ne se définit comme « Palesti­nien ».

La notion de « peuple palestinien » avait été inventée, déjà, mais elle n’avait pas été mise en circulation. Pourquoi a-t-elle été conçue ? Pour faire passer la guerre arabe d’extermination contre le peuple juif pour une guerre de « libération nationale ».

L’objectif était de séduire la gauche des pays occidentaux, et l’opération a réussi. Il s’est même, hélas, trouvé des idiots utiles dans la gauche israélienne pour adhérer à ce qui est un artifice. Quarante ans après, on peut mesurer l’étendue des dégâts. On a injecté dans la tête de millions de gens qu’ils sont le « peuple palestinien » et qu’ils ont une mission : détruire Israël et créer un État « judenrein » à la place d’Israël. On a donc transformé ces gens en armes de destruction massive. On a placé Israël dans une situation où deux entités terroristes et totalitaires se sont créées sur sa périphérie, entités avec lesquelles toute paix est impossible par définition.

On a ancré dans les esprits occidentaux, à gauche surtout, l’idée qu’Israël est détestable et opprime un petit peuple qui veut juste être libre.
En leur faisant entériner une falsification, on a fait des peuples et des politiciens occidentaux les complices de cette transformation des gens appelés les « Palestiniens » en armes de destruction massive. Et, comme on peut utiliser un arbre pour cacher la forêt, on a fait oublier aux peuples et aux politiciens occidentaux que, derrière la création du « peuple palestinien », il y a eu la cause du nationalisme arabe, et il y a maintenant la cau­se islamique.

Qu’en Europe, où l’on a exterminé six millions de Juifs voici sept décennies, on soutienne une opération visant à exterminer les Juifs au Pro­che-Orient, passe l’entendement. Qu’on se soit fait complice du nationalisme arabe, radicalement anti-occidental, puis, aujourd’hui, de l’islamisme, montre dans quel état de dépravation morale est ce continent. Si le monde occidental retrou­vait la vérité historique, et si Israël venait réaffirmer celle-ci, Israël serait vite délivré des abcès de fixation greffés sur ses flancs, les populations arabes de Judée-Samarie et de Gaza seraient délivrées du statut peu enviable d’armes de destruction massive. La Jordanie serait reconnue pour ce qu’elle est : l’État arabe palestinien.

Un reflux de l’islamisme pourrait s’amorcer parce que l’Oc­cident montrerait qu’il ne cède pas. Pour l’heure, aucun pas ne se fait vers la vérité. On vient de le voir à l’Unesco.

Mais ce n’est pas parce que le temps est à la nuit noire qu’il faut démissionner. Je suis attaché à la vérité et à la lumière. Mon ami David Horowitz aussi. Nous savons que le mal est stérile et, à terme, ne triomphe jamais.

En vente SUR AMAZON
Ou commander auprès de notre service abonnements :  62 pages – 9,90 € (+ 5 euros de port) 4 Vérités-DIP 18 à 24, quai de la Marne 75164 Paris Cedex 19
 
commander auprès de notre service abonnements
(+ 5 € de port)

Partager cette publication

Comments (22)

  • Anonyme Répondre

    @ Jaures J’ai travaillé prés de 30 ans en service de nuit et croyez moi je ne l’ai jamais regretté. Dans mon cas, le chois de travailler en nuit se faisait sur la base du volontariat quand aux problèmes de santé que vous évoquez, je vous avoue ne pas plus les ressentir que mes collègues travaillant de jour. Pour terminer, vos négociations me font sourire car c’est ne pas faire cas de la Médecine du travail qui surveille les employés des entreprises. Puisque vous êtes un négociateur syndiqué, dîtes moi quelle est la hauteur minimale autorisée pour implanter un éclairage. J’attends avec impatience votre réponse.

    16 novembre 2011 à 8 h 39 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Jaurès :

    J’ai longuement négocié les temps de rotations d’équipes qui travaillent de nuit sur certains chantiers. Vous n’êtes pas sans savoir quelles sont les conséquences sur la santé des salariés du travail de nuit trop intense, on apprend cela dans les formations syndicales: hypertension, troubles oculaires, dépression, sans oublier les conséquences sur la vie sociale.

    Précisez-nous donc dans quelle administration ou entreprise vous avez négocié – et ensuite – seulement ensuite, on pourra juger de votre action –  et savoir si oui ou non il y a eu l’obtention de privilèges !

    Sinon votre annonce n’a aucune valeur !

    14 novembre 2011 à 11 h 45 min
  • Anonyme Répondre

    une "invention" c’est comme dire que les tanios ou les cherooké n’ont jamais existé sur le continant americain….

    14 novembre 2011 à 9 h 29 min
  • Daniel Répondre

    Jaurès :
     Vous savez très bien de quels privilèges je parle: Je parle des privilèges consentis à la fonction publique pour les situations indépendantes du professionnel telles que la maladie, ou la retraite qui en est certainement le meilleur exemple.  Un privilège est un droit assuré par l’Etat,  mais assumé par  l’ensemble des citoyens,  puis consenti à des catégories particulières sans qu’il n’y ait un sens particulier ou une nécessité justifiée… et refusé à ceux qu’on a obligé à payer pour financer ces privilèges.  Quel est le voleur qui n’a pas envie de raisonner ainsi?
    Pour ne parler que de retraite, l’Etat ne peut prélever sur le travail des uns par le biais de l’impot obligatoire de quoi assurer une retraite particulière à la fonction publique, s’il ne garantit pas aux autres catégories prélevées les mêmes droits pour une même sécurité en cette période de fin de vie. Idem pour l’enfance et la maladie. Egalité de droits en ces périodes de vie et égale protection des individus fragilisés de la part de l’Etat, c’est si difficile que ça à comprendre?

    Ou alors vous m’expliquez.

    13 novembre 2011 à 22 h 43 min
  • HOMERE Répondre

    En fait,les syndicalistes ont trouvé une nouvelle activité qui consiste à démontrer,par des affections qui seraient dûes au travail, que le travail lui même est à proscrire comme cause existencielle de la souffrance des travailleurs…..aujourd’hui, hyper tension, troubes oculaires,dépression….demain : névralgies, constipation, coliques,acné, divorces……

    Perso je suis d’accord….rien foutre et le faire savoir sont les deux conditions pour que les autres travaillent pour nous….le colonialisme actif permet de se la couler douce…..les esclaves du boulot au service des fénéants……belle mentalité.Le problème est de savoir qui est qui ?  Jaurès, lui qui n’est pas avare du travail des autres est d’accord avec moi !!

     

    13 novembre 2011 à 10 h 14 min
  • Jaures Répondre

    Daniel, ces dernières semaines, au sein de mon entreprises, j’ai effectivement défendu des privilèges.
    J’ai longuement négocié les temps de rotations d’équipes qui travaillent de nuit sur certains chantiers. Vous n’êtes pas sans savoir quelles sont les conséquences sur la santé des salariés du travail de nuit trop intense, on apprend cela dans les formations syndicales: hypertension, troubles oculaires, dépression, sans oublier les conséquences sur la vie sociale.
    Il est vrai que la santé devient un privilège, comme avoir un travail, un salaire régulier, un logement,…
    Vous avez donc raison, je défends ces privilèges là.
    Que pour cette action militante vous me compariez aux conquistadors qui réduisirent en esclavage et décimèrent des peuples entiers est une tournure d’esprit dont je vous laisse la responsabilité.

    Cher JPP, si votre seule préoccupation concernant la création d’un état palestinien est d’ordre administratif, vous n’avez guère de soucis à vous faire: l’Histoire fourmille de création d’Etats, de proclamations d’indépendance, d’évolutions de frontières, de changements de statut des habitants,…Je ne crois pas que le problème de la délivrance de tel ou tel document ne fût jamais l’obstacle le plus infranchissable lors de ces tournants historiques.

    12 novembre 2011 à 13 h 45 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Trumpel :

    Si la notion de peuple palestinien a pu être "inventée" pour de mauvaises raisons d’après lui, il n’en reste pas moins qu’elle existe aujourd’hui, c’est une réalité, un fait politique."

    Et le Père Noel, une réalité aussi ?

    12 novembre 2011 à 11 h 04 min
  • Daniel Répondre

    Jaurès:  "Ce discours correspond cependant assez bien à l’idéologie coloniale: les peuples colonisés sont toujours considérés comme détenteurs d’une sous-culture , quand on ne leur conteste pas jusqu’au statut d’être humain."

    Lisez donc "portrait du colonisé, portait du colonisateur" d’Albert Memmi. Vous y lirez entres autres que la notion de privilèges "est au coeur de la relation coloniale".
    Ces privilèges que cherche le colonisateur face au colonisé humilié et détenteur d’une "sous culture" comme vous l’écrivez à bon escient,    deviendraient-ils la démonstration d’une supériorité quand toute votre vie est organisée pour en profiter et en obtenir de nouveaux???
     Alors profitez du sens de la phrase que vous écrivez à l’encontre des colonisateurs et que vous semblez avoir bien intégré quand il s’agit de mesurer le crime d’un autre et d’un autre temps , et appliquez la même mesure à vos choix de syndicaliste pour les privilèges que vous défendez. Oui, il s’agit bien d’un crime chez le colonisateur d’il y a plusieurs siècles, tout comme chez vous et beaucoup d’autres aujourd’hui. Sauf que votre faute est plus grave et plus malhonnête puisque vous avez bénéficié de l’enseignement de l’histoire passée, enseignements dont vous ne semblez vous rappeler que pour voir la paille dans l’oeil de G.Millière ou de la culture Chrétienne dont vous profitez pourtant largement.
    En d’autres termes, la vie vous a offert l’opportunité de choisir et vous avez choisi l’iniquité selon votre époque, comme les colonisateurs. 

       

    11 novembre 2011 à 23 h 10 min
  • Jean-Pierre Pagès-Schweitzer Répondre

    Si demain (God forbid), un Etat Palestinien était amené à délivrer des passeports, Monsieur Je-sais-tout (alias “Jaurès”) peut-il nous dire sur quel critère objectif la décision serait prise par le Ministère des Affaires Etrangères Palestinien,de remettre ce document aux personnes qui en feraient la demande ? -Acte de naissance ? -Titre de propriété ? -autre document ? Jean-Pierre Pagès-Schweitzer

    11 novembre 2011 à 22 h 04 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Bravo millière ! 100% d’accord.

    Quant’à jaurès, qu’il reste à son opération 10000 cartables pour la Palestine…

    11 novembre 2011 à 21 h 43 min
  • Anonyme Répondre

    @  BELAR

     1)  première aliya* dès 1881 lorsque les narodniki * * déclenchèrent les pogroms

     2)  seconde aliya en écho à la première révolution russe de 1905

     3) troisième aliya : réfugiés de la guerre civile de 1917 avec laquelle a réellement débuté la création de la nouvelle Palestine juive , indépendante , comptant sur ses propres forces ,sous-tendues par des motivations idéologique (socialo-sionisme)  et c’est le pouvoir SOVIéTIQUE qui l’a encouragée et entretenue en entamant dès le début une lutte farouche contre le sionisme en interdisant la pratique de l’hébreux en U.R.S.S. et en AUTORISANT l’immigration

    que voulez vous l’Histoire n’est pas seulement une affaire d’opinion personnelle ou imposée mais elle fait partie intégrante d’un minimum de Culture et de Liberté de penser

    et les "faits sont têtus" disait le "marxiste !  !   !

    * aliya : le retour sur la Terre d’Israël

    ** narodniki  : nationalistes "russes"

    11 novembre 2011 à 13 h 19 min
  • Trumpeldor Répondre

    “Si la notion de peuple palestinien a pu être “inventée” pour de mauvaises raisons d’après lui, il n’en reste pas moins qu’elle existe aujourd’hui, c’est une réalité, un fait politique.” C’est comme creer un absces sur le visage d’une jolie femme ,beurk !

    11 novembre 2011 à 9 h 57 min
  • Jaures Répondre

    Sans revenir sur ce débat totalement inutile, je relève simplement le lien que fait Millière entre "peuple", "culture" et  "territoire". Ainsi, il y aurait une sorte d’obligation pour un peuple à démontrer (mais à qui ?) qu’il possède une Culture digne de ce nom, selon les critères de Millière sans doute,  pour avoir droit à un territoire.
    Curieuse explication de l’origine des Etats énoncée par un prof de géopolitique !

    Ce discours correspond cependant assez bien à l’idéologie coloniale: les peuples colonisés sont toujours considérés comme détenteurs d’une sous-culture , quand on ne leur conteste pas jusqu’au statut d’être humain. Cela permet occupation, massacres et pillages sans mauvaise conscience.

    Sauf que si on appliquait cette imposture intellectuelle à l’Histoire, à combien de pays existant aujourd’hui aurait-on pu contester le droit à un territoire ? Les Etats-Unis de la fin du XVIIIème siècle possédaient-ils une "culture" distincte des pays occidentaux dont ils étaient issus alors que les premiers migrants n’avaient débarqué que 150 ans plus tôt ? De même les pays d’Amérique Latine: ces Etats peuvent-ils afficher une culture si originales par rapport aux descendants des amérindiens qui disposent de leur propre langue, le Quechua, parlé par plus de 10 millions d’hommes. Millière militera-t-il pour que les descendants d’une authentique civilisation disposent d’un Etat et que les faux peuples latino-américains retournent à leur origine hispanique ?

    Il faudra nous expliquer également quel argument "culturel" interdirait aux Palestiniens le droit à un Etat dont bénéficient les peuples des Bahamas ou de Panama.
    En fait, l’identité d’un peuple se forge bien souvent dans l’adversité. En ce sens, la politique d’Israël et les discours belliqueux des intellectuels tels Millière ne font que renforcer le sentiment d’appartenance à un même peuple des populations palestiniennes, comme la répression contre les autochtones a toujours renforcé leur combat qui s’est achevé par l’indépendance ou la disparition des peuples indigènes décimés.

    10 novembre 2011 à 15 h 37 min
  • Bellar Répondre

    Valoris

    Benny Moris est un "historien révisioniste" qui a par la suite reconnu ses erreurs et ses écrits et est revenu sur ses affirmations.

    Le bédouin

    création de l’état d’Israël … VOULU par Joseph Staline …"tout en se"débarrassant" des Juifs d’Union Soviétique ! ! ! Ils en ont mis du temps les Russes juifs à arriver !!!

     

    Grépon

    la palestine était peu peuplée, et les Arabes actuels qui se font appeler "Palestiniens" sont les descendants des immigrés venus des pays avoisinnants attirés par le travail fourni par les agriculteurs juifs.

    Le problème palestinien a été créé par Nasser, Arafat a emboîté le pas et le nom a été adopté dans les années 60.

    Les Juifs sont en Terre Promise depuis des millénaires et les Arabes ne voulaient même pas entendre parler du mot "Palestinien" qui pour eux était une injure puisque porté par les Juifs de la région jusqu’à la création de l’état d’Israël.

    Quant  à David Shahar  (en Palestine depuis plusieurs générations) c’était  un grand écrivain (décédé aujourd’hui) dont toute l’oeuvre magnifique  tourne autour de Jérusalem, du temps des Ottomans et du mandat, en ce temps là on ne parlait pas de "palestiniens arabes" ; comme dit Guy Millière une pure invention.

    10 novembre 2011 à 14 h 33 min
  • Anonyme Répondre

    Pour en revenir au débat qui nous intéresse (et passionne certains) je vous conseille également de vous procurer le N° 955 du 19 au 25 Février 2009 du "Courrier International" intitulé ….

                                du socialisme des kibboutz à l’extrème droite de Lieberman :

                                                               ISRAËL un destin russe

    en particulier l’article de Vladimir BEIDER * paru dans l’hebdomadaire moscovite OGONIOK  :
     
                                                        "les racines russes d’Israël"

    dans lequel vous apprendrez ( Monsieur Millière ….également !)  que la fondation de l’Etat hébreux a été VOULU par Joseph Staline pour être une épine dans la zone d’influence ( et…pétrolière ! ) américano-britannique …tout en se"débarrassant" des Juifs d’Union Soviétique !  !   !

    une anecdote qui a beaucoup de "saveur" (orientale ! ) est celle -ci  :

    "dans les années 1990 la zone militaire nord (d’Israël) était commandée par le général Iosi Peled  , c’est à dire en hébreux … Joseph Staline ( "peled" signifie acier en hébreux , comme "stal" en russe)

    * BEIDER :  un nom typiquement juif en Russie

    signé :
     
    "le bédouin"

    10 novembre 2011 à 11 h 52 min
  • Anonyme Répondre

    A fin de dépassionner le débat , qu’alimente de façon périodique Monsieur Guy Millière , je vous conseille de lire le roman traduit de l’hébreux et paru à la N.R.F.  chez Gallimard en 1981 de …

                                                               David SHAHAR

                                                        "Le jour de la comtesse"

    cet ouvrage m’avait été offert par ma Mère , descendante lointaine d’une vieille famille de conquérants bédouins établis sur notre sol dans les années 850 ….

    10 novembre 2011 à 11 h 24 min
  • grepon Répondre

    Si un "peuple" "palestinien" existe aujourdui, c’est le resultat de l’instrumentalisation des gens en question par forces assez malefiques. 

    Alors si on se mettait a deviner ce que c’est, psychographiquement, l’identite "palestinien" ainsi creé?   C’est la victimitude, la deresponsibilisation, l’enragement, la desorganisation, l’illogique, la paranoia.

    Remarquons aussi que, l’invention de cette identite c’est fait sur les lignes de ce qui se vendent bien aux produits des divers Mammouths europeens, gens programme au marxisme Light, a l’etatisme sauce "douce" imaginee par Tocqueville, au modele du monde comme etant un jeu a somme fixe.    Cette histoire est en vente aussi par les universitaires americaines, avec bien moins d’adherents purs et durs a deplorer. 

    Les faits par terre sont que, BIEN MEME si la thermodynamique impose sur l’univers un jeu a somme non pas fixe, mais pier que ca, un jeu ou la somme comprend une perte (entropie) a chaque transformation, a chaqyue transaction ou echange, TOUJOURS EST IL que l’homme n’est pas l’univers.   Il a enormement de capacite a avancer materielement sans que les degats soit forcement visite sur son semblable(ce qui est en somme, l’idee marxiste). 

     Les "palestiniens" ne souffrent pas du tout du succes materiel, intellectuel, culturelle et bien sur militaire des Israeliens, mais surtout de leur propre actions visant a prendre(ce qui existe a somme fixe) au lieu de CREER par application de l’intelligence, le travail, l’investissement sur le temps.   Remarquons que ce n’est pas etranger a la mauvaise etat de presque toutes les civilisations atteint par le virus mental et ideologie sortant d’Islam.    Les palestiniens sont un cas particulier ou des idees marxistes europeens, basee sur le modele du monde comme un jeu a somme fixe, ont travailler particulierement durement les mentalites.   Voila un peuple detruite de fond en comble.

    9 novembre 2011 à 23 h 29 min
  • André Répondre

    Borgal

    je n’approuve pas votre affirmation. Les palestiniens, au sens strict, sont les personnes qui ont grandi et ont vévu dans le mandat britannique "Paslestine". On y trouve des arabes, des juifs (qui n’ont jamais quitté le pays) et notamment les juifs arrivés dans les années 1890, lors de la première vague.

    De même; les "pieds-noirs" chassés d’Algérie parce que "Français" étaient algériens depuis plusieurs génération. S’ils avaient pu rester, ils seraient encore là-bas !

    9 novembre 2011 à 21 h 57 min
  • Athanase Répondre

    FELICITATIONS A GUY MILLIERES !

    Encore une fois il tape dans le mille avec courage et pertinence, il faut lire son livre et le faire lire le plus possible.

    9 novembre 2011 à 21 h 24 min
  • BORGAL Répondre

     

    Que dis-je depuis des années , et sans désemparer ?

    ceci   :

    LES PALESTINIENS SONT DES ARABES COMME LES AUTRES

    …… (ce qui n’est jamais qu’une variante du célèbre "La carte n’est pas le territoire" –  et aussi : "le mot n’est  pas la chose" )

     

    Bravo Guy MILLERE pour oser ainsi braver la meute hurlante des loups et des chiens …. A quand une petite "descente" chez Durand, Ruquier ou Taddéï pour dire ces choses encore plus haut et clair ….  ? ?  (évidemment il faudrait au préalable qu’on vous invite !!!!)

    Bien cordialement

     

    9 novembre 2011 à 14 h 52 min
  • Anonyme Répondre

    Le peuple qui mérite le moins ce nom est le peuple palestinien.
    Le peuple qui mérite le plus ce nom est le peuple chinois.

    9 novembre 2011 à 13 h 18 min
  • Valoris Répondre

    Question à Guy Millière, le sionisme n’est-il pas aussi responsable, en réaction, de la création d’un "peuple palestinien"? Il me semble que cela est clairement démontré par l’historien israëlien Benny Morris dans son fameux  "Victimes, histoire revisitée du conflit arabo-sioniste".

    D’autre part en quoi le livre de Mr Millière est-il utile aujourd’hui? Si la notion de peuple palestinien a pu être "inventée" pour de mauvaises raisons d’après lui, il n’en reste pas moins qu’elle existe aujourd’hui, c’est une réalité, un fait politique. Les solutions proposées par Mr Millière ne sont plus donc réalistes. Alors que faire pour sortir de l’impasse et de la guerre perpétuelle?

    Cordialement.

    9 novembre 2011 à 12 h 22 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *