Davos: discours et non-dits

Davos: discours et non-dits

Né il y a 50 ans d’une idée conservatrice, le Forum Économique de Davos est aujourd’hui le rendez-vous annuel des élites mondiales.

Peuvent donc s’y trouver des cerveaux brillants, mais aussi de fieffés imbéciles, la carte d’entrée étant la richesse, le pouvoir ou le piston.

Davos, c’est le paradigme du consensus idéologique abrutissant, relayé par les médias complices, et du nouvel ordre politique et commercial mondial bâti par ces mêmes élites anti-peuples, déracinées et déconnectées du réel.

Cet ordre et sa doxa s’appuient sur quelques points-clés à la fois simplistes et chargés de sensiblerie:

– prétendue «urgence climatique» pour forcer les pays à «se décarboner» et à subir une transition destructrice.

– «urgence» pour le nord à accueillir jusqu’à 1 milliard de personnes du sud jugées «réfugiés climatiques».

– régulations draconiennes, prix de l’énergie décuplés, taxes punitives et représailles prévues.

Soit un système de redistribution socialiste des richesses du nord vers le sud, et la disparition progressive des élections, puisque l’étape ultime est une gouvernance par les «élites», au-dessus des populations.

Trump, qui n’a évidemment pas «déclenché la 3e Guerre mondiale au Moyen-Orient» (sic!), s’est offert une escapade à Davos, jouant le parfait «intrus» dans ce groupe à la pensée unique, rétrograde et totalitaire, pour s’engager officieusement dans une autre guerre mondiale, celle du nationalisme et du capitalisme véritable (seul vecteur de prospérité) contre «les faux prophètes et alarmistes climatiques» du mondialisme.

Une fois de plus, Trump a montré qu’il était le champion des peuples, des États-nations et du bon sens. Il a (gentiment) tourné en dérision Greta, et les délires des participants, puis dénoncé leurs intentions coupables: «Ils veulent le pouvoir absolu pour transformer et contrôler votre vie.» Quel panache, au cœur du politiquement correct!

En réalité, il ne s’adressait pas à eux, qui sont sourds, mais à nous et au reste du monde.

Trump nous a aussi mis en garde contre l’UE qui persiste dans son plan d’élaborer une armée européenne, Ursula von der Leyen parlant de « troupes en uniforme mais pas armées, sauf en certaines occasions»! Sorte de police contre les «négationnistes du climat»?

Les Européens imposent lourdement pour subventionner des énergies inefficaces, mais continuent à acheter leur pétrole et leur gaz naturel à des pays totalitaires, préférant une dépendance économique, qui ne peut que devenir politique, au lieu de prospecter sous leur propre sol et d’acheter en attendant des énergies fossiles propres au pays de la liberté. Cela par un anti-américanisme qui frôle la schizophrénie.

Enfin, passage sublime du discours, Trump a exalté la grandeur des Européens du temps des cathédrales, soulignant ainsi l’esprit décadent des «élites» actuelles.

Après cela, le Prince Charles, avec son discours outrancier sur «l’urgence climatique», a fait figure de bouffon: l’homme «qui parle à ses légumes» (sic!), n’a pas su murmurer à l’oreille de sa belle-fille, semble-t-il.

Pourtant, tout le monde savait que le péril urgent pour ce qui le concerne est bien là. D’une part, il ne sait pas taire ses opinions politiques, alors que c’est l’unique contrainte à laquelle le privilège de sa naissance le soumet! Ensuite, avec une belle-fille dont il ne fallait pas être devin pour savoir qu’elle se révélerait mégère inapprivoisable et un fils crétinisé, voici que ses actifs et revenus sont de plus en plus contestés par les habitants du duché de Cornouailles. Cette survivance moyenâgeuse de rentes sur le sol ne tient qu’à un fil. Le quasi-divorce que Meghan impose à Harry (de sa famille pour le moment …) est tout à fait dans la ligne soixante-huitarde de la révolte contre les hiérarchies, étendue aux parents. Rien n’est plus méchant et contre nature. SAR, qui donne à ce jeune couple au QI modeste 5 millions de livres par an, devrait être plus à l’écoute de ceux qui alimentent son train de vie royal.

Après la Révolution Trump, le Brexit puis le Megxit (qui serait un bienfait si la dévaluation de la monarchie n’était pas en jeu!), il faut à présent redresser les esprits déréglés par les diktats des «élites» avec un véritable Climatexit. Vaste entreprise entamée à Davos, où le roi n’était pas celui que l’on croit!

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Version Longue :

Né il y a 50 ans d’une idée conservatrice (comment maintenir la qualité de l’air et des eaux des océans et fleuves), le Forum Economique de Davos est aujourd’hui le rendez-vous annuel des élites mondiales, auto-proclamées “Maîtres du Monde”: PDG de multinationales, chefs de gouvernements, sommités du monde scientifique, personnalités littéraires, artistiques et même médiatiques, donateurs milliardaires et tous ceux qui ont un intérêt concret à servir la gouvernance mondiale dystopique à venir – dont l’UE est le laboratoire.
Peuvent donc s’y trouver des cerveaux brillants, mais aussi de fieffés imbéciles, la carte d’entrée étant la richesse, le pouvoir ou le piston.
Davos, c’est le paradigme du consensus idéologique abrutissant, relayé par les médias complices, et du nouvel ordre politique et commercial mondial bâti par ces mêmes élites anti-peuples, déracinées, apatrides, déconnectées du réel au point de développer une forme d’autisme. Cet ordre et sa doxa s’appuient sur quelques points-clés à la fois simplistes et chargés de sensiblerie, susceptibles ainsi de rassembler les armées d’idiots utiles nécessaires pour submerger ceux qui se regimbent:
prétendue “urgence climatique” pour forcer les pays à “se décarboniser” et à subir une transition destructrice.
“urgence” pour le nord à accueillir jusqu’à 1 milliard de personnes du sud jugées “réfugiés climatiques”.
régulations draconiennes, prix de l’énergie décuplés, taxes punitives et représailles prévues.
Soit un système de redistribution socialiste des richesses du nord vers le sud, et la disparition progressive des élections puisque l’étape ultime est une gouvernance par les “élites”, au-dessus des populations.
Trump, qui n’a évidemment pas “déclenché la 3e Guerre mondiale au Moyen-Orient” (sic!), s’est offert une escapade à Davos, jouant le parfait “intrus” dans ce groupe à la pensée unique, rétrograde et totalitaire, pour s’engager officieusement dans une autre guerre mondiale, celle du nationalisme et du capitalisme véritable (seul vecteur de prospérité) contre “les faux prophètes et alarmistes climatiques” du mondialisme.
Une fois de plus, Trump a démontré qu’il était le champion des peuples, des États-nations et du bon sens. Il a (gentiment) tourné en dérision Greta, la petite autiste manipulée par son père, et les délires des participants, puis dénoncé leurs intentions coupables: “Ils veulent le pouvoir absolu pour transformer et contrôler votre vie.” Quel panache, dans le ventre de la bête, au cœur du politiquement correct et du socialisme recyclé!
En réalité, il ne s’adressait pas à eux qui sont sourds, mais à nous et au reste du monde:” Jamais nous ne laisserons les socialistes radicaux détruire notre économie, notre pays, notre liberté et, ajouta-il, j’invite les Européens à faire de même.”
Trump nous a aussi mis en garde contre l’UE qui persiste dans son plan d’élaborer une armée européenne, Ursula von der Leyden parlant de “troupes en uniforme mais pas armées, sauf en certaines occasions” ! Comme, par exemple, contre les récalcitrants à la doxa? Sorte de police contre les “négationnistes du climat”?
Trump a aussi dit aux Européens stupides leurs quatre vérités. Hypocrites achevés, ils imposent lourdement pour subventionner des énergies inefficaces, mais continuent à acheter leur pétrole et leur gaz naturel à des pays totalitaires, préférant une dépendance économique, qui ne peut que devenir politique, au lieu de prospecter sous leur propre sol et d’acheter en attendant des énergies fossiles propres au pays de la liberté. Cela par un anti-américanisme qui frôle la schizophrénie.
Enfin, passage sublime du discours, Trump a exalté la grandeur des Européens du temps des cathédrales, soulignant ainsi l’esprit décadent des “élites” actuelles qui se sont arrogé des pouvoirs exorbitant sur nous.
Il nous a réconfortés et donné espoir quand nous en manquons tellement.
Après cela, SAR le Prince Charles, avec son discours outrancier sur “l’urgence climatique”, a fait figure de bouffon: l’homme “qui parle à ses légumes” (sic!), et qui manifeste dans la foulée sa “sympathie aux Palestiniens” (sic!), n’a pas su murmurer à l’oreille de sa belle-fille et de son cadet, semble-t-il. Pourtant, tout le monde, à Davos et ailleurs, savait que le péril urgent pour ce qui le concerne est bien là. D’une part, il ne sait pas taire ses opinions politiques, alors que c’est l’unique contrainte à laquelle le privilège de sa naissance le soumet! Ensuite, avec une belle-fille dont il ne fallait pas être devin pour savoir qu’elle se révélerait mégère inapprivoisable et un fils crétinisé au-delà du possible, voici que ses actifs et revenus confortables sont de plus en plus contestés par les habitants du Duché de Cornouailles. Cette survivance moyenâgeuse de rentes sur le sol (le foncier, alors que le bâti appartient à des individus) ne tient qu’à un fil. Le quasi divorce que Meghan impose à Harry (de sa famille pour le moment…) est tout à fait dans la ligne soixante-huitarde de la révolte contre les hiérarchies, étendue aux parents. Rien n’est plus méchant et contre nature. SAR, qui donne à ce jeune couple au QI modeste 5 millions de livres par an, devrait être plus à l’écoute de ceux qui alimentent son train de vie royal.
Après la Révolution Trump, le Brexit puis le Megxit (qui serait un bienfait si la monétisation et donc la dévaluation de la monarchie n’était pas en jeu!), il faut à présent redresser les esprits faibles déréglés par les diktats des “élites” avec un véritable Climatexit. Vaste entreprise entamée à Davos, où le roi n’était pas celui que l’on croit !

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Comments (1)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” Trump immobiliare C° Ltd ”

    ” une partie du mur anti-migrant en Californie s’ effondre à cause du vent ”

    ( les agences )

    30 janvier 2020 à 15 h 28 min

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