Donald Trump ne sera pas le prochain président américain
C’est la conclusion de Jay Valentine, coordinateur des comités d’intégrité électorale et concepteur d’un système informatique permettant de détecter les irrégularités (entendez « faux électeurs »). Le principe est de croiser, grâce à des technologies avancées (fractales), les listes électorales (voter rolls) avec les bases de données développées par les comtés pour collecter les taxes foncières (technologie fractale). Ainsi équipés, ces comités agissent en permanence pour tenter de lutter contre un système de fraude savamment élaboré depuis quelques années.
Je vais alors tenter de résumer le dernier rapport de Monsieur Valentine.
Pour devenir président, Trump doit gagner les 6 swing states. Je précise que ce sont eux qui détermineront le nom du prochain occupant de la Maison blanche. En effet, sur les cinquante Etats du pays, certains voteront toujours démocrates, d’autres républicains. Les six Etats précités se rangent plutôt dans la catégorie « Etat indéterminé ». Pour cette raison, leur orientation sera décisive quant au choix du futur président. La situation devrait être très rassurante pour les républicains car l’ancien président y bénéficie d’une cote favorable. Oui, mais voilà, ce n’est pas la popularité qui assurera sa victoire mais le nombre de bulletins reçus. Vrais bulletins plus faux bulletins. Or, les comités d’intégrité électorale qui agissent tous les jours sur le terrain sont très clairs : Trump ne peut gagner aucun d’eux car les dés sont largement pipés. Il obtiendra probablement plus de votes que son opposant, mais moins de bulletins de vote.
Le rapport en question expose alors un état de la fraude pour chacun de ces six Etats : Arizona, Michigan, Wisconsin, Pennsylvanie, Georgie, Nevada.
Ils ont tous en commun de présenter des listes électorales largement gonflées par la présence de dizaines de milliers d’inscrits qui ne devraient en aucun cas y figurer : personnes inconnues, ou bien décédées, ou encore ayant déménagé dans un autre Etat, d’autres déchues de leurs droits après condamnation… Certaines sont même enregistrées plusieurs fois. Les noms de ces électeurs fantômes se retrouveront alors sur les votes par correspondance (mail-in ballots) déversés opportunément par camions entiers dans les semaines qui suivront le jour des élections jusqu’à ce que le résultat souhaité soit atteint. Évidemment, sans le moindre contrôle d’identité.
Vous en doutez ? Lisez les rapports, les preuves y sont toutes exposées (*).
Ici, on ne parle pas d’un épiphénomène. On parle d’une production quasi industrielle de bulletins de vote par correspondance. Je rappelle que ces bulletins, au départ dérogatoires, représentent désormais 69% des voix exprimées selon les données du gouvernement.
En d’autres termes, les bulletins envoyés par la poste ou déposés dans les urnes de rue (oui, vous avez bien lu) ont explosé depuis 2020 au point de faire passer le vote régulier (en personne le jour des élections) pour un mode d’expression électoral marginal (moins d’un tiers).
Le compte rendu cite l’exemple de la Pennsylvanie. La fraude a permis d’élire en novembre 2022 un sénateur démocrate mentalement déficient. Suite à un AVC (avant les élections), John Fetterman est incapable de tenir une conversation lucide et passe les premières semaines de son mandat dans un établissement psychiatrique. En cause, plus de 100.000 électeurs fantômes clairement identifiés par les comités d’intégrité électorale qui officient dans cet Etat.
Monsieur Valentine conclut en annonçant qu’il y a suffisamment de faux votes dans les comtés de ces six Etats pour surmonter tout avantage que Trump y obtiendrait.
Il mentionne également un fait pour le moins inquiétant : en 2020, les irrégularités dans ces Etats déterminants ont été colossales alors même qu’ils étaient très majoritairement dirigés par des républicains. Depuis, et plus encore après les midterms de 2022, ces Etats sont passés (cinq sur six) sous le contrôle des démocrates. C’est dire combien il est illusoire d’envisager une amélioration de la situation.
Nous pouvons alors, sans risque, faire une prédiction : en novembre 2024, dans chacun de ces « swing states », le décompte des voix prendra mystérieusement des jours et chaque grand électeur républicain (suffrage indirect) perdra par une toute petite marge. Comme en 2020 (présidentielles), comme en 2022 (midterms), les mêmes causes produiront les mêmes effets. On parie ?
Que Donald Trump n’y accorde pas plus d’intérêt et qu’il néglige les recommandations émises par les comités d’intégrité électorale reste un mystère. Considère-t-il à tort que sa notoriété et ses meetings suffiront à le faire réélire ? Les patriotes militants sont perplexes. Je lui suis tout autant, bien sûr.
C’est terrible parce que les élections qui se dérouleront dans dix-huit mois ne concernent pas juste la défaite de Donald Trump (s’il est le candidat). Il s’agit de ce qu’aucun républicain ne sera plus jamais président.
(*) Vous trouverez de nombreux liens qui y mènent sur ce site : http://www.omega4america.com/
(2) Commentaires
Meonaci et respect Marc !
Prédiction fausse !Trump sera RÉÉLU