Élections américaines et «Foul play»

Élections américaines et «Foul play»

Par l’expression (intraduisible) «foul play», que l’on retrouve dans plusieurs de ses tragédies, Shakespeare exprime une profondeur insondable de noirceur et d’ignominie dans le crime. Le contraire bien sûr est «fair play».

Ce n’est pas parce que les médias ont déclaré Biden élu le 7 novembre que Biden est le président légitimement élu.

Mais par cette décision, la gauche, qui a réussi à infiltrer même Fox News, compte rendre la déclaration irréversible et caricaturer Trump en «mauvais perdant»! Les États remettent leurs résultats officiels le 8 décembre et les grands électeurs leur vote le 14 décembre.

Le braquage électoral d’envergure auquel nous avons assisté marque un recul de la civilisation, au-delà de tout ce que des cerveaux normaux auraient pu anticiper.

La coterie néo-marxiste qui fait la loi au parti démocrate vient de prouver qu’elle était capable de tout pour obtenir son but – «par n’importe quel moyen nécessaire» selon la devise mafieuse. Les tueurs préparaient leur «revanche» depuis l’élection de 2016 qui les avaient pris par surprise. D’où le coup d’État permanent engagé depuis con­tre Trump qui s’est poursuivi en 2020 par l’exploitation à outrance de la pandémie (due à leurs acolytes chinois) pour en faire porter tout le poids à ­Trump afin de lui voler l’élection à tout prix.

La nuit du 3 novembre, Trump remportait haut la main l’élection. Il avait bien eu sa «vague rouge», les électeurs républicains s’étant déplacés, bravant tous les risques, pour lui assurer une victoire au-delà des marges de contestation possible : dans les votes légaux, 71 millions comptés pour Trump!

Mais, coup de théâtre, vers 3 heures du matin, plusieurs États, simultanément, déclarent «bloquer le comptage», alors même que celui-ci n’était pas terminé.

Sous des prétextes louches, plusieurs comtés annoncent «avoir besoin de plus de temps». On renvoie les assesseurs républicains, mais ceux qui restent malgré tout voient des sacs entiers de votes postaux déferler.

Les comptes reprennent et, ô miracle, tous les sacs parvenus, se traduisent en centaines de milliers de votes pour Biden.

On nargue cyniquement Trump parce que «bien malin celui qui arrivera à prouver quoi que ce soit». «Coupable comme l’enfer, libre comme un oiseau», se vantait le terroriste Bill Ayers, auteur du livre qui a fait Obama.

Mais les preuves que le camp républicain est censé devoir fournir abondent.

Accepter de s’effacer avec courtoisie devant les malfaiteurs? Hors de question. Le peuple américain attend autre chose de Trump.

Dans une note officielle, le Président rappelle que la campagne Trump intente des procès à tous les comtés démocrates qui se sont octroyé des droits à fausser l’élection et que «Joe Biden n’a pas été certifié vainqueur, à plus forte raison dans les États hautement contestés qui vont être soumis à des recomptages obligatoires. Ce sont les votes légaux qui décident de qui est président, pas les médias. Le peuple américain a droit à une élection honnête. Cela signifie que tous les bulletins doivent être comptés et pas seulement les bulletins frauduleux parce que falsifiés ou arrivés après l’heure limite, ou provenant de gens n’ayant pas le droit de voter ou de personnes décédées.»

En fait, il suffirait de déclarer nuls tous les bulletins arrivés après clôture des urnes pour rétablir le juste verdict.

Quel que soit le résultat, l’Amérique est au bord de la guerre civile. Le monde occidental est divisé entre ceux qui veulent sa disparition, avec la masse impressionnante des idiots utiles, et ceux qui refusent le monde dystopique qu’on leur impose.

Même si Trump parvenait à renverser la situation, les concepteurs du «Grand Reset» et tous les gros intérêts rassemblés ont montré leur puissance.

Les auteurs de cette escroquerie électorale sont les faussaires de la grosse machine «démocrate» bien sûr, mais aussi leurs complices: les GAFA, les médias, Hollywood, Wall Street, les puissants groupes de pression, le «marécage» qu’est l’État profond, les multinationales américaines et étrangères, les organismes internationaux UE, FMI, ONG, Chine, Iran et jusqu’au Vatican!

L’État de droit n’est plus. Une gouvernance mondiale maintenant ou dans quatre ans, après tout, quelle différence?

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Comments (10)

  • vozuti Répondre

    après les saison1 et 2 de la série burlesque “le couillonavirus”, on a droit à la série américaine “the voting dead” mettant en scène des morts qui quittent les cimetières par centaines pour aller voter biden, dans des bureaux de votes où seuls les “démocrates” sont autorisés à dépouiller les bulletins. en plus des morts, biden peut aussi compter sur le vote de malades psychiatriques cloitrés chez eux à cause de leurs phobies, mais qui peuvent voter malgré tout grâce à la poste… l’intrigue n’est pas du tout réaliste, mais c’est original.

    11 novembre 2020 à 2 h 23 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      “The voting dead”
      Bien trouvé!

      Un peu d’humour doit toujours faire partie du décor sans lui nous sommes tous morts.
      Vozuti, dépêchez vous de protéger votre idée légalement car les vautours d’Hollywood vont s’en emparer pour en faire une série TV “featuring Super Donald vs. Droopy Joe with the evil SinoViro as guest star”

      11 novembre 2020 à 9 h 33 min
      • vozutilaur Répondre

        les droits d’auteurs appartiennent au parti démocrate, ce sont eux qui ont eu l’idée de mettre en scène ce scénario délirant de joe le comateux élu par des morts et des malades qui ne peuvent pas sortir de chez eux.

        11 novembre 2020 à 12 h 21 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Désolé Vozuti, j’ avais complètement oublié la série-TV française diffusée régulièrement sur toutes les chaines hexagonales.
      Je pense bien sûr au feuilleton “The talking dead” avec les vedettes Véran Hydrolic et Excel Macro combattant le sinistre Dr.Viro Wuhan.
      On en a la chair de poule rien qu’à y penser.

      11 novembre 2020 à 13 h 27 min
      • vozuti Répondre

        oui, personne n’a pu échapper à cette série dans laquelle on voit des zombies,le visage dissimulé, souffrants d’une véritable diarrhée verbale et qui sont sortis de leurs catacombes pour venir envahir les plateaux de télé et punir la population, accusée de collaborer avec des virus chinois.
        ces talking dead sont vraiment effrayants.

        11 novembre 2020 à 18 h 11 min
  • ELEVENTH Répondre

    Le pire dans tout cela est que Biden n’est qu’une marionnette aux mains des gauchistes et autres alliés de sa colistière et bientot successeur de celui qu’elle avait copieusement insulté en 2019, allant même jusqu’à le traiter de raciste.
    Comme le “Joe” semble déjà l’ouest et qu’il n’a aucun amour propre, il s’assoit dessus et joue les béats, sachant qu’il va devoir rapidement laisser sa place.
    Par contre, l’Amérique des “WASP” à intérêt à être très vigilante et à rendre avec usure tous les coups qu’elle va recevoir d’autant qu’elle a pu observer les pratiques de ses ennemis ( je ne dis pas adversaires, ce serait trop gentil) . Gare aux nouveaux WACO contre eux.
    Q.Q. a déjà pris l’avion pour rencontrer “madona” et réclamer sa récompense.
    Il parait qu’une électrice d’origine indienne a pleuré en public avec le succès des gauchistes disant de la colistière “elle nous ressemble”.
    Dans ces conditions ceux qui ne lui “ressemblent pas” ont tout lieu de refuser le choix en étant d’opinion contraire. Pourquoi pas, après tout.
    Un pays où l’on vote pour la couleur, le sexe ou la religion est mur pour l’effondrement;
    La Californie exulte…en attendant les nouveaux incendies ravageurs.

    11 novembre 2020 à 0 h 32 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      “La Californie exulte…en attendant les nouveaux incendies ravageurs.”

      La Californie a 4 saisons.
      Le printemps, l’été, le feu et l’automne.
      Et de temps en temps une exultation souterraine mesurée sur l’ échelle de Richter.

      11 novembre 2020 à 9 h 44 min
      • ELEVENTH Répondre

        Surement, mais les incendies semblant ne plus connaitre de saisons dans cet état, en raison, parait il, de lois d’ahuris qui interdisent de débroussailler autour des maisons et ailleurs. Dès lors il ne faut pas grand chose pour foutre le feu.
        A noter que dans notre belle Provence, il y a quelques décades, les incendies allaient bon train, même en hiver pourvu que le temps soit très sec et que le vent s’y mette . Je l’ai vu.
        Ceci arrangeait bien les nabus du coins qui, d’un terrain ne valant pas un clou a l’état naturel, voyait son prix s’envoler dès lors qu’après l’incendie, un maire complaisant et intéressé le classait subitement en zone NB (la meilleure pour magouiller sans rien dépenser). Des fortunes se sont faites des années durant et les mange-merde sont devenus arrogants.
        Dès lors qu’une loi d’Etat a interdit toute construction, sous quelque prétexte durant 30 ans sur les zones incendiées, le feu s’en soudainement calmé. Comme quoi il faut controler à fond, en France, la délégation de pouvoirs aux potentats et barons locaux, souvent pas très nets.
        La mise en place de PLU sur ordre de l’Etat a quelque peu freiné – mais pas totalement – les magouilles de ces braves élus qui étaient souvent juges et parties.

        Concernant votre conseil pour ACEPC, je me suis renseigné y compris des démos sur Y.T. Cette mini unité centrale ne manque pas d’intérêt, en effet, même si elle n’est pas un foudre de guerre. A mon avis, en lui adjoignant un disque SSD de 250 ou 500 GO, ce qui ferait monter le prix , certes, on obtiendrait une base intéressante. Surtout considérant le prix auquel le ACECP est vendu AVEC WINDOWS 10 PRO qui, à lui seul, coute aussi cher que le package. Comme quoi MS se fout bien de nous avec ses tarifs excessifs.

        11 novembre 2020 à 17 h 12 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          ACEPC?
          N’oubliez pas le clavier sans fil avec touchpad..
          Entre 25 et 35 €.

          11 novembre 2020 à 20 h 06 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      “Q.Q. a déjà pris l’avion pour rencontrer « madona » et réclamer sa récompense.”

      Avec Arnold c’était “Pumping Iron”, Madonna propose “Pumping your balls”.

      Dans ce bas monde il y a deux types d’individus:
      ceux qui préfèrent les salles de gym.
      et ceux qui prennent l’avion.

      Laissons jouer les lois du marché.

      11 novembre 2020 à 13 h 38 min

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