Kosovo, Serbie : l’OTAN s’est trompé d’ennemi

Kosovo, Serbie : l’OTAN s’est trompé d’ennemi

« Nous [l’OTAN] avons bombardé le mauvais côté [au Kosovo et en Serbie en 1999]. Les écrans de nos télévisions débordaient d’images d’Albanais du Kosovo fuyant à travers les frontières pour aller chercher refuge en Macédoine et en Albanie. Des rapports alarmistes disaient que les forces de sécurité de Slobodan Milosevic menaient une campagne génocidaire, et qu’au moins 100 000 Albanais du Kosovo avaient été massacrés et enterrés dans des charniers à travers toute la province.

L’OTAN entra promptement en action, bien qu’aucun des États membres de cette alliance n’ait été menacé, et se mit à bombarder non seulement le Kosovo, mais aussi les infrastructures et la population de la Serbie elle-même, sans que cette action soit autorisée par une résolution des Nations Unies.

On qualifia de « Munichois » ceux d’entre nous qui mirent en garde l’Occident contre le fait qu’il se laissait entraîner aux côtés d’un mouvement indépendantiste albanais extrémiste et partisan. On oublia opportunément que l’organisation qui menait le combat pour l’indépendance, l’Armée de libération du Kosovo (UCK), était désignée universellement comme organisation terroriste et connue pour être soutenue par Al Qaida.

Depuis l’intervention de l’OTAN et de l’ONU en 1999 au Kosovo, ce dernier est devenu la capitale européenne du crime. Le commerce des esclaves sexuels y est florissant. La province est devenue la plaque tournante de la drogue en direction de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Et pour comble, la plupart des drogues proviennent d’un autre pays « libéré » par l’Occident : l’Afghanistan. Les membres de l’UCK, qui a été démobilisée mais non démantelée, participent à la fois à ce trafic et au gouvernement. La police de l’ONU arrête quelques-uns de ceux qui sont impliqués dans ce trafic et les traduit devant une juridiction passoire ouverte à la corruption et aux pressions.

Le but ultime des Albanais du Kosovo est de purger celui-ci de tous les non-Albanais, y compris les représentants de la communauté internationale, et de fusionner avec la mère-patrie albanaise, réalisant ainsi la « Grande Albanie ». Leur campagne a commencé au début des années 1990, par l’attaque des forces de sécurité serbes ; ils ont réussi à retourner la réaction musclée de Milosevic en une sympathie universelle pour leur cause. Le génocide proclamé par l’Occident n’a jamais existé ; les 100 000 morts prétendument enterrés dans des charniers se sont avérés être environ 2 000, toutes ethnies confondues, y compris ceux qui sont tombés dans les combats.
Les Albanais du Kosovo ont joué sur nous comme sur un Stradivarius. Nous avons financé et soutenu indirectement leur campagne pour l’indépendance d’un Kosovo ethniquement pur. Nous ne leur avons jamais reproché d’être responsables des violences du début des années quatre-vingt-dix, et nous continuons de les dépeindre comme les victimes d’aujourd’hui, malgré les preuves du contraire.

Quand ils auront atteint leur objectif d’indépendance, aidés par les dollars de nos impôts ajoutés à ceux de Ben Laden et d’Al Qaida, on peut imaginer quel signal d’encouragement ce sera pour les autres mouvements indépendantistes du monde entier soutenus par le terrorisme ! Notre acharnement à creuser notre tombe n’est-il pas comique ? »

Major Général Mackenzie
Ancien commandant (canadien)
des forces occidentales en Bosnie

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Comments (75)

  • salut Répondre

    les politiques serbes accusent. mais leurs accusations sont pour la plupart fausse. dites moi juste pourquoi le gouvernement serbe n’a pas présenté ces excuse pour le génocide qu’il y a eu en bosnie. pourquoi depuis bientôt 20 ans il n’y a toujours pas d’excuse pour ces crimes de guerre. on voit quand même la vrai nature de certain serbe qui crient ratko mladic à mitrovica au kosovo. si l’OTAN n’était pas intervenu il y aurait eu des millier de morts. le générale a dit 2000 morts au kosovo pendant la guerre. celui qui à posté ça, est un pro serbe. ce ne sont pas les albanais qui brûle des drapeaux serbes durant des matches mais le contraire. je connais des bosniaques qui parlent au serbe en suisse même si ils ont survécu dans des entrepots transformés en prison par des serbes. vous vous permettez d’accuser et d’accuser au lieux d’affronter la vérité. l’ UCK est mis en cause pour des faits qui sont faux. pourquoi ces acusation? parce que en accusant l’UCK pour des crimes, sachez qu’ils essaient de faire oublier ce qu’ils ont fait durant la guerre. ce n’est pas l’UCK qui a tué des grand père, des grand mères ou même sorti un bébé du ventre d’une femme enceinte. je dis que j’en ai marre de voir de la propagande dans tous ces sites. avec des accusations infondé ou monayées. dans une guerre il peut y avoir tellement d’horribles choses. vous essayer de dire que l’otan n’aurait pas du rentrer au kosovo. que ce serait-il passer alors!!?? dites le moi!!! vous parler et vous parler en accusant et en disant qu’il y a eu 2000 morts. sachez que c’est malheureusement plus et si l’otan n’était pas rentrer pour protéger la population civil sachez que le peuple albanais aurait été exterminé de ce pays après quelques années. si cela aurait été arrivé, vous auriez dits c’est de la faute de slobodan milosevic et non du peuple serbe. ce n’est pas arrivé et vous dites l’otan n’aurait pas du rentrer au kosovo car il y a eu 2000 morts. vous me faites pitié quand vous dites que l’UCK est une organistion terroriste, alors dites moi qu’est ce que l’armée serbe qui a commis des massacres. vous n’avez pas de nom pour ça. Bill Clinton n’a pas voulu que l’histoire de la bosnie se répète aussi au kosovo. Bill Clinton est un grand homme qui à su agir pour la survie d’un peuple en danger. arrêtez les accusations fausse et reconnaissez les faits.

    4 juillet 2011 à 0 h 09 min
  • SZS Répondre

    55 minutes d’un reportage (et pourtant) américain traduit en français, pour éclairer la situation des balkans de 1991 (c’est déjà pas mal en amont pour comprendre les manipulations médiatiques et les non-fondés des commentaires anti-Serbes sur la toile) à 2003 (seulement, sachant que depuis il y a eu les attaques permanentes des terroristes albanais de l’UCK, des ultras nationalistes albanais et des islamistes extrêmistes albanais qui ont exercés l’une des plus grande purification ethnique sur les Serbes) =

    http://www.dailymotion.com/video/xg9fy_yougoslavie-une-guerre-evitable_news

    IL EST IMPORTANT DE COMPRENDRE ENTIEREMENT UN CONFLIT AVANT DE CRITIQUER UN PAYS, UN PEUPLE, UNE NATION SURTOUT QUAND LES ACCUSATEURS SONT LES POLITIQUES DES USA, ET DE L’UE… SACHEZ QUE TOUT CE QU’ILS FONT A TRAVERS LE MONDE EST QUE PAR INTERETS ECONOMIQUE, POLITIQUE, RELIGIEUX ET SURTOUT GEOPOLITIQUE. LEUR STRATEGIE MACHIAVELIQUE EST REDOUTABLE ET DE CE FAIT DIABOLIQUE !

    ANALYSER, REFLECHISSEZ SUR LES RECENTS CONFLITS (ce sera déjà pas mal) ET VOUS EN CONVIENDREZ QUE BEAUCOUP DE CHOSES SONT TROP LOUCHES POUR ETRE HONNETES OU A TITRE HUMANITAIRES ! LES USA (POLITIQUE) NE FONT RIEN A TITRE HUMANITAIRE, J’ENTENDS PAR LA "SANS INTERETS".

    UNE DERNIERE CHOSE:

    INTERETS DES USA (et de l’UE qui ne résiste pas à l’impérialisme américain) DANS LES BALKANS =

    -LE PETROLE DE LA MER CASPIENNE TOUT PROCHE DES BALKANS. GROSSIEREMENT, L’OTAN A BOMBARDER LA SERBIE POUR LA MATTER ET S’INSTALLER DURABLEMENT SUR SES TERRES AU KOSOVO I METOHIJA POUR CONTROLER LA REGION ET LES PIPELINES QUI AMENENT LE PETROLE DE LA MER NOIRE A L’ALBANIE. RECHERCHER "CAMP BONDSTEEL" SUR GOOGLE ET GOOGLE EARTH ET VOUS COMPRENDREZ… LA PLUS GRANDE BASE AMERICIANE HORS DES ETATS-UNIS IMPLANTEE EN EUROPE DU SUD-EST PRES DE LA VILLE DE UROSEVAC.  

    -L’OPIUM, LA DROGUE D’AFGHANISTAN TRANSITANT PAR L’IRAK, L’IRAN, LA TURQUIE, L’ALBANIE ET LE SUD DE LA SERBIE AU KOSOVO I METOHIJA SOUS LA DIRECTION DE L’OTAN ET DE CE FAIT DES USA. LA PRODUCTION D’OPIUM EN AFGHANISTAN ETAIT DE 180 TONNES PAR AN JUSQU’EN 2001, DEPUIS QUE LES USA SONT LA-BAS, DEPUIS LA SOIT DISANTE DECLARATION DE GUERRE AU TERRORISME SUITE AUX EVENEMENTS DU WORLD TRADE CENTER… LA PODUCTION D’OPIUM POUR 2007 EST DE 8200 TONNES POUR CETTE ANNEE SEULEMENT, QUAND ON PENSE QUE LA CONSOMMATION DE DROGUES DERIVANT DE L’OPIUM (HEROINES ET AUTRES) EST DE 3300 TONNES PAR AN… VOUS IMAGINER LES STOCKS MONSTRUEUX QUE SONT EN TRAIN DE REALISER LES USA ET LES SEIGNEURS DE LA GUERRES AFGHANS… LA DROGUE EST SOUS LA RESPONSABILITEE AMERICAINE ET LA FAIT TRANSITEE PAR LE BIAIS DES MAFIEUX ALBANAIS EN EUROPE… C’EST UN NOUVEAU GAGNE PAIN AMERICAIN. N’AVEZ-VOUS PAS REMARQUER UNE EXPLOSION DES TRAFFICS DE DROGUES EN EUROPE? ET UNE RECRUDESSANCE DE BANALISATION DE LA DROGUE EN EUROPE? REFLECHISSEZ-Y UNE PEU…

    -CONTROLER L’EUROPE OU PLUTOT LA DESTABILISEE POUR NE PAS QU’ELLE S’UNIFIE, DIVISER POUR MIEUX REGNiER, PARIE REUSSI ET ILS EN JOUISSENT DEPUIS 1991 DATE A LAQUELLE ILS ONT APPORTES LEUR SOUTIEN MILITAIRE AUX CROATES POUR CHASSER LES SERBES DE LA "KRAJINA"… RENSEIGNER-VOUS INTELLIGEMENT ET VOUS COMPRENDREZ…

    -STRATEGIE GEOPOLITIQUE POUR MATTER LA RUSSIE ET L’ORTHODOXIE PAR LA MEME OCCASION, JE SUIS DESOLE DE LE DEPEINDRE COMME CA MAIS FAITES UNE ANALYSE GLOBALE ET VOUS CONVIENDREZ EGALEMENT QUE LA RELIGION N’EST PAS EPARGNEE AU TITRE DE MOTIF DE CONQUETE MODERNE. CE QUE LES EXTREMISTES ISLAMISTES FONT SUBIR AUX CATHOLIQUES, LES CATHOLIQUES (AU SENS POLITIQUE DE LA CHOSE) LE FONT AUX ORTHODOXES… D’OU LA GUERRE QUI A ENFFLAMMER LA YOUGOSLAVIE OPPOSANT CROATES CATHOLIQUE (SOUTENUENT PAR LES USA ET L’ALLEMAGNE DEPUIS 1990) ET SERBES ORTHODOXES… (petite parenthèse, les slovènes sont aussi catholique, d’où entre autre leur validation de l’état "voyou" kosovo dirigé par des terroristes albanais de l’UCK) PENSEZ A TOUS CES ELEMENTS CONTRAIREMENT A CEUX QUI APPELLENT AU SCANDAL QUAND ON Y FAIT REFERENCE… MERCI.

    POURQUOI L’EUROPE NE REAGIT PAS, ELLE N’EN A PAS LES MOYENS ET EST SOUS DOMINATION AMERICAINE.

    ATTENTION, QUAND JE DIS "AMERICAINE" C’EST UNIQUEMENT LEUR POLITIQUE QUE JE CRITIQUE, LES GENS N’Y SONT POUR RIEN ET DE TOUTE FACON JE NE CRITIQUE JAMAIS LES GENS NORMAUX DE TOUTES NATIONS CONFONDUS, EN REVANCHE JE COMBATTRAI TOUJOURS LES EXTREMISMES DE TOUTES NATURES VISANT, ENTRE AUTRE, A TUES OU EXTERMINES DES GENS.

    EFFRAYANT JE TROUVE, ABSOLUMENT RIEN D’IDYLIQUE… JUSQU’A PREUVE DU CONTRAIRE SEUL LES SERBES ONT COMBATTUS POUR LEUR LIBERTEE, LEUR HISTOIRE, LEURS TRADITIONS ET LEUR SOUVERAINETEE FACE A CE SYSTEME DE LA POLITIQUE MONDIALE AMERICAINE (CATHOLIQUE ET PROTESTANTISTE) QUI JOUIE DE DOMINER LE MONDE… CE QUI ME FAIT DE LA PEINE, C’EST QUE DES GENS NORMAUX ET BIENS, GOBENT LES MEDIA-MENSONGES QU’ON LEUR SER A LONGUEUR DE JOURNEE…

    JUSTE A PRECISER POUR EVITER TOUTE INCOMPREHENSION EN REFERENCE A MES QUELQUES LIGNES DU DERNIER PARAGRAPHE:  L’ORTHODOXIE, LE CATHOLISSIMSE ET LE PROTESTANTTISME SONT LES MOUVEMENTS RELIGIEUX ISSUS DU CHRISTIANISME, DONC CONSTRUIS SUR LA MEME BASE ET POURTANT… QUAND ON REGARDE CE QUI S’EST PASSER DANS LES BALKANS ET CE QUI S’Y PASSE ACTUELLEMENT, ON SE POSE LA QUESTION A SAVOIR SI L’ORTHODOXIE NE GENERAI PAS??? C’EST QUAND MEME LE MONDE A L’ENVERS CA!!!

    PEACE AND LOVE MESSIEURS DAMES.

    7 mars 2008 à 19 h 55 min
  • mercel Répondre

    Bonjour la désinformation en matière de viols

    Le général n’avait violé personne avant de dire la vérité !

    La mascarade va t elle duré encore longtemps ?

    24 octobre 2007 à 16 h 31 min
  • realiste Répondre

    Je viens de lire tardivement cet article  du Gal McKenzie et qu est ce que cela fait du bien d avoir qq qui a compris la realite de cette region. Son texte est credible a 100% et au diable tous ces cretins qui ont ignore l ONU et effectivement bombarde le mauvais cote!!!

    16 octobre 2007 à 19 h 34 min
    • f1passion Répondre

      C’est pas L’ONU qui a bombardé mais l’OTAN !

      14 mars 2019 à 21 h 00 min
  • Augustin Répondre

    Un diplomate français met Sarkozy en garde contre l’indépendance du Kosovo
    18 juillet 2007 (Nouvelle Solidarité) – Le Kosovo est un « microcosme de délinquants » affirme Rodolphe Richard, un diplomate français en poste à Pristina auprès de la Mission des Nations Unies, qui tente depuis deux mois d’alerter Paris. Il y a une forte collusion entre « monde économico-criminel et monde politique », et une justice qui « refuse de traiter les affaires qui touchent aux personnalités et aux affaires de stupéfiants » ou de « blanchiment d’argent » déclare le diplomate, cité dans Le Canard Enchainé ;.

    Rodolphe Richard souligne par ailleurs le « rôle troublant des Britanniques » et des américains, qu’il juge fort complaisant, quand le chef des services secrets kosovar ou le parrain local de la drogue sont arrêtés puis relâchés.

    Emettant des fortes réserves sur l’Indépendance du Kosovo il pense que « En proie à une corruption bien organisée et qui tend à se généraliser, le Kosovo pourrait bientôt ne devenir gouvernable que par des criminels qui géreraient l’ensemble des affaires politiques, économiques, sociales, etc. »

    Espérons que le message sera entendu.

    25 juillet 2007 à 10 h 04 min
  • Yann Répondre

    Merci pour cet article. Méditez bien le sort de nos frères Serbes, demain la France puis l’Europe entière. Je constate également que notre Pays à semble t-il acceuilli comme à l’accoutumée les terroristes du camp ennemi en lisant nombre de messages pro-islamistes. Sincèrement nous vivons une époque pourrie, pour celui qui sait les manipulations des médias sur tout les sujets importants, la vie est assez dure à supporter.

    22 juillet 2007 à 18 h 36 min
  • montgargan Répondre

    Nouveauté du 20 juillet 2007 : le Conseil de sécurité a abandonné l’idée de soumettre au vote la troisième version du projet de résolution sur le Kosovo, il faut souligner l’opposition persistante de Moscou à ce texte. Les USA et la France ont regretté cette opposition. Le dossier serait envoyé au Groupe de contact sur le Kosovo. Le Groupe de contact réunit la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Russie et les Etats-Unis. A la différence du Conseil de sécurité, il n’existe pas de droit de veto au sein de cette instance. Moscou s’est félicitée de cette décision, La dernière mouture du texte discuté par le Conseil de sécurité invitait les Serbes et les séparatistes albanais à engager d’ultimes négociations pendant cent vingt jours sur le futur statut du Kosovo. Pour la première fois, les Occidentaux avaient effacé toute notion d'”automaticité” de l’indépendance du Kosovo au terme de la nouvelle période de négociations de cent vingt jours qui doit s’ouvrir entre Serbes et Albanais. Moscou et Belgrade ont rejeté ce projet à plusieurs reprises, estimant qu’il contenait toujours en germe une indépendance de la province serbe. Par ailleurs, la Russie argumente qu’un Kosovo indépendant créerait un précédent dont des territoires de l’ex-URSS aux volontés séparatistes, comme l’Abkhazie, en Géorgie, ou la Transnistrie, en Moldavie, pourraient s’inspirer. Bonne soirée.

    21 juillet 2007 à 18 h 14 min
  • Dutroux Répondre

    Hé , hola la France, faut pas pavoiser  !

     

    Fourniret (Michel) & Olivier (Monique), c’est encore plus fort !!!

    Ci français ça mon frère !  Parole de Mohammed ! (prénom le plus répandu en France, devant Achmed)

    La Belgique, depuis sa création, n’ayant jamais appliqué la peine de mort (aux civils) peut se targuer de ne jamais avoir décapité un innocent.

    On n’est pas des sauvages, nous, les p’tits Belges.

    Quant à Dutroux, il est en prison. En Belgique, on enferme les assassins, on ne les découpe pas en deux morceaux.

    10 juillet 2007 à 10 h 33 min
  • François Guillaumat Répondre

    Rien ne prouve que les trois enfants noyés dans l’Ibar  –dont deux portent des prénoms catholiques — ne l’aient pas été par les Serbes. C’est ce qu’a dit l’enfant survivant,  et l’enquête n’a simplement pas pu –ou pas voulu– confirmer son témoignage. Et sur les 19 morts des 16 et 17 mars 2004,  11 étaient albanais, ce qui expose ce que vaut l’aune du discours sur le "massacre des Serbes"  et montre bien que la Gestapo de Belgrade opère sur place, en violation des accords du 10 juin 1999.  Quant à l’état du Kosovo,  il a fait ce qu’il a pu pour empêcher les violences et a promis de reconstruire les bâtiments détruits. On attend toujours les réparations pour les destructions commises par les Serbes depuis l’agrssion contre la Croatie.
    Toute tentative de partition du Kosovo, qui entérinerait les violences  commises par Milošević et sa bande — violations multiples de la Constitution de 1974,  nettoyage ethnique du nord que l’armée française a empêché d’inverser, création artificielle de deux communes "à majorité serbe" alors qu’il n’y en avait aucune, ne ferait que prolonger le conflit et provoquerait une réaction violente contre la moitié de la population serbe qui vit au sud de Mitrovica :  tout comme le séparatisme serbe en Croatie  a provoqué des attaques contre les Serbes sur tout le territoire croate  et conduit à diviser par quatre la minorité serbe qui y vivait.
    Pour que la paix règne, il faut réfuter entièrement et définitivement toute prétention de l’Etat serbe sur le Kosovo. Et le plan Ahtisaari va déjà beaucoup trop loin dans la reconnaissance de ces prétentions,  et cela en pure perte puisque les politiciens de Belgrade ne veulent pas assumer la responsabilité de reconnaître la situation. On n’accepte pas d’empêcher une société politique de fonctionner pour une minorité de 7 % d’individus qui pour la plupart avaient approuvé  les projets d’extermination de la majorité : on les oblige au contraire à admettre l’égalité des Droits.

    8 juillet 2007 à 20 h 30 min
    • f1passion Répondre

      Tu dira en même temps a macron de donner l’indépendance aux corses….Tu ne connait rien de l’histoire serbe !!!

      17 mars 2019 à 17 h 09 min
  • Anonyme Répondre

    On verra les commentaires quand les Islamistes estimerons que la région PACA leur appartient et qu’il décideront d’édicter leurs lois(ah ben on pouvait pas prévoir)

    8 juillet 2007 à 19 h 07 min
  • montgargan Répondre

    La valise ou le cercueil. C’est la menace des kosovars destinée aux serbes des enclaves. Mitrovica Nord devrait rester serbe, la continuité territoriale avec la Serbie le permet. Sur le pont qui enjambe l’Itar, le trafic est quasi nul et traduit bien le climat de tension qui règne : l’humeur des serbes est belliqueuse et revancharde. Le Grand Frère Russe est appelé à la solidarité entre orthodoxes, la même qui a réussie à repousser dans l’histoire les criminels ottomans, déjà des musulmans…….. Les paramilitaires de Mitrovica sont bien équipés, bien entraînés, bien commandés et les barbouzes de l’UCK ne font pas bien peur. Il y a par exemple la garde du prince lazar, le vaincu à kosovo-polje en 1389 face aux mahométans. Le nord de Mitrovica est à l’abri de la purification ethnique que les kosovars leur promettent. Belgrade a les moyens de garantir à Mitrovica nord de rester serbes, il n’en est pas de même pour les enclaves serbes, les grands perdants du sinistre dessin de Martti Ahtisaari. Isolés, cernés par une population kosovars hostiles, ils vont devoir choisir entre la fuite, la mort ou le statut infamant de dhimmi. On ne compte plus les monastères médiévaux détruits au kosovo, les albanais achètent pas cher les biens avec moults menaces à des serbes apeurés, leur sort funeste est lié au bon vouloir des autorités kosovars qui font tout pour les humilier. Anecdote : la noyade accidentelle de 3 enfants albanais a été le prétexte à la tuerie de 19 serbes et 900 blessés avec des milliers de serbes chassés de leur habitation. Les autorités albanaises n’ont rien fait pour éteindre la flambée de violence, au contraire. Quant à la KFOR, elle s’est contentée de compter morts et blessés, incapable ou ne voulant pas fournir assistance et protection.

    7 juillet 2007 à 14 h 55 min
  • François Guillaumat Répondre

    Je dis que l’Islam politique est une forme de nazisme,  que les musulmans nous envahissent et pourquoi nous avons le Droit  de les en empêcher,  et le Belge de service m’appelle Moktar. 
    I toi,  c’i quoi toun vri noum ? Dutroux ?
    Non : à la réflexion,  Dutroux il doit quand même être plus malin que ça. 
    Et il connaîtrait  sans doute quand même la propagande serbe  qui accuse les bombardements de l’OTAN d’avoir tué 5 000 civils (en réalité  500) et d’avoir chassé un million d’Albanais de chez eux  (plus c’est gros…).

    On a ici des gens  qui ne veulent connaître  que cette propagande, mais qui ne la connaissent même pas  assez pour y trouver un seul argument contre les preuves que j’ai avancées.  Faut-il que j’aille vous en chercher moi-même, si faux soient-ils ?

    L’avantage du football c’est qu’on y a au moins affaire à des gens qui savent de quoi ils parlent.  Là,  on  a de vrais fanatiques,  mais qui ne savent rien ; il y en a même un ou deux qui vous accusent de ne rien savoir,  alors qu’on vient de leur faire des tartines sur des faits dont ils n’avaient jamais entendu parler. C’est un spectacle qui vaut le détour.
    Malheureusement,  comme je l’ai démontré,  c’est aussi une sottise qui favorise l’invasion musulmane sous couleur de la combattre,  en paraissant donner raison sur le fond  à ses partisans qui les traitent de Nazis.  Encore une fois,  on ne peut pas dire "la France aux Français" si on ne dit pas "le Kosovo aux Kosovars".  Et cela implique de savoir qu’ils y sont chez eux.

    Voici une carte de 1876 qui montre que les Albanais sont en majorité absolue sur la plus grande partie du Kosovo. http://foreignaffairs.tripod.com/armillotta/pop12.html

    5 juillet 2007 à 20 h 59 min
    • f1passion Répondre

      Tu doit être seul a la voir ta carte imaginaire !!! Pour ton info, en 1389 c’est surement des albanais qui ont imbibé la terre de Kosovo de leur sang en le défendant de l’empire ottoman

      17 mars 2019 à 17 h 14 min
  • Un francais Répondre

    Pour celui qui ne signe pas.
    Je ne vois aucun rapport avec les Lettres Persanes.

    Effectivement je ne suis jamais allé la bas.
    Mais à aucun moment je base mes propos sur ce que j’ai pus lire dans des bouquins d’histoire où dans des articles de journaux.
    Quand j’en parle, je fais reference aux ami(e)s que je connais la bas. Et quand on parle ensemble, ils ne sont pas la pour me faire de la propagande, ni pour me convaincre qu’ils sont victimes, ni pour me dire que les serbes sont des mechants tueurs comme vous vous acharner à le repeter.
    Ce que je sais de ces gens (autants ceux vivants la bas que ceux refugiés en France) c’est que ce sont des personnes qui ont de la volonté et une gentilesse indéniable. De TOUS ceux que je connais aucun ne s’est jamais apitoié sur son sort comme on le leur reproche sans cesse également.
    Je les ai toujours vu souriant. Et quand je parle de l’avenir de leur pays, ils veulent un Etat libre et indépendant et non pas une Grande Albanie.

    Et pour Grandpas et son ironie en carton, je vous répondrais tout simplement que notre acharnement a trouver des escuses aux albanais n’est rien d’autre qu’une réponse face a l’acharnement que vous mettez à donner des escuses aux serbes.

    En fin de compte je commence à comprendre pourquoi certains francais veulent tant défendre les serbes des kosovars.
    Ils veulent plutot défendre les chrétiens des musulmans.
    Si vous etes tant frustré de tous ces musulmans qui envahissent notre pays avec "le ventre de leurs femmes" comme ils osent s’en vanter. Pourquoi ne pas regler le conflit ici en France plutot que de vous acharner contre les musulmans kosovars ?
    Peut être que les mots sont plus facile que les actes…
    Gardez les conflits chrétiens/musulmans en France et ne les melangez pas avec le probleme du Kosovo.
    Ha c’est facile de venir generaliser et de critiquer, il n’y a pas si longtemps en France on a eu les elections, si vous vouliez un peu d’ordre et de respect en France vous aviez les candidats pour, mais non vous avez preferé voté un certain Sarko ou une dénomé Royal.
    Et apres vous venez critiquer les problemes en France et les melanger avec le Kosovo.

    Perso je ne défend absolument pas les musulmans en France, loin de là ! et pourtant c’est bien moi qui vais défendre les kosovars. Faut arreter les gars ! Les croisades c’est terminé ! C’est facile de toujours critiquer les musulmans, mais la il ne s’agit pas des musulmans, il s’agit des kosovars. Arretez de les prendre comme un religion car leurs motivation n’ont rien de religieuse, prenez les comme un Pays.
    On parle ici de la Serbie et du Kosovo, alors cessez de faire comme si on parlait des Chrétiens et des Musulmans !

    5 juillet 2007 à 18 h 45 min
  • Marc Répondre

    Les kosovars ( c’est à dire les albanais du Kosovo, car historiquement le Kosovo  était peuplé de atholiques orthodoxes slave….) sont au Kosovo ce que les anglo saxons sont aux USA…. les chinois au Tibet…  les français en Algérie….
    Mais dans ces cas là vous defendrez le peuple historique de la région…  Vous seriez le pourfendeur du vol historique, vous seriez de ceux qui veule que la mémoire n’oublie pas que le sol fut volé, pris aux légataires hisroriques par les armes, la force, la ruse, la menace….
    La pensée unique, à sens unique mais qui prend la raison a contre sens.

    5 juillet 2007 à 16 h 04 min
  • gaius Répondre

    Je partage l’avis de R.Ed. , mais j’invite tous les lecteurs qui voudraient savoir la vérité à faire leur recherche et ils trouveront qui disent juste et vrais et qui inventent et mentent , c’est tout.

    5 juillet 2007 à 14 h 26 min
  • R.Ed. Répondre

    François, Francis, Français !!!

    Ne serais-ce pas plutôt Abdelkader,  Moktar,  un de ces joli sprénoms bien de "chez nous" qui serait ici de mise ?

    En tout cas, je ne suis pas le seul à me poser la question.

    Pour l’anecdote, rappelez-vous la tronche en cul de poule de la Carla Del Ponte lorsque M. Milosevic lui a fait remarquer au TPI ( vae victis) que le Kossovo était la Serbie et "non" à "côté" de la Serbie, tout comme La Haye est la Hollande et non à côté de la Hollande.

    La gonzesse en était restée baba.

    On sait aussi que le président n’a finalement pas pu être jugé, puisque l’on a assassiné.

    Là aussi, je me pose des questions, pourquoi ? En savait-il de trop ?

    A moins que ce ne soit pas lui le coupable, un peu comme à Nurenberg, où un génocidaire ( Staline pour le nommer) faisait partie du tribunal qui en jugeait d’autres.

    Les "charniers" "découverts" en Serbie ne serait-ce pas les victimes des bombardements "alliés" tout simplement ?

    En principe, quand on bombarde il y a des morts. Et là aussi je me pose des questions, ces bombardements très très sélectifs n’on occasionné de décès uniquement  que chez les militaires serbes.

    Aucun civil n’en est mort, juré craché, croix de fer, si je ments je vais en enfer !!!

    Une chose est sûre, par contre et là personne ne pourra me contredire, c’est que partout où il y a des musulmans, c’est toujours la merde, là aussi, je me demande pourquoi ?

    Enfin, non, là, j’ai ma petite idée et je ne suis bien sûr pas le seul.

    4 juillet 2007 à 18 h 37 min
  • François Guillaumat Répondre

    J’appelle "serbolchévique" toute l’entreprise dirigée par Slobodan Milošević et ses complices,  et  "pseudo-nationalistes grand-serbes"  toutes les entreprises politiques qui nient les Droits de ceux qui ne sont pas serbes menées par les pouvoirs serbes de Belgrade depuis le massacre de 1806.
    Tant que Milošević dirigeait la politique de la Serbie,  toutes les violences commises et tous les mensonges organisés  ont visé à l’amener au pouvoir et à l’y maintenir,  par tous les moyens de la crapule bolchévique.  C’est pour cela  que je  les appelle "serbolchéviques" : parce qu’ils l’étaient. Le mot "communiste"  ne rend pas compte également de l’indiférence idéologique de cette bande,  ni de son manque absolu de respect pour toute morale et tout Droit.
    Et chaque fois qu’un pouvoir serbe  a pu faire ce qu’il voulait,  il a cherché  à voler les terres de ses voisins et à y exterminer leurs habitants non serbes. J’ai déjà fait la théorie des raisons pour lesquelles le nettoyage ethnique est inhérent à la conception serbe du nationalisme, même si elle est contraire aux intérêts réels des Serbes et mérite de ce fait d’être appelée PSEUDO-nationalisme. Elle se trouve ici : http://www.les4verites.com/articles/comments.php?articles_id=1312
    "de même que le poisson rouge  ne sait pas qu’il est dans un bocal, les Serbes ne voient pas ce qui, dans leur conception particulière de l’identité nationale,  rend nécessaire le nettoyage ethnique ; et les Français non plus,  qui n’y voient généralement que l’élément jacobin, imité de la Révolution française,  qui interdit de reconnaître des droits spécifiques aux minorités nationales, et qu’ils trouvent normal. Ce qu’ils ne voient pas,  c’est la confusion de l’allégeance religieuse avec l’identité nationale,  héritage du ‘millet’ orthodoxe institué par les Ottomans en imitation de l’ ‘oumma musulmane, alors que l’Etat disparaissait dans l’empire – entre 1459 et 1718  pour ce qui est de la Serbie,  mais la Grèce a connu une histoire comparable.
    "L’élément jacobin interdit le communautarisme,  ce que nous trouvons normal, mais l’héritage ottoman,  lui,  le rend obligatoire et interdit l’assimilation des non-orthodoxes, et de cela nous ne comprenons pas la principale conséquence : à savoir que l’Etat serbe né en 1817 ne peut pas reconnaître les Droits des non-orthodoxes ;  c’est pour cela qu’il se caractérise depuis le début par le nettoyage ethnique.
    "[…]
    Même Svetozar Pribičević, chef des Serbes de Croatie, comprend qu’il avait eu tort de pousser à la création d’un Etat unitaire et finit par soutenir l’opposition du Parti Paysan Croate. Et lorsque celui-ci obtient l’autonomie pour une "banovine" croate en 1939,  c’est leur conception de l’identité nationale  qui empêche les ‘nationalistes’ serbes de l’admettre.  C’est pour la même raison qu’en juin 1941, leur théoricien Stevan Moljević voit dans la dissolution de la Yougoslavie par les Allemands l’occasion de créer une "Grande Serbie" nettoyée de ses éléments non orthodoxes.  Et si Tito l’emporte en 1944, c’est parce qu’il a publié  en novembre 1943 une conception fédérale de la Yougoslavie à venir, inspirée par la tradition austro-hongroise autant que par les "solutions" staliniennes au problème des nationalités : parce qu’il y apparaît, quoique communiste, comme le seul recours contre le déchaînement, après le départ des occupants,  d’une guerre des peuples qui dure déjà depuis 1941 en Croatie, en Bosnie-Herzégovine et au Monténégro.
    "Cette solution marque la défaite de la conception nationaliste serbe,  qui ne reparaîtra au grand jour qu’avec le ‘Memorandum’  publié en septembre 1986,  lequel attaque expressément l’ordre constitutionnel yougoslave sur lequel repose la Fédération.  C’est comme cela que les dirigeants politiques serbes ont détruit la Yougoslavie fédérale […] C’est  aussi pour cela qu’ils ont systématiquement  entrepris  le nettoyage ethnique des territoires conquis par la violence :  c’est ce qu’implique la conception serbe de l’identité nationale telle qu’ils l’avaient alors adoptée."
    http://www.les4verites.com/articles/comments.php?articles_id=1312

    Je vois qu’après avoir reproché  à mes arguments d’être pertinents,  on leur reproche d’être nombreux.  C’est donc toujours le même refrain : j’aurais tort parce que je sais de quoi je parle. 
    Et de me soupçonner d’être musulman,  de me reprocher mon parti pris alors qu’il ne s’agit que  de dénoncer un faux témoin,  de REFUTER DES MENSONGES.
    Et s’il faut réfuter  les mensonges contre les Kosovars,  ce n’est pas seulement parce que ce sont des mensonges : c’est aussi parce que  C’EST VRAI QU’ILS SONT CHEZ EUX COMME NOUS SOMMES CHEZ NOUS. 
    Adopter ces mensonges c’est en fait se moquer de savoir qui est réellement chez lui :  c’est donc rejeter le principe de justice pour adopter à la place le principe de la tribu :  "les autres n’ont pas de Droits parce qu’ils n’ont pas  la bonne religion (ou la bonne race)".
    Or,  ce principe,  c’est celui de l’Islam politique,  et c’est pour cela que l’Islam politique est une forme de nazisme. Et les Serbes qui l’ont adopté… l’ont emprunté aux Turcs.  
    Adopter ce principe est suicidaire parce qu’il est faux et injuste, c’est suicidaire parce que c’est trahir notre tradition occidentale de rationalité  et d’objectivité,  et  c’est suicidaire  parce que c’est donner raison à l’adversaire sur l’essentiel avant même que de l’avoir combattu  : parce que si la question n’est plus de savoir qui est vraiment chez lui et qui n’y est pas mais quelle est la religion qui a tous les droits,  eh bien il croit bien davantage à la sienne que nous ne croyons à la nôtre,  si nous en avons encore une.
    Au nom de quoi pourrez-vous dire "la France aux Français" si vous ne dites pas "le Kosovo aux Kosovars" ?

    4 juillet 2007 à 17 h 52 min
    • f1passion Répondre

      Et aussi la Corse aux corses, la Bretagne aux bretons, Le Pays Basque aux basques…

      17 mars 2019 à 17 h 22 min
  • Anonyme Répondre

    Pour réponse Mr unfrançais,

    Ceci me rappelle les lettres persanes, des gens ecrivent  sur le Kosovo et sur la Serbie sans jamais y être allé. Un doux romantisme les habite.
    Mais pourquoi l’islam de là-bas serait-il different? serait-il moins pernicieux et ambitieux qu’en France?  Vous ne croyez pas plutot qu’il joue un rôle propagandiste, independantiste?
    Il est vrai que du temps de mes parents la religion parmis les slaves du sud ne jouait pas un role important et en aucun cas il ne divisait. Combien de couples de l’age de mes parents ne sont pas mixes?
    Mais aujourd’hui les batiments les plus neufs dans la région sont les mosquées (autant au kosovo qu’en Bosnie, Bosnie ou actuellemnt vous voyez des femmes en burka! chose tout à fait nouvelle)

    4 juillet 2007 à 16 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    Pour réponse Mr unfrançais,

    Ceci me rappelle les lettres persanes, des gens ecrivent  sur le Kosovo et sur la Serbie sans jamais y être allé. Un doux romantisme les habite.
    Mais pourquoi l’islam de là-bas serait-il different? serait-il moins pernicieux et ambitieux qu’en France?  Vous ne croyez pas plutot qu’il joue un rôle propagandiste, independantiste?
    Il est vrai que du temps de mes parents la religion parmis les slaves du sud ne jouait pas un role important et en aucun cas il ne divisait. Combien de couples de l’age de mes parents ne sont pas mixes?
    Mais aujourd’hui les batiments les plus neufs dans la région sont les mosquées (autant au kosovo qu’en Bosnie, Bosnie ou actuellemnt vous voyez des femmes en burka! chose tout à fait nouvelle)

    4 juillet 2007 à 16 h 16 min
  • Anonyme Répondre

    Mr François Guillaumat,

    à vous lire, je vois bien que vous n’avez aucune connaissance de la région.
    Vous n’avez pas du y passer vos vacances jusqu’en 1988, donc vous ne faites que raporter des faits, sans y voir le fond. Vrai que pendant la "dictature" de Tito, le kososvo jouissait, comme la slovenie, la Croatie d’une autonomie de façade( je m’explique, les technocrates étant souvent serbes, et envoyé en poste dans ces régions). Même si tito le croate voulait réduire l’influence des serbes dans cette fedération des slaves du sud. C’est Tito qui a voulu que l’albanais soit enseigné au Kosovo, toujours dans cette optique politicienne de voir les serbes perdre de leur superbe. N’oublions pas que le Kosovo est le berceau historique de ces slaves du sud de confession orthodoxe.
    Vrai qu’a l’arrivée de Milosecvic, serbe et donc fier de son passé, il fut decidé de supprimer les avantages des populations immigrées au kosovo( pour rappel, la majorité desalbanais vivant au Kosovo s’y sont intallés au debut du 20eme siècle.  IL est vrai qu’il a conduit à une crispation. Cependant, elle était tout à fait logique car au Kosovo, les nouveaux arrivés ne parlaient plus le serbocroate et donc ne pouvait plus prétendre a etre integrés, assimilés par laYougoslavie.
    Le problème du Kosovo est un problème recent, datant des années 80. Je crois qu’il est comparable au Basques, qui ne pouvait pas parler leur langue ou même l’apprendre à l’école…. Voilà ce qu’avait fait Milo en arrivant au pouvoir et voilà ce qui a déclenché les hostilités avec je précise une population immoigrée. Si le même cas se présente en Europe de l’ouset, je suis certain que la lecture de l’évènement sera à l’opposé de ce qui a été fait avec le Kosovo.
    P.S. La seule chose qui puisse fonctionner dans la région est une confédération des états slaves mais ceci n’est pas dans l’agenda de l’UE, ni des anglo-saxons et leur pipeline!

    4 juillet 2007 à 16 h 03 min
  • Anonyme Répondre

    Mes commentaires peuvent paraître décalés mais lorsque je lis l’ acharnement de certains afin de trouver des excuses Albanais qui ne sont que des traîtres à l’ âme slave et à la chrétienté.Je ne peux que réagir que de cette façon par l’ ironie .

    S’ il n’ y pas de réfugiés serbesnpeut être ont ils été tous massacrés par les gentils albanossovars,peut être savent ils qu’ en ce pays ils seraient mal accueillis puiqu’ en cette nation on préfrere dorloter les "muslims".

    grandpas

    4 juillet 2007 à 11 h 11 min
  • Rieubon Répondre

    Je suis tout à fait d’accord avec le général Mackenzie et pour preuve on négocie l’indépendance du Kosovo . je serais à la place de Poutine j’accorderai l’asile politique à tous les serbes poursuivi par le TPI pour crime de guerre . Actuellement les négociations pour l’indépendance du Kosovo et certainement plus tard son rattachement à l’Albanie sont la preuve qu’il y a eu une manipulation pour diaboliser la Serbie . Pour servir quels intérêts c’est une autre question .

    3 juillet 2007 à 23 h 06 min
  • montgargan Répondre

    On peut lire un bon papier de Daniel Vernet sur le Kosovo aujourd’hui dans le journal Le Monde (même si je ne peux pas blairer Alain Minc mais ça c’est une autre histoire). Bush n’a pas arraché à Poutine son accord pour l’indépendance du Kosovo. Les responsables de Pristina et le gouvernement de Belgrade se sont déjà rencontrés, ils leur est impossible de s’entendre. Le Kosovo est le berceau mythique de la Serbie, les serbes pourront pour lui. Avec son veto, Poutine existe sur la scène internationale, c’est une carte maîtresse, un atout formidable qu’il va monnayer chèrement. Il y a aussi la solidarité entre peuples slaves et orthodoxes, anti-musulmans. Moscou veut que son gaz traverse la Serbie et espère une excellente coopération de Belgrade pour l’extension du réseau, autre raison de son soutien. V. Poutine joue aussi à l’intérieur : l’indépendance du Kosovo créerait un précédent dangereux pour lui (Tchétchénie). Et il espère aussi négocier la fin des pourparlers sur l’entrée de la Géorgie dans l’alliance atlantique. Autre solution : le nord du kosovo est rattaché à la Serbie et le reste du kosovo devient indépendant, les enclaves serbes isolées sont abandonnées à la vindicte des kosovars avec les épurations, la violence que l’on peut imaginer. Cette “solution” signerait la fin d’une fiction : la coexistence multiethnique et le multiculturalisme.

    3 juillet 2007 à 22 h 04 min
  • Un francais Répondre

    A quoi bon…
    Ils vont encore trouver le moyen de défendre la position des serbes.
    C’est à ce demander s’ils lisent les autres commentaires avant de les poster…
    Peut être ne les comprenent t’ils pas apres tout…
    Apres un tel éxposé il faut soit être naïf, soit totalement borné pour continuer de prendre la défence de la Serbie…

    En tout cas, Merci à François Guillaumat pour cet éxposé trés interessant et trés enrichissant.

    3 juillet 2007 à 20 h 54 min
  • Anonyme Répondre

    Si les kossobanais n’ ont pas le Mont Blanc, c’est la faute aux sebolchéviques!

    Si les albassovars n’ ont de grand vignobles comme le bordelais,c’est la faute aux serbolchéviques!

    etc,etc,ect……………………………………….

    Je ne sais ce que les serbolchéviques ont fait à certaine personne mais à ce stade là, c’est pire que l’ obsession!

    Je me demande si tous mes problémes ne viennent pas des serbolchéviques,je m’ en vais de ce pas vérifier l’ état civil de mon voisin Sam Ulévich ,un techtnik. c ‘est sûr!

    grandpas

    3 juillet 2007 à 19 h 06 min
  • Dagmar Répondre

    Premiere chose: Un grand merci au général McKenzi. Enfin la vérité. Les occidentaux , en tête avec Kouchner, sont les complices de la génocie des mes amis Serbes

    Deuxièmes chose; A François Guillaumat: Par quel droit traitez vous, monsieur, mes amis  serbes "serbolcheviques? Les pays slave, comme le mien, sont tombés sous l’infuence soviétique après le traité de Yalta. Nous étions " les pays communiste" de force sans que beaucoup de gens soient membres de la partie communiste. La résistence contre le communisme était dans les pays de l’est plus forte qu’en France. Je vous rapelle que VACLAV HAVEL, avait le courrage qu’aucun de vos hommes politiques n’a jamais eu. Le merdier Sarkozy ne lui vas m^me pas aux chevilles.  Vous, monsieur, dans votre pays pourtant libre, vous étiez les communistes de votre plein gré. Vous n’éties pas obligés. L’inteligencia française boudait même Solgenicyn….selon vous c’est un menteur. La France se tait sur les crimmes de communisme, aujourd’hui encore..20ans après la disparition de SSSR. Vous jugez sans jamis mettre les pieds dans un pays de l’est.. sans y vivre. Combien de pays de l’est avez vous visité pdt l’ére de commuisme? Dans combien de prisons communistes étiez vous enfermé, comme VACLAV HAVEL???????. J’attend votre réponse. Nous on y est nés. En traitant les serbes "serbolcheviques, vous nous insultez, tous les Slaves.  Il y un proverbe…chinois…je sais plus, qui dit: Pour juger qqn il faut marcher 1000 milles dans ses chaussures.

    Troisième chose à François Guillaumat. Kosovo fait partie de la Serbie depuis des sciècles. Vous, qui semblez tout savoir, vous devriez mieux étudier. Toute une  lonque histoire ortodoxe a les racines dans en Kosovo. Les albanais était les minoritée frontalières, comme dans tous les pays, chez nous les Allemands, en Slovaqui les hongrois. Mais le Kosovo n’a JAMAIS était albanais, jusqu’au moment ou les occidentaux ont facilité leur crimes. Même chose à Sarajevo …la population albanais était 10%….souvnez vous???il ;y avaient les JO….vous le savez, n’est ce pas??? Aujourd’hui Sarajevo est 80% musulman. Mes amis Serbes ont étaient chassés de leur ville natale. Mais si vous jugez que Kosovo est albanais, dans ce cas la la France est Allemande.

     

    3 juillet 2007 à 18 h 18 min
  • Jean-Claude Thialet Répondre

    03/07/09    – "Les ‘-Vérités" –

    Dans un précédent "post"  – non publié, "censuré", diraient certains – je vous demandais, François GUILLAUMAT, un "HALTE AU FEU". Votre logorrhée scripturale si je puis dire), votre litanies de "copier/collés" de google, et de sites anti-serbes (j’avoue ne pas avoir eu le courage de m’y précipiter, par pure paresse, certes, mais aussi par manque de temps) me donne à penser, m’interpelle, comme on dit dans le jargon d’aujourd’hui.

    Votre pseudo (si pseudo il y a) cacherait-il un Albanais, doublé d’un Bosniaque, triplé d’un Kossovar, et même quadruplé d’un Musulman ? Si je vous comprends bien, selon vous, les envahisseurs (pas, avec les "ventres de leurs femmes", eux) seraient non les musulmans, mais les Serbes qui n’auraient aucun droit, pas même historique, sur le KOSSOVO. Ce qui justifierait, selon vous, tous les crimes commis par les Albano-bosniaco-kossovars. Car, ne vous en déplaise, et malgré tous les "bobardements" (je dis bien les "BOBARDements !), ce sont les Serbes musulmans qui, fort de leur nombre, ont commencé à s’en prendre aux chrétiens serbes, à leurs biens (notamment tous les sites religieux) à leurs femmes et à leurs vies. En tout cas, si je suis bien les méandres de vos discours pro-albanais, il est à se demander si, en définitive, les Palestiniens ne sont pas dans leur droit. Et si bientôt, ils ne vont pas demander à "vos" amis de l’OTAN de bombarder les ISRAËLIENS. Avec pour différence que, là, ce ne sont pas des "chrétiens" qui paieront, qui paient déjà, mais des "juifs" (1). Et là, il est possible que certains soutiens inconditionnels de tout ce qui est "musulman", changeront …

        Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) cela me fait penser qu’ une étude récente vient de montrrer qu’après avoir soutenu en FRANCE (contre le "nazi" LE PEN, mais pas seulement contre lui !) l’immigration à dominante "musulmane", les Juifs de France sont en train de quitter les banlieues de l’est parisien : progressivement, ils se trouvent en butte au "racisme" d’allauchtones à dominante "musulmane". Le jour où les Occidentaux auront compris que, dès lors qu’elles ont le nombre pour elle, les populations musulmanes, même lorsqu’elles sont en terriroire "étranger"  se comportent en maîtres, ils changeront peut-être d’attitude, et exigeront de leurs difigeant de changer de politique. Espérons qu’il ne soit pas trop tard !

    3 juillet 2007 à 17 h 14 min
  • François Guillaumat Répondre
    La Serbie n'a absolument aucun Droit sur le Kosovo.
    J'ai rappelé,  contre l'incompétence du communiste Ramonet,  que la résolution 1244 du Conseil de Sécurité des Nations Unies incluait le Kosovo non pas dans la Serbie, mais dans un État,  la soi-disant "République Fédérale de Yougoslavie" créée par Milošević en avril 1992, qui n'existe plus aujourd'hui,  de sorte qu'il ne peut évidemment pas lui appartenir.
    Cependant, elle le faisait encore en violation des principes et des règles mêmes  au nom desquelles la soi-disant "communauté internationale" a reconnu successivement l'indépendance des anciennes Républiques de l'ancienne Yougoslavie : Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Macédoine, Monténégro et Serbie.
    En effet,  contrairement aux raisonnements encore avancés aujourd'hui, la situation juridique du Kosovo est la même que celle de ces six États désormais indépendants et reconnus : de sorte que le prétendu "précédent" que représenterait la reconnaissance de son indépendance, dont les fauteurs de trouble à la Putin veulent faire un prétexte de chantage à sécession d'autres régions d'Europe, est purement imaginaire  et mensonger.
    Et que la prétendue "souveraineté" de la Serbie sur le Kosovo, de ce fait,  n'existe pas.
    A. Dans l'ancienne constitution yougoslave de 1974, les prérogatives du Kosovo reproduisaient intégralement celles des six républiques dont l'indépendance est désormais reconnue.
    1. Le Kosovo avait sa propre identité territoriale, sa propre capitale, son propre gouvernement responsable devant sa propre assemblée parlementaire, sa propre Constitution, son propre tribunal constitutionnel et son propre système judiciaire.
    2. Il avait la maîtrise complète de ses propres affaires intérieures, y compris  la disposition de sa propre police, de son service de sécurité d'État de même que ses propres forces de Défense Territoriale.
    3. Il était membre de la Fédération à parité avec les autres Républiques et son représentant était membre à part entière de la Présidence yougoslave (c'est-à-dire que la Yougoslavie était une fédération de six républiques ET de deux provinces).
    4. Sa totale autonomie au sein de la Fédération yougoslave se reflétait aussi par le fait qu'aucune intervention dans ses affaires intérieures, de la part de la Serbie ou de l'État fédéral, ne pouvait être juridiquement valide sans sa permission. De même, aucun changement de ses frontières ni de son statut au sein de la Fédération ne pouvait avoir lieu sans sa volonté  librement exprimée,  ni celle des sept autres entités constitutives de la Fédération.
    B.  La différence entre le Kosovo et les républiques désormais indépendantes dans l'ancienne Yougoslavie.
    1. La seule différence entre le Kosovo et les républiques est que celui-ci, formellement,  n'était pas une "république" ("republika") mais "seulement" une "province autonome" ("autonomna pokrajina").

    2. L
    '"appartenance"  du Kosovo à la Serbie n'est mentionnée que dans un seul passage  de la Constitution  de 1974 : l'article 2,  lequel parle des provinces  de Kosovo et de Voïvodine  "qui font partie  de la République  de Serbie". Cette mention isolée,  sans qu'aucune conséquence  en soit tirée, contredit tout le reste du texte constitutionnel qui, à d'innombrables  reprises mentionne  conjointement les "républiques et provinces"  comme des entités distinctes  pourvues  de compétences  égales.
    3. L
    'inclusion du Kosovo dans la Serbie avait pour seul effet que ses délégués participaient aux travaux de l'assemblée de la République de Serbie et à ceux de l'organisation du Parti communiste de cette république. Cependant,  cette participation se limitait aux questions qui affectaient la république dans son ensemble  et ne comportaient pas les questions qui n'intéressaient que la Serbie proprement dite --c'est-à-dire le territoire  de la République de Serbie moins ceux du Kosovo et de la Voïvodine,  de sorte que la Serbie proprement dite fonctionnait comme une entité distincte du Kosovo et de la Voïvodine. 
    4. Il s'ensuivait  que la Serbie  n'avait AUCUN pouvoir  sur les deux provinces,  comme le reconnaissait, pour s'en plaindre,  le juriste serbe  Kosta Čavoški,  pseudo-nationaliste  à la manière de  Vojislav Koštunica :
    "chacune prise séparément,  les provinces  autonomes et la Serbie,  réduite  à une superficie restreinte"  se plaignait-il,  sont égales entre elles  et pratiquement indépendantes  les unes des autres,  de la même façon  que  la Macédoine  est indépendante  du Monténégro et vice-versa."
    5. La Constitution yougoslave de 1974, dans les premiers mots  de son préambule,  affirme le "droit de sécession"  des "peuples de Yougoslavie".  Dans le jargon de l'époque,  le terme de "peuple"  désigne  les six ethnies "constitutives" de la Yougoslavie : Serbes, Croates, Slovènes, "Musulmans" de Bosnie --qui s'appellent désormais "Bosniaques", Macédoniens et "Monténégrins". Le terme de "nationalité" désignait toutes les autres : Albanais, Hongrois, Italiens, Turcs, Rroms... 
    6. Cependant,  l'article 245  de la même constitution signale  que 'les peuples  et les nationalités  sont égaux  en droits'.  Si les peuples  ont le droit  de sécession, et si les 'nationalités' ont les mêmes Droits que les peuples, alors lesdites 'nationalités'  ont aussi le "droit de sécession".
    7. Seulement, le préambule  dit aussi :
    "Les peuples  et les nationalités  exercent leurs droits  souverains  dans les républiques socialistes  et dans les provinces  autonomes socialistes".
    La conclusion logique qu'on en tire,  et qu'en a tirée  la Commission Badinter,  c'est que les 'peuples'  et les 'nationalités'  ne peuvent exercer leur 'droit de sécession' QUE dans le cadre d'une 'république' ou d'une 'province autonome'. 
    C'est ce qui s'est passé pour les "peuples" dans toutes les "républiques"  désormais reconnues. C'est aussi ce qui devrait se passer pour l'une des "nationalités" dans sa "province" à savoir  les Kosovars,  puisque c'est ainsi que s'appellent eux-mêmes les Albanais du Kosovo --les Slaves du Kosovo s'appellent eux-mêmes "Kosovci".
    En revanche,  une ethnie  minoritaire  dans sa république  ou sa province  ne peut prétendre exercer ce droit de sécession aux dépens de ladite république ou province,  qu'il s'agisse d'un "peuple"  comme  les Croates en Bosnie-Herzégovine  ou les Serbes en Croatie,  ou d'une "nationalité"  comme les Albanais en Macédoine  ou les Hongrois en Voïvodine.
    C'est en raison de cette règle constitutionnelle que les dirigeants communistes de Belgrade  ont finalement échoué  à faire à la Croatie et à la Bosnie-Herzégovine le "coup"  que les Russes ont fait à la Moldavie et à la Géorgie,  en y fomentant des sécessions :  la communauté internationale  n'a jamais accepté  de reconnaître comme des États  ni la prétendue "République Serbe de Krajina", ni la prétendue "Republika Srpska",  qui demeure une simple entité  au sein  de la Bosnie-Herzégovine  et qu'on espère vouée à la disparition. 
    Le cas  du Kosovo  est entièrement opposé,  puisqu'il est le même que celui  des républiques  déjà reconnues. Reconnaître l'indépendance du Kosovo,  ce n'est donc pas violer le principe  du maintien  des frontières  existantes mais  c'est l'opposer  à l'annexion forcée par Belgrade, toujours nulle et non avenue. Et c'est en application du même principe qu'on refusera  la partition du Kosovo… et qu'on rejettera l'indépendance de Tiraspol ou de Tskhinvali.
    Il n'est donc absolument  pas vrai  que l'indépendance  du Kosovo  créerait  un précédent dangereux  pour d'autres  minorités  ni d'autres régions. Le danger pour la souveraineté des nations c'est, comme toujours,  l'impérialisme des dirigeants communistes à peine rebarbouillés.
    C.  L'annexion forcée du Kosovo par la Serbie n'a jamais eu force de loi.
    1. Le Kosovo a été inclus dans la Serbie en [1913] non par la libre volonté de son peuple mais à la suite d'une conquête violente,  finalement sanctionnée, en même temps que celle de la Macédoine, par les puissances européennes réunies à la Conférence des Ambassadeurs à Londres entre décembre 1912 et juin 1913.  Cependant,  la Skupština de Belgrade n'a jamais ratifié  le traité qui aurait légalisé cette conquête,  de sorte que le Kosovo n'a jamais légalement appartenu à cette Serbie-là.  Peu après d'ailleurs,  en 1915,  l'armée autrichienne libérait le Kosovo de l'occupation serbe.   
    En 1918 la Serbie reconquiert  le Kosovo et la Macédoine,  mais sa propre existence hypertrophiée est  elle-même brève puisqu'elle entre  rapidement dans le Royaume des Serbes, des Croates et des Slovènes, précurseur de la Yougoslavie.
    La première Yougoslavie (monarchiste) se décompose en 1941 et en 1945 elle est remplacée par la Yougoslavie fédérale. 
    2. Telle que constituée en 1945, la Yougoslavie tirait sa légitimité non de la Yougoslavie monarchiste,  mais de la Guerre de Libération Nationale qui l'avait délivrée de l'occupation étrangère.  Dans cette seconde Yougoslavie,  qui a duré jusqu'en 1991,  le Kosovo était devenu une entité politique autonome.
    D'après la Constitution yougoslave, en outre,  l'autonomie du Kosovo ne lui était pas octroyée par la Serbie ni par la Yougoslavie,  mais était censée provenir de la participation de sa population à la Guerre de Libération Nationale.  Le rapport du Kosovo à la Serbie était de ce fait fondamentalement altéré,  puisqu'il avait désormais sa légitimité politique propre, définie par la Constitution, fondée sur le "consentement populaire".
    3. En 1990, cependant, la Serbie dirigée par Milošević  a privé par la force le Kosovo de son autonomie : le Kosovo a été mis en état de siège,  et son assemblée parlementaire –réunie en session d'urgence-- a été encerclée par des chars,  alors que des MiGs survolaient le bâtiment. Et à l'extérieur il y avait des centaines de milliers de Kosovars qui protestaient contre l'action de la Serbie.  Les autorités serbes ont affirmé depuis que  l'assemblée  avait voté en faveur d'une intégration totale du Kosovo à la Serbie, mais les dirigeants kosovars nient que la décision ait eu la majorité nécessaire,  sans parler de ceux qui ont voté et qui n'en avaient pas le Droit.  De toutes façons,  un tel changement constitutionnel aurait dû être accepté par l'ensemble des autres républiques et province  ainsi que  par les instances fédérales,  et Milošević n'a même pas commencé à faire semblant d'essayer. 
    4. Et ce qui s'est passé c'est que, peu de temps après ces pseudo-amendements imposés par la force,  cette même  assemblée du Kosovo s'est réunie  en nombre pour proclamer que le Kosovo devenait une république au sein de la Yougoslavie ou,  dans le cas d'un éclatement  --qui s'annonçait visiblement-- une république indépendante.  Cette décision a ensuite été,  à la fin de septembre 1991,  validée par un référendum.
    D. Il est important de noter que :
    1. La suspension par la Serbie de la Constitution du Kosovo --de son statut constitutionnel d'autonomie,  menée à l'encontre de la volonté légalement exprimée de son peuple était un acte à plusieurs titres contraire au Droit, une violation des Constitutions de la Serbie, du Kosovo et de la Yougoslavie alors en vigueur.  C'était par ce fait même un acte d'annexion forcée.
    2. Les autorités fédérales yougoslaves, dans la mesure où elles ont activement participé à cette annexion forcée ou l'ont passivement laissé commettre,  violaient également la Constitution yougoslave.
    3. Le statut altéré du Kosovo au sein de la Serbie --défini par la Constitution de Serbie en septembre 1990-- n'a jamais été validé par un acte constitutionnel de la fédération yougoslave, c'est-à-dire qu'il n'a jamais été inclus dans la Constitution fédérale yougoslave. 
    4. Une telle altération de la Constitution yougoslave était de toutes façons devenue impossible,  puisque, avec la fermeture de l'Assemblée parlementaire du Kosovo par les autorités de Serbie,  toutes les instances fédérales --les deux assemblées fédérales, le gouvernement fédéral, et la présidence fédérale-- avaient perdu tout pouvoir de légiférer.
    5. Il s'ensuit que la Constitution fédérale de février 1974,  et les prérogatives d'autonomie du Kosovo,  sont demeurées légalement en vigueur jusqu'à la dissolution officielle de la Fédération yougoslave en 1991.
    6. Le statut actuel du Kosovo n'a pas non plus été régi  par la Constitution de la Fédération serbo-monténégrine (la "République Fédérale de Yougoslavie") puisque cette Constitution n'existait pas  en tant que corpus intégral et cohérent de lois fondamentales pour l'ensemble de la "RFY".
    La constitution de Serbie diffère en effet substantiellement de celle du Monténégro tout comme de celle (encore nominale) de la "RFY".  Entre autres,  c'est au Président de la Serbie que la Constitution de Serbie donne le commandement exclusif des forces armées serbes,  alors que  pour la "Constitution de la RFY", les forces armées de la "RFY" (donc aussi celles de la Serbie) se trouvent sous le commandement suprême du Président "de la Fédération",  assisté par les Présidents de la Serbie et du Monténégro.
    E. Le Droit du Kosovo à l'indépendance a la même valeur juridique que celui des anciennes républiques [de l'ex-Yougoslavie].
    1. La suspension de l'autonomie du Kosovo par la Serbie n'a jamais été ratifiée par l'ex-Fédération yougoslave, et n'aurait pas pu l'être,  étant donné que cela aurait exigé le libre consentement du Kosovo et que celui-ci n'a jamais été donné. Et si la Yougoslavie a disparu,  sa Constitution n'en définit pas moins juridiquement le statu quo ante.
    2. Cela veut dire que les prétentions de la Serbie sur le Kosovo n'ont toujours aucun fondement juridique. Ces prétentions ne peuvent se fonder sur l'acte de conquête initiale qui n'était pas légal,  et que l'État ex-yougoslave a de toutes façons invalidé,  ni sur la Constitution serbe de 1990,  qui n'a aucune valeur juridique pour avoir été adoptée en violation des règles alors en vigueur.
    3. À l'inverse,  l'aspiration à l'indépendance du Kosovo est bien davantage fondée, puisque :
    a) elle a été décidée en réaction à un acte d'annexion contraire à toute règle de Droit;
    b) la décision de proclamer l'indépendance a été prise par l'Assemblée régulièrement élue et suivant  les termes de la Constitution yougoslave de 1974, alors toujours en vigueur ;
    c) cette décision a ensuite été validée par un référendum.
    En d'autres termes,  les annexions forcées du Kosovo par la Serbie au XX° siècle n'ont jamais eu force de loi,  et  le Droit du Kosovo à l'indépendance repose sur les mêmes fondements juridiques que ceux des anciennes républiques -- qui ont toutes été reconnues  comme États indépendants et successeurs de la Yougoslavie.

     

    3 juillet 2007 à 0 h 41 min
  • Anonyme Répondre

    Bravo au Général Lewis Mackenzie,enfin un homme qui a le courage et l’honnêteté de dire la vérité,malheureusement il est aussi victime de le propagande mensongère de la plupart des médias.

    2 juillet 2007 à 21 h 42 min
  • Anonyme Répondre

    Encore un coup des serbolchéviques une française éliminée du tournoi de "Winbeldon"

    Vous aurez dire n’ importe quoi sur les "pôv’es" albanais ,leurs fervents défenseurs leurs trouveront toujours des excuses ,n’ est pas François!

    grandpas

    2 juillet 2007 à 20 h 13 min
  • François Guillaumat Répondre

    On a affaire à des gens qui répètent les mensonges serbes comme des perroquets — comme si on ne pouvait pas soi-même les réciter par coeur,  qui recopient les propagandistes serbes sans les nommer et,  quand on rétablit les faits,  n’en tirent aucune conséquence et se bornent à vous traiter d’"anti-serbe" parce qu’on est anti-mensonges. Ce n’est tout de même pas la faute des historiens sérieux si les pseudo-nationalistes serbes ne font que mentir à propos du Kosovo. http://pasta.cantbedone.org/pages/hdKAgg.htm
    Quant à l’amateurisme anti-américain du communiste Ramonet,  il ne traduit que l’incompétence caractéristique du personnage. La résolution 1244 ne disait pas que le Kosovo appartenait "à la Serbie"  mais à la "République Fédérale de Yougoslavie"  et seulement  jusqu’à ce que son statut soit définitivement fixé.  Et ladite soi-disant  "République Fédérale de Yougoslavie"  a entièrement disparu en juin 2006 avec l’indépendance du Monténégro :  le Kosovo ne peut pas "appartenir" à un Etat qui n’existe plus. On n’a donc pas besoin d’une nouvelle résolution du Conseil de Sécurité,  c’est-à-dire  de demander la permission au tueur Poutine, pour reconnaître son indépendance : il est parfaitement suffisant en Droit international de le reconnaître unilatéralement,  comme on l’a fait de la Slovénie et de la Croatie,  comme on aurait déjà dû le faire à l’époque et comme on devrait le faire le plus tôt possible.
    Il parle du respect des frontières intérieures de l’ex-Yougoslavie ? C’est justement  au nom de ce respect qu’il faut reconnaître l’indépendance du Kosovo.  Celui-ci,  aux termes de la Constitution yougoslave de 1974,  avait des "droits égaux"  à celui des ex-républiques dont l’indépendance  a été reconnue à partir de 1992.  La "suspension de son autonomie"  en mars 1989 par la violence serbe,  que les ignorants prennent  pour un acte administratif,  représentait en fait l’annexion forcée d’une des entités constitutives de la Fédération yougoslave par une autre, voie de fait anti-constitutionnelle qui déchirait le pacte fédéral et détruisait juridiquement l’Etat. La Fédération étant de ce fait dissoute,  dissolution formellement reconnue  depuis  1991,  le Kosovo devenait de ce fait indépendant,  comme il l’avait d’ailleurs proclamé en octobre 1991 à l’issue d’un référendum tenu en septembre :  le Kosovo ne pouvait pas appartenir à un Etat qui n’existait plus,  et c’est en toute régularité constitutionnelle qu’il a proclamé son indépendance. http://pasta.cantbedone.org/pages/leF_7z.htm

    2 juillet 2007 à 16 h 40 min
  • un francais Répondre

    N’avez vous donc pas d’autres agruments que de sans cesse répeter que les kosovars passent toujours pour les victimes et les serbes les boureaux ?
    Est ce donc là les seuls argument que vous avez en faveur de la Serbie ?

    Il me semble qu’il a clairement été demontré du point de vue historique que le Kosovo n’est pas Serbe.

    Luc SEMBOUR proposait plus haut un "sejour" au Kosovo pour décrire comment cela se passe réellement là bas.
    Connaissant des kosovar(e)s d’origine albanaise vivant là bas, je peut d’une part, vous dire qu’ils ne veulent pas spécialement d’une "grande Albanie" qu’ils se sentent kosovars et veulent un Kosovo libre et indépendant. Qu’ils n’ont ABSOLUMENT rien contre les chrétiens et que les arguments chrétiens/musulmans ne sont que de stupides prétextes. Surtout que je connais également des kosovars chretiens pour l’indépendance !!

    En revanche je suis tout de meme d’accord avec occas24 au sujet des musulmans en France, qui s’imposent petit à petit et dispose du pretexte de racisme (bien qu’ils le soient au final bien plus que nous !) pour légitimer leurs actes.
    Mais cela n’a absolument rien à voir avec cela au Kosovo. L’islam de là bas n’a rien a voir avec celui que l’on connait en France, et leur ouverture d’ésprit est bien plus grande ! La cohabitation avec des chrétiens ne les dérange aucunement.

    Pour celui qui n’a pas signé et qui parle des 200.000 serbes ayant fuit le Kosovo à cause des represailles. Je n’ai pour ma part encore jamais rencontré de serbe en France, mais j’ai en revanche rencontrais plusieurs kosovars ayant fuit leur pays à cause des massacres serbes…

    Quoi qu’il en soit trouvaient d’autres arguments que l’eternel guerre chretiens/musulmans car elle n’a rien a voir avec le Kosovo.

    2 juillet 2007 à 1 h 18 min
  • Anonyme Répondre

    Berceau de l’Etat et de la civilisation serbes, orné de centaines d’églises et de monastères, et peuplé à l’origine presque uniquement de Serbes, le Kosovo-Metohija fut en 1389 le théâtre d’une tragique défaite de l’armée serbe, qui sonna le glas de l’indépendance de la Serbie.

    Près de cinq siècles de joug ottoman s’ensuivirent au cours desquels les Serbes, de religion chrétienne, eurent à subir une dure répression, le plus souvent menée par les Albanais musulmans et armés, au service des Turcs. Au fur et à mesure que les Albanais descendaient de leurs montagnes et s’installaient de force dans la plaine du Kosovo, les Serbes étaient contraints de quitter leur terre pour émigrer vers le nord de la Serbie et même au-delà, en Autriche et en Hongrie. Ainsi, la situation démographique au Kosovo se modifiait au cours des siècles en faveur des Albanais. Cependant les Serbes sont restés majoritaires au Kosovo jusqu’au début du XXe siècle.

    Mais la tragédie des Serbes du Kosovo ne devait pas prendre fin avec la libération du Kosovo-Metohija par la Serbie, en 1912. En effet, la politique antiserbe du Parti communiste yougoslave dans la Yougoslavie socialiste – fermant les yeux sur l’immigration clandestine de dizaines de milliers d’Albanais, gardait le silence sur les forfaits perpétrés par des Albanais (violation de sépultures et profanations d’églises serbes, viols, violences physiques et pressions psychologiques contre les Serbes et les Monténégrins) – allait conduire à l’instauration d’un climat de terreur dans la Province autonome du Kosovo, et à l’exil de près de 200 000 Serbes et Monténégrins.

    Ces dernières années ont vu un sursaut de la conscience nationale serbe, mais aussi une révolte indépendantiste des Albanais du Kosovo, d’autant plus paradoxale qu’ils jouissent en Yougoslavie de plus de droits et de libertés qu’aucune minorité nationale dans aucun pays du monde.

    1 juillet 2007 à 15 h 45 min
  • Vlad Répondre

    Un excellent article d’Ignacio Ramonet dans le Monde Diplomatique tranche sur le rattachement de la province du Kosovo à la Serbie :

    La résolution 1244 de l’ONU en juin 1999, plaça le Kosovo sous administration des Nations unies, tandis que des unités de l’OTAN en garantirent la défense. Cette résolution 1244 reconnaît l’appartenance du Kosovo à la Serbie.
    Ce qui est décisif, car le principe adopté par les puissances impliquées dans les récentes guerres des Balkans a toujours été de respecter les frontières intérieures de l’ancienne République socialiste fédérale de Yougoslavie. Au nom de ce principe furent refusés et combattus précisément les projets de « Grande Croatie » et de « Grande Serbie » qui menaçaient de démanteler la Bosnie-Herzégovine. Et c’est sur ce principe que s’appuie aujourd’hui la Serbie, soutenue entre autres par la Russie, pour refuser le plan proposé par le médiateur international Martti Ahtisaari.

    L’indépendance sera peut-être la solution inévitable pour le Kosovo, tant sont énormes les obstacles à son maintien dans le cadre administratif de la Serbie. Mais ce chemin ne saurait être envisagé qu’en concertation étroite et prolongée avec Belgrade, soucieux par ailleurs de la protection de la minorité serbe demeurée sur place.

    Une indépendance précipitée, comme la réclame le président Bush, non négociée dans le cadre de l’ONU, pourrait entraîner la constitution, à courte échéance, d’une « Grande Albanie », ce qui relancerait automatiquement les irrédentismes croate et serbe aux dépens de la Bosnie. Sans parler du précédent international explosif que cela constituerait pour de multiples entités tentées de proclamer, elles aussi, unilatéralement, leur indépendance. A savoir : la Palestine (Israël), le Sahara occidental (Maroc), la Transnistrie (Moldavie), le Kurdistan (Turquie), la Tchétchénie (Russie), l’Abkhazie (Georgie), le Haut-Karabakh (Azerbaïdjan), Taïwan (Chine), voire, en Europe même, le Pays basque et la Catalogne (Espagne, France), pour ne citer que ces cas. M. Bush est-il prêt à garantir ces indépendances comme il déclare vouloir le faire pour le Kosovo ?

    Vlad

    1 juillet 2007 à 13 h 54 min
  • Dimitri Répondre

    Juste une remarque, en plus de votre manichéisme dégoutant ( le serbe toujours bourreau jamais victime) vous travestissez les mots!
    Vous le faisiez déjà pour la bosnie (un bosniaque c’était le muslman de Bosnie, les cathos et orthodoxes de Bosnie n’étaient, eux, que des agresseurs, les conquérants…) et après ça vous remettez le couvercle, les Kosovars sont donc par définition albanais, plus de kosovar de confession orthodoxe, non le Kosovar doit être musulman et d’origine albanaise. Ca a peut être bien marché en Amérique du Nord mais ça marchera pas aussi facilement avec les slaves.

    30 juin 2007 à 19 h 35 min
  • François Guillaumat Répondre

    On se demande à quoi servent les commandes de mise en forme des commentaires,  si le logiciel ne cesse d’ajouter des sauts de paragraphe et des soulignements qui n’ont pas lieu d’être.

    On vous démontre que les Albanais ont toujours vécu au Kosovo,  on vous signale que ce pays  est monoethniquement albanais,  et vous continuez  à en parler comme d’une "province serbe",  et à répéter les mensonges de propagande comme quoi les Albanais y seraient des "immigrés" . 
    Les Albanais ne sont pas des "immigrés" au Kosovo :   ils y sont  les indigènes :  ce sont eux   les "Gaulois" de la région.  Comment réagiriez-vous  si un Algérien vous disait qu’il est chez lui en France,  et que vous,  vous n’y êtes pas ?
    En fait,  vous vous moquez  de la réalité de ces peuples et de ces régions, pour vous c’est de la politique-spectacle : vous prenez parti dans leurs querelles comme on soutient une équipe de football,  et ça ne vous gêne pas de n’écouter  qu’un seul son de cloche  comme il faut évidemment le faire pour gober la propagande des Serbes,  qui mentent à 90 % lorsqu’il s’agit du Kosovo :
    – ce n’est pas vrai que le Kosovo aurait toujours été serbe :  sur les 2500 de son histoire, il n’a appartenu à un état serbe que pendant 300 ans,  dont 250 avant 1450 : essayez donc de fonder des relations internationales sur  cette conception-là des "droits historiques".  Envisagez-vous de "rendre" aux Anglois la Guyenne et la Gascogne ?
    – Ce n’est pas vrai que le Kosovo est "le berceau de la nation serbe" : les Serbes étaient installés depuis plus d’un demi-millénaire dans les Balkans lorsqu’ils ont commencé  à l’envahir,  et aucun état serbe n’est jamais né au Kosovo,  pas plus au moyen âge qu’à l’époque contemporaine  ; alors que la langue albanaise y est née au X° siècle,  et le mouvement national albanais au XIX°.
    – Ce n’est pas vrai que les Serbes en ont été chassés par les Turcs :  la "grande migration"  de 1690 n’est qu’un mythe,  que réfutent expressément deux manuscrits  autographes du Patriarche  censé  l’avoir organisée,  Arsène III Čarnojević.  Si au XIX° siècle les Albanais sont redevenus la majorité absolue dans ce pays qui a toujours été le leur,  c’est parce qu’ils n’avaient pas de raisons de le quitter,  alors que les Serbes pouvaient émigrer partout ailleurs dans la région qui parlait la même langue :  en Serbie, en Bosnie,  en Croatie et même en Hongrie,  et qu’à partir  de 1817  la Principauté  autonome,  puis indépendante de Serbie,  leur offrait de meilleures perspectives.
    – Ce n’est pas vrai que les Albanais seraient des immigrés au Kosovo :  ils y habitent depuis trois fois plus longtemps que n’importe qui d’autre,  et on ne peut pas "immigrer" dans un pays  où on a toujours été chez soi.  En outre,  aucun des épisodes d’"immigration"  albanaise que racontent les Serbes n’a  la moindre  vraisemblance,  sans parler de l’absence de toute preuve historique.
    – Ce n’est pas vrai que les Albanais seraient des "islamistes" :  bien au contraire  il n’y a pas de musulmans qui respectent davantage  les adeptes des autres religions que ceux des Albanais qui le sont.  Si les Kosovars s’en prennent aux églises serbes  ce n’est pas parce que ce sont des églises,  mais parce qu’elles servent  constamment de prétexte et d’instrument,  faute  d’un peuplement serbe crédible,  à l’annexionnisme de Belgrade.
    – Et ce n’est même pas vrai que les Serbes seraient "les chrétiens" au Kosovo.  La plus grande communauté  chrétienne du Kosovo,  ce sont les catholiques albanais,  qui y sont 200 000 alors que les Serbes, soi-disant "chrétiens orthodoxes" –"soi-disant" parce que ce n’est pour eux qu’un marqueur ethnique,  et un prétexte pour attaquer les autres —  n’y sont que 130 000.  Et bien entendu ces Albanais catholiques,  les Serbolchéviques ont tenté de les exterminer avec les autres  en 1998 et 1999 — comme en 1991 ils avaient chassé de chez eux 280 000 Croates en Croatie,  montrant ce que vaut leur discours comme quoi ils ne feraient que "se défendre contre  l’islamisme".
    En revanche,
    – C’est vrai que les Serbes ont envahi  le Kosovo à quatre reprises au XX° siècle : en 1912, en 1918,  en 1944 et en 1989 ;  que,  chaque fois qu’ils l’ont pu,  ont essayé  d’exterminer ses indigènes albanais, massacres  à l’appui ;  et qu’il a toujours  fini par être libéré de cette invasion :  par les Autrichiens en 1915, par les Allemands en 1941, en 1974 par Tito,   par l’OTAN en 1999.
    – C’est aussi vrai que, lors de chacune de ces invasions et tentatives d’annexion forcée du Kosovo,  les Albanais y étaient  absolument majoritaires  et les Serbes au maximum un quart de la population,  de sorte que tout le monde pouvait constater que c’est une terre albanaise et non pas serbe.

    Face  à la censure qui interdit de critiquer l’immigration en France,  c’est un alibi et un exutoire que ces pays lointains dont  vous pouvez dénoncer l’"invasion islamique"  sans risquer d’être puni par la police.  L’ennui c’est qu’au Kosovo,  comme en Bosnie,  l’"invasion islamique"  date du XV° siècle,  et que dans les années 1990 ce sont les Serbolchéviques qui ont commencé les guerres,  tenté d’exterminer leurs voisins  et commis la majorité écrasante des crimes ;  quant aux peuples qu’ils ont agressés,   ils n’étaient pas plus "envahisseurs"  qu’ils ne sont "islamistes" :   le fait que leur première victime a été la Croatie,  état millénaire et très majoritairement catholique,  prive de toute excuse ceux qui croient leurs mensonges à ce sujet.
    Les envahisseurs,  ce sont les Serbes :  conquérants tardifs du Kosovo à partir du XII° siècle,  colons installés  par les Turcs au XV°siècle en Bosnie,  transfuges au XVI° siècle en Croatie,  ils n’ont aucun Droit sur les territoires dont ils ont cherché  à s’emparer par la force pour constituer la "grande Serbie".
    Quant à nous…
    Quelle crédibilité ont ces gens qui,  pour dénoncer l’immigration,  évoquent une querelle étrangère  où il apparaît que ce sont les indigènes qu’ils prennent pour des envahisseurs ?
    Comment qualifier ceux qui,  lors d’un conflit armé entre leur propre pays et une puissance étrangère communiste,  ont pris parti pour la puissance étrangère communiste ?
    Et peut-on imaginer des dupes plus pathétiques que ces catholiques français qui prennent parti au Kosovo pour les massacreurs  de catholiques,  et au nom de la "solidarité chrétienne" par-dessus le marché ? 

    30 juin 2007 à 15 h 28 min
  • Anonyme Répondre

    N’avez vous pas l’impression que dans notre pays :la FRANCE ,ils imposent déjà leurs lois.En tous les cas,ils sont souvent intouchables,sinon ils nous taxent automatiquement de racistes et le travail de leurs avocats en est grandement facilités.

    30 juin 2007 à 11 h 08 min
  • Vlad Répondre

    Toujours est-il que le Kosovo est une province serbe bien qu’ayant un statut particulier. Message à tous ceux qui recherchent aux alentours du VIè Siècle afin de déterminer à quel type d’individus appartenait ce territoire : proprement ridicule.
    Quant au taux de population d’origine albanaise au Kosovo, depuis quand se sépare-t-on d’un territoire national lorsque celui-ci comporte une population composée mojoritairement de personnes d’origine étrangère ?
    En ce cas, le 13è arrdt de Paris devrait être annexé par la Chine et certains départements du nord par la Pologne…
    Pour ce qui est des exactions commises, la guerre des chiffres me donne la nausée. Il est évident que la Serbie en a commis ainsi que TOUTES les autres parties des guerres fratricides. Il s’agit maintenant de faire en sorte que ça ne se reproduise plus et de faire son mea culpa.
    Par contre la nullité des médias qui n’arrive pas à sortir de son shéma binaire : serbes=nazis et albanais=victimes immaculées est hallucinante lorsqu’elle n’est pas tout simplement dictée par la propagande néo-fasciste de gauche victimisant tout se qui porte un kéffié et prompte à défendre des causes extrèmistes indéfendables.
    La Serbie est un pays souverain, à elle de décider du sort de sa province.

    Vlad

    30 juin 2007 à 7 h 37 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

       Je propose un voyage organisé par 4V pour quelques observateurs volontaires qui s’installeront un trimestre au Kosovo afin de nous faire un rapport hebdomadaire sur ce qu’ils voient. Il importe qu’ils ne se fassent pas connaître et passent pour des touristes désargentés. Il faut des gens expérimentés et capables.      

       Mon modeste pronostic est que le point de vue serbe sera déclaré beaucoup plus proche de la vérité, ne serait-ce que par la distorsion toujours impressionnante forcément apportée par la takia musulmane dans tout ce qui est rapporté par les albanais.

    30 juin 2007 à 3 h 34 min
  • Anonyme Répondre

    Le Kosovo, originellement peuplé de serbes et de chrétiens balkaniques, est devenu majoritairement albanophone et musulman du fait des nombreuses tentatives d’extermination et de colonisation entrepris depuis l’époque Ottomane par les Turcs, puis par les albanais islamisés jusqu’à nos jours, entre 1939-1945 avec les divisions SS musulmanes chassant les familles serbes, après les bombardements de l’OTAN, quelques 200 000 serbes fuient la barbarie albanaise de l’UCK.

    29 juin 2007 à 20 h 16 min
  • François Guillaumat Répondre

    En Europe Orientale,  la démoralisation de la société  a été causée par le socialisme,  puis par la conception particulière que les apparatchiks  se faisaient  du "capitalisme"
    Dans l’ex-Yougoslavie,   ce qui a gangstérisé  la société ce sont les trois guerres de conquête et d’extermination lancées par la direction politique communiste de Serbie  en 1991 http://www.un.org/icty/indictment/french/mil-ii011008f.htm,  en 1992  http://www.un.org/icty/indictment/french/mil-ii011122f.htm  et en 1998 http://www.un.org/icty/indictment/french/mil-2ai011016f.htm ;  les pillages et assassinats de masse  qu’elle a ordonnés ;   sa détermination à contourner  l’embargo de l’ONU  et à financer ces guerres sans user des moyens d’imposition officiels  – d’où la demi-tonne d’héroïne trouvée dans un coffre-fort appartenant à la  Služba Državne Bezbadnosti,  service secret de Serbie  et les 30 millions de dollars en narcotiques  trouvés  dans celui de la police officielle  (Služba Javne Bezbednosti)  après la chute de Milošević.
    Milošević  a détruit la police locale que le Kosovo possédait jusqu’en 1989, sans doute  la meilleure contre les truands du cru,  puis a retiré  ses propres soldats et policiers – perte minime,  étant donné  qu’ils y avaient été  de loin les pires criminels.
    En dépit de cela,  et en dépit du fait  que nombre de gangsters avaient profité de ce vide de la légalité pour venir d’Albanie proprement dite,  la violence  au Kosovo  a été essentiellement politique,  et a décru depuis sa libération,  de sorte que la criminalité  n’y dépasse pas celle d’un pays moyen d’Europe occidentale.  Ainsi,  la Mafia  n’est qu’un phénomène marginal  dans la société kosovare,  même si la relation particulière  qu’elle entretient avec cette société vaudrait certainement d’être étudiée.
    Les mafieux n’ont pas de patrie,  et la plus grande harmonie  règne en son sein entre les "peuples" et les "nationalités" de l’ex-Yougoslavie pour ce qui est de faire de l’argent. C’est pourquoi les Serbes
    , en raison de leur meilleure connaissance des langues slaves jouent un plus grand rôle que les Albanais dans la traite des Blanches au Kosovo,  étant donné que les esclaves sexuelles viennent de Moldavie à travers la Bulgarie.
    C’est aussi pourquoi les dirigeants indépendantistes, comme feu Ibrahim Rugova,  Adem Demaçi ou Albin Kurti,  n’ont absolument rien à voir avec eux.
    Et le financement de la résistance à l’annexionnisme belgradois n’avait pas besoin d’illégalité pour subsister :

    "Commettant sa première erreur stratégique  dans le traitement des Albanais du Kosovo,  le régime de Milošević en avait chassé des milliers de leur emploi,  en forçant ainsi un grand nombre  à émigrer à l’étranger pour trouver du travail.   Pour la première fois de leur histoire,  les Kosovars ont acquis une très importante diaspora,  où les hommes jeunes et vieux  se sont mis à exercer  divers métiers,  envoyant des mandats  à la maison.  […]  Les Kosovars s’étaient établis en Suisse,  Autriche,  Allemagne,  en Scandinavie et aux Etats-Unis,  où beaucoup ont créé des entreprises prospères. Aux États-Unis notamment,  un nombre considérable de Kosovars  ont connu le succès  financier  dans leur émigration postérieure à 1989.  Avec l’argent  qu’ils avaient amassé  dans des restaurants  et autres entreprises,  ils contribuaient fortement à l’opposition albanaise,  réprimée mais  vivace  au Kosovo […]
    "Ils  n’étaient pas restés assez longtemps à l’étranger pour engendrer une seconde génération  arrivée à l’âge mûr,  ils n’avaient pas fini par s’identifier avec le pays où ils vivaient et travaillaient ;  et,  surtout,  ils  n’avaient pas oublié  la lutte de leur famille et de de leurs voisins  à la maison.  S’ils avaient seulement changé,  c’était dans la mesure où,  hors de Yougoslavie,  ayant découvert  ce que c’était que vivre sans être soumis  à une discrimination anti-albanaise  brutale,  ils étaient devenus plus ardents  et plus militants.  Ils se sont aussi formés  à la démocratie politique,  à l’emploi des médias modernes,  et aux méthodes de lobbying efficaces,  notamment aux États-Unis.  En forçant des milliers  d’entre eux  à d’exiler dans des pays étrangers,  Milošević  n’a pas seulement raté  son coup contre les Kosovars ;  il leur a donné de nouvelles raisons de résister,  et de nouvelles armes pour le faire.
    "La deuxième grande erreur de Milošević  est liée à la première.  Dans sa répression des travailleurs  et entrepreneurs du Kosovo,  il les avait coupés de l’idéologie et des habitudes de la subvention d’État,  de la léthargie bureaucratique  et de la dépendance que le communisme avait  développés  ailleurs en Yougoslavie,  le plus visiblement dans sa propre Serbie.  De la sorte,  il forçait les Kosovars  à créer un vrai système libéral  lequel,  du moins  dans le domaine de l’entreprise petite  et individuelle,  dépassait même la Slovénie.  C’était certainement un cadeau involontaire,  mais c’était un cadeau quand même.
    "[…] les Kosovars  s’étaient mis à créer,  d’eux-mêmes,  toutes les institutions nécessaires  au fonctionnement de la société moderne."
    Stephen Schwartz,  Kosovo:  Background to a War,  Anthem Press,  2000,  pp. 127-128.


    29 juin 2007 à 14 h 10 min
  • François Guillaumat Répondre

    La propagande qui veut nous faire passer les Kosovars pour des mafieux  n’est que cela : de la propagande.  La criminalité au Kosovo est un phénomène marginal, comme elle l’est chez nous,  et n’est pas plus élevée  qu’en Europe occidentale.
    Les "criminologues"  qui, dans une société  de deux millions de personnes,  ne s’intéressent qu’au crime  et les imbéciles qui n’y voient plus que cela suivant le principe "tous les Belges s’appellent Dutroux" méconnaissent les évidences et les faits suivants:
    – Le gangstérisme serbolchévique, communiste et pseudo-nationaliste grand-serbe soutenu et manipulé par le régime communiste de Belgrade,  représente à l’époque récente,  avec ses 90 500 morts,   le plus grand cas  de criminalité dans les Balkans.
    À côté des gangsters serbolchéviques,  les réseaux privés de prostitution et de trafiquants de drogue  – trafic  auquel il est avéré  que la police et l’armée  du régime de Milošević ont participé –  sont des enfants de choeur.
    – Plus grande manifestation de la criminalité balkanique contemporaine,  le gangstérisme  serbolchévique  est également  sa plus grande cause :  notamment c’est l’acharnement  que la police et de l’armée  serbolchéviques ont mis  à faire la guerre aux civils plutôt qu’aux criminels privés,  et leur association avec ces derniers lors de leurs entreprises d’extermination,   qui a permis  à la criminalité privée de se développer massivement. 
    – Comme les mafieux  ont toujours étroitement collaboré avec les pouvoirs communistes  et comme ils sont,  sauf exception,  plus soucieux  d’amasser du butin  que de se soucier d’appartenance ethnique,  a fortiori des Droits des peuples,   la résistance nationale albanaise à l’impérialisme  belgradois  et à ses séquelles, souvent dirigée (comme l’armée suisse)  par des universitaires,  ne peut pas être une émanation de cette pègre, les mafieux comptant plutôt au nombre des collabos de l’occupant.
    – L’indépendance du Kosovo accélérerait fortement la réduction,  déjà bien entamée,  de la criminalité dans la région :
    – parce qu’elle substituerait des hommes politiques élus  aux satrapes temporaires,  donc bien plus irresponsables,  de l’administration internationale ; 
    – parce qu’elle permettrait  de hâter la restauration de la police locale détruite par Milošević et sa bande ;
    – parce qu’elle éliminerait les excuses de l’illégalité  – notamment l’interdiction,  jamais acceptée,  de posséder des armes  et de se défendre soi-même.
    – Parce qu’elle supprimerait la première cause de tension :   le prétexte  à invasion,  massacres et annexions forcées  que,  depuis près d’un siècle,l’impérialisme belgradois y trouve dans la présence minoritaire des Serbes,  ce qui motive  les agressions des autochtones  contre eux et leur propriété .
    – Les soi-disant "criminologues"  et autres "experts" qui,  prétendant rendre compte de la criminalité balkanique,   ne disent pas un mot  de ces réalités-là,  sont des imposteurs et des jocrisses.


    29 juin 2007 à 13 h 53 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    29/06/07    – "Les 4-Vérités" –

    Les "aveux" du major général Mackenzie, je ne sais pas pourquoi, me font penser à ce mot que l’on prête à CHURCHILL lorsqu’il avait découvert l’invasion de l’Europe en ruines par l’UNIION DES REPUBLIQUES SOVIETIQUES SOCIALISTES : NOUS AVONS TUE LE MAUVAIS COCHON !

    Certes, je n’oublie pas les accusations qui ont été portées contre lui. Certains "posteurs" n’ont pas manqué de les relever. Mais, outre que je ne vois pas l’intérêt pour le major général Mackenzie, dans la situation où il se trouve, de se mettre à dos par ces accusations, les Américains ou le TPI, les gens qui veulent ouvrir les yeux savent très bien à quoi s’en tenir sur l’intervention de l’OTAN dans ce qui est le berceau de la Nation serbe. Il faut savoir que les albano-kossovars sont passés maîtres dans l’art de la victimisation. Il est vrai qu’ils sont servis par tous les idiots utiles qui peuplent le monde occidental et les médias à la botte. Il leur suffirait pourtant de se rendre sur le lieux. Non pour recueillir les témoignages de femmes violées, ou entendre les lamentations de ceux qui ont tous perdu un ou plusieurs membres de leur famille, chanson que l’on connaît trop de la part de gens qui sont passés maîtres dans l’art de susciter la pitié, mais pour constater comment les gentils Albano-kossovars victimes depuis des lustres des méchants serbes, se sont transformés en maffieux (1). Non seulement à l’égard du peu de Serbes qui osent encore rester sur place. Mais surtout dans leur mode de vie faite de trafics et de rackets en tous genres, de destructions d’églises et de lieux saints chrétiens, etc. Et si le témoignage du major général Mackenzie ne leur suffit pas, que les sceptiques daignent interroger les soldats français qui ont servi au KOSSOVO. 

    Oui mais voilà, le bourrage des crânes, le "bobardement" (comme disait, je crois, le regretté ABC) a été tel qu’il faudra sans doute le recul de l’Histoire pour que les thuriféraires de l’officier général canadien comprennent qu’une fois de plus, au KOSSOVO comme ailleurs ON LEUR A MENTI ! Et ce sera évidemment trop tard. Mais n’est-il déjà pas trop tard ?

             Cordialement, Jean-Claude THIALET   

    (1) certes on objectera que les "pauves" kossovars musulmans dans l’état de désolation du pays n’ont pas d’autres ressources; Mais pourquoi les Serbes, aussi bien ceux du Kossovo que ceux de Serbie n’en font-ils pas autant ? Il faut bien admettre qu’il est dans la nature de certains peuples de vivre aux crochets d’autres peuples, et de se comporter en maffieux…

    29 juin 2007 à 7 h 45 min
  • Anonyme Répondre

    Sur Wikipédia, c’est celui qui a la bande la plus grosse, ou celui qui sait flatter les petits chefs ; qui s’impose. 
    L’article présente faussement le Kosovo comme "serbe"  avant le XII° siècle,  tout en reconnaissant qu’il était peuplé de "Slaves".  En fait,  c’est sur l’empire byzantin que les Nemanjic ont progressivement conquis le Kosovo à partir de la fin du XII° siècle.  Empire byzantin qui l’avait lui-même conquis sur le royaume bulgare de Macédoine, lui-même constitué  par les Khans bulgares  au moment où les Slaves sont devenus majoritaires  au Kosovo,  au IX°siècle.
    Mais les premiers habitants du Kosovo étaient les Dardanes, tribu illyrienne,  les Illyriens  étant les ancêtres des Albanais,  comme le prouve le texte d’Alain Ducellier,  Professeur d’histoire médiévale des Balkans,  à l’adresse qui suit :
    http://pasta.cantbedone.org/pages/3SGZh9.htm

    Les mensonges des Serbes qui présentent les Albanais comme des "immigrés",  des "envahisseurs"  au Kosovo sont donc particulièrement odieux. Les envahisseurs ce sont eux,  et des envahisseurs tardifs, non seulement  au Kosovo,  mais relativement à leur présence dans les Balkans,  qu’ils ont commencé  à envahir au VI° siècle,  alors qu’ils n’ont envahi le Kosovo qu’au XII°.  Comme le rappelle l’historien Noel Malcolm, auteur de "Kosovo-A Short History",  les Serbes sont donc demeurés un demi-millénaire et un demi-siècle avant d’envahir ce territoire qu’ils présentent aujourd’hui comme "le berceau de leur nation".
    Cela fait partie des nombreux mythes que cet auteur réfute dans l’article dont voici l’adresse :
    http://www.h-net.org/~habsweb/syllabi/MalcomRes.html

    C’est la deuxième fois  qu’on fait ici de ma connaissance de ces faits un motif  de disqualification pour en parler  et je me demande vraiment lequel est le plus stupide : celui qui n’est pas capable de reconnaître cette compétence,  ou celui qui prétend en tirer une conclusion aussi absurde.  Je penche plutôt pour le second,  car pour le premier,  il lui suffirait d’être ignare, ce qui ne fait aucun doute. 

    Je n’en sais pas assez pour savoir si le général MacKenzie est le violeur que décrit le témoin que j’ai traduit.  Je que je sais, de science certaine pour avoir lu cet article que Les Quatre Vérités n’auraient jamais dû publier, c’est que c’est un menteur :  je ne crois donc pas un seul mot de ses protestations d’innocence,  ni de ses affirmations comme quoi l’enquête de l’ONU aurait prouvé qu’il avait un alibi,  ni comme quoi il ne chercherait pas à se servir de son immunité diplomatique d’alors pour se soustraire  à la justice.
    La présomption d’innocence  étant une technique de procédure pénale qui ne s’applique qu’aux autorités judiciaires,   je tiens de toutes façons qu’il est déjà,  pour ses faux témoignages répétés et apparemment stipendiés dans les milieux politiques où il a eu de l’influence,  convaincu non seulement de complicité de viol  mais de complicité de génocide.
    J’ai aussi lu les témoins  qui attestent l’avoir vu au centre d’esclavage sexuel des Serbolchéviques "Chez Tania" ("Kod Tanje").  J’ai déjà donné l’adresse de leurs témoignages en serbo-croate, voici une traduction de ces témoignages en anglais : http://www.bosniak.org/06/page.php?id=23
    Je constate que le procureur cantonal de Sarajevo, Oleg Čavka,  a un prénom chrétien et même russe d’origine varègue (suédoise),  et qu’il n’est donc pas bosniaque mais croate  voire serbe ; et je sais que la Bosnie-Herzégovine est un Etat souverain internatonalement reconnu  notamment par le Canada.  Comme le Tribunal Pénal International a refusé de se saisir de l’affaire MacKenzie,  celle-ci relève bel et bien du tribunal cantonal de Sarajevo,  juridiction où les faits allégués  se sont déroulés.
    Personne ne doute par ailleurs que le restaurant Kon-Tiki,  plus connu sous le nom de "Chez Tania",  était un centre d’esclavage sexuel serbolchévique : voici l’extrait du rapport Bassiouni de 1994 qui en parle http://www.ess.uwe.ac.uk/comexpert/ANX/VIII-07.htm#r3961.
    Le rapport Bassiouni a par ailleurs établi que les neuf dixième des crimes de guerre en Bosnie-Herzégovine ont été le fait des Serbes.

    29 juin 2007 à 3 h 29 min
  • PHIL Répondre

    oui, cet article est véridique et j’appuie à 100% sa véracité. Nous avons accueilli plusiers Serbes de l’ex-Yougoslavie ici au Québec et nous avons eu les témoignages de ceux-cis qui étaient sidérés de lire nos journaux gauchistes canadiens relatant les mensonges mondiaux de nos médias tordus! Honte à tous nos gouvernements occidentaux aveuglés et tordus!

    Attendez de voir les révélations prochaines de l’effroyable vérité sur les terroristes palestiniens! On n’a pas fini de découvrir les mensonges inter planétaires!

    29 juin 2007 à 2 h 29 min
  • François Guillaumat Répondre

    Voir aussi en anglais :

    Divers articles  rappelant la carrière du général MacKenzie comme faux témoin payé par les Serbes :

    http://www.geocities.com/famous_bosniaks/english/general_lewis_mackenzie.html

    http://srebrenica-genocide.blogspot.com/2006/08/general-lewis-mackenzie.html

    http://bosnjaci.net/egt.php?id=934

    http://bosnjaci.net/egt.php?id=923

    http://bosnjaci.net/egt.php?id=1053

    Article de Željko MILIĆEVIĆ, "Catholique romain",  rappelant que le Premier Ministre canadien en 1992, Brian Mulroney,  a épousé  une Serbe de Bosnie et l’accusant d’avoir personnellement envoyé le général MacKenzie en Bosnie-Herzégovine pour qu’il y favorise l’entreprise serbolchévique  en violation de son mandat supposé  de l’ONU. 
    Présente le général MacKenzie  comme un des plus grands faux témoins payés par le lobby serbe  en Amérique du Nord,  affirme que c’est à cause de lui que les Etats-Unis ne sont pas intervenus au début de la campagne de conquête et d’extermination serbolchvique en Bosnie.

    http://bosnjaci.net/egt.php?id=1013

     

    Un article de MacLean’s de 1997,  qui met lui aussi en cause  le général MacKenzie pour avoir couvert une affaire de viol collectif d’une handicapée mentale par ses subordonnés sur une base canadienne.

    http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=M1ARTM0011733

    En serbo-croate :

    Ici,  plusieurs témoins  y compris la précitée,  affirme avoir vu le général MacKenzie fréquenter le centre d’esclavage sexuel des Serbolchéviques "Kod Tanje" à Vogošća.

    http://www.irib.com/worldservice/bosnianRADIO/BiH%20i%20region/27.07185.htm

     

    Lettre à Michaelle Jean, Lieutenant-gouverneur du Canada,  lui reprochant d’avoir décoré  le général MacKenzie  après reçu la demande  de levée de son immunité diplomatique pour qu’il réponde  aux accusations de viol portées contre lui.

    La lettre  rappelle que l’intéressé nie totalement  le massacre de Srebrenica,  défini comme "génocide" par plusieurs jugements du TPIY et de la CIJ,  que de nombreuses publications le présentent comme payé par Serb-Net,

    " lobby ultra-nationaliste proserbe  qui opère  à partir de l’état américain de l’Illinois".

    http://bosnjaci.net/search.php?id=4892&from=erk_aktuelno

    Lettre  ouverte au général MacKenzie,  lui demandant pourquoi il se soustrait à l’enquête judiciaire.

    http://bosnjaci.net/search.php?id=4683&from=erk_aktuelno


    Lettre du Congrès des Bosniaques d’Amérique du Nord à diverses organisations féministes leur demandant leur soutien pour obtenir la comparution du général MacKenzie devant la justice bosnienne.

    http://bosnjaci.net/search.php?id=4578&from=erk_aktuelno

    Lettre du Congrès des Bosniaques d’Amérique du Nord aux dirigeants canadiens et bosniens pour rappeler des épisodes peu glorieux de la carrière du général MacKenzie et réclamer sa comparution devant la justice.

    http://bosnjaci.net/search.php?id=4520&from=erk_aktuelno

    Lettre du Congrès des Bosniaques d’Amérique du Nord aux dirigeants canadiens pour protester contre les honneurs dont ils ont couvert le  général MacKenzie malgré son passé de complicité avec les génocideurs,  et réclamer du gouvernement  bosniens qu’il lui interdise publiquement l’accès à la Bosnie-Herzégovine.

    http://bosnjaci.net/search.php?id=4380&from=erk_aktuelno

    Lettre au Rédacteur en Chef du Globe and Mail, disant au général ses Quatre Vérités (les VRAIES).

    http://www.bosniak.org/English/news_old_archives.php?id=67

     

    28 juin 2007 à 21 h 08 min
  • Anonyme Répondre

    Alexandre Del Valle dénoncait déjà il y a quelques années dans "Guerres contre l’Europe" la vaste opération de désinformation entrepris par les lobbies euro-mondialistes pour falsifier l’histoire, couvrir les enjeux géostratégiques au Kosovo et dans les balkans et les alliances contre-nature entre mafias islamo-fascistes de l’UCK et agents mondialistes. La nazification des serbes a été la plus grande tromperie, le plus grand mensonge de l’après-guerre, pour satisfaire les petits calculs des euro-fédéralistes prêts à toutes les horreurs pour faire avancer leur projet Eurabia et établir le grand Reich bruxellois sur des micro-régions artificielles en Europe. Voir aussi le médiamensonge du docteur Kouchner et des kapos de l’ONU : http://www.slavika.com/article817.html pour poursuivre l’épuration éthnique des serbes du kosovo et la destruction du christianisme balkanique avec la complicité des divisions de l’OTAN, embobinés par les expansionistes islamistes albanophones.

    28 juin 2007 à 15 h 19 min
  • Anonyme Répondre

    ca fait des annees que j attend un article comme celui la qui enfin revele la verite telle qu elle est !.

    on peut comprendre aisément, meme les plus idiots, ce qui se passe reellement au kosovo.

    il faut aussi faire attention aux mots utilises comme "tortionnaire", car n oubliez pas que De Gaulle n etait pas tout rose parce que francais, et ne parlons pas de W.

    a l otan maintenant de reconnaitre son erreur, et de s excuser platement aupres des pays bombardes.

    ouvrons les hostilites avec les pro shipteres.

    28 juin 2007 à 13 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    Merci Florin. C’est certain que quand les Français de souche se faisaient assassiner en Algérie,Cela créait moins de problèmes en France.N’est ce pas monsieur kouchner (je l’écrit en petit car je n’ai aucune estime pour ce monsieur) Et en y regardant de plus près,on se rend compte que nos têtes bien -pensantes se mettent toujours du coté de l’islam.Pourquoi????????

    28 juin 2007 à 12 h 07 min
  • un francais Répondre

    Et moi j’ai une pensée pour tous les kosovars qui sont en France pour avoir fuit le genocide "inexistant", ainsi que tout ceux qui sont rester dans leur pays mortelé. et tous ceux qui ont perdu des être leur étant cher dans me genocide "inexistant"

    Cette remise en question du genocide me fait penser aux propos d’un certain Le Pen quant au genocide juif. Ca m’ecoeur! Qu’on ai ces propres conviction est normal, mais qu’on crache et qu’on reni la mort de millier de personnes est une grande preuve d’inhumanisme.

    Et toi Gaius elles viennent d’où tes sourcres? C’est jolie de dire aux autres qu’ils n’ont pas de sources valable quand on ne mentione meme pas les siennes…

    28 juin 2007 à 8 h 42 min
  • curieux Répondre

    Elles sont ou les preuves de toute vos accusations?…

    28 juin 2007 à 1 h 50 min
  • steev Répondre

    Je viens de lire cet article qui pour ma part possede une part de verité,beaucoup de personnes ont perdu la vie dans cet région serbes,albanais,tzigane et autres minorité à qui la faute?Au sebes qui n’on fait que combattre le terrorisme (uck),defondant ça population,son integrité et sa souveraineté.Je vous le rapelle à tous,le kosovo est une PROVINCE SERBE à majorité albanaise mais faud tenir compte de toutes les autres minorités.Qui a finançé l’armement de l’uck des taxes prelevées par la popultion albanaise (environs plus  un million de mark par jours),sans compter alquaida et chez qui se fournisaient t’ ils "le plus grand marchand d’arme les etats unis".On parle de genocide de crime contre la population albanaise et les serbes n’ont t ils pas subit exactions commient par des criminelles albanais.Et oui messieur les albanais ont eus aussi  du sang sur les mains et  aujourd’hui la situation au kosovo n’est pas reglé prostitution drogue se qui arranges la mafia.

    A l’avenir avant de vous faire une oppignon en regardant  le journal de 20 heures comme des blerots moyen,verifier si tout est vraix.

    J’ai une pensée pour  toutes les victimes tombées en exyougolsavie

     

    27 juin 2007 à 23 h 25 min
  • besogambino Répondre

    Si le site "4verites" annonce des articles pareilles, alors il voudrai mieux changer de titre puisque la verité n’existe pas dans le contenu son article. puis il nous donne plus envie de lire d’autre article

    besogambino

    27 juin 2007 à 21 h 11 min
  • Florin Répondre

    A chacun ses morts, à chacun ses torts. Une guerre (civile, ou de "libération nationale") n’est jamais une promenade tranquille.

    Qu’aurions-nous dit si, en ’58, en ’60 voire après, l’OTAN avait bombardé Paris pour "intervenir" dans la guerre algerienne ?!

    Lorsque l’armée mate une rébellion, il y a forcément de la casse. Si les paras ont rétabli le calme à Alger en 1960, ce n’est pas en prêchant la bonne parole et les droits-de-l’homme; ils ont interpellé, interrogé et liquidé les poseurs de bombe et les égorgeurs. On peut, après coup, glosser sur le sens de l’Histoire, sur le Bien, le Moins-Bien et même le Mal … Mais, sur place, face à la barbarie, les choix sont très limités : vous flinguez – ou vous êtes flingué. Voilà tout.

    Là où je ne suis plus d’accord, c’est lorsque l’on dilapide l’argent de  nos impôts pour faire la paix à droite et à gauche, en aggravant le plus souvent la situation (voir la guerre Iran-Irak des années ’80, sponsorisée par les pays occidentaux; voir l’Irak d’aujourd’hui, où le seul espoir qui reste c’est la fuite; voir l’Afghanistan, libéré des Soviétiques avec l’aide de la CIA et des armes fournies par l’oncle Sam, armes ensuite retournées contre leur fournisseur depuis un pays retombé au Moyen Age et laissé en proie aux enturbannés de la pire espèce – comme quoi il existe en fin de compte une JUSTICE, qui marche à la manivelle – et au retour de manivelle …)

    27 juin 2007 à 20 h 24 min
  • Olivier Répondre

    Salut,

    Je ne sais pas qui est c general je sais qui existe et qui a ete vraimment en bosnie.

    Je sais que il y a eu une guerre labas donc des morts a priori les serbes ete plus fort ils ont donc surement tuer plus de muslmans albanais.

    En tout cas je sais aussi que le kosovo est belle et bien un repere des mafieux et pas besoin du generale pour le savoir france 3 arte TF1 plein de repportage on montre que 80 % des protituers et de la drogue en europe vient du Kosovo.

    Cette article ne nous apprend rien de plus sur le Kosovo … c une region pourri juska los … perso je serais serbe jen voudrais meme pas dans mon pays lol :)

    le truc c ke une fois independant et il le sera … Je pense que cela sera pire dans quelque annee.

    Jai vu aussi ke le president du montenegro ete un mafieux … trafic de cigarette …

    Source le monde  http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-928103@51-928214,0.html

    En faite je pense que c peuple ne merite rien de mieux ke un milosevic pour les gouvernes …

    27 juin 2007 à 20 h 17 min
  • gaius Répondre

     François Guillaumat tu n’as aucune source valable et ce n’est pas en énumérant des chiffres sortis de ton tiroir et de mettre une tonne de texte qui va te rendre crédible, la vérité c’est qu’il n’y a jamais eu de génocide au kosovo, et pour preuve ce soit disant génocide n’est mentionné nul part et il n’a aucun chiffre officiel qui dépasse les 2000 victimes citées en premier …

    Quand à toi Terrien , tes invitations de censure tu peux te les garder , la liberté d’expression existe encore , si tu n’est pas content va exercer ton droit de libre pensée en Albanie ou au Kosovo pour voir …

    Critiquer les tueurs de l’uck c’est être pro-serbe selon vous ? Il semblerait qu’il y ait beaucoup d’albanais réfugier en France, j’espère que vous n’allez pas nous faire le coup comme au Kosovo les gars, faire plein de gosses puis dire que la terre est à vous parce que vous êtes les plus nombreux.

    Pour finir je me marre bien de lire des pro-albanais qui fustigent un pro-serbe , quelle objectivité de votre part  , remettez votre impartialité manichéenne en question avant d’accuser les autres !

    27 juin 2007 à 20 h 11 min
  • Un francais Répondre

    Quel ramassi de mensonges !!
    Je ne connais pas un seul kosovar qui n’a pas perdu un être cher durant le massacre des serbes !
    Je n’ai également jamais rencontré de personnes aussi agréables et serviables que les kosovars !
    Le pays sombre dans la violence ? Qu’ont ils d’autre ? A peine plus de 300€ pour 39/s travaillé tandis que certains francais de la KFOR eux sont remunerés plus de 1900€ sans parler des primes !
    Et un statut batard depuis des années, avec un statut définitif sans cesse repoussé à cause des enjeux internationaux. A ces sur, les pauvres petits kosovars ils doivent se sentir heureux aux milieu du conflit Occident / E.U     Russie
    Mais eux ? Est ce qu’on se souci d’eux ? Non rien du tout, seul les interets internationaux ont un interet dans les discutions. Alors comment voulez vous qu’ils restent "zen" face a ce mepris, face a cette indiference !

    Le Kosovo est peuplé de gens biens qui ne demandent qu’a avoir leur chance. Et je suis convaincu que si on leur laisse leurs chance le Kosovo se relevera et sera fort !
    Mais si nous attendons il va effectivement sombrer dans la violence, le terrorisme et la mafia.

    Je tiens avant de terminer, à preciser que tous les kosovars que je connais, veulent un Etat indépendant et non pas un ratachement a l’Albanie pour la Grande Albanie. Dans leur coeur leur lange est l’albanais, leur drapeau est l’aigle a deux tetes, mais ils sont avant tout kosovars et non pas albanais !

    27 juin 2007 à 19 h 20 min
  • Gérard Pierre Répondre

       L’interview du major général Mackenzie, que l’on voit reproduite ici, est parue dans THE NATIONAL POST le 06 avril 2004. Quel est l’intérêt de l’exhumer aprés plus de trois ans ?

       Pourquoi la réponse du berger à la bergère a-t-elle mis trente mois avant d’apparaître ( je cite: Le général canadien à la retraite Lewis Mackenzie, ancien commandant des forces de maintien de la paix de l’ONU pendant la guerre de Bosnie (1992-1995), a été mis en cause jeudi par un procureur bosniaque pour viol de Musulmanes bosniaques.) … ? ? ? Je rappelle que cette information est datée du jeudi 12 octobre 2006.

       «Selon les témoignages de plusieurs femmes, il s’était rendu à plusieurs reprises dans un camps de détention. Il a été non seulement témoin de viols mais il a lui même violé» des femmes incarcérées par les forces serbes bosniaques, a déclaré à l’AFP Oleg Cavka, procureur auprès d’un tribunal régional de Sarajevo.

       Questions : La présomption d’innocence ne concerne pas ce général ?…… d’autre part, quelles garanties d’impartialité offre un statut de procureur bosniaque sur le plan international ?

       Par ailleurs, qui s’abrite derrière les pseudonymes Fatmir, Savo, Terrien, Liliboy ? …… quant à monsieur François Guillaumat, alias monsieur " MOIJESAIS ", il a déja fait la démonstration de son " impartialité intellectuelle " lors de précédents commentaires sur un sujet relatif aux problèmes de la Yougoslavie.

       Que ce général peu conventionnel en matière de bien pensance politique soit bassement attaqué n’a rien d’étonnant. Sur le fond, je suis un peu rassuré que de tels personnages, qui ont une expérience et une expertise internationnalement reconnues dans le domaine de la peacekeeping ( il a commandé des troupes à Gaza, à Chypre, au Vietnam, au Caire, en Amérique Centrale ) se rendent compte de la réalité. Imaginer qu’à Sarajevo, où il avait la responsabilité des contingents de 31 nations, sa préoccupation ait été d’aller violer des femmes prisonnières est assez peu crédible.

       Mais on connait le dicton: " Mentez, mentez et mentez encore, il en restera toujours quelque chose."

       Encore une petite précision: le général Mackenzie est en retraite depuis mars 1993.

       Vive la SERBIE LIBRE.

      

    27 juin 2007 à 18 h 20 min
  • gugusse Répondre

    À la fin du XIIe siècle, la dynastie serbe des Nemanjić, originaire de Zeta, entreprend de libérer les territoires serbes à partir de leur fief de Rascie. Les Nemanjić parviennent à étendre considérablement la Serbie vers les terres slaves du sud. Ils décident donc de déplacer le centre de gravité du Royaume de Serbie vers le Kosovo, qui se retrouve au centre de l’État serbe médiéval. À cette époque, sous l’impulsion de Saint Sava, l’Église orthodoxe serbe devient autocéphale. Durant le règne du roi Milutin, de nombreux édifices destinés à la vie spirituelle du peuple serbe (églises, monastères) sont édifiés en Rascie, en particulier au Kosovo. Le patriarcat de l’Église orthodoxe serbe, d’abord installé à Žiča, est transféré à Peć en 1346 par l’empereur Stefan Dušan, le plus illustre souverain de Serbie.

    …………………………………………..
    ………………………………………..
    ………………………………………

    C’est alors qu’au milieu du XIVe siècle, profitant des querelles intestines à Byzance, les Ottomans s’installent pour la première fois en Europe, à l’ouest du Bosphore, établissant leur nouvelle capitale à Andrinople et procédant à des implantations de Turcs jusque dans la vallée de la Maritza. Le 26 septembre 1371, un affrontement décisif oppose les Ottomans à l’armée de Jovan Uglješa, seigneur d’un petit fief au sud de la Serbie, et celle de son frère, le roi Vukašin Mrnjavčević, cosouverain de Serbie avec l’empereur Uroš. Ce jour là, bien que supérieure en nombre, l’armée serbe est vaincue par la ruse d’une attaque surprise des forces ottomanes de Lala Sahin-pacha et d’Evrenos-bey, à la bataille de la rivière Maritza, au cours de laquelle Uglješa et Vukašin sont tués. Les Ottomans n’ont alors aucun mal à décimer l’armée serbe, s’ouvrant par la même occasion la porte des Balkans. Immédiatement affectée par la défaite serbe, Byzance est obligée de reconnaître la souveraineté ottomane

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Kosovo

    le probleme du kosovo et de la bosnie est surtout religieuse. historiquement il est indeniable que la region etait catholique et faisait partie integrante de la serbie. tout comme la palestine etais le berceau du christianisme. on vois ce qu’il en est aujourd’hui.

    peut etre est-ce une bonne repetition pour ce qui va se passer en france dans quelques temps……

    27 juin 2007 à 18 h 06 min
  • François Guillaumat Répondre

    http://www.monitor.cg.yu/ARHIVA/a_835_09.html
    "SOLDAT DE LA PAIX OU VIOLEUR?"
    article de Šeki Radončić dans "Monitor" (Podgorica, Monténégro), 2006

    Rend compte de l’information ouverte contre le général MacKenzie  par Oleg Čavka, procureur cantonal de Sarajevo,  et reproduit  le témoignage d’une des femmes qu’il a violées paru dans l’ouvrage "Molila sam da me ubiju  – zlocin nad ženom BiH"   ("Je les suppliais de me tuer – crimes contre les femmes de Bosnie-Herzégovine")  du Centre de Recherche et de documentation de l’Union des Prisonniers de Bosnie-Herzégovine :

    "Je me suis réveillée  le matin aux environs de 6 heures,  ne sachant pas ce qui se passait,  ce qui était arrivé à mon bébé,  où il se trouvait,  s’il avait besoin de soins, si je le reverrais jamais. 
    "Le soir, vers 20-21 heures le commandant Vlado de Vogošća est entré dans la chambre et m’a ordonné  de me préparer et de sortir avec lui.   Il m’avait apporté  un sac avec des vêtements de femme usagés mais propres. Quand j’ai été prête il m’a amenée à sa Djeep ou,  avec deux soldats de plus,  il m’a amené à une villa assez grande. Il m’a dit que je si je voulais retrouver mon bébé il faudrait que je sois très compréhensive,  parce que dans cette villa j’allais recevoir la visite  d’un monsieur étranger,  qui pourrait beaucoup m’aider si j’étais gentille avec lui. 
    "Il m’a enfermée dans cette villa… Immédiatement après, un officier de haut rang est entré dans la pièce avec deux autres personnes.  J’ai reconnu le général Lewis MacKenzie, qui m’a accueillie  à bras ouverts, me donnant du "mademoiselle" (en anglais).  Dans la main droite il tenait un bouquet de roses rouges, qu’il m’a collé dans les mains malhabiles et terrifiées. Pendant qu’il faisait cela,  ses accompagnateurs  ont quitté la pièce et verrouillé la porte.
    "Le général MacKenzie m’a demandé comment je m’appelais, d’où je venais… Je me taisais et je faisais comme si je ne comprenais rien. Je haussais les épaules et je me reculais doucement, jusqu’à ce que le général MacKenzie me dise en anglais :

    "mademoiselle, vous parlez très bien l’anglais et vous comprenez tout. Je suis ici pour vous aider. C’est dans votre intérêt. L’amour par intérêt est l’amour le plus fort.’

    "J’avais compris dans quelle situation je me trouvais.  Enfermée,  et séparée de mon bébé de neuf mois. Nous étions tous les deux impuissants et prisonniers.  "Toute résistance était vaine.  J’aurais résisté, je me serais battue, si j’avais été seule, si personne n’avait dépendu de moi. Mais là, je pensais à mon fils et j’était prête à subir la souffrance et l’humiliation, et la douleur physique et morale pour me retrouver avec lui, même dans ces conditions d’enfermement et d’incertitude qu’entraîne l’emprisonnement.
    "Sur fond de musique serbe venue de la radio, le général a satisfait son envie, pendant que moi je défendais mon bébé. Dents serrées, coeur fermé. Cela a duré,  avec de nombreuses interruptions, pendant plus de vingt jours.  Le général  est venu me voir sept ou huit fois.  Je lui demandais qu’il  fasse en sorte que les Tchetniks me rendent mon bébé et nous laissent partir.  Il ne faisait que dire "demain, demain, patience…" Après une vingtaine de jours deux soldats sont venus me prendre à la villa et livrée au commandant Vlado à Vogošća…
    "Le général MacKenzie ne s’est pas servi de ses poings pour me contraindre à un rapport sexuel. Il ne m’a pas battue. J’étais seulement allongée.  Il ne m’a pas frappée, forcée,  mais il m’a eue comme prisonnière sans défense. Pendant qu’il jouait l’officier et le gentleman à la rose, la chambre était fermée à clé, et la maison était encerclée  par une garde de Tchetniks.  Je fais ce témoignage sans la moindre contrainte, pour pouvoir respirer, pour me soulager dans l’espoir de rencontrer un jour le général, ce Lewis MacKenzie,  particulièrement pour lui poser une ou deux questions en public à la télévision et pour le regarder droit dans les yeux, les yeux d’un grand ami des criminels de guerre tchetniko-serbes.

    27 juin 2007 à 17 h 39 min
  • Jaures Répondre

    Les charniers que l’on déplace la nuit pour les faire croire plus nombreux (R.Ed) ? Cela me rappelle certains discours négationnistes qui affirmaient que les cadavres d’Auschwitz ou Dachau arrivaient tout droit de la fosse commune. D’ailleurs on trouve beaucoup d’esprits avisés pour nier le génocide Kurde de Saddam. N’aurait-on pas aussi déménagé quelques cadavres pour mieux accuser le président irakien ? On trouvera bien sur ce forum, ou un autre, quelqu’un pour appuyer cette thèse avec force conviction.

    27 juin 2007 à 17 h 27 min
  • liliboy Répondre

    c”est n’importe quoi  mais bon

    27 juin 2007 à 15 h 28 min
  • Terrien Répondre

     Article faux, intox, et sans intérêt « Pro Serbe ».

    Pour la mémoire des victimes innocentes « enfants, femmes, etc. » massacré par l’armée Serbe, j’invite le modérateur a bien vouloir retirer cette article du site.

    D’autre part prie tout les lecteurs ne pas en tenir compte de cette article qui ne révèle que de la propagande Serbe et Communiste diffusé par dans passé par les media Serbes sous le régime Dictateur de Milosevic.

     

    Amicalement

    Un rescapé de la guerre

    27 juin 2007 à 12 h 39 min
  • François Guillaumat Répondre

    C’est faussement qu’on présente McKenzie comme un "général de l’OTAN",  comme s’il avait participé au bombardement des Serbolchéviques en 1995 et 1999,  puis  se serait rendu compte de son erreur pour faire amende honorable. 

    En réalité,  cet individu  n’a fait que commander les casques bleus en Bosnie-Herzégovine pendant les premiers mois de l’agression serbolchévique,  pour quitter précipitamment le pays en août 1992, face aux accusations de viol qui pesaient et pèsent encore sur lui.  Et il a toujours  été complice des serbolchéviques,  dont il répète encore aujourd’hui les mensonges  avec une application qui lui fait oublier tout souci de vraisemblance.

    2 000,  c’est le nombre des Albanais que les Serbolchéviques ont assassinés au Kosovo rien qu’en 1998,  pendant cette première année de la guerre où on n’a pas vu ni entendu les soi-disant "pacifistes".

    L’impérialisme de Belgrade a tué 13 000 Croates, 65 000 Bosniaques et 12 500 Albanais.  On a retrouvé 1 000 cadavres de Kosovars rien qu’en Serbie,  où Milošević  les avait transportés  pour les cacher à la justice internationale.

    L’usage est qu’on ne retrouve que la moitié des victimes de tels massacres.  Ici,  on en a retrouvé les deux tiers.

    Dans tous les cas, ces massacres  visaient à chasser de chez elles les populations non serbes  par la terreur, pour leur voler leur terre : 280 000 Croates, 1 million de Bosniaques,  1 million d’Albanais.

    Il est vrai que, si les casques bleus sont venus dans la région, c’est parce que jusqu’en 1994  la plupart des politiques occidentales  étaient complices des Serbolchéviques : le Plan Owen,  à l’instigation des Britanniques,  les a fait venir en Croatie pour y protéger les conquêtes des Serbes qui étaient en train d’y  perdre la guerre)  et leur permettre d’attaquer la Bosnie,  ce qu’ils ont fait grâce à cette aide internationale – laquelle avait en outre interdit à ses victimes de s’armer,  par l’embargo du 25 septembre 1991, illégalement appliqué  à la Bosnie-Herzégovine après sa reconnaissance internationale en avril 1992.

    Puis les casques bleus sont intervenus en Bosnie mais,  à l’initiative de Mitterrand qui était lui aussi complice de Milošević,  pour servir d’alibi humanitaire au nettoyage ethnique des non Serbes par les Serbolchéviques :  Mitterrand,  qui avait empêché  l’intervention armée de l’Union Européenne par son voyage à Sarajevo du 28 juin 1992.

    Les Américains ne sont vraiment intervenus qu’en 1994, grâce au changement de gouvernement en France (Juppé devenant Ministre des Affaires étrangères) qui leur a permis de surmonter enfin  enfin la complicité  des Britanniques avec Milošević.

    Cela faisait alors trois ans que la communauté internationale avait constaté la dissolution de la Yougoslavie.  La soi-disant "République Fédérale de Yougoslavie", instituée en avril 1992 par Milošević et son complice Bulatović comme une union plus ou moins volontaire de la Serbie et du Monténégro,  était  un tout autre État, entièrement nouveau et d’ailleurs éphémère, puisqu’il a disparu en juin 2006.

    C’est pourquoi la Bosnie-Herzégovine était internationalement reconnue depuis avril 1992  et, depuis la même date, victime d’une agression militaire de la part de sa voisine la soi-disant "République Fédérale de Yougoslavie".

    C’est en raison de cette agression,  par ailleurs sanctionnée par un embargo à l’encontre de la soi-disant "République fédérale de Yougoslavie", que le mandat des casques bleus avait été voté  au titre VII de la Charte des Nations-Unis,  laquelle aurait dû leur faire obligation de se battre pour défendre la première contre la seconde.

    On peut imaginer que ces soldats, contraints sur ordre de rester passifs  devant l’agression serbe,  aient fini par rationaliser les crimes de guerre dont on les rendait complices,  et par accuser les victimes :  il y a bien le syndrome de Stockholm, pourquoi pas  le syndrome de Sarajevo ?

    Il reste qu’il y a eu des généraux,  français et  américains, qui n’ont pas eu cette faiblesse et qui ont réagi autrement :  qui témoignent encore aujourd’hui des crimes des Serbes,  et qui ont accueilli avec allégresse l’ordre de leur répondre enfin.


    Les accusations de contacts de l’UÇK avec ben Laden sont des mensonges de propagande.

     
    "Au début des années 1990",  la politique des Kosovars,  dirigés par Ibrahim Rugova,  a été celle d’une non-violence absolue ; c’est seulement à la fin de 1996  que les premiers attentats  ont commencé  avec l’UÇK et les FARK,  parce que les Occidentaux  ont refusé  d’inclure les Droits du Kosovo dans les négociations avec les Serbes sur la Bosnie-Herzégovine.

    Par conséquent,  si

    "nous ne leur avons jamais reproché d’être responsables des violences du début desannées 90"

    comme le dit ce menteur de McKenzie,  c’est parce que toutes les violences étaient serbes.

    La guerre,  elle,  a commencé en mars 1998 parce que Milošević  a fait massacrer des familles entières dans la Drenica,  signifiant à toute la population que les femmes et les enfants seraient désormais visés.  La soldatesque serbe  a systématiquement détruit les villages,  assassinant 2 000 personnes  et détruisant 50 000 maisons,  pour jeter leurs habitants  à la rue ;  au plus fort de cette campagne de nettoyage ethnique,  on comptait  dans les collines 330 000 réfugiés,  sans rien à manger et exposés à toutes les intempéries.  C’est pour cela que l’OTAN  a fini par intervenir.


    Aucun politicien kosovar ne s’est déclaré en faveur de la "grande Albanie"  qui serait pourtant, à la différence de la "Grande Serbie",  légitime :  les territoires concernés sont tous peuplés d’une majorité absolue, compacte d’Albanais,  et c’est l’impérialisme serbo-monténégrin qui a annexé  la moitié de ces territoires albanais,  et avec elle la moitié de la population albanaise -preuve que les territoires qu’ils volaient n’étaient pas moins albanais que ce qui est aujourd’hui l’Albanie.

    La "Grande Albanie"  est principalement  un thème de propagande serbe,  à la fois pour effrayer les ignorants,  qui ne connaissent pas l’histoire de la région ni sa composition ethnique,  et pour proposer des échanges de territoires dont personne d’autre ne veut :  ce sont les Serbes qui, depuis le début,  méprisent et violent  les frontières établies.
     

    Avec 90 % d’Albanais,  le Kosovo est déjà monoethniquement albanais.

    Si on fait toute cette histoire pour reconnaître son indépendance  c’est uniquement parce qu’il y a quelque Serbes (7 %)  et que,  jusqu’aux exploits du camarade Milošević, seuls les mensonges historiques des Serbes  passaient en Occident.

    Si ce pays n’avait pas, pour son malheur,  une minorité serbe,  l’indépendance  irait absolument de soi :  c’est ce qui s’est passé pour la Slovénie,  elle aussi peuplée de 2 millions d’habitants,  dont également 90  % de l’ethnie principale.  A l’inverse  la Macédoine,  avec ses 2 % de Serbes à tout casser,  les Serbes l’ont annexée de force en 1913,  et appelée  "Serbie du sud"  jusqu’en 1941.  Et en 1993,  témoigne le journaliste grec Takis Michas,  Milošević complotait encore  avec Papandreou pour se la partager avec la Grèce.


    Quant au phénomène mafieux,  il  concerne  tous les Balkans ex-communistes  et particulièrement la Serbie  où l’illégalité  était  devenue  un instrument principal du régime :  les avions de la Vojska Jugoslavije,  l’Armée de Milošević,  servaient  à transporter de l’héroïne.  Au Monténégro,  c’étaient les cigarettes,  avec l’Italie.
     

    Le Kosovo ne se distingue que parce que Milošević y a détruit la police locale en 1989  et que les Organisations internationales y fournissent la clientèle des prostituées.

    Et la criminalité n’y est pas plus élevée que dans les grandes villes occidentales.

    27 juin 2007 à 12 h 21 min
  • savo Répondre

    oui major se que vous dites je sait  pas ou vous avez trouve tout ca je sait une chose que en 1999 la serbie et montenegro a ete bombarde justement pour tuer le tiran comme slobdon milosevich et tout ca politques genocidaire a l ancontre  des kosovar albanais alors vous me dirie que ya pas ue de genocide allez voir les archive des charnier et des tombes au kosovo et ses villages qui  sont vider de la population  de la part de la arme serbe et ces teroriste comme arkan et les tigres vous pourrez dires ne importes .mais le chose se sont paser commsa nous les kosovar en ete victime de la guerrre serbes  nous meriton notre libertes  merci

    27 juin 2007 à 12 h 16 min
  • un francais de base Répondre

    Un très bon résumé! De nombreux témoignages semblent confirmer le contenu de cet article.

    Dommage que les médias nous  cachent ces faits depuis si longtemps!

     

    27 juin 2007 à 11 h 49 min
  • R. Ed. Répondre

    C’est aussi une des raisons pour laquelle on a assassiné Milosevic.

    Quant aux "charniers", les Albanais les déplaçaient la nuit , pour en augmenter le nombre.

    Et le gouvernement serbe qui a vendu son président pour des dollars.

    Tout beau, tout beau tout ça.

     

    Il y a de quoi être fier !

    27 juin 2007 à 11 h 00 min
  • gaius Répondre

    Il est toujours bien qu’un général commence à parler et à énnoncer la triste vérité (une vérité qui nous savions depuis des années déjà) , l’affaire du Kosovo est  un farce parmis la MULTITUDE de mensonges qu’ils nous font avaler CHAQUE JOUR.

    Honte sur nous qui avons bombardé les bus et les trains de nos frères serbes pour mettre au pouvoir un clique de marxiste musulmans , des maffieux sans foi ni loi …aux piloris les im*béciles qui ont demandé et soutenus la destruction de la Serbie .

    Je ne sais pas ce qui m’écoeure le plus ,les traitres comploteurs franc maçons (les FM comme on les appelle ici) ,  les kollabos aux ordres de ces même FM , les lâches qui savent et qui se taisent ou les gognols imb*éciles qui regardent la TV et qui ochent la tête à toute la bouillis qu’on leur sert chaque jours.

    27 juin 2007 à 9 h 41 min
  • fatmir Répondre

    Il ete  un des puls grandes por -serbe du monde on sais son contribu pour les Serbe il e responsable pour pas mal de massacre dans Bosnie  .

    27 juin 2007 à 9 h 40 min
  • François Guillaumat Répondre

    le général McKenzie n’est pas seulement un imbécile comme son homologue Sir Michael Rose : c’est aussi un propagandiste payé par le Serbian Unity Congress, qui nie la réalité du massacre de Srebrenica. Il sympathisait depuis le début avec les assassins de masse Radovan Karadžić et Ratko Mladić et pèsent sur lui des accusations persistantes d’avoir, dans un camp serbe de prisonniers, violé quatre adolescentes bosniaques, qui ont ensuite été assassinées.

    http://www.cyberpresse.ca/article/20061012/CPACTUALITES/61012021/5281
    VIOLS DE MUSULMANES
    Bosnie: un ancien général canadien mis en cause
    Agence France-Presse12 octobre 2006

     

    Sarajevo — Le général canadien à la retraite Lewis Mackenzie, ancien  commandant des forces de maintien de la paix de l’ONU pendant la  guerre de Bosnie (1992-1995), a été mis en cause jeudi par un  procureur bosniaque pour viol de Musulmanes bosniaques.

    «Selon les témoignages de plusieurs femmes, il s’était rendu à  plusieurs reprises dans un camps de détention. Il a été non seulement  témoin de viols mais il a lui même violé»

    des femmes incarcérées par  les forces serbes bosniaques, a déclaré à l’AFP Oleg Cavka, procureur  auprès d’un tribunal régional de Sarajevo.

    «Une enquête contre Mackenzie a été ouverte en 1998, mais nous n’avons  pas pu l’achever car il n’a pas été interrogé»,

    a-t-il ajouté.

    Ce camp de détention, dit «[Chez] Sonja ["Kod Sonje"]», avait été  mis en place dans les faubourgs de Sarajevo.

    M. Cavka a refusé de dévoiler le nombre de femmes qui accusent le  général canadien de viol.

    Il a expliqué que l’ancien commandant de l’ONU ne pouvait pas être inculpé avant d’être interrogé par la justice locale.

    La justice bosniaque a demandé à plusieurs reprises aux autorités canadiennes l’autorisation d’interroger le général Mackenzie mais n’a jamais eu de réponse, selon la même source.

    Selon la presse bosniaque, plus de 300 personnes détenues dans le «camp Sonja» sont portées disparues.

    Unanimement respecté au Canada pour son rôle en Bosnie, le général Mackenzie avait été accueilli en héros au début de la guerre, puis  rejeté par les Musulmans qui l’avaient considéré comme «pro-serbe».

    Mackenzie a commandé les troupes de l’ONU pendant les premiers mois du  conflit. Après avoir critiqué de façon sévère le rôle onusien dans ce pays, il avait été remplacé en août 1992. ["inexplicablement", après  les premières accusations de viol portées contre lui]

     

    http://cyberie.qc.ca/jpc/2006/10/silence-autour-de-lewis-mackenzie.html

    14.10.06

    Silence autour de Lewis MacKenzie

    Lewis MacKenzie

     

    Le général des Forces canadiennes Lewis MacKenzie est mis en cause dans ce qui serait une sale affaire qui remonte à l’époque où il commandait le contingent de maintien de la paix de l’ONU en Bosnie (1992-1993).  Une dépêche de l’AFP reprise dans Cyberpresse nous apprend que «“Selon les témoignages de plusieurs femmes, il s’était rendu à plusieurs reprises dans un camps de détention.  Il a été non seulement témoin de viols mais il a lui même violé” des femmes incarcérées par les forces serbes bosniaques, a déclaré à l’AFP Oleg Cavka, procureur auprès d’un tribunal régional de Sarajevo.[…]  Ce camp de détention, dit “Sonja”, avait été mis en place dans les faubourgs de Sarajevo.  M. Cavka a refusé de dévoiler le nombre de femmes qui accusent le général canadien de viol.  Il a expliqué que l’ancien commandant de l’ONU ne pouvait pas être inculpé avant d’être interrogé par la justice locale.  La justice bosniaque a demandé à plusieurs reprises aux autorités canadiennes l’autorisation d’interroger le général MacKenzie mais n’a jamais eu de réponse, selon la même source.» (Voir Bosnie : un ancien général canadien mis en cause, Cyberpresse, 12 octobre 2006.)

    C’est en soi une grosse nouvelle.  Depuis sa retraite en 1993, MacKenzie a publié un livre sur ses expériences de maintien de la paix, Peacekeeper: The Road to Sarajevo, il est très présent dans les médias anglophones canadiens, signe des articles dans le Globe & Mail, et est souvent invité à titre d’analyste et d’expert par les chaînes de télévision.  À titre de conférencier, il est représenté par la prestigieuse agence Lavin.  Il est également membre associé de l’Institut canadien d’Études stratégiques, une influente cellule de réflexion.

    Des allégations d’inconduite à l’égard du général ont déjà circulé.  Dans un article de juin 1993, le journaliste Dennis Bernstein du Pacific News Service rapportait que MacKenzie aurait fait l’objet d’une mise en accusation par un procureur militaire, Mustafa Bisic.  Il aurait été accusé d’avoir agressé sexuellement quatre jeunes femmes bosniaques internées dans un camp près de Sarajevo.  En décembre 1992, Bisic aurait écrit au président bosniaque citant des témoins qui disaient avoir vu MacKenzie arriver au camp accompagné d’autres militaires dans un véhicule de l’ONU.  MacKenzie aurait demandé qu’on lui remette les quatre femmes.  Ces dernières auraient par la suite été assassinées pour «effacer les preuves» selon Bernstein.  (Voir Answers needed to charges of UN misconduct in Bosnia, reproduit du Pacific News Service, 4 juin 1993.)

    La recherche de Bernstein pour cet article a été financée en partie par le Fund for Investigative Journalism de Washington, mais le texte a eu peu de suites.  MacKenzie a accordé des entrevues dans la presse européenne et canadienne et a dit être victime d’une campagne de diffamation menée par des Bosniaques qui lui reprochaient d’avoir favorisé les Serbes.  L’existence d’une vidéo compromettante rapportée par la représentante au congrès des États-Unis, Louise M.  Slaughter (démocrate, New York) ainsi que d’autres déclarations de témoins ont rapidement été éclipsées.

    Sauf qu’avec les nouvelles allégations rapportées par l’AFP, l’affaire semble renaître.  Il s’agit tout de même d’accusations officielles portées par un procureur auprès d’un tribunal régional de Sarajevo concernant une figure quasi mythique de l’histoire militaire canadienne.

    Ce qui étonne dans cette histoire, c’est le silence qu’on contate dans nos médias.  Outre la dépêche de l’AFP reprise dans Cyberpresse, il n’y a qu’un journal grec, Kathimerini, qui en fasse mention en reprenant les infos de l’AFP.

    Voir aussi en anglais :

    http://www.geocities.com/famous_bosniaks/english/general_lewis_mackenzie.html

    http://srebrenica-genocide.blogspot.com/2006/08/general-lewis-mackenzie.html

    27 juin 2007 à 4 h 00 min
  • bart Répondre

    Autant de mensonges haineux, même la majorité des serbes s’abstiennent. Ce "général" aurait du naitre à l’époque des hitlériens, il aurait fait un excellent SS.

    27 juin 2007 à 0 h 58 min

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