La France peine à comprendre le monde

La France peine à comprendre le monde

En parcourant certaines réponses à divers de mes articles et en examinant le monde tel qu’il évolue aujourd’hui, j’ai discerné une fois de plus à quel point des clés permettant la compréhension manquent en France. Nous sommes dans un contexte d’une complexité croissante, les paramètres permettant de déchiffrer cette complexité sont éparpillés.
Les discours sont multiples et se subdivisent pour l’essentiel entre ceux tenus par divers charlatans qui abusent de l’ignorance de leurs contemporains pour faire croire autour d’eux qu’ils savent ce dont ils parlent, et ceux tenus par des spécialistes qui connaissent un domaine très délimité, mais ne discernent pas les interdépendances qui se tissent autour de nous.

Fort rares sont les analyses tout à la fois pertinentes en termes de connaissance et ouvertes aux transversalités, pourtant essentielles aujourd’hui. Nul ne peut être un économiste pertinent qui ne se donne pas les moyens de connaître les cultures, les mentalités, la géopolitique, la physique quantique, la biologie, la démographie et les potentialités offertes par l’informatique aujourd’hui. Et ce que je dis de l’économie peut être dit de l’ensemble des autres domaines de spécialité que je viens d’énumérer.

Voici une trentaine d’années, nous étions dans un univers relativement simple. Cet univers a explosé. Penser le totalitarisme aujourd’hui, cela implique de déchiffrer les multiples effets de la décomposition des discours fascistes, communistes, socialistes et nationalistes qui est en train de s’opérer, mais aussi les recompositions et les agrégats qui en résultent, ou l’émergence de nouvelles nébuleuses telles que l’islam radical ou l’environnementalisme où se retrouvent des fragments apocalyptiques, des résidus de marxisme, voire de national-socialisme.

Penser la liberté, à l’inverse, implique d’intégrer les ouvertures permises par les reformulations du vivant et de la matière, qui sont, à proprement parler, infinies. Penser la guerre et la paix implique de voir leur déterritorialisation, la transformation des armes, la relégation dans le révolu de l’essentiel de la géopolitique, la planétarisation et l’individualisation des médias. Penser la finance implique de prendre en compte tous les effets de la dématérialisation de la monnaie, de la production de valeur et de l’entreprise.

À l’échelle de la France, cela implique de voir que nous avons changé de paradigme : les délocalisations vont se poursuivre, la création de valeur sera immatérielle ou ne sera pas, la fuite du capital intellectuel sera stoppée par des incitations ou se poursuivra, le métissage en cours se poursuivra aussi, et il sera réussi seulement si on discerne pleinement comment la valeur se crée désormais, et l’importance du capital intellectuel.

 À l’échelle de l’Europe, cela implique aussi de prendre en compte ces changements de paradigme, donc, un certain nombre de faits : le vieillissement des populations et la résistance de l’islam à l’intégration sont préoccupants. La bataille planétaire pour un islam intégré aux flux planétaires concerne bien davantage que le futur du monde musulman. L’économie de la connaissance ne deviendra une réalité que si est comprise la logique inhérente à celle-ci, celle du réseau, pas celle de la pyramide qu’on persiste à édifier.

À l’échelle planétaire, cela implique de voir les flux. Des réseaux de liberté existent. Leur matrice est aux États-Unis. La matrice est connectée à des nœuds sur les cinq continents. Les contrées que délaissent les réseaux de la liberté sont condamnées. Face aux réseaux de la liberté existent les réseaux de la destruction et du refus. On y trouve la Russie de Poutine, le régime de Pékin, le Venezuela de Chavez, l’Iran d’Ahmadinejad et des mollahs, al Qaida, les altermondialistes, les disciples d’Al Gore et de Malthus, les derniers fascistes.

Les réseaux de la destruction et du refus sont porteurs de stérilité, de superstition, de mort et de destruction. La bataille est en cours, et la liberté l’emportera, comme toujours depuis des siècles. Les fronts de la bataille sont multiples : Pakistan, zones kurdes, Liban, banlieues de Londres ou de Paris, salles de rédaction des grandes métropoles. Ceux qui ne voient pas la bataille derrière ses multiples fronts ont déjà perdu et appartiennent à un passé agonisant qui ne reviendra pas.

Recommander cet article sur les sites de syndication d’information :

Partager cette publication

Comments (22)

  • Anonyme Répondre

    Jacques:  " Heureusement, face à ces ennemis de la liberté, il reste un espoir: la victoire d’Obama à la présidence américaine associée à un congrès dirigé par Nancy Pelosi."

    Nom de nom! Grepon, peux tu me préter moi ton AR 15 un moment please ?…. Thanks.

    Best,
    Mancney

    22 novembre 2007 à 21 h 06 min
  • Annika Répondre

      Grepon le Texan: Howdie partner! C’est vrai, il est étonnant qu’un français puisse encore croire qu’Obama ait une chance de devenir président.  Sur le sol américain, Obama s’est depuis quelques mois révèle immature, incompétent et naïf par ses propos ; ce fait n’a pas encore été ressenti outre atlantique car la traversée prend du temps … « la France peine a comprendre le monde ». 

    Jean Claude : C’est l’argent et les surplus de richesse qui permet la survie de notre civilisation occidentale ; cette simple vérité donna naissance à la civilisation grecque continuant a travers nous jusqu’à ce jour.  Oui l’argent est sale, mais nettement préférable au froid des grottes de nos ancêtres.  Jean Claude, vous qui n’etes pas socialiste devriez APPRECIER le model de charité volontaire a l’américaine ; clairement vous ne croyez pas le vol manifeste et étatiste à la française supérieur ! La contribution du PEUPLE américain envers les œuvres de charité est supérieure aux contributions des entreprises (envers ces dernières). De par ses actions, l’Amérique et l’américain personnifient la bonté, le pouvoir du libre choix, et surtout le fait que la noblesse humanitaire peut se manifester en toute liberté (sans la poigne d’un état roi).   Je sais, il est difficile pour les français de connaître cette grandeur d’âme américaine car « La France peine à comprendre le monde » …et surtout le monde des US

    (il est certain que la media antiaméricaine dominante en France n’y aide pas).

    6 novembre 2007 à 17 h 09 min
  • Anonyme Répondre

    Suite à la remarque de Gérard Pierre :

    On ne peut que vous rejoindre sur l’ouverture à la complexité et sur l’exigence de la culture générale de l’honnête homme.

    J’ai un peu plus de mal à trouver cette complexité dans les analyses de politique internationale de Guy Millière. On est assez loin de la liste des disciplines à aborder pour comprendre le monde qui nous entoure. La présentation est généralement binaire, où un camp ( unitaire ) est opposé à un autre camp ( unitaire ). 

    Finalement, cette liste  ressemble plus à l’emballage commercial des thèses de GM qu’au cadeau de la connaissance.

    6 novembre 2007 à 9 h 51 min
  • Paul Répondre

    Un grand merci à Jacques (cgocable.net) qui me prouve qu’ils n’y a pas que les français qui soient aveugles. On trouve aussi des québecquois !

    Taxer d’assassins les américains et croire à la victoire d’Obama (comme celle de Howard Dean en 2004 ?) dénote une jeunesse d’esprit aussi réjouissante que naïve. Et surtout merci au modérateur de laisser passer ces grands moments d’humour involontaire (?).

    Un disciple des judéocroisés ultralibéraux

    5 novembre 2007 à 16 h 49 min
  • grepon le texan Répondre

    Jacques:  " Heureusement, face à ces ennemis de la liberté, il reste un espoir: la victoire d’Obama à la présidence américaine associée à un congrès dirigé par Nancy Pelosi.  Une victoire de Hillary serait facheuse, celle des républicains une véritable calamité qui serait, fort heureusement, improbable."

    Preparez-vous a ecrire souvent "President Fred Thompson" tres souvent sur les prochaine dix annees.   Au pire "Rudy Giuliani"   Obama n’a que peu de chance a gangner la nomination Democrat, et aucun chance a ganger l’election generale contre n’importe quelle des 4 front-runners Republicain.   Hillary, de l’autre cote, a toute les chances de ganger la nomination, puis de perdre l’election generale.  Il y a, avant qu’elle ne commence a essayez de convaincre le public de voter pour elle, 48% des electeurs qui disent qu’ils ne voterais =jamais= pour Clinton.  Ce chiffre comprend des democrates et des independants  Alors, elle est cuite.  

    Du cote du Congres:  Nancy Pelosi(Speaker of the House) et Harry Reid(leader au senat) ont ete meme plus inefficace que prevu a mener a bien que que ce soit qu congres.  Ainsi le "approval" du congres par le public americain dans les "polls" frole les single digits.  Dernierement, c’etait a 11%, ce qui moins que la moitier du meme chiffre que pour…l’administration Bush…qui est au moyen de ce chiffre pour les presidents dite "lame duck" a la fin de leur deuxieme mandat.   Au fait le Congres a passe leur temps a essayer de plomber les soldat en Iraq et faire des investigations tout azimuths contre l’administation.   Ils se perdent comme prevu dans la polemique et le negativisme, comme il fallait s’attendre de leur part, et les americain n’ont rien a faire avec de tels loosers.   Cote guerre…avez regarde les chiffres sortant de l’Iraq depuis quelques mois?   l’AQ a perdu cette guerre.   Le "surge" est en train de marcher.  Les iraquiens sont epuise des fouteurs de massacres qu’ils soient iraquiens ou etrangers, et ils les chassent cote a cote avec le nouveaux armee et police d’Iraq, souvent avec l’armee US restant en arriere.  Vous n’avez pas entendu parle de ca dans vos medias, et nous non plus, car c’est un defait terrible pour les Democrates qui on tout mise sur une defaite qui n’aura pa lieux.   Le silence sur le sujet a Washington est eloquent.   Ainsi, le refus de beacoup de candidats democrates de refuser l’utilisation de la force contre l’Iran, ou de declarer une date pour retirer les troupes de l’Iraq, est parlant aussi.   Leurs experts en opinion polls leur disent, certainement, que le public americain n’aiment pas les Jimmy Carters.

    5 novembre 2007 à 16 h 46 min
  • grepon le texan Répondre

    "Pour ce qui me concerne, je m’en prends aux puissances occultes de la finance et du commerce mondialistes qui mènent les salariés à une vie de plus en plus précaire, grâce à la MONDIALISATION  – la GLOBALISATION –    et cela, sans le moindre humanisme, le moindre "paternalisme","

    Dans mon experience perso..tres perso car je connais les travaillieurs….Les travaillieurs, meme gagnant la moitier de la moyenne nationale, ici profitent de la globalisation en achetant de fiables voitures ou camionnettes japonaises et televisions grand ecran de marques asiatiques.  Mais ca, c’est que les produits de marque.   Ils consomment aussi le petrole du Venezuala, du Mexique, et du Canada.   Ils ont des avocadoes toute l’annee.  Des bieres et vins de partout.   Surtout des articles de consommation ordinaire fabrique partout dans le monde, de bonne qualite, et a bon prix, dispo dans leur…wait for it…Wal-Mart ou Sams’s ou  Costco du coin.   Ces travaillieurs n’ont pas d’impot federale a payer.  Ils ont seulement 8.25% a payer pour tout taxe etat ou de compte/ville…a comparer a 20% environs de TVA dans le paradis des travaillieurs qui est la France.  Ils doivent payer de l’impot sur leur maisons, car plus que la moitier d’entre eux sont proprietaires.   Leur assurance sante paie les frais de ce genre la.    Le manque de paternalisme ici leur convient parfaitement:   Le precarite de leur boulot est aussi un precarite pour l’employeur, qui sait que l’employe n’aurait pas tant de difficulte que ca a trouver un poste aillieur, dans une economie en penurie de travaillieurs(malgre la force de travail illegale ici, qui demande souvent 10$ l’heure..soit 40% plus que le minimum federale).   Et oui.  Quand vous liberez les gens, tous, leurs energies se dechainent.   Je crois que, a un maigre 3% de croissance moyenne, dans 200 ans le revenu moyen va depasser un million de dollar par personne en dollar de 2007.   Dans vingt ans nous allons nous plaignez de combien on etait pauvre travaillieurs, en manque de technologie etc, des primitifs, il y a vignt ans.  Dans vingt ans la France vivra comment?   Sous charia si on regarde de pres la demographie.   Les maux se dechaineront, merci au antidynamisme parfait de l’etat providence et son maternalisme, sa protectionnisme, sa reglementation et ses impots.

    5 novembre 2007 à 16 h 25 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    04/11/07    – "Les 4-Vérités"

    GREPON LE TEXAN. Pardonnez-moi de vous avoir donné l’impression d’ "insulter" l’argent (1). J’avais oublié que dans la mentalité protestante qui domine chez les anglo-saxons, ‘"FAIRE DE L’ARGENT" est un signe que l’on est béni de DIEU ! Qu’importe alors la manière dont on s’enrichit puisque l’on peut se "dédouanner" ensuite dans le mécenat ou le "charity business" où les magnats américains sont passés maîtres, avec l’aide, il faut le dire, d’une fiscalité appropriée. Et l’espoir de voir leur nom fixé pour l’éternité sur des plaques de marbre, ou même d’être statufiés.

    Mais vos propos me donnent à penser que vous en êtes resté aux temps des capitalistes pionniers qui, malgré leurs défauts, étaient restés humains, avaient même gardé un  "visage humain" notamment en sachant conserver des  relations avec le "travail", avec les travailleurs, non seulement parce qu’ils travaillaient encore plus que leurs salariés, mais aussi parce qu’ils pratiquaient le "paternalisme" qu’il est de bon temps aujourd’hui de décrier.

    Pour ce qui me concerne, je m’en prends aux puissances occultes de la finance et du commerce mondialistes qui mènent les salariés à une vie de plus en plus précaire, grâce à la MONDIALISATION  – la GLOBALISATION –    et cela, sans le moindre humanisme, le moindre "paternalisme", sans le moindre souci des difficultés et encore moins de l’avenir des gens qui sont sous leurs ordres. Les puissances dont la manifestation la plus apparente (la partie visible de l’iceberg) est le Groupe BILDERBERG. Un "Groupe" dont je ne me lasserai pas de rappeler les buts définis par un de ses membres éminents, Percy BARNEVIK :

    "Je décrierai plutôt la globalisation comme la liberté pour mon Groupe d’INVESTIR LA OU IL VEUT, POUR LE DELAI QU’iL VEUT, DE RECHERCHER SES MATIERES PREMIERES OU IL VEUT, EN S’EMBARASSANT LE MOINS POSSIBLE DES TRAVAILLEURS ET DES ACCORDS SOCIAUX".

    C’est parce qu’ils n’ont aucune conscience de ce danger pour leurs emplois, pour leur vie familiale, pour leurs "acquis sociaux", que les salariés de TOUTES CONDITIONS SOCIALE, manipulés par leurs gouvernements et par les médias qui leur présentent la "mondialisation" non seulement comme inéluctable, mais aussi comme un PROGRES, continueront à acheter des produits fabriqués à meilleur marché dans des pays émergents qui pratiquent des salaires de misère, et avec des matières premières achetées au plus bas prix "là où la finance internationale le veut", EN CREUSANT AINSI LEUR TOMBE, comme l’on fait avant eux, en d’autres circonstances  – certes beaucoup plus tragiques  – de pauvres bougres qui eux, avaient au moins conscience de leur fin !

       Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) pas plus que vous j’imagine, je ne crache pas dessus !

    5 novembre 2007 à 11 h 39 min
  • sas Répondre

    A millière spécialiste es-science sur le moyen orien et particulièrement la trempe selon lui admise à l irak……que faire du PAKISTAN et de son général puschiste installé par les yankees contre la majorité islamique du pays et l intérêt du plus grand nombre d’ailleurs, qui plus est en ayant au préalable pris le soin de le doter de l’arme nucléaire….???? lui c’est pas un rêve c’est un dictateur et il a des adm…..

    alors quid au grand maître vénéré et nénérable…….qu’est ce qu’on fait la bas ???

    sas

    5 novembre 2007 à 3 h 23 min
  • jacques Répondre

    "Face aux réseaux de la liberté existent les réseaux de la destruction et du refus. On y trouve la Russie de Poutine, le régime de Pékin, le Venezuela de Chavez, l’Iran d’Ahmadinejad et des mollahs, al Qaida, les altermondialistes, les disciples d’Al Gore et de Malthus, les derniers fascistes…"
    … et les néo-conservateurs militaristes dont M. Millière est le porte-parole

    Heureusement, face à ces ennemis de la liberté, il reste un espoir: la victoire d’Obama à la présidence américaine associée à un congrès dirigé par Nancy Pelosi.

    Une victoire de Hillary serait facheuse, celle des républicains une véritable calamité qui serait, fort heureusement, improbable.

    Même les américains arrivent, mais cela leur prend plus de temps que d’autres, à reconnaître qu’ils ont été  gouvernés pendant 8 ans par un groupe d’incompétents idiots.

    5 novembre 2007 à 2 h 29 min
  • Paul Répondre

    je ne peux qu’aprouver l’analyse de monsieur Milliere. La France n’est – hélas – jamais sorti de son complexe d’Astérix, et pense qu’elle peut nager à contre-courrant éternellement et en gagnant la course de surcroit. Attitude suicidaire, donc immorale envers le peuple.

    Le même peuple, quoique éduqué au socialisme par l’école et maintenu dans l’ignorance des complexité du monde par nos medias, semble parfois plus intelligent que ses dirigeants. L’idée de N. Sarkozy "travailler plus pour gagner plus" a assuré son succés présidentiel; preuve que le peuple est moins feignant que ne l’espéraient les gens de gauche ! Travailler 35 heures c’est bien, mais que faire de ce temps quand le salaire reste bloqué ?

    Il reste a réconcilier les français avec le monde, en particulier des états bêtement diabolisés comme Israel ou les USA et leur expliquer que la mondialisation est une chance pour tous si on y croit vraiment. Mais pourra-t’on réveiller un peuple qui a peur de l’avenir  et champion dans l’usage des antidépresseurs ?

    4 novembre 2007 à 17 h 49 min
  • grepon le texan Répondre

    "Toute construction humaine qui ne repose pas sur Dieu, mais sur le "make money",  est vouée à l’échec"

    Ah j’ai du comprendre a travers le bouquin de Dieu ou c’etait ecrit que nous etions senses a profiter maximalement de la terre, et plus tard…apres la chute (merci Eve!)…. de bosser dure.  

    L’invention du "money" est arrive plus tard pour faciliter les echanges et la paiement des dettes etc dans ce qu’on appelle "la civilisation" ou chaque individu est devenu tellement specialise dans sa production de biens ou services que c’etait difficile pour lui d’echanger ses biens ou services(par exemple la fabrication de guignols) directement avec d’autres gens tres specialise(par exemple dans la production de pain).   Les producteurs de pain n’ont pas besoin de guignols au dela d’un certain point, et ils ne savent pas forcement les "vendre" a leur fournisseurs, ni a leur charpentier du coin.  Ils savent faire du pain, pas revendre les stocks de guignols recu de leur client.  Alors "money"…si mauvais qu’il soit…est venu comme stock de valeur intermediaire pratique…pour toute…ah..comment minimiser ca alors…toute civilisation humaine????     Vraiement M. THIALET, si vous etes contre "money" vous etes contre la civilisation.    Ou du moins, toute civilisation connue ou qui a jamais eu lieu….  

    Hmmm.   Vous seriez pas un "Trekkie" par hazard, non?   Dans cette serie ils n’avaient plus besoin d’argent….au 24ieme siecle.   Tout le monde croyaient ferme dans la mission de Starfleet et tout le monde avait ce dont il avait besoin ou etait approprie a sa mission ou son rang dans Starfleet.   Ca me rappelle autre chose datant des 19ieme ou 20ieme siecles…tiens.

    3 novembre 2007 à 6 h 53 min
  • Anonyme Répondre

    Si on remplace le mot "liberté" par "hégémonie" et le mot "refus" par "dignité", l’article devient tout à coup parfaitement compréhensible et digeste.

    2 novembre 2007 à 22 h 10 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    GREPON LE TEXAN. Même si j’aimerais écrire aussi bien l’américain que vous écrivez le Francçais, de grâce ayez l’amabilité de me traduire en … anglais la phrase "LA LETCTURE PREFERE DE L’HISOIRE, DE L’ECONOMIE, and so on…" CAR JE N’ENTRAVE QUE POUIC (ça, c’est une vieille expression bien de chez nous) à ce que vous avez voulu dire.

    Pour ce qui concerne par contre votre opinion sur "notre"(1) soi-disant EDUCATION NATIONALE, pas besoin de "translater" car je partage votre opion. Mais de là à croire les yeux fermés que la "clé de la moralité" réside dans le marché libre, le capitalisme, la liberté, et de leur supériorité sur l’égalitarisme, le socialisme, l’étatisme, encore faudrait-il que les dés ne soient pas pipés. On en voit en tout cas les résultats aux ETATS-UNIS !

    Et je suis désolé de vous dire que, si je partage aussi votre mépris pour le socialisme, l’égalitarisme, etc.,  je ne suis pas naïf au point de penser qu’avec le "marché libre", etc. nous avons la panacée. Hélas ! Toute construction humaine qui ne repose pas sur Dieu, mais sur le "make money",  est vouée à l’échec et au néant, au détriment, hélas, de l’évolution de l’humainté

    Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) je mets le mot entre guillemets car, assurément, cette "éducation" n’est pas la mienne !

    2 novembre 2007 à 21 h 12 min
  • Jaures Répondre

    G.Millière, chantre de la clairvoyance et de l’analyse géopolitique transversale sait de quoi il parle. Voici ce qu’il écrivait il y a quelques années:

    (les 4V du 19 avril 2003): "Enlisement disaient les uns. Un nouveau Vietnam se delectaient les autres. Quand les forces américaines ont été aux portes de Bagdad, les mots ont peu changé. On a parlé de Stalingrad, d’effroyables corps à corps dans les rues. La guerre allait durer, c’est sûr. Et puis les forces américaines n’étaient pas assez nombreuses, les attentats suicides allaient se multiplier. De doctes spécialistes de la chose militaire parlaient gravement du pari perdu de Donald Rumsfeld. Il ne reste rien de tout cela".Plus loin: "Quand d’ici quelques jours l’administration sera remise en place et que l’Irak aura retrouvé le calme, ils oublieront ce qu’ils ont écris la veille et trouveront d’autres chats à fouetter."

    (les 4V du 5 juillet 2003):"Plutôt que dire qu’en moins d’un mois (prouesse inouïe), 85% des bagdadis ont été raccordés à nouveau à l’eau courante et à l’électricité, on insistera sur les lacunes et les bavures. Plutôt que de dire que l’essentiel d’un pays plus grand que la France est sécurisé, on mettra l’accent sur quelques escarmouches d’irréductibles. On insistera sur la non découverte d’armes de destruction massive alors que chacun sait que Saddam a disposé de ces armes et les a dissimulées…On ne dira pas que ce qui est inquiétant est que ces armes n’aient pas été encore découvertes: non parce qu’elles n’existent pas, mais parcequ’il faut les trouver."

    G.Millière nous gratifiera -t-il un jour d’un "pardonnez-moi, j’ai commis quelques erreurs. Je me suis laissé emporté. Je prendrais dorénavant un peu de recul et ferais preuve de prudence dans mes analyses."On peut rêver.

     

    2 novembre 2007 à 16 h 17 min
  • EIFF Répondre

    Avec la France de Sarkozy, la prise d’otages ça marche !

    http://www.claudereichman.com/articles/otages.htm

    Article de Claude Reichman du 1/11/2007.

    2 novembre 2007 à 11 h 18 min
  • Jaures Répondre

    Pour Millière, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont les moyens intellectuels d’embrasser la réalité du monde tel qu’il est (c’est à dire lui) et les autres, citoyens abusés par leur naïveté et leur ignorance crasse ou islamo-marxistes avides de sang. Outre le caractère éminemment prétentieux d’une telle assertion (après tout, Millière n’est qu’un prof anonyme exerçant dans une fac dont une secrétaire d’Etat aux universités avait dit que "même un cheval peut y décrocher un diplôme"). Car qu’est-ce qui donne le droit à Millière de s’ériger ainsi en prophète de la Vérité, en expert omniscient multicartes? Ses analyses du conflit Irakien dont il annonce depuis 5 ans la fin ? Ses engagements personnels qui ont vu le seul candidat qu’il ait soutenu (A.Madelin) être laminé en 2002 et oublié depuis ? Ses nombreux livres où le relativiste de gauche (relire "Mise à mort des cultures populaires") "évolue" pour devenir le néo-conservateur que l’on connait et qui n’ont jamais connu la moindre audience ? Son enseignement enfin où les étudiants, jusqu’au début des années 80 se voyaient instruire sur "la relativisation généralisée", les "impostures intellectuelles", la "prééminence du doute" pour aujourd’hui recevoir une vision manichéiste du monde avec le "Bien"(l’Amérique) d’un côté, le "Mal" de l’autre et  "les planqués" (nous) au milieu.

    Broyé par ses erreurs, ses contradictions et ses préjugés définitifs, le dicours de G.Millière peut-il encore avoir la moindre crédibilité.

    2 novembre 2007 à 10 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    Le pognon,le pognon Milliere……….L-E  P-O-G-N-O-N….

    Tout se reduit a cela………

    Et de plus en plus

    Tout le charabia du Monde qui change ça n’est que ça,comment le concentrer dans quelques "poches" tout inmaterielles quelles soient

    Peu importent les sommes

    Reste seulement a faire gober au quidam moyen que c’est uniquement le fruit du merite

    Les medias aux ordres sont là pour le faire

    Un retour au XIX siécle avec quelques gadgets electroniques en plus.

    Sauf que cette fois,le fric coule aussi dans l’escarcelle des totalitarismes de service et il sera pas evident de refourguer un quelconque "comptoir de l’opium" pour les "mater",alors vos "reseaux de libertés" iront se planquer dans leurs cités privèes entourées de chiens de garde pour aller finir leurs jours entre deux liftings de gueule,le sort des autres ne pésera guere.

    Vous verrez

    1 novembre 2007 à 18 h 28 min
  • Gérard Pierre Répondre
       Je lis régulièrement les articles de monsieur Guy Milliere et je les ai très rarement commentés. Cette réserve de ma part ne signifie pas que j’adhère totalement à ce qu’il écrit. Je pensais simplement, jusqu’à présent, que la production de cet auteur méritait mieux que l’ironie facile, voire très primaire, de certains sur ce site ou la béate admiration d’un inconditionnel. En réalité ses chroniques me sont toujours apparues, sur le fond, plus complexes que leur forme ne pouvait donner à le penser à un lecteur pressé. L’article d’aujourd’hui me confirme dans l’impression de complexité de la pensée de cet homme. Lorsque je dis complexe, et non pas « compliqué », c’est à dessein. C’est Hervé Sérieyx, je crois, qui pour faire la différence entre ces deux notions disait : « Un avion, c’est compliqué mais pas complexe. Vous pouvez, en étant très méthodique, le démonter totalement et le remonter ensuite à l’identique. Un plat de spaghetti en revanche c’est complexe. Après avoir démonté le tas et aligné chaque pâte séparément, vous ne parviendrez jamais à reconstituer le plat en repositionnant chacune d’entre elles dans la position exact d’entrelacement originelle. » D’où la suggestion d’Hervé Sérieyx de recourir dans ce cas à une approche systémique prenant en compte uniquement l’aspect global du problème complexe. Je trouve que monsieur Guy Milliere est tout à fait dans cette démarche.
     
       Lorsqu’il parle des « clés permettant la compréhension » il faut bien admettre que nos médias comme nos enseignants, plus prompts à nous fournir leurs conclusions que la méthode par laquelle ils y sont parvenus, ne font pas œuvre didactique, ……… et on comprend aisément pourquoi ! …………… dés fois que, sait-on jamais, les gens soient intelligents ! et si les paramètres sont à ce point éparpillés, est-ce vraiment par hasard ?
     
       Monsieur Guy Millere remet ici à l’honneur la culture générale. Or, ne sont-ce point les thuriféraires (*) de la déliquescence intellectuelle qui mirent le coup de grâce aux langues mortes, à la philosophie, à la littérature classique, à l’Histoire enseignée chronologiquement, …… et bien sûr à la culture religieuse sur laquelle furent bâtis dix-huit siècles de notre civilisation exemplaire à bien des égards ? …… La décomposition des discours fascistes, communistes, socialistes et nationalistes mérite assurément d’être réexaminée avec cette grille de lecture.
     
       « Penser la liberté implique d’intégrer les ouvertures permises par les reformulations du vivant et de la matière, qui sont, à proprement parler, infinies » ……… Là, monsieur Guy Milliere, j’avoue : «  Moi y’en a pas bien comprendre ! ». Pourquoi le dis-je ainsi ? …… parce qu’en vous exprimant de la sorte vous cessez d’entraîner : on ne comprend plus ce que vous faites devant, même si votre discernement vous a permis d’entrevoir des choses qui ne sont pas immédiatement accessibles aux vulgum pecus que nous sommes parfois. N’oubliez jamais qu’avoir raison avant tout le monde est aussi contre productif que d’avoir tort. Au lieu de caracoler en tête, faites d’abord partager, même si ça prend du temps. Après, … si vraiment vous avez vu juste, …… ça commencera à suivre.
     
       Un dernier point si monsieur Guy Milliere me le permet. Il est plusieurs fois question dans son texte de, je cite : « capital intellectuel » ou de « logique ». Or, j’aime à rappeler ce que disait et écrivait fort justement Antoine de Saint-Exupéry : « l’esprit mène le monde et non l’intelligence » (**) ………… Je pense que les réseaux de la liberté auxquels il fait référence ont un Esprit qu’il serait judicieux de présenter plus en détail. L’esprit pervers de l’islam nous est déjà, quant à lui, malheureusement assez connu !
       En vous assurant, monsieur Guy Milliere, du respect que j’ai pour tout honnête homme au sens où cela s’entendait encore au XVIIIème siècle.
     
    ***************************
     
    (*) 80% des médias ont une « sensibilité » de gauche ! …… sauf lorsqu’ils touchent leurs chèques ! …… ainsi que la majorité du corps enseignant ( et non éducatif )
     
    (**) CITADELLE – chapitre CLI, dernier §.
    1 novembre 2007 à 15 h 29 min
  • grepon le texan Répondre

    La France a ete eleve par l’education nationale et des chaines de teles etatiques.   Il n y a aucun mystere comment ils sont arrives la:  Les francais voient le monde comme un jeu a somme zero, ce qui est faux.   C’est la cle meme de la moralite superieur du marche libre, du capitalisme, de la liberte, sur l’egalitarisme, le socialisme, l’etatisme, tous ayant un fond marxiste.  La lecture prefere de l’histoire, de l’economie, de la sociologie dans le mammouth est base sur une croyance que le monde est un jeu a somme zero, et voila que vous y etes.

    1 novembre 2007 à 5 h 26 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    31/10/07    – "LES 4-VERITES"

    Les ignares que sont assurément toutes celles et tous ceux qui ne partagent pas les vues israëlo-amricano-planétaires de Guy MILLIERE, ont sans doute besoin de "clés de compréhension" pour pénétrer le monde de plus en plus complexe où, comme le relève le professeur, de plus en plus "immatériel, à mesure, d’ailleurs, me semble-t-il, que l’homme perd de sa "spiritualité" au "profit" de sa "matérialité"…

    Sans caricaturer les "clés" qui nous ainsi sont proposées, à nous simples citoyens lambda, je crois pouvoir les résumer à la façon du regretté… CONFUCIUS :

    "QUAND LE VIOL EST INEVITABLE, COUCHEZ-VOUS ET APPRËTEZ-VOUS A EN JOUIR !"

    Le viol ? celui de nos consciences par les différentes "polices de la pensée", celui de nos portefeuilles  par un fisc, un commerce international, et des financiers insatiables, celui de nos différentes cultures et  civilisations par le matérialisme et/ou par l’islam, etc. Nous vivons une fin de monde, voulue par des puissances occultes qui manipulent gouvernants et  presse. Et non pas la "fin de monde" annoncée, par exemple, par le  "réchauffement climatique" dont on nous menace comme pour mieux nous empêcher de voir d’autres dangers, bien plus graves. Et, comme on a fait perdre à une grosse majorité des Occidentaux la Foi, la croyance en un Dieu d’amour, etc., les gens se comportent comme les  "jouisseurs" qui font la fête, chacun à sa façon, chacun selon ses moyens, comme si c’était leur dernier jour, comme s’ils avaient abandonné toute espérance, comme s’ils devaient terminer dans le néant, comme si le jour de leur mort ne sera pas celui de leur naissance.

    Pour ce qui concerne celui qui s’imagine détenir non les clés du Paradis, mais celle de la "compréhension du monde tel qu’il évolue aujourd’hui", je m’interrogerai encore longtemps sans doute pour savoir s’il appartient à la classe des "idiots utiles". Ceux qui, croyant servir le "PROGRES", servent ceux qui veulent transformer le monde en un monde unicolore (pas seulement avec le "métissage"), uniforme (sans diversité, sans différences, avec une langue, une monnaie, une nourriture, etc. UNIQUES) et sans saveur, un MONDE DONT ILS SERONT ENFIN LES MAÎTRES grâce à ce "gouvernement mondial" qu’on l’on nous présente comme la panacée… , une panacée que j’oserai qualifier non pas d’unviverselle, selon le redondance classique, mais de MONDIALE ! Car, pour qui sait lire entre les lignes, c’est assurément le "monde tel qu’il évolue" dont Guy MILLIERE veut nous donner les "clés" comme pour mieux accélerer le processus de notre asservissement. Le monde qu’il appelle de ses voeux. !

        Cordialement, Jean-Claude THIALET

    31 octobre 2007 à 18 h 06 min
  • Anonyme Répondre

    En lisant l’éternel récit du combat sans fin entre le bien et du mal ( en rajoutant cette fois-ci la démographie et la physique quantique ), j’ai essayé de trouver des textes qui s’en rapprochent. Voici ce que j’ai trouvé :

    (…)Je m’adresse a vous, mes amis ! La perfide agression (…) se poursuit (…) Malgré la résistance héroïque (…) l’ennemi continue a se ruer en avant, jetant sur le front des forces nouvelles.(…). ( Notre ennemi ) a obtenu ainsi un certain avantage pour ses troupes pendant un court laps de temps, mais elle a perdu au point de vue politique, en se démasquant aux yeux du monde comme un agresseur sanglant.(…).  Voila pourquoi toute notre vaillante armée,(…), tous les meilleurs hommes d’Europe, d’Amérique et d’Asie, (…)approuvent la conduite (…) et se rendent compte que notre cause est juste, que l’ennemi sera écrasé, et que nous vaincrons.La guerre nous ayant été imposée, notre pays est entré dans un combat a mort avec son pire et perfide ennemi (…). Nos troupes se battent héroïquement (…). L’Armée (…), surmontant de nombreuses difficultés, se bat avec abnégation (…). La riposte que nous infligeons à l’ennemi s’accentue et se développe. (…).

    Que faut-il pour supprimer le danger qui pèse (…) et quelles mesures faut-il prendre pour écraser l’ennemi ? Il faut tout d’abord que nos hommes(…) comprennent toute la gravité du danger qui menace notre pays et renoncent a la quiétude et a l’insouciance, a l’état d’esprit qui est celui du temps de la construction pacifique, état d’esprit parfaitement compréhensible avant la guerre, mais funeste aujourd’hui que la guerre a radicalement changé la situation.

    L’ennemi est cruel, inexorable. (…) Il s’agit ainsi de la vie ou de la mort (…); il s’agit de la liberté ou de la servitude des peuples (…). Il faut que les hommes (…)le comprennent et cessent d’être insouciants; (…)Il faut aussi qu’il n’y ait point de place dans nos rangs pour les pleurnicheurs et les poltrons, les semeurs de panique et les déserteurs ; que nos hommes soient exempts de peur dans la lutte et marchent avec abnégation dans notre guerre libératrice (…), contre les asservisseurs (…).

    II nous faut organiser une lutte implacable contre les désorganisateurs de I’arrière, les déserteurs, les semeurs de panique, les propagateurs de bruits de toutes sortes(…) Il ne faut pas oublier que l’ennemi est perfide, rusé, expert en l’art de tromper et de répandre de faux bruits. De tout cela il faut tenir compte et ne pas se laisser prendre à la provocation. (…)

    On ne peut considérer la guerre contre l’( ennemi ) comme une guerre ordinaire. (…) Nous ne serons pas seuls dans cette guerre libératrice.Nos fidèles alliés dans cette grande guerre, ce sont les peuples de l’Europe et de l’Amérique (…)Notre guerre pour la liberté (…) se confondra avec la lutte des peuples d’Europe et d’Amérique pour leur indépendance, pour les libertés démocratiques. (…)

    Désolé d’être un peu long. Il s’agit d’un texte écrit bien avant la naissance de Guy Millière. C’est le discours de Staline du 3 juillet 1941, après l’attaque allemande. Les éléments manquants (…) sont disponibles  http://www.lescommunistes.org/spip.php?article408

     

    31 octobre 2007 à 15 h 05 min
  • DRUANT Philippe Répondre

    La mondialisation est la voie à suivre et ,M.Millière est son prophète.

    Infâme partisan des thèses neo-malthusiennes,je viens de réaliser mon erreur car M.Millière,ce phare de liberté et de clairvoyance nous montre la vraie voie à suivre.

    Qu’il y ait croissance démographique explosive ,pas de problème ,on se poussera un peu ou l’on bâtira des tours de 1000 étages(cfr Robert Silverberg) ou sur la mer : pas question d’un contrôle démographique car c’est antiliberté(horresco referens) alors que les méfaits générés par la surpopulation (ou dictature nataliste) eux ont un caractère de liberté,c’est sûr!

    pour les nourrir tous,pas de problème non plus,la technologie issue du génie humain sans limites y pourvoiera;il est d’ailleurs interdit de douter de la capacité de la technologie à résoudre nos problèmes alimentaires,c’est antiliberté.

    pour les pollutions  gigantesques engendrées,aucun problème non plus,car des chercheurs trouveront sans aucun doute et dans un bref délai des bactéries aptes à éliminer ces pollutions (l’intelligence humaine et sa capacité à résoudre tous nos problèmes est  une fois de plus INCONTESTABLE.

    Sacré Millière,croyez-vous que la nature(ou biosphère) va s’accomoder encore longtemps de créatures insignifiantes bipèdes qui détruisent sans vergogne la planète car;le jour où la régulation inévitable se fera,

    vous pourrez toujours rêver au métissage "millièrement" inéluctable,à vos réseaux de libertés,à votre consumérisme effrené,

    au capitalisme fiancier:ils ne vous seront plus d’aucun secours!!!!!!!!!

    31 octobre 2007 à 14 h 39 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *