L’acharnement de Bruxelles contre la Hongrie

L’acharnement de Bruxelles contre la Hongrie

Jeudi 3 juin, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt rejetant le recours introduit par la Hongrie.

Cette dernière contestait la légitimité de la procédure lancée à son encontre par le Parlement européen, affirmant en 2018 que la politique du gouvernement hongrois menaçait l’état de droit.

Le vote du Parlement nécessitait de réunir les deux tiers des voix: la CJUE a arbitrairement décidé de ne pas compter les nombreux députés s’étant abstenus, validant ainsi le déclenchement de la procédure!

Cela fait bientôt trois ans que Bruxelles s’acharne contre la Hongrie au nom de prétendues atteintes à l’état de droit.

Elle n’a cependant jamais pu les démontrer de manière crédible, et pour cause : les allégations sont soit infondées, soit réfutées par Budapest qui a toujours fait preuve de bonne volonté dans cette affaire, au point que la procédure est actuellement bloquée faute d’éléments probants.

La majorité du Parlement européen et la Commission se sont donc alliés pour instaurer un «mécanisme de conditionnalité».

Le versement des fonds européens pourra désormais être bloqué en cas de non-respect de l’état de droit.

La manœuvre est grossière : ne pouvant arriver à ses fins juridiquement, Bruxelles veut à présent frapper les récalcitrants au portefeuille pour les faire enfin plier.

Car les attaques trouvent leur origine dans le refus par la Hongrie – et la Pologne – d’accepter la répartition obligatoire des migrants.

C’est ce manque de docilité que l’UE veut punir, alors qu’elle exige une nouvelle fois cette répartition camouflée dans le cadre du «pacte sur la migration et l’asile».

L’arrêt de la CJUE, plein de parti-pris, s’inscrit pleinement dans cette logique.

Une nouvelle fois, le sectarisme de la Commission favorise le coup d’État des juges contre la volonté des peuples.

Est-il nécessaire de rappeler que le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et la politique qu’il mène bénéficient d’un très large soutien dans les urnes depuis 2010?

Une légitimité populaire dont ne peuvent se prévaloir ni les juges européens, ni la Commission de Bruxelles …

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Comments (3)

  • ELEVENTH Répondre

    Ce soir, à propos de la Hongrie et du camouflet que son équipe nationale, pourtant considérée comme une des plus faibles d’Europe (normal elle est constituée de blancs avachis) vient d’infliger à nos glorieux mercenaires multi-culturels, multi-ethniques (enfin pas tant que cela : plutot un congloméra d’origine africaine) qui portent haut les espoirs et les “chances” de la France: un piteux match nul.
    On peut noter que celui qui a marqué le but d’égalisation n’est pas basané pour une fois (Griezman qui se défend d’être français par ailleurs, mais ne crache pas dans la soupe financière)
    Dans la foulée sur une émission de TV avec Gaino et cette grosse gonfle de “Goupil” pleurant presque du fait que l’équipe dite de France n’ait pas posé le genoux à terre à Budapest, ce n’était que lamentations du “Goupil” – celui qui bouffe a tous les rateliers et au macronien en ce moment- car il avait souhaité que nos “chances” mettent à terre les maggyars par au moins 3.0 pour punir le Orban vomi.
    Personnellement le resultat me rejouit :
    a) le foot m’a toujours fait ch..r d’où qu’il vienne,
    b) une équipe dite de France richissime et beuglant contre un racisme inexistant vu leur fortune, et soit disant représentative du peuple comme si nous étions tous africanisés, pour moi ce ne sont rien d’autres que des mercenaires surpayés et pour la plupart crachant sur le pays (voir ben machin). Qu’ils descendent sur terre nous donnera des vacances.
    Et ce con de “Goupil”, producteur de navets insipides n’a qu’a ressortir son “petit livre rouge” de sa jeunesse de feignasse.
    P.S. Le “goupil” est toujours aussi gauchiasse malgré – ou a cause de – son macronisme : dans la suite de l’émission portant sur les agressions d’ultra-gauchiasses a Redon provocant 4 blessés parmis les flics (cocktails molotofs, etc…) il trouve encore à ouvrir sa grande gueule de bon a rien.

    19 juin 2021 à 18 h 49 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    La Hongrie est habituée à voir des tanks circuler dans les rues de ses villes. Ce n’est pas l’EU qui va l’effrayer.

    18 juin 2021 à 21 h 58 min
  • ELEVENTH Répondre

    C’est vrai ça. La Hongrie, un pays qui ne veut pas se laisser bougnouliser, c’est impensable….. au moins en France qui, elle, est gavée de “chances”.

    18 juin 2021 à 17 h 21 min

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