L’agonie de l’Italie et le grand remplacement

L’agonie de l’Italie et le grand remplacement

On parle peu de l’Italie dans la grande presse française.

On en parle quand des vagues de « migrants » arrivent en Sicile ou sur l’île de Lampedusa.

On en parle quand on évoque Ventimiglia, ville sise sur le bord de la Méditerranée, près de la frontière avec la France, parce que des milliers de « migrants » remontant vers la France s’entassent à Ventimiglia.

On en parle, un peu, lorsque des élections ont lieu.
On en parlera au début du mois de mars, parce que des élections vont avoir lieu.

Le président du Conseil des ministres (c’est ainsi qu’en Italie on appelle le Premier ministre) actuel est un intérimaire de gauche qui a pris ses fonctions fin 2016 après que son prédécesseur, de gauche lui aussi, Matteo Renzi ait perdu un référendum.

Il n’occupera plus son poste fin mars, car la gauche va perdre les élections, qui verront sans doute le retour de Silvio Berlusconi, quatre-vingt-un ans, sous le regard consterné des grands médias.

On parlera donc, alors, du retour de Silvio Berlusconi et, comme pour d’autres politiciens qui déplaisent aux grands médias, on parlera de la grivoiserie du principal intéressé.

On reviendra sur des aspects financiers litigieux le concernant.

On ne parlera pas de la situation réelle de l’Italie.

Il faudrait pourtant en parler. L’Italie est dans une situation économique très difficile, et le clivage entre un Nord développé et un Sud sous-développé reste flagrant.

Mais l’Italie est surtout un pays qui meurt plus vite que d’autres pays d’Europe qui sont eux aussi en train de mourir.

Si, en France, les taux de natalité donnent une validité certaine aux analyses du grand remplacement énoncées par Renaud Camus et évoquées souvent par Éric Zemmour, en Italie la situation est plus catastrophique encore : le taux de natalité général est en effet très bas : 1,3 enfant par femme, ce qui est tellement en dessous du seuil de renouvellement des générations qu’on peut parler d’une forme de suicide collectif qui ne dit pas son nom.

Tôt ou tard, vingt personnes seront remplacées par treize personnes, puis ces treize, sauf inversion radicale des chiffres, seront remplacées par six ou sept personnes.

Les taux de natalité prenant en compte, d’un côté, les Italiens de souche et, d’un autre côté, les immigrants permettent de tracer un tableau plus sombre encore : ils sont officiellement de 2 enfants par femme pour les immigrants (et ce chiffre me semble très bas, et devrait être vérifié de près) et de 0,9 pour les Italiens de souche.

Le grand remplacement sera beaucoup plus rapide pour l’Italie que pour la France, et devrait être cataclysmique, dès lors que le capital humain des immigrants est bien plus bas que celui des Italiens de souche.

Les vagues de « migrants » qui arrivent depuis la chute du régime Kadhafi en Libye ne font que rendre une situation effroyable plus effroyable encore.

Des villages du Sud de l’Italie sont submergés par des hordes de gens totalement étrangers aux coutumes occidentales, et au comportement de prédateurs.

Ce qui se passe dans les villages du Sud se retrouve peu à peu ailleurs dans le pays.

Des violences parfois atroces sont commises.

Des actes de réponse aux violences peuvent résulter.

C’est ce qui s’est passé, il y a quelques jours, à Macerata, une petite ville autrefois paisible de la côte Adriatique.

Une jeune fille de dix-huit ans a été assassinée éviscérée, démembrée, découpée en morceaux.

Son assassin a été retrouvé. C’est un migrant venu du Nigeria. Les couteaux qui ont servi à l’éviscération, au démembrement et au découpage du corps ont été retrouvés dans le lieu où il dormait.

Cela aurait pu être un meurtre de plus, l’un de ceux dont les médias ne parlent pas.

Un jeune homme de vingt-huit ans a réagi avec colère.

Il a pris un revolver qui était en sa possession, et il est parti en voiture, pour tirer sur des migrants. Il en a blessé plusieurs sans en tuer aucun.

Il a été arrêté et a crié « l’Italie aux Italiens ». Il a été aussitôt présenté comme un abject criminel et un fasciste.
Nul ou presque n’a évoqué la jeune fille assassinée et l’assassin de la jeune fille.

Il risque fort, hélas, d’y avoir d’autres jeunes filles assassinées en Italie, et d’autres jeunes hommes qui réagissent avec colère dans les mois et les années à venir.

 

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Comments (7)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ah bon il existerait donc une … ” Grande Presse Française ” ? ***

    je constate plutôt une presse soumise docilement aux puissants et aux … lobbies

    *** les majuscules s’ imposent d’ elles mêmes !

    19 février 2018 à 17 h 07 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    cela est sans importance , ce qui l’ est c’ est que, comme le demande à Milan lors de sa campagne électorale la Présidente de l’ Assemblée des Députés, ” tous les groupes fascistes soient dissous “

    18 février 2018 à 19 h 24 min
  • HOMERE Répondre

    On commence par l’Italie,puis la France,puis toute l’Europe submergée par les hordes africaines…nous devons nous préparer à celà et organiser une nouvelle occupation de l’Afrique vidée de ses populations et rendue par notre savoir et nos moyens,très acceptable alors que l’Europe crèvera de famine…..sinon c’est la guerre assurée sur notre territoire…

    16 février 2018 à 17 h 54 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      oh vous savez il suffit de se déplacer en Italie pour constater que depuis des siècles ils ne sont pas tous blonds aux yeux clairs !

      18 février 2018 à 20 h 12 min
      • BRENUS Répondre

        Entre “blonds aux yeux clairs” et totalement “tropicalisés”, il y a une marge. Physique d’abord, de mentalité ensuite (et c’est le plus grave), de culture ensuite. Bon courage aux italiens qui durant deux siècles produisaient une natalité qui a peuplé bien des pays (argentine par exemple, en plus des maçons (sic) en France, après que les maçons français gisaient au Chemin des Dames et autres joyeux endroits.

        19 février 2018 à 0 h 42 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          les monuments aux morts italiens sont eux aussi bien ” fournis ” avec cette particularité qu’ ils rendent hommage aussi bien aux Italiens qui sont tombés pour le Royaume d’ Italie que pour les Italiens qui sont tombés pour l’ Empire Austro-Hongrois ( cas du Trentin non par exemple )

          quant aux ” tropicalisés ” se souvenir que la République italienne abandonna contre une aide économique les demandes de réparations contre la France pour les viols , estimés à 400.000, que les troupes indigènes de l’ Armée d’ Afrique firent subir aux femmes italiennes

          19 février 2018 à 9 h 48 min
      • Franny Répondre

        Je ne sais pas où vous avez vu que les Italiens étaient de prime abord blonds aux yeux bleus !!
        A mon avis, vous n’êtes jamais allé dans ce pays que j’adore…

        20 février 2018 à 6 h 14 min

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