“Le Cash des Clinton”

“Le Cash des Clinton”

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10 jours après avoir annoncé officiellement sa candidature à la primaire démocrate (candidature saluée par Manuel Valls et Nicolas Sarkozy), Hillary Clinton fait face à un scandale. Un ouvrage intitulé Le Cash des Clinton raconte comment et pourquoi des gouvernements et des groupes privés étrangers ont aidé Bill et Hillary Clinton à devenir riches.

L’ouvrage sort le 5 mai, mais son auteur, Peter Schweizer, ancien chercheur de la fondation conservatrice Hoover, fait déjà l’objet d’une campagne de dénigrement. Sur la base de certains extraits du livre, le New York Times, journal de sensibilité démocrate (donc favorable à Hillary Clinton), a publié un article qui met en lumière sur les liens potentiels entre les intérêts de certains donateurs de la Fondation Clinton et le rôle de Hillary en tant que secrétaire d’État. Le quotidien s’intéresse au rôle qu’aurait pu jouer le couple dans l’acquisition par la Russie d’une compagnie minière canadienne, Uranium 1, qui contrôle aujourd’hui un cinquième des réserves d’uranium des États-Unis.

«  Tandis que les Russes prenaient progressivement le contrôle d’Uranium One par trois transactions successives entre 2009 et 2013 […] un flux de cash prenait le chemin de la Fondation Clinton. Le président d’Uranium One utilisait sa propre fondation familiale pour faire quatre donations d’un total de 2,35 millions de dollars. Ces contributions n’ont pas été rendues publiques en dépit d’un accord que Madame Clinton avait passé avec la Maison-Blanche »

Hillary Clinton était alors secrétaire d’État et, à ce titre, membre du puissant Comité sur les investissements étrangers, chargé d’octroyer les autorisations de ventes d’actifs d’entreprises ayant trait à la sécurité nationale. Le journal se garde bien d’affirmer que Hillary a pu peser sur la décision avec des arrière-pensées liées aux intérêts de sa fondation. Par ailleurs, Bill Clinton a donné en 2010 à Moscou une conférence payée 500 000 dollars, au moment où la décision de laisser la Russie devenir majoritaire était prise à Washington. Le chèque est signé par Renaissance Capital, une banque d’investissement russe très proche du Kremlin.

Un traité négocié en Colombie par la secrétaire d’Etat aurait fait le bonheurfinancier d’un des donateurs.

La Fondation Clinton pèserait environ 2 milliards de dollars.

Michel Janva (Salon Beige) 

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Comments (11)

  • lombard Répondre

    BONJOUR
    A MR quinctius cincinnatus

    parlez nous du grand père bush ,installé a des postes bancaires et actionnaires avant et pendant la seconde guerre mondiale et de ses liens financiers et industriels avec le nazisme……..

    29 avril 2015 à 16 h 39 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    et si on parlait ( aussi ) du cash ” rockfellérien ” des Bush ?

    27 avril 2015 à 13 h 49 min
    • Jacky Social le P'tit Con Répondre

      Ben oui, parlez-nous en, monseigneur. Ensuite on vous parlera aussi de la fortune de vos ancetres et surtout de son origine, monsieur l’aristo de la Poussiere et de la Poutrelle. Mais respectons la bienseance de votre grace, a vous l’honneur et le privilege de commencer.

      28 avril 2015 à 22 h 27 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        monseigneur prend un ” M ” majuscule ! quel manque grossier des convenances !

        P.S. s’ il vous plait, faites, si cela vous est possible, un petit effort dans ce que vous croyez être de l’ humour; je vous assure le votre est balourd ; nous sommes un certain nombre sur le blog a être ” éduqués ” ( sans pour autant être ” délicats ” ) … et comme je présume que vous allez me traiter de ” chochotte ” je signe :

        un ancien commando

        29 avril 2015 à 9 h 14 min
        • Jacky Social Répondre

          Ben oui, parlez-nous en, Monseigneur, Monsieur Le Marquis. Ensuite on vous parlera aussi de la fortune de vos ancetres et surtout de son origine, monsieur l’aristo de la Poussiere et de la Poutrelle. Mais respectons la bienseance de votre grace, a vous l’honneur et le privilege de commencer.
          PS (sans jeu de mot): il n’y avait pas d’humour. J’ai donc mis un M majuscule. Tiens, vous êtes un ancien commando? Et c’est vous qui me traitez de balourd. Personne ne vous traitera de chochotte. Pourquoi faire? Quel rapport? A propos, on vous écoute sur les liens du Grand-Père Bush, banquier ayant eu des liens avec le nazisme. Mais à quand l’interdiction des Mercedes, BMW, Hugo Boss, Henkel, etc. sur le marché?

          Bush, Rockefeller, Rothschild et Hitler
          Par Michael Collins Piper, pour American Free Press. 28 janvier 2013
          Certains lecteurs de American Free Press ont été choqués par les deux premiers articles de cette série proposant une réflexion sur la prolifération des mythes, de documents bidons et de « citations » frauduleuses venant troubler les recherches sérieuses sur les grandes questions de l’heure et les événements du passé. Or, le travail de l’AFP est de rapporter les faits.
          Cette semaine, nous jetterons un coup d’oeil sur un mythe particulièrement répandu — ou plutôt une combinaison de mythes – qui en a enthousiasmé plusieurs: il s’agit d’une variété d’allégations à l’effet que les familles Bush, Rockefeller et Rothschild et une foule de « banquiers juifs » — ensemble ou séparément — auraient contribué à financer la montée au pouvoir d’Hitler.
          La source la plus citée en ce qui concerne l’histoire des banquiers juifs ayant aidé Hitler est Hitler’s Secret Backers, soi-disant par un banquier juif du nom de Sidney Warburg.
          Tout d’abord, Sidney Warburg n’a jamais existé. Mais ceux qui ont vraiment lu ce livre d’origine douteuse qui relève clairement de la fumisterie (et la plupart de ceux qui le citent ne l’ont pas lu) savent que l’auteur inconnu dit — contrairement à ce que les gens croient qu’il dit — que les banquiers juifs n’ont pas financé Hitler. Au lieu de cela, le livre prétend que quelques vilains banquiers non-juifs l’ont fait. Mais cela aussi n’est pas vrai.
          Une évaluation précise par James Pool dans Who Financed Hitler? (gratuit sur balderexlibris.com) réfute absolument la légende voulant que de gros intérêts bancaires ou industriels aient joué un rôle important dans le financement d’Hitler. La plupart de l’argent du parti nazi provenait de petites contributions et des ventes de littérature.
          Aucun Rothschild n’a soutenu Hitler. C’est un mythe. Un banquier, un chrétien pratiquant avec un quart d’origine juive, a — selon une source, qui relayait une rumeur — donné de l’argent à Hitler. Et c’est tout. Le seul banquier juif connu pour avoir donné de l’argent à un quelconque nazi l’a donné à des éléments au sein du parti nazi — les frères Strasser — qui tentaient de stopper Hitler.
          Et Hitler ne descendait pas de quelque famille Rothschild ou Frankenberger. S’il avait du sang juif, cela n’a jamais été retracé de façon concluante.
          Un promoteur de l’allégation selon laquelle Hitler était juif cite La Vienne d’Hitler de Brigitte Hamann comme preuve, en soulignant que le livre relate des histoires sur l’héritage juif d’Hitler. En fait, Hamann dissèque ces contrevérités, les réfutant en détail. Des spécialistes tels que Carolyn Yeager (carolynyeager.net) et V.K. Clark, dans la série Warwolves of the Iron Cross, ont également démoli ces rumeurs.
          Certains disent qu’Hitler était pro-sioniste. Ils ont tort. Pendant une brève période Hitler a encouragé certains sionistes dans leurs efforts visant à promouvoir l’immigration des juifs d’Allemagne vers la Palestine, tel que décrit dans le livre de Edwin Black The Transfer Agreement. Toutefois, au même moment, d’autres forces sionistes en appelaient dès 1933 à la guerre contre Hitler.
          La légendaire « collaboration nazi-sioniste » ne fut qu’un petit aparté sans conséquence géopolitique réelle. Mais elle a quand même fournit l’occasion pour de mémorables débats sur Internet.
          D’autres s’agitent hystériquement autour du fait que des banques et des sociétés américaines ont collaboré avec le régime nazi, et pourtant — malgré la frénésie — ce n’est ni une révélation majeure ni un fait extraordinaire. Ce sont des ententes bien connues, qui remontaient parfois à plusieurs décennies et qui étaient conclues avec le gouvernement allemand au pouvoir quel qu’il fût.
          Plusieurs pensent qu’Antony Sutton a « prouvé » dans Wall Street et la montée d’Hitler que la Standard Oil contrôlée par Rockefeller a financé Hitler. Toutefois, dans son livre, Sutton dit catégoriquement: « Standard Oil n’a apparemment pas financé l’accession d’Hitler au pouvoir. »
          Certains citent ce même livre comme preuve que la famille Bush, de concert avec les intérêts bancaires Harriman, aurait financé Hitler. En fait, Sutton dit seulement que les Harriman — comme de nombreux groupes financiers américains — avaient des liens avec les intérêts des entreprises en Allemagne. Et il conclut que cela « ne suggère pas que les Harriman aient directement financé Hitler ». À aucun moment il ne fait mention des Bush.
          Une autre rumeur soutient que les Bush faisaient partie d’un « complot fasciste » pour renverser Franklin Roosevelt, citant souvent Jules Archer, The Plot to Seize the White House. S’il y avait bien un plan pour déloger FDR — ce que de nombreux patriotes voient comme une bonne chose — le livre ne mentionne pas même une seule fois les Bush, et il n’y a d’ailleurs aucune autre preuve qu’ils aient eu quelque chose à voir avec ce complot.

          29 avril 2015 à 21 h 49 min
          • quinctius cincinnatus

            Pour un bon complément à votre instruction lisez également l’ article de John Hoefle publié dans le n° du 20 mars 2009 du magazine ” Executive Intelligence Review ” *** article consacré pour l’ essentiel au Baron Kurt Von SCHRÖDER . Vous y trouverez une masse d’ informations concernant le passé et l’ action du Général G. K. Howard directeur de la division économique du groupe qui deviendra le Gouvernement militaire allié en l’ Allemagne

            *** je sais c’est une parution de … spécialistes du renseignement

            30 avril 2015 à 9 h 17 min
          • Jacky Social

            Vous vouliez évoquer Prescott Bush, non? Et bien allez-y donc. Maintenant, les gens dont vous parlez ne sont que des inconnus qui resteront des inconnus. Quant aux spécialistes du renseignement, ik lach, meneer. Le renseignement? Non mais allo quoi !

            30 avril 2015 à 23 h 42 min
        • Jacky Social Répondre

          Non pas une chochotte, mais un ancien para-commandouille.

          1 mai 2015 à 1 h 05 min
  • Roger Saint Pierre Répondre

    Le prochain président US sera Républicain. C’est la règle de l’alternance !

    26 avril 2015 à 10 h 37 min
    • Jacky Social le P'tit Con Répondre

      La regle de l’alternance? Les Francais sont tellement abreuves et exploites par leurs regles qu’ils en voient meme la ou il n’y en a pas.

      28 avril 2015 à 22 h 23 min
  • orldiabolo Répondre

    Je n’y crois pas un seul instant : la gauche, c’est la morale, l’honnêteté, la rectitude, le désintéressement, etc.. Et il est temps, après un musulman noir, d’envoyer une femme à la Maison-Blanche. Et pour la suite, on cherche un transsexuel, de préférence handicapé… ;-)

    26 avril 2015 à 10 h 01 min

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