Les imposteurs du GIEC ont encore frappé !

Les imposteurs du GIEC ont encore frappé !

Les imposteurs du GIEC ont encore frappé. Maintenant, ils disent que, pour éviter un réchauffement climatique anthropique supérieur à 1,5 degré Celsius d’ici a 2030 (dans moins de douze ans), le monde devra engager des transformations « rapides et sans précédent ».

Ils disent s’attendre à des vagues de chaleur, à des précipitations accrues, à des cyclones plus intenses, à une montée du niveau des mers, à des famines, à des épidémies catastrophi­ques, et que sais-je encore ?

Ils ne proposent pas un suicide collectif de l’ensemble de l’humanité, afin que celle-ci expie. Leur anti-humanisme n’a pas encore atteint ce degré, et ils sont au service d’un asservissement généralisé, pas d’un suicide collectif.

Ils proposent donc des moyens supplémentaires d’avancer vers cet asservissement : un maintien des émissions de dioxyde de carbone au niveau actuel, ce qui impliquerait des réglementations plus restrictives et plus punitives que celles qui existent déjà, des dépenses immenses, des restrictions supplémentaires à une multitude de libertés, des processus de redistribution planétaire accrus.

C’est afin que l’inquiétude requise, pour que l‘avancée vers l’asservissement s’accentue, que le plus récent rapport du GIEC a été rédigé.

Les populations des pays riches doivent impérativement se sentir très inquiètes.

Elles doivent aussi – cela va de soi – se sentir coupables, très coupables.

Grâce aux discours relais de la majeure partie des dirigeants politiques occidentaux et des grands médias, cela fonctionne.

Des manifestations « pour le climat » ont eu lieu un peu partout en France, voici peu, au cours desquelles des crétins au cerveau intoxiqué ont montré l’étendue de leur crétinisme.

On y a entendu beaucoup d’appels à « changer de système », à « sortir du capitalisme », à rechercher une « croissance zéro », voire la décroissance.

Dans quelques rares pays, tels que les États-Unis, quand bien même il y a des crétins au cerveau intoxiqué aussi, le crétinisme peut se trouver critiqué et soumis à l’épreuve des faits.

Ce n’est pas le cas en Europe.

Ce n’est tout particulièrement pas le cas en France, où le réchauffement climatique anthropique est devenu une croyance méta-religieuse et où, quand bien même le mouvement politique des Verts pastèques stagne, l’idée qu’il y a un réchauffement climatique anthropique est l’i­dée inepte la plus répandue.

Inutile de dire en France que le climat n’a cessé de varier depuis que l’espèce humaine a émergé, qu’il y a eu des moments bien plus chauds et des moments bien plus froids.

Inutile de dire que toutes les prévisions catastrophiques fai­tes depuis des décennies se sont révélées fausses et n’en ont pas moins été répétées et reformulées avec des mots presque semblables.

Inutile de rappeler les trafics frauduleux de données qui sont apparus, lorsque des imposteurs du GIEC ont été pris la main dans leur sac à malice et dénoncés par des scientifiques qui en avaient assez de l’imposture.

Inutile de souligner que les prévisions du GIEC reposent sur des modèles informatiques basés sur les données qu’on y introduit au départ, et que les résultats découlent de ces données, choisies par celui qui utilise le modèle et sait donc à l’avance ce qu’il va trouver.

Inutile de rappeler que toutes les prévisions catastrophiques du GIEC, depuis qu’il existe, ont été réfutées – ce qui, si on était encore dans le domaine des sciences et de l’utilisation de la méthode hypothético-déductive, aurait dû conduire à abandonner les hypothèses qui ont conduit aux prévisions en question.

Inutile de dire que le GIEC est un outil politique qui existe pour montrer qu’il y a du réchauffement climatique anthropique, ce qui est stalinien, et absolument contraire à l’esprit scientifique.

Le capitalisme, c’est la connaissance et l’inventivité mises en œuvre.

Le socialisme, c’est un dogme stérile et stérilisant destiné à donner du pouvoir à des idéocrates.

L’idée de réchauffement climatique anthropique est l’idée la plus délétère, produite par le socialisme mondial depuis que l’idée d’exploitation de l’homme par l’homme a glissé vers l’obsolescence.

La France aura encore des années de croissance nulle, de chômage élevé et de pauvreté endémique, mais on dira aux Français que c’était pour sauver la planète – et, pour la plupart, ils acquiesceront.

 

 

Voir les derniers ouvrages proposés par les4verites-diffusion ici

Partager cette publication

Comments (26)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    La presse “mainstream” aux ordres annonce un “coup de froid” et un “épisode neigeux” pour la France.
    Pour la “parenthèse chaude” par contre c’est tout de suite le changement climatique, rien de moins.

    Les Sioux auraient dit: “Visage pâle parle avec langue fourchue, hugh!

    27 octobre 2018 à 13 h 51 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      ” l’ Amérindien a une Foi profonde dans le SILENCE … le SILENCE est le point d’ équilibre absolu du corps, de l’ âme et de l’ esprit ”

      voilà ce qu ‘ aurait pu dire ( et qu’ a dit ) Ohiyesa chef … Sioux Santee

      30 octobre 2018 à 11 h 36 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Le lancer du tomahawk est silencieux et rarement son lanceur rate sa cible.
        Crazy Horse (1842-1877)

        30 octobre 2018 à 20 h 32 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Le changement climatique.

    a) l’approche scientifique: voilà les faits quelles conclusions pouvons nous en tirer?
    b) l’approche du GIEC: voilà la conclusion, quels faits pouvons nous trouver pour la rendre crédible?

    À vot’bon coeur, Mesdames et Messieurs.

    25 octobre 2018 à 10 h 42 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    G.M. n’ est déjà pas fameux dans ses ” prédictions ” géo-politiques , alors en … climatologie il peut développer toute la puissance de son cerveau scientifique

    24 octobre 2018 à 9 h 11 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Au lieu de condamner l’article de G.Milliere en bloc pourquoi ne le commentez vous pas point par point?
      Je suis sûr que tous les intervenants de ce site y compris G.Milliere applaudiraient des deux mains pour enfin connaitre votre point de vue sur le GIEC.
      Surtout ne vous gênez pas pour développer dans les moindres détails.
      Une page A4, rien de moins, prouverait que vous prenez la défense du climat vraiment au sérieux.

      D’avance merci.

      24 octobre 2018 à 17 h 25 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        pourquoi ? mais parce que Guy Millière n’ a lui [ aussi ] qu’ une approche purement idéologique de la question et qu’ il n’ en démordra pas même d’ un chouïa ; il n’ y a donc rien à discuter … sérieusement ! Millière est ce qu’ on pourrait définir comme étant une intelligence ” religieuse ” ; comme on peut discuter à l’ infini du sexe des anges ; il plait seulement aux gens qui ” pensent ” comme lui , ceux qui ont les mêmes a priori

        25 octobre 2018 à 11 h 29 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Dommage, on ne connaitra donc jamais votre idéologie et / ou votre croyance sur ce sacré “changement climatique”.

          Votre refus de débattre équivaut à une désertion en rase campagne.
          Je me demande si les autres intervenants sont du même avis?

          PS: G.Milliere doit bien rigoler dans son coin.

          25 octobre 2018 à 12 h 22 min
  • de sorne Répondre

    SURTOUT ne rien faire….
    Dans les années 70, j’ai installé des appareils de mesures en Alaska pendant que mes collègues en faisaient autant tout au Sud…
    Il s’agissait de mesurer les progrès des calottes glacières qui allaient dans les 50 ans, envahir les grandes plaines américaines
    Petite erreur… deja ?!

    24 octobre 2018 à 1 h 00 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      // Petite erreur… deja ?! /
      Ajoutez la au trou d’ozone, à la mort des forêts, au peak oil, à Paco Rabanne et d’autres calamités annoncées.
      En principe nous devrions déjà être tous morts au moins deux fois.

      24 octobre 2018 à 10 h 03 min
      • Hagdik Répondre

        N’oubliez pas Anne Quéméré, la navigatrice qui voulait passer par la route du Nord cet été.
        Elle le raconte elle-même, elle a du renoncer car il n’a jamais fait aussi froid en juillet sur ce passage.
        Lequel passage ne s’est pas ouvert. Il neigeait, il faisait un froid très inhabituel et les glaces sont restée obstinément soudées.
        Sans doute un effet du refroidissement climatique dont la cause entropique sera certainement le CO2 et l’extrême droite …

        25 octobre 2018 à 19 h 29 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Merci pour ce détail qui ne m’était pas connu.
          Je suppose qu’elle voulait prendre le passage nord-ouest.
          Bizarre, Ségolène la reine des glaces n’avait rien vu.
          Fait-elle au moins son boulot?

          25 octobre 2018 à 19 h 50 min
  • Claude Courty Répondre

    La conférence de 2018 sur le réchauffement climatique se tiendra à Katowice du 3 au 14 décembre. Y sera-t-il mis fin au tabou dont est frappé la démographie humaine, alors que toutes mesures susceptibles d’atténuer les effets de la situation catastrophique à laquelle est confrontée la planète – et avec elle tous ses habitants – en sont indissociables ? Après que quelques experts de tous horizons aient vainement tenté pendant des siècles de sensibiliser l’opinion aux dangers du surpeuplement humain, 15 000 d’entre eux (GIEC ou pas GIEC) se sont enfin décidés à lancer, au lendemain de la COP23, un appel solennel ; mais quand les scientifiques s’émeuvent à ce point, seront-ils entendus ?

    La manière dont le bréviaire de la décroissance qu’est “Notre empreinte écologique” (Mathis. Wackernagel et William. Rees, éditions “écosociété”, Montréal) traite de population et a fortiori de surpopulation est significative de la mesure dans laquelle notre démographie peut être reléguée à l’arrière-plan de l’économique et du social. Lorsque les problèmes qui se posent dans ces domaines ne sont que les conséquences du nombre de consommateurs, leur relation avec ce nombre y est tout juste évoqué.
    Il n’est pas question de contester l’utilité de l’empreinte écologique en tant qu’instrument de diagnostic et de sensibilisation aux excès de prédation de l’humanité, pas plus que de mettre en cause le droit que ce concept a acquis de s’ajouter à ceux qui inspirent déjà de nombreux chercheurs, mais chacun doit être conscient que pendant qu’ils en fouillent les détails et le retournent en tous sens (et que d’autres nient la fonte des glaciers et de la banquise), la population ne cesse de croître à un rythme jamais atteint, dans la quasi-indifférence générale. Raison justifiant la paraphrase de William Rees clôturant la préface de ce livre : “Regarder en face, tous ensemble, la réalité du dépassement écologique [démographique] nous forcera à découvrir et mettre en pratique ces qualités uniques qui distinguent le genre humain des autres espèces sensibles pour nous réaliser pleinement comme êtres humains. En ce sens, le changement écologique [démographique] mondial est la dernière grande occasion de prouver que la vie intelligente existe réellement sur la Terre.” »

    Parce qu’il doit impérativement ne serait-ce que se nourrir, se vêtir, se loger et se soigner, l’homme est un consommateur. Il l’est depuis sa conception jusqu’après sa mort – les marchés du prénatal et du funéraire n’ayant rien d’anodin – et se double d’un producteur dès qu’il est en âge de travailler.
    Il est ainsi, avant toute autre opinion ou considération, un agent économique au service de la société, mais aux dépens de son environnement. Et plus le nombre de ces agents augmente, plus leurs besoins s’accroissent – outre ceux qu’ils s’inventent toujours plus nombreux – et plus ils doivent produire. Qu’il s’agisse de ressources non renouvelables ou de pollution, les atteintes à l’environnement augmentent d’autant et s’ajoutent à celles d’une nature jamais avare de catastrophes inopinées ou cycliques comme peuvent l’être celles de nature climatique.

    23 octobre 2018 à 20 h 22 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      un peu de sagesse et beaucoup de modestie feraient le plus grand bien à l’ Homme ; n ‘est ce pas là le message que vous voulez faire passer ?

      24 octobre 2018 à 9 h 14 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        // un peu de sagesse et beaucoup de modestie //

        Exact et cela compte pour tout le monde y compris pour le GIEC.
        Que sait-on déjà bien?

        24 octobre 2018 à 9 h 56 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” que sait on déjà bien ? ”

          demandez à Millière lui le sait … que tout cela est bidon : une arnaque montée par les verts et les rouges, les anarchos, les fascistes comme moi, les anti american way of life , les anti-sémites , les trumpophobes et j’ en passe

          25 octobre 2018 à 11 h 36 min
          • HansImSchnoggeLoch

            Peut-être ne le sait-il pas bien et il doit en être conscient.
            Mais au moins a-t’il le courage de coucher ses idées sur du papier.
            Peut-on dire la même chose de vous qui refusez le débat?

            Allez y pondez enfin votre papier au lieu de chercher des excuses à gauche et à droite.

            25 octobre 2018 à 12 h 29 min
  • Bainville Répondre

    Le niveau des débats est passé sous le niveau de la mer.
    Un effet du réchauffement, par fonte des banquises , sans doute.
    Mon intervention sombre au plus profond de l’inculture.

    23 octobre 2018 à 19 h 57 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      question : …

      où est votre intervention ?

      24 octobre 2018 à 9 h 16 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        // où est votre intervention ? //
        Vous devriez mieux interpréter le sens des mots, elle a sombré et de ce fait n’est pas disponible.
        Essayez de travailler au sonar pour tenter de la localiser.

        24 octobre 2018 à 10 h 08 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          c’ est votre interprétation

          on pourrait tout aussi bien dire que l’ inculture de chacun sur la question noie le poisson

          25 octobre 2018 à 11 h 40 min
          • HansImSchnoggeLoch

            Il est préférable d’avoir un terrain en friches que cultivé avec des mauvaises herbes.
            Paroles de jardinier amateur.

            25 octobre 2018 à 12 h 36 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Pour GIEC, je propose: Groupement Imbécile Et Con.
    Qui dit mieux, avis aux amateurs.

    23 octobre 2018 à 17 h 03 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      dans ce genre, Brenus trouvera mieux , n’ en doutez pas

      25 octobre 2018 à 11 h 42 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        précision dans ce genre ” facile ” je veux dire, façon ” zinc ” au troisième Ricard

        25 octobre 2018 à 11 h 44 min
      • BRENUS Répondre

        Laches moi la grappe morpion. Et si tu veux dire quelque chose, que ce soit en rapport avec le sujet. Mais peut être en es tu déjà au niveau de celui qui se prenait pour un chat : il va falloir te décrocher.

        25 octobre 2018 à 16 h 14 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Vous venez d'ajouter ce produit au panier: