Les nouveaux défis du XXème siècle

Les nouveaux défis du XXème siècle

Lorsque le tocsin sonne, notre mobilisation doit être générale face aux nouveaux défis du XXIème siècle.

Nos chroniques veulent expliquer les vrais problèmes de notre époque, cette époque qui fait face à des défis qui, souvent, n’ont pas de précédents historiques.

Aujourd’hui, penchons nous sur les conséquences de l’explosion démographique avec une planète qui compte aujourd’hui 7 milliards d’habitants alors qu’elle n’en comptait 1,5 milliard il y a un siècle. Cette explosion n’est pas répartie de façon uniforme.

D’un côté, l’Asie s’est lancée dans la mutation industrielle avec la plus grande énergie et nous nous habituons à la croissance de 8% à 10% par an d’une Chine qui interdit les familles nombreuses.

De l’autre et à l’inverse, l’Afrique n’a pas utilisé le progrès technique pour se moderniser, mais n’a retenu que sa face médicale en doublant ses populations tous les 25 ans. Faut-il rappeler encore une fois que l’Afrique noire ne comptait que 150 millions d’habitants au moment de la colonisation, qu’elle en compte aujourd’hui plus d’un milliard et que certains démographes en prévoient deux milliards pour la fin du siècle !

 Plus près de nous le Maghreb comptait 50 millions d’Arabes en 1960 et deux cent millions en 2012.

 Migrations massives et croisade islamique

 Depuis plusieurs années, nous constatons deux phénomènes sociologiques :

  • des migrations de la faim vers une Europe considérée comme riche et accueillante ;

  • une nouvelle croisade islamique considérant l’Occident comme une terre d’infidèles qu’il faut combattre, qu’il faut dominer, qu’il faut convertir.

Concernant les migrations, les chiffres et l’actualité parlent d’eux-mêmes : elles sont massives.

On se doit d’ailleurs de remarquer que le pape Benoit XVI fait preuve d’une grande lucidité lorsqu’il demande certes d’accueillir des migrants, mais reconnaît que l’Europe peut réguler les flux migratoires. Cette lucidité ne semble pas acquise en France qui, malgré ses trois millions de chômeurs officiels, naturalise chaque année 100 000 étrangers et en reçoit 200 000. Notre économie et la société peuvent-elles absorber ces migrations ?

Autre défi, concernant la nouvelle croisade de l’islamique radical. D’abord des faits divers significatifs avec un Merah assassinant des enfants et ensuite ces révolutions dite démocratiques du Moyen-Orient qui voient la montée du salafisme et des camps d’entraînement d’Al-Qaïda.

Avons-nous conscience que le voile intégral était inconnu en France il y a vingt ans ?

Le salafisme, qui veut rétablir la Charia et convertir l’Occident de gré ou de force, reste une idéologie minoritaire et marginale, diront certains : c’est encore vrai, mais retenons les leçons de l’histoire. A leurs débuts, le léninisme, le fascisme, le maoïsme étaient certes, eux aussi, très minoritaires, mais ces idéologies étaient fanatiques et déterminées : pour le monde, ce fut ensuite presque un siècle de ténèbres, de massacres, de guerres.

Rappelons-nous que crises économiques et crises géopolitiques marchent le plus souvent de concert : les années 1930-1940 doivent nous servir de leçon.

Les défis que nous avons à relever en 2012 sont certes de nature différente, mais d’une ampleur trop sous-estimée, car mettant en cause les fondements même de notre civilisation. Les civilisations égyptienne, romaine, byzantine, se croyaient invincibles et elles ont disparues.

Pour nous les bons exemples de la lucidité et du courage restent présents dans nos mémoires : ce sont Churchill, de Gaulle, Roosevelt.

Le sursaut était possible hier, ce sursaut est possible aujourd’hui : réclamons-le.

Avec l’aimable autorisation de Radio Notre-Dame

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Comments (12)

  • AZ Répondre

    Lecteur

    – Tous les exemples que vous donnez de l’emploi du terme “mahométan” sont anciens. Ils ne sont plus de mise aujourd’hui. On ne dit plus une TSF mais une radio.

    – Et vous avez d’ailleurs une remarque révélatrice, que l’on peut retourner comme un gant à votre détriment : “musulman” est neutre, “mahométan” est péjoratif.

    – En effet, ce terme, aujourd’hui, n’est plus visible que sous la plume de l’extrême droite islamophobe. C’est le mot codé, qui sent un peu son cuistre, que l’on utilise au lieu de dire “bougnoule” ou “bicot”.

    – N’essayez pas de refaire l’histoire : les affrontements entre Islam et chrétienté n’ont été que marginaux. Les chrétiens n’ont jamais hésité à s’allier à des musulmans contre d’autres chrétiens, pour leur plus grand profit. Et la France, dans cette politique, a été en pointe…

    5 décembre 2012 à 9 h 09 min
  • AZ Répondre

    F

    – Le devoir de prosélytisme est également celui du christianisme, et l’extension géographique de celui-ci est largement plus grande que celle de l’Islam. Par exemple, le christianisme – sous ses différentes formes – est la religion qui domine ENTIEREMENT le continent américain. Et les gens qui le portaient ont éliminé par la violence toutes les croyances antérieures.

    – C’est aussi le cas de l’Océanie, de l’Afrique subsaharienne au sud de l’équateur et de larges parties de l’Asie où l’Islam est absent (comme le Japon ou la Corée du Sud). S’il y a bien une religion qui a été et est encore intrusive, c’est le christianisme.

    – Dans les deux contrées européennes temporairement dominées par l’Islam (péninsule ibérique et Balkans), les musulmans n’ont fait aucun effort pour convertir les populations locales. A l’inverse, en Espagne, après la Reconquête, musulmans et juifs ont été chassés par la violence.

    – Depuis les débuts de l’expansion musulmane, les affrontements entre chrétiens et musulmans, n’ont été, à tous les sens du terme, que marginaux. Et souvent, les chrétiens se sont alliés aux musulmans, CONTRE d’autres chrétiens, et pour leur plus grand profit. Ce fut le cas de la France, à plusieurs reprises – ce dont, en tant que Français, on ne peut que se féliciter.

    3 décembre 2012 à 12 h 30 min
  • F Répondre

    ” Il n’y a pas de loi stipulant qu’un continent doit être musulman…”
    De loi, non, mais pour le Coran, oui. Il y est même stipulé que c’est toute la terre qui doit être musulmane, de gré ou de force…
    Nous accorderez vous le droit de ne pas être d’accord avec cette “loi musulmane”?
    Les faits nous en font sérieusement douter…

    2 décembre 2012 à 16 h 27 min
  • AZ Répondre

    Jean PN

    – Vous opposez les musulmans aux Européens comme s’il s’agissait de deux catégories inconciliables. Or rien, dans la logique, le droit ou la morale, ne s’oppose à ce que des sujets puissent être l’un ET l’autre – y compris majoritairement…

    – Il n’y a pas de loi ou de règle stipulant qu’un continent doive être chrétien, musulman, bouddhiste ou hindouiste.

    – Avant la grande expansion européenne du 16e au 19e siècle, les peuples d’Amérique, d’Afrique et d’Océanie ignoraient totalement le christianisme. Avant de vous lamenter à propos d’une hypothétique invasion musulmane en Europe, demandez-vous plutôt si vous vous repentez de l’imposition, par la force, du christianisme à des peuples qui ne le demandaient pas…

    30 novembre 2012 à 18 h 05 min
  • G.Chaix Répondre

    le sujet du débat sur le probleme de l’immigration en france est interdit,pour la raison suivante que toutes les craintes que vous avez décrit dans votre article est une vérité qui ne faut pas dévoiler au peuple français ‘trompé’…c’est pour cela que les journalistes tels des gardiens de la bien pensante censurent toutes discussions qui pourraient remettre en cause leurs convictions sur le sujet. le probléme de l’immigration en france: journalistes et politiques vous répondront responsables mais pas coupables..alors on s’en fou! plus on est de fous ..Même s’ils sont entrain d’edifier une bombe nucléaire sociale EUX auront les moyens de fuir ce pays !

    30 novembre 2012 à 11 h 43 min
  • JEAN PN Répondre

    Pour modérer la démographie, cessons déjà de faire rentrer les musulmans en Europe. En effet, nous les nourrissons et les aidons ainsi à procréer.

    30 novembre 2012 à 10 h 42 min
  • R. Ed. Répondre

    Les sept milliards d’habitants ont aussi pour conséquence l’augmentation du cheptel d’animaux pour nous nourrir.

    Le poumon du monde ( la forêt amazonienne ) celui qui “””consomme””” notre CO2 est tout les jours un peu raboté pour en faire des pâturages ! Des milliers d’hectares !!!

    Ensuite, on nous taxe parce que nous sommes responsables du réchauffement climatique, car le soleil, lui, il n’y est sans doute pour rien.
    Mais, malgré cette augmentation exponentielle et dramatique de la population, nos gouvernants occidentaux nous disent que nous ne faisons pas assez d’enfants.

    30 novembre 2012 à 10 h 18 min
  • AZ Répondre

    Lecteur

    – D’abord un point de vocabulaire : il n’y a pas de “mahométans” mais des musulmans. Les musulmans ne sont pas des idolâtres : ils révèrent Dieu, le même Dieu que celui des juifs et des chrétiens.

    – Ensuite sur la réalité. La conquête arabe de Jérusalem a eu lieu en 638 et la première persécution n’a eu lieu qu’en 1004, sous le sultan al-Hakim, soit 366 ans après ! C’est-à-dire l’intervalle qui nous sépare de la guerre de Trente ans…

    – Et encore, cette persécution ne dura-t-elle que 10 ans. En 1017, la liberté de conscience fut rendue aux juifs et aux chrétiens. En 1020, les églises furent rétablies dans leurs biens. Et les travaux de reconstruction de l’église du Saint-Sépulcre commencèrent en 1046, soit un demi-siècle avant les croisades…

    – Alors, arrêtez avec votre paranoïa ! N’oubliez pas qu’en 1099, lorsque les croisés arrivèrent à Jérusalem, ils massacrèrent tout le monde, juifs compris. Et que lorsque Saladin la reprit, en 1187, il ne massacra personne, lui…

    30 novembre 2012 à 9 h 49 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      vous avez une excellente connaissance de l’Histoire du Moyen Orient et vos remarques sont de ce fait ” différemment ” appréciées … j’ estime et apprécie à sa juste valeur la VERITABLE curiosité historique , celle qui est documentée , la votre , ce qui ne m’empêche pas de dire qu’il serait salvateur d’arrêter net l’immigration extra – européenne !

      30 novembre 2012 à 21 h 00 min
    • Lecteur Répondre

      @ az aziz azzouz azzdine azz quelque chose

      que vous prétendiez qu ‘il n ‘ y a pas de
      “” mahométans “” c’est votre choix ou votre ignorance de l histoire et de la langue

      j’utilise pour ma part , concernant l’époque médiévale
      le mot MAHOMETAN puisque le mot musulman
      n ‘existait pas en lingua franca
      et qu ‘il s’agit du nom que se donnaient les
      mahométans

      vous les insultez donc en les niant

      ce mot apparait en 1762
      utiliser le mot musulman poir l epoque mediévale est donc
      1 de l ignorance
      2 un ANACHRONISME
      3 une volonté de falsification , en pensant subjectivement qu un des mots est PIRE que l autre

      Mahométan = sectateur du ‘ prophète ‘ Mahomet Mohamed

      ChristiAn , Chrétien = sectateur du messie Christ
      c’est tout

      personne n’a décidé de ne plus utiliser le mot
      désignant les adorateurs du Christ

      pourquoi être INTERDIT d’utiliser le mot des adorateurs
      de Mohamed ???

      Ce mot, nom ou adjectif, est relativement récent dans l’histoire de la langue française. Il est attesté dans la seconde moitié du XVIe siècle et les académiciens l’enregistrent dans la quatrième édition de leur dictionnaire en 1762.

      L’islam commence au début du VIIe siècle, le mot qui désigne ses sectateurs apparaît en français neuf siècles plus tard. Ce long silence n’en est pas un.

      Jusqu’au XVIe siècle, et même jusqu’à une date récente, les musulmans n’étant pas désignés par le nom musulmans ou qualifiés de musulmans, mais ils étaient des mahométans, c’est-à-dire des sectateurs de Mahomet, ou des macommetistes, machommetistes, mahometicques, mahumetiques, macometicques, mahumediques.

      Le mot est emprunté au turc, lequel l’a emprunté du persan (c’est en persan qu’il prend le suffixe –an), lequel l’a emprunté de l’arabe ou, plus dire les choses plus exactement, c’est l’arabe, langue impériale et impérialiste, qui l’a imposé aux peuples non arabes que les arabes ont soumis. En arabe, musulman, c’est muslim.

      Pour les auteurs de dictionnaires anciens, le mot n’est pas un nom, mais un titre : « titre que prennent les mahométans et qui signifie vrai croyant, qui met toute sa confiance en Dieu », non pas en Dieu, mais en Allah (DAF, 1762) ; « titre par lequel les mahométans se distinguent des autres hommes et qui signifie dans leur langue vrai fidèle, vrai croyant » (DAF, 1835).

      Un titre n’est pas un nom. Un nom désigne une réalité du monde, personne ou chose ; un titre est une dignité : « qualité honorable, nom de dignité » (DAF, 1762). Les académiciens, en 1762, illustre ce sens de titre des exemples suivants : « ce Seigneur a le titre de Duc, de Marquis ; cette terre porte titre de Comté ; il se dit héritier d’une telle Maison, Duc d’un tel lieu, mais ce n’est qu’un vain titre, il n’en a que le titre ». Autrement dit, en français, il faut les désigner par le nom de mahométans, musulmans étant le titre (de noblesse) qu’ils se donnent eux-mêmes ou la dignité qu’ils s’attribuent.

      Mahométan est neutre, musulman est mélioratif. Il y a de l’objectivité dans le premier de ces deux noms, de l’arrogance dans le second.

      Apparemment, au terme objectif, les Français préfèrent le mot frelaté pour passer de la pommade dans le dos de ceux qu’ils courtisent ou devant lesquels ils s’aplatissent. Tous les Français ? Non, bien sûr, mais les seuls instruits (de la veille), les docteurs Diafoirus, les sciencieux du social, les prêts-à-tout et surtout au pire. Comme ils sont partout, ils ont imposé leur propre vocabulaire à un peuple, qui n’en peut mais. Littré (Dictionnaire de la langue française, 1863-1877) fait la différence entre mahométan et musulman, lequel est le « nom que les mahométans se donnent » ; de même les académiciens en 1932-1935 : « nom que se donnent les disciples de Mahomet et qui désigne les vrais croyants ».

      Cette distinction a fini par s’effacer dans les dictionnaires actuels. Les auteurs du Trésor de la langue française (1971-1994) ne la font plus : « (adjectif) qui se réclame de la religion islamique, qui professe cette religion » et « (emploi substantif) adepte de l’Islam », mot qui aurait dû être écrit sans majuscule, la majuscule distinguant la civilisation (Islam) de la religion (islam). Mais ce Trésor étant l’organe du progressisme bien pensant, ses contributeurs ne s’embarrassent pas de distinctions, du moins quand elles les gênent ou pourraient aller contre leurs engagements, même s’ils citent un extrait « islamophobe » (comme on dit aujourd’hui, quand on exerce le pouvoir) de Guizot, « islamophobe » peut-être, mais objectif et juste :

      « Les Arabes (…) étaient conquérants et missionnaires (…). Plus tard ce caractère a déterminé le tour fâcheux de la civilisation musulmane ; c’est (…) dans la confusion de l’autorité morale et de la force matérielle, que la tyrannie, qui paraît inhérente à cette civilisation, a pris naissance… ». En 1935, les académiciens distinguaient encore le nom du titre ; dans la neuvième édition en cours de publication de leur dictionnaire, ils renoncent à cette salutaire distinction : « qui professe la religion islamique » (substantif : un musulman, une musulmane ; les musulmans des républiques anciennement soviétiques de l’Asie centrale sont en majorité sunnites).

      Il n’en allait pas ainsi au temps où les écrivains, philosophes, savants de France pensaient que le devoir de tout « intellectuel » (pardon pour cet anachronisme) était de dire les choses telles qu’elles sont, sans les enrober de miel ou sans essayer d’en faire des villages Potemkine. C’était à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle, le siècle des Lumières. Elles brillaient alors ; elles sont bien éteintes aujourd’hui.

      Pour Furetière (Dictionnaire universel, 1690), musulman est « le titre que les mahométans prennent abusivement, qui veut dire en leur langue vrai croyant. Un Turc se fait grand honneur d’être appelé musulman ». Pour Thomas Corneille (Dictionnaire des sciences et des arts, 1694), c’est le « nom qu’on tient avoir été donné premièrement aux sarrasins et que les Turcs se font un grand honneur de porter ; il veut dire en leur langue vrai croyant ».

      Gilles Ménage (Dictionnaire étymologique, 1694) écrit : « nous appelons ainsi un mahométan. C’est un mot turc, qui signifie un homme qui croit ce qu’il faut croire ».

      L’Encyclopédie de d’Alembert et Diderot (mazette !) est sans doute l’un des ouvrages les plus « islamophobes » (pardon pour cet anachronisme) qui soient. Alors, elle combattait l’obscurantisme, les ténèbres, l’ignorance. Pour les auteurs de L’Encyclopédie (1751-1772), musulman est le « titre par lequel les mahométans se distinguent des autres hommes ». En d’autres termes, ils chantent Islam über alles.

      « Les mahométans, ayant établi leur religion par le fer et le feu, massacrant ceux qui ne voulaient pas l’embrasser, et accordant la vie à tous ceux qui l’embrassaient, les appelaient musulmans, c’est-à-dire exempti è periculo (ou soustraits au danger ou arrachés du danger) ; de là il est arrivé par la suite des temps que ce mot est devenu le titre et la marque distinctive de cette secte et a été attaché par eux à ce qu’ils appellent vrais croyants ».

      .

      Effectivement pour ma part , en tant que citoyen du 21 ème siècle après la naissance de Jesus Christ *
      j’ai aussi été surpris de savoir que les ” croisés” avaient mis à sac Constantinople & Jerusalem
      mais ceci m’avait été enseigné et je ne le NIE pas !

      1 décembre 2012 à 10 h 46 min
  • Lecteur Répondre

    “”” croisade islamique “” ???
    ce terme est -il adapté ?
    A ° ne dévalue t il pas les vraies croisades
    ( opérations d ‘ essai raté de sauvetage des chrétiens et peuples autochtones d’Orient agressés puis envahis et colonisés et exterminés en partie par les ARABES mahométans pour leur imposer Islam-Soumission & Dhimmitude-Servage-Esclavage )

    les mahométans viennent ils sauver des mahométans et peuples autochtones d europe qui seraient attaqués et envahis par des chrétiens ????

    l’invasion mahométane de l europe me semble plus proche d’une agression que d’un sauvetage

    l utilisation de ce mot en INVERSE le sens !!!

    B les mahométans en “”””” croisade “””” portent donc la Croix du Christ ?? bonne nouvelle

    Attention au sens des mots
    même si c’est au ” figuré ” , cette utilisation m’est détestable

    30 novembre 2012 à 7 h 08 min
  • F. Menuge Répondre

    “Tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, l’humanité sera confrontée au problème global de sa survie ” Toujours ce livre étonnant “les corps indécents”. Au train où vont les choses, la surpopulation mettra en péril l’existence humaine, d’autant que les ressources (eau potable, énergies, alimentation, espace vital, matières premières ) de notre petite planète sont strictement limitées. Dans ces conditions pas si sûr que l’humanité franchisse le XXI ème siècle pour entrer dans le XXII ème siècle. Quel avenir pour nos enfants et petits enfants ?

    29 novembre 2012 à 16 h 42 min

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