Macron allié du Hezbollah

Macron allié du Hezbollah

La situation en France est très délétère. Les effets de la gestion désastreuse de la pandémie se font lourdement sentir.

Les chiffres de la pauvreté et du chômage sont en très forte hausse. La récession est là, catastrophique, et pourrait devenir dépression, si ce n’est pas déjà le cas. En fin d’année, le taux de croissance négative sera proche de 14%.

Des entreprises par centaines ont déposé leur bilan, et d’autres le déposeront vraisemblablement bientôt.

Les caisses du pays sont vides, et les emprunts massifs effectués pour financer la destruction de l’économie résultant du «confinement» ont fait exploser la dette.

Le gouvernement parle d’un «plan de relance» qui ne relancera vraisemblablement rien, et entend le financer avec des emprunts supplémentaires qui accroîtront encore la dette.

L’été a été marqué par une explosion de violences extrêmes qui a conduit à parler d’«ensauvagement», un terme édulcorant qui ne traduit pas ce dont il s’agit, et que j’ai décrit comme relevant de pratiques indissociables du djihad.

Par crainte de mouvements de colère et pour maintenir la population dans la soumission, la peur est entretenue soigneusement, et la population est appelée à vivre masquée, dans la hantise d’une «deuxième vague».

Macron pourrait faire semblant de s’occuper à plein temps de la situation française.

Au lieu de cela, ces derniers jours, il a voyagé et, alors qu’il a des allures de lamentable capitaine d’un Titanic en train de se fracasser contre l’iceberg de la réalité, il prétend pouvoir « sauver » le Liban. Après avoir trompé la population française, il est allé tromper la population libanaise.

Chacun sait que le Liban agonise parce qu’il est la proie d’une organisation terroriste islamique financièrement exsangue, le Hezbollah, et chacun sait que prétendre reconstruire le Liban sans marginaliser ou éliminer le Hezbollah est une tâche impossible.

Chacun sait que la France est trop faible pour marginaliser ou éliminer le Hezbollah et que, seuls au sein du monde occidental, les États-Unis pourraient y parvenir.

Chacun sait aussi que les États-Unis ne feront pas quoi que ce soit dans l’immédiat, car les élections du 3 novembre approchent.

Chacun sait que la marginalisation ou l’élimination du Hezbollah ne pourrait résulter que de l’asphyxie continuée de la République islamique d’Iran, qui soutient le Hezbollah, donc de la poursuite de la politique menée par Donald Trump aujourd’hui.

Macron sait tout cela.

Mais plutôt que coordonner son action avec l’administration ­Trump, il choisit la direction inverse et se place du côté du Hezbollah – donc du côté d’une organisation terroriste islamique et de la République islamique d’Iran.

Sauf à penser qu’il est plus idiot encore que je l’imagine, cela signifie qu’il rejette la politique menée par Donald Trump, et parie sur la défaite de celui-ci – donc sur la victoire de Joe Biden, qui entend lever les sanctions frappant la République islamique d’Iran.

Et cela signifie qu’il espère signer des contrats avec le régime des mollahs sous une administration Biden, et entend être l’agent d’une reconstruction du Liban laissé sous la coupe de l’organisation terroriste qui a ruiné le pays et qui ne peut que continuer à le ruiner.

Il est difficile d’être plus cynique.

Après un bref séjour à Beyrouth, Macron s’est rendu à Bagdad et a montré plus nettement encore qu’il entendait contrer la politique menée par Donald Trump : il s’en est pris aux ingérences « étrangères » dans un pays dont le Premier ministre revenait tout juste de Washington.

Comprenne qui pourra.

Si Donald Trump est réélu, ce qui reste une hypothèse probable, Macron se sera fait l’allié d’une organisation terroriste islamique et d’un pays qui a été, jusqu’à une date récente, le principal financier du terrorisme islamique international.

Les Français lui pardonneront, car nombre d’entre eux apprécient les Présidents hostiles aux États-Unis, et sont incités du matin au soir à détester Donald Trump.

Et peu d’entre eux feront la liaison entre régime des mollahs et terrorisme islamique, car la presse n’en parle pas.

Si Donald Trump est réélu, il ne pardonnera pas à Macron. Et je suis loin d’être certain que cela arrangera la situation de la France.

Je suis même persuadé du contraire.

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Comments (2)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    si seulement Emmanuel Macron prenait langue avec les Chiites !

    14 septembre 2020 à 10 h 48 min
  • ELEVENTH Répondre

    Macron a perdu toute contenance en public – et l’étranger de surcroit – en engueulent Malbruno, le journaliste qui avait fait connaitre ( c’est son job) les rendez vous de jupiter avec le/les chefs du Hezbollah.
    En d’autres temps et avec un président un tant soit peu patriote, j’aurais dit que c’est une honte. Mais avec le prince-enfant, c’est une bourde d’égo exacerbé de plus. Fermez le ban.

    9 septembre 2020 à 1 h 31 min

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