Obama a aggravé la crise économique mondiale !

Obama a aggravé la crise économique mondiale !

En découvrant les résultats – largement anticipés par les observateurs – des élections américaines de mi-mandat, on peut se poser la question de savoir pourquoi un président si brillamment élu il y a deux ans est devenu si nettement minoritaire dans l’opinion.

Pourtant, le charisme exceptionnel de l’ex candidat démocrate demeure presque intact. Du point de vue de l’art de communiquer, c’est sans doute le meilleur politicien mondial actuel.

Mais, aux États-Unis comme ailleurs, les électeurs jugent leurs gouvernants aux résultats. Plus les promesses sont généreuses, plus tôt on attend la récolte.

Or, avec plus de 10 % de chômeurs, en moyenne, par rapport à la population active (et donc des poches avec des taux de chômage à 20, voire 30 %), la situation s’est nettement dégradée depuis deux ans. Les perspectives sont également sombres.

Tout se passe comme si la ligne directrice de l’équipe d’Obama en matière économique était erronée. Cette ligne est 100 % d’essence keynésienne. On prétend soutenir la demande – et donc, s’imagine-t-on, la croissance – par une politique résolument laxiste aussi bien en matière de dépenses publiques, de déficit budgétaire que de création monétaire. L’activité paraît-elle insensible à ces stimuli massifs ? On double les doses d’euphorisants, avec la FED dans le rôle de fournisseur de drogues…

Mais ce que l’on voit, au bout de deux ans de ce traitement, ce sont les dégâts plutôt que les signes de rétablissement.
Toute augmentation du poids des dépenses publiques signifie une attrition de la sphère productive concurrentielle et efficace.
Toute augmentation de la dette publique veut dire captation de l’épargne disponible et un fardeau accru pour les générations futures.
Quant à la politique monétaire dite « facile » (easy), elle est tout bonnement catastrophique, aussi bien au plan interne qu’externe. Les taux d’intérêt quasiment nuls à court terme stimulent artificiellement les opérations financières spéculatives au détriment des investissements productifs, seuls créateurs d’emplois durables. Et la baisse du dollar, auquel le yuan chinois est toujours accroché, risque à tout moment de dégénérer en guerre des changes généralisée, avec le funeste protectionnisme en ligne de mire.

On dira : « Obama est victime de la crise économique. »

C’est oublier qu’un certain nombre de pays en souffrent moins que d’autres et même donnent l’impression parfois d’en profiter ! On pense au Canada, à l’Australie, au Brésil, à la Pologne, pour ne rien dire de la Chine ou de l’Inde. En somme, « la crise » ne frappe que la moitié du monde, celle qui précisément s’accroche aux solutions keynésiennes dépassées et constructivistes.

Comme toujours, s’agissant de phénomènes économiques, il faut soigneusement distinguer les effets et les causes. Ce n’est pas parce que la crise aurait détruit 30 millions d’emplois à travers le monde qu’il faut se mettre à subventionner davantage encore l’activité.
Car la crise, loin d’être un spasme inhérent au système capitaliste (thèse des anticapitalistes), est le fruit d’un excès d’interventions sur différents plans qui vont de la politique du logement social (« subprimes ») à celle de la création monétaire (manipulations des taux d’intérêt) en passant par le déficit public érigé en système permanent.

Avant d’être une destruction d’emplois, la crise est d’abord une destruction d’actifs, et donc d’épargne. La reconstitution de celle-ci, avec une pratique de taux d’intérêt plus « naturels » (non manipulés par les banques centrales), aurait dû être la priorité de tous les gouvernements sérieux.

Obama – tout comme Sarkozy d’ailleurs –, de ce point de vue, n’a pas été « sérieux ». C’est ce que les électeurs américains lui ont dit ce mardi 2 novembre 2010.

C’est aussi le sens profond du mouvement « tea party » : en économie comme ailleurs, il faut revenir au bon sens et aux valeurs qui ont fait leurs preuves. Pas aux élucubrations des économistes payés par les politiciens avec l’argent des contribuables !
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Notre pétition sur l’immigration
est victime de son succès (dimanche dernier, nous avions dépassé les 7 500 signataires sur internet et les 3 200 sur papier). Il nous a fallu réimprimer d’urgence des pétitions pour ceux d’entre vous qui veulent faire signer leur entourage. Nous sommes à la fois désolés pour ce contre-temps… et ravis de sa cause ! Par ailleurs, n’oubliez pas de vous inscrire sur le site <stop-immigration.fr> pour être tenus au courant de nos actions.
La rédaction

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Comments (16)

  • Jaures Répondre

    Si pour vous, mon Grepon, être compétent en économie consiste simplement à baisser les impôts et couper dans les programmes sociaux, inutile de créer des chaires d’université: n’importe quel Turcaret peut gérer un pays.

    François, les chiffres du chômage sont partout calculés sur le même mode. Cela ne veut pas dire que les gouvernements ne tentent pas de les manipuler, mais que tous le font de la même façon, au Canada et ailleurs.
    Le Canada souffre par ailleurs de lourds problèmes de pauvreté endémique et de délinquance des jeunes.
    La richesse en matières premières permet d’amortir les problèmes, non de les éradiquer.

    François, vous pouvez peut-être me reprocher des choses, sans doute pas d’avoir, à aucun moment, fait l’éloge d’Obama. Merci de bien vouloir trouver une autre occasion de me traiter de benêt.

    Quant aux élections, attendez 2012 pour sonner le glas d’Obama. Quel que soit l’état du pays à cette date, rien ne dit qui sera assez habile pour se prévaloir des bons résultats et faire porter à l’autre camps la responsabilité des échecs. Je ne fais pas de paris.

    17 novembre 2010 à 10 h 03 min
  • grepon Répondre

    "Grepon, possible que Mc Cain et Obama soient nuls en économie.    Etes vous persuadé que Sarah Palin soit plus compétente ?"

    Bien sur que oui.   Elle saurait preferer un entourage, membres de son cabinet, qui sont de ferme croyants dans la liberte et ce que nous appelons le "Rule of Law."    Le capitalisme qui fait avancer un pays et ses citoyens n’est rien d’autre que la liberte economique.     Obama et McCain(dans un bien moindre degre) sont des fanas de l’intrusion de l’etat dans tout, a coups de sousventions, interdictions, reglementations, impots suceptibles de faire pleuvoir sous de lobbyistes sur politiciens washingtoniens, qui sont rendus necessaire et puissant de par leur intrusions dans tout.    Voyez, le projet d’origine, meme avant la Constition, inscrit dans la Declaration of Independance, concernait tres explicitement la reduction des bureaux, impots, reglementations, par un tyran hors controle.   Notre gouvernement federale comprend des centaines de bureaux  capables de faire pourrir la vie des citoyens a partir de reglementations inventees sans le moindre vote des representants.

    15 novembre 2010 à 5 h 35 min
  • Anonyme Répondre

    Grepon : " L’anti-colonialisme d’Obama n’est pas une rage de racines raciales comme vous voulez voir partout, Mancney, du moins dans le texte de D’Sousa. "

    –         Grepon, j’ai ecrit  " La "revanche" des ex-colonisés, ca ne vous rappelle rien?"  parce que je n’arrete pas d’expliquer que c’est la rage aux tripes, et non pas la priere et la religion, qui fuel le momentum arabe. That’s all. Ou est la notion de race la dedans?
    C’est trop simple a comprendre probablement…
    En attendant, celui qui écrit le mot "race" en bold letter, ce n’est pas Mancney….

    Mancney

    15 novembre 2010 à 3 h 04 min
  • francois Répondre

    jaures,

     

    palin est bien plus competente que vs et obama reunis!!! comment etait le candidat qui a perdu??? bien mieux.en meme temps c est pas tres dur !!!

    2 ans apres son election qui a rendu fou un tas de benets dont vs faites partie ce pur prduit marketing a perdu 61 sieges!!! record absolu depuis la guerre YES HE CAN  le message est clair me semble t il

    sauf pour jaures bien sur    mort de lol

    15 novembre 2010 à 0 h 17 min
  • Frank Répondre

    Jaures, au Canada, personne ne manipule les chiffres ou les faits comme en France. Lisez-ça, vous aurez la réponse pour le taux de chômage au Canada:

    Certes, le taux de chômage demeure relativement élevé à 7,9% aujourd’hui, contre 6,2% juste avant la récession. D’où vient la différence? C’est qu’en deux ans, la population a augmenté, ainsi que le nombre de nouveaux arrivants sue le marché du travail. L’économie n’a pas pu fournir de l’emploi à tout le monde. N’empêche: le simple fait qu’elle ait été capable d’effacer toutes les pertes dues à la récession constitue certainement une autre bonne nouvelle.
    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201011/05/01-4339857-quelques-soupirs-de-soulagement.php

    14 novembre 2010 à 23 h 41 min
  • Jaures Répondre

    Franck, je ne crois pas une seconde à l’argument démographique sur le chômage canadien: il n’y a pas eu de révolution démographique au Canada de puis2008.

    Par contre, la dépendance de l’économie canadienne avec son voisin américain est réelle mais le Canada dispose d’atouts importants en terme de matières premières ce qui peut encore relativement le préserver.

    Grepon, possible que Mc Cain et Obama soient nuls en économie.
    Etes vous persuadé que Sarah Palin soit plus compétente ?

    14 novembre 2010 à 15 h 00 min
  • grepon Répondre

    "Glad Grepon commence a comprendre la Rage et les Roots : Welcome, my friend."

    Je ne suis pas encore la.   D’Sousa ne fait presque rien des histoires de race parmi les motivations d’Obama.   Il presente son auto-identiication "noir" comme un choix politique necessaire, dont il s’en fou.    Pour le titre du bouquin, de Sousa aurait pu choisir "Origines of…" au lieu de "Roots of…" sans perdre le moindre iota de description de ce qui est son these si bien developpe et nuance dans le text.   

    Quand au politicien Obama il ne fait pas plus grand cas de race comme critere que les autres criteres typiquement mise en liste par nos politiciens de gauche ici pour mieux conquerir en divisant"   sexe, age, gender, sexualite, ethnie, debilite, nationalite, et tout-sauf-blanc ou asiatique, mais avec race dans la foulee sans distinction.    C’est pour ca que de multiples "race hustlers" americain(du genre "reverend" Jessie Jackson) se basant sur l’histoire des noirs aux Etats-Unis ont declare avec raison que Obama n’est pas veritablement "african-american" car il ne partage aucunement leur heritage et histoire…aucunement.    Obama lui meme EST post raciale, et d’apres la these si bien developpe par D’Sousa, s’en fout de la notion de race (donc aucune "rage" la dessus chez Obama, Mancney) a part pour l’eau que ces problematiques apportent a son moulin de prise de pouvoir dans le contexte americain.    Il n’est pas convaincant ou particulierement pris d’emotions quand il en parle…il livre ce genre de paroles du TOTUS assez platement, s’agissant de race.   L’Amerique reste presque entierement dupe, encore apres deux ans de sa presidence, de ses efforts pour s’approcher et s’approprier par proximite l’identite culturelle d’african-american, alors qu’il n’y a rien de tout ca chez Obama.   

    Pire(pour votre these Mancney), l’identification avec son pere n’est pas de base raciale non plus, toujours dans le texte de d’Sousa.   

    L’anti-colonialisme d’Obama n’est pas une rage de racines raciales comme vous voulez voir partout, Mancney, du moins dans le texte de D’Sousa.   Obama ne s’identifient pas particulierement avec un lieu autant que a des idees applicables a n’importe quelle situation de colonialisme ou de domination occidental sur le tiers monde.     Relisez D’Sousa.    Obama a ete impregner avec histoires d’anti colonialisme non seulement kenyan mais aussi indonesien et hawaiien, les trois lieux ayant liens emotionnelles directes pour lui.    Par ses lectures et associations sur le temps il a mis cette rage en extension a tous lieux ou il y avait affaire de colonialisme ou domination et exploitation des types qu’il s’est entraine a voir et a hair.

    C’est possible que vous avez quelques rages en commun avec Obama, mais d’apres ce que j’ai lu sur le sujet je doute fortement que la critere de race serait un que Obama ressent reellement.   Ca fait un theme parmi d’autres sur lequel il ne met presque pas d’emphase.

    14 novembre 2010 à 11 h 51 min
  • Frank Répondre

    Jaures, il y a effectivement 8% de chômeurs au Canada mais le Canada a recréé tous les emplois perdus pendant la récession. Le chômage n’est pas retourné au niveau d’avant la crise à cause de la croissance démographique uniquement. L’économie canadienne pourrait effectivement aller mieux mais comme le Canada réalise 80% de son commerce extérieur avec les États-Unis, il sera difficile de progresser tant que les américains n’auront pas retrouvé la croissance.

    Par contre, les américains n’ont recréé que 10% des emplois perdus.

    14 novembre 2010 à 4 h 18 min
  • Anonyme Répondre

    Grepon : " Sa cause a lui (Dinesh D’Souza), c’est faire reculer les Etats-Unis et le reste des Pays qu’il designe comme colonisateurs dans le temps, en faveur de pays anciennement colonisés (..)

    –         Thanks. La "revanche" des ex-colonisés, ca ne vous rappelle rien? Evidemment, c’est mieux quand c’est D’Souza qui le dit; en plus, il a absolument raison. Dinesh D’Souza est un type tres brillant, indiscutablement, (demandez a Laura Ingraham ce qu’elle en pense), et son bouquin va probablement ouvrir un peu les yeux des Ricains, expliquer un peu la haine de l’Ouest, SANS passer par l’Islam ou le Tataouisme. Comme deja dit, c’est la rage, et non pas la priere, qui fait avancer.
    "The roots of Obama’s Rage", dont deja le titre seul contient le mot "rage" et le mot "racines", sera lu par tous les politiques et tous les commentateurs et je m’attends a voir "glisser" tout doucement certaines idées, certains propos. Le bon sens va enfin s’installer, et ceci est paramount.
    Glad Grepon commence a comprendre la Rage et les Roots : Welc
    ome, my friend.

    Best,

    Mancney

    13 novembre 2010 à 14 h 44 min
  • grepon Répondre

    "Diable ! Comment devait être le candidat qui a perdu !"

    McCain a ete mal positionnee sur la question, lui aussi.    Il avait l’avantage de ne pas avoir ete anti-americain jusquaux os, mais les medias ont occulte cet aspect de l’imposteur qui occupe la maison blanche actuellement.  

    Je n’ai pas de doute que McCain, lui aussi, aurait penche pour du "stimulus" de type Keynesien, mais il aurait oppose avec son veto le stimulus que nous avons eu sous Obama, construit par Congress sans le moindre influence par la maison blanche, truffee de cadeaux aux "special interests" Democrat comme aucune legislation depuis la nuit des temps, et signe par Obama sans le lire.   Notons aussi qu’il l’a signe sans le mettre sur le ouaibe pour cinq jours, comme il a promis de faire avec  toute leglisation que Congress lui proposerait.    Il n’y avait rien de tout ca.  

    C’etait une grosse mensonge comme celle d’utliliser le financement publique pour sa campagne presidentielle, promesse faite non seulement aux americains mais a McCain, qui lui aussi voulait avoir une election nette pour une fois.    Des que McCain s’est commis irreversiblement, Obama a change de cap, et a capturer enormement d’argent du monde du finance, des syndicats publics et privee, et des millier de "special interest groups" pour ne pas parler des contributions faites par N’IMPORTE QUI sur son site ouaibe calibre pour ignorer le correspondance entre le numero de carte de credit avec le nom, addresse, numero de telephone, date d’expiration etc.   Ainsi, des etrangers de part a l’autre du monde ont pu donne autant qu’il voulait(ce qui est strictement illegale) et des individus ont pu donne bien plus que le limite legale directement a la campagne d’Obama.    Une montagne de fraude faite expres, apres la mensonge du debut.   Souvenons nous que le candidat au eu aussi la classe d’envoyer un bras d’honneur avec son doigt a plusieur reprises lors des debats televisees en "prime time".

    Obama finira diabolise plus que toute autre president avant lui, et avec raison, faits derriere chaque accusation.   En finalite le dernier clous dans sa casquette politique a ete enfonce par Dinesh D’Souza avec son livre tres recent, "The Roots of Obama’s Rage", qui presente une theorie puissante pour expliquer les agissements bizarre de ce president destructrice.   Sa cause a lui, c’est faire reculer les Etats-Unis et le reste des pays qu’il designe comme colonisateurs dans le temps, en faveur de pays anciennement colonisee, et au dela de ca de s’opposer a toute imperialisme moderne aussi.   Beaucoup des positions classiquement gauchistes il a recuperer pour se mettre en pouvoir, pour se mettre au boulot sur la mission incomplete de son pere du Kenya, un perdant de socialiste anti-colonialiste qui a abandonne Obama tres tres jeune.

    12 novembre 2010 à 17 h 07 min
  • ozone Répondre

    Tant il est vrai que les économistes libéraux impénitents passent leur temps a trouver le pays modéle qui va donner raison a leurs théories…………..Avant de déchanter.

    11 novembre 2010 à 23 h 21 min
  • grepon Répondre

    "Parce que la Grande Bretagne et l’Irlande suivaient une politique Keynésienne  ?"

    Et blah blah blah blah, y compris commentaires sur lAustralie…..

    Une chose qui vous echappe, ou bien que vous occulte ou nierait, Jaures, c’est que dans beaucoup de pays de poids economique secondaire, genre l’Ireland, le sort de leurs economies est autant sinon bien plus sujet aux flux economiques dependant des poltiques de gouvernements et/ou conditions economiques d’aillieurs.    Le Canada et l’Australie par exemple sont de gros exportateurs de matieres premieres, ce qui donne qu’il faut prendre en compte toute flambee de prix de marche des matieres premieres, ce qui depend de conditions exterieurs.

    Prenons le Mexique, sur lequel une chanson appelle le "Safe Side" nous explique que

    "When the oil fields busted, and the peso takes a dive, you better stay off the side streets, if you want to come back alive".   

    Ca c’est une observation pour economies dependant sur l’export.   Le Mexique est tres mal quand le prix du baril tombe.    Quesece il y en est il d’Ireland?    Ben, l’Ireland a attire enormement de fabricants de s y installe, et que pensez vous est arrivee de la demande pour les produits fabriquee dedans?    Aucun rapport la dedans avec la politique du gouvernment d’Ireland, qui n’a rien a faire avec la demade pour les ordinateurs et tant d’autres produits fabrique dans ce pays.    Aussi,  le gouvernement d’Ireland n’y peut rien contre ses concourants en Chine, qui fabrique des produits(c’est ce qu’on me dis souvent, mais qui sait?), ou le taux d’echange entre l’Euro et la machine chinoise, indonesienne, vietnamienne, et j’en passe. 

    Et puis, que imaginez vous que le gouvernement d’Ireland peut faire sur la decision a repetition du gouvernment et de la banque centrale japonaise(pays bien plus gros que Ireland economiquement parlant) de faire du Keynesianisme a outrance sur deux decennies (avec de pietre resultats domestiquement?).     Je vous invite de googler la phrase "carry trade" pour vous informez comment le keynesienisme et/ou politiques de "easy money" de gros pay etrangers influence l’investissment et le desinvestissement et les PRIX de TOUT, et meme les taux d’echanges de petit pays a l’autre bout du monde.

    Vous apprendriez que la politique monetaire et fiscale et l’etat de l’economie dans les plus gros pays du monde exercice un effet de fouet (whipsaw) dans tout ce qui a lieux economiquement dans de plus petit pays.    Ainsi le Keynesianism, et aussi le "easy money" par les banques centraux,  pratique par le Japon, les Etats-Unis, ou la Chine, ont des effets en moyenne destructrice en dehors du Japon, les Etats-Unis, et la Chine, bien que parfois on image voir que c’est benefique ici et la.   Dans le cas du Japon le Keynesisme sur vingt ans a eu plus d’effets en dehors du Japon, et n’a rien fait pour le Japon.

    Il serait quand meme benefique a ce que vous lisiez un peu plus large, Jaures, et vous pouviez faire bien pire que d’aller lire ce que c’est que le "carry trade" cree par politiques de easy money et de Keynesisme.    Le carburant des booms, et l’intincelle qui les transforme en incendies, dans divers pays du monde est souvent le fait de Keynesiens et Monetairistes d’aillieurs, et non pas sous controle du gouvernement du pays qui subit le boom et le bust qui s’ensuit trop souvent.

    11 novembre 2010 à 19 h 13 min
  • Jaures Répondre

    Obama ? "un gars moyen et bourré d’a-priori , en dehors d’une incompétence évidente à comprendre l’économie." nous dit Sembour.

    Diable ! Comment devait être le candidat qui a perdu !

    11 novembre 2010 à 18 h 08 min
  • Anonyme Répondre

    Très intéressante analyse de grepon POTUS / TOTUS/ University grades.

    J’avais toujours eu des doutes importants sur la "brillance" d’Obama, tous les indices "Sembour" m’indiquant plutôt un gars moyen et bourré d’a-priori , en dehors d’une incompétence évidente à comprendre l’économie.

    11 novembre 2010 à 14 h 41 min
  • Jaures Répondre

    Parce que la Grande Bretagne et l’Irlande suivaient une politique Keynésienne  ?

    En fait, en dehors de la Chine, de l’Inde et du brésil qui sont des pays encore en voie de développement, et les pays industrialisés cités ne sont pas si fringants. Ainsi, le Canada a 8% de chômeurs.

    L’Australie se porte mieux  mais a fait deux plans de relance pour plus de 30 milliards d’euros ! Ce n’est pas du kenésianisme ? Par ailleurs, l’Australie profite de son partenariat avec la Chine en lui fournissant les matière premières comme le fer.

    Enfin la Pologne profite de sa main d’oeuvre bon marché au sein de l’Europe. Elle pique notamment les sièges sociaux de l’Irlande. Mais qu’adviendra-t-il quand les subventions européennes se tariront et que les sociétés trouveront une main d’oeuvre encore moins chère ?

    Bref, pas de quoi tirer des conclusions théoriques hâtives sachant en plus que ces 3 pays ne représentent pas 100 millions d’habitants.

    10 novembre 2010 à 17 h 42 min
  • grepon Répondre

    "Pourtant, le charisme exceptionnel de l’ex candidat démocrate demeure presque intact. Du point de vue de l’art de communiquer, c’est sans doute le meilleur politicien mondial actuel."

    Sans blague?   Aux Etats-Unis il y avait un acronyme, "POTUS",  pour President Of The United States, en usage courante pour faire courte lors de discussions ou en ecrivant.   Aujourdui, dans l’apres d’Obama, il y a un tout nouveau acronyme pour designer les dires du plus haut place de notre Executive Branch:   TOTUS, le Teleprompter Of The United States of America!    Regardons un peu l’etonnement des Indiens qui n’ont jamais vu un politicien parler dans leur parlement a l’aide d’une telle machine.   Ils ont jusqualors imagine Obama comme etant un orateur d’un grand talent, n’ayant pas encore apercu le trucage sur leur televiseurs a la maison.

    Avant de continuer sur cette ligne je suis obliger de dire que beaucoup de Presidents et autres Grand Hommes et Celebrite ont en fait usage, de Teleprompteurs, pour rendre des gens deja assez brilliant en matiere d’administration, leadership, formulation de blagues et j’en passe, mais parfois frustre quand a livrer leur message ou a rester sur LE message precise de ce moment choisi. 

    Alors comment decider, entre deux POTUS qui utilisent le TOTUS, lequel est le meillieurs POTUS, du moins quand a leur contributions A EUX au paroles qu’ils livrent?   Ben, c’est bien simple, il n y que a analyser ce qu’ils disent et font quand ils parlent sans telepromteur, ou quand ils improvisent au dela de ce que le TOTUS leur dis de repeter(et oui, souvent les paroles du TOTUS sont donne a la presse).

    Maintenant revenant a Obama, suppose orateur incredible:   Il est tout aussi reconnu et remarque de droite et de gauche que le style d’Obama craque presque toujours quand il se trouve sans le TOTUS pour diriger ses dires.  Obama se trouve peu souvent parlant en public sans le TOTUS devant lui, ce qui nous dis que tout le monde autour de lui, et Obama lui meme, savent pertinemment qu’il n’a pas interet a trop s’exposer sans l’aide du TOTUS.    Lorsque il livre les mots du TOTUS, remarqons son style:   L’attitude legerement hautaine qu’il prend, en livrant les dires du POTUS, vient d’observation de precheurs black, mais probablement aussi d’un effort permanent de ne pas dirage toute son visage vers les TOTUS (souvent deux ou trois ecrans transparent range devant lui a droite a gauche et au centre, pour donner l’impression qu’il regarde tout l’auditoire), alors que c’est vers le TOTUS que ses yeux sont rivees.  

    Voila le grand homme Obama, qui n’a jamais gere RIEN avant d’arriver a la tete de la Branche Executive des Etats-Unis, qui est une des plus vaste organisations du monde, et sans question sa plus puissante, comprennant le gouvernement federale presque dans son entier, y compris nos armees….Sa reputation de grand orateur, il l’a gagne du fait que personne n’osait le critiquer!   Comme le disait V.P. Biden parlant de Barack, c’etait si raffraichissante de voir un jeune homme noir si clean(nette!) qui parle bien et tout.   Biden a dit ouvertment ce que d’autres pensait tout bas, car c’est Joe Biden, une fleuve de commentaires malheureuses.   Pour le reste du monde politique et mediatique le grand fusil du Politiquement Correct non pas anti-raciste mais franchement pro-minorites et donc pro-black etait pointe sur la tete tout le long de sa candidature, et rest pointe sur eux meme aujourdhui.   Il n’est pas permis a sugger qu’il n’est pas si intelligent que ca.  

    Nous apprendons dans l’apres de sa chute des choses que les medias evite aujnourdhui, comme le fait qu’il n’a pas eu de tres bonne notes a Ociddental College avant de pouvoir transferre tout de meme a Columbia, d’ou il est echappe avec un diplome sans avoir laisse le moindre trace, et d’ou l’acces a ses records est scelle pour de bon.   Il ne faut surtout pas dire qu’il a ete pompe par sa race et histoires de pov immigrant ou autre.   Si ca semble trop cherche ce que je dis, imaginons si Barack Obama avait fait de bonne notes et accomplissements a Columbia.   Tout ceci serait scelle?    Non.   La verite c’est qu’il s’est emiscer a de des elements ouvertement anti-americain.   Mais passons, quecequ’il est beau parleur devant le TOTUS, son visage tres legerement eleve ver le ciel, livrant les beaux paroles du TOTUS.

    10 novembre 2010 à 15 h 56 min

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