Pourquoi il faut parler d’Obama

Pourquoi il faut parler d’Obama

Certains lecteurs m’ont écrit que je parlais trop d’Obama. J’ai, au contraire, le sentiment de ne pas parler assez du provisoire Président des États-Unis.
Je dois parler d’Obama comme je le fais, parce que je suis, en France, presque seul à le faire, et que, si je ne le faisais pas, certaines données seraient totalement passées sous silence.

Je le fais parce qu’Obama est sans aucun doute, comme je l’ai déjà noté, le pire Président qui ait jamais occupé la Maison Blanche, et un homme dangereux. Je le fais aussi parce que, dès lors qu’un homme tel qu’Obama arrive au pouvoir dans un pays qui est la première puissance économique, géopolitique et militaire du monde, les conséquences sont immenses et trop peu soulignées.

L’Europe a été libre et a vécu, pour l’essentiel, en paix depuis la Seconde Guerre mondiale parce qu’elle a été à l’abri du parapluie de la défense américaine, et nombre d’Européens, à force de vivre sous ce parapluie, ont oublié qu’il les protégeait. Or, l’Europe va, d’ores et déjà, très mal. Je n’ose imaginer ce qu’elle deviendrait si le parapluie américain venait à se refermer.

Le monde musulman, aux portes de l’Europe, a reposé pendant des années sur un fonctionnement où les pays alliés des États-Unis étaient récompensés et les pays ennemis des États-Unis étaient sanctionnés, ce qui, même si l’islam radical a gagné du terrain, a été un facteur permettant de refréner certaines ardeurs délétères : la remise en cause de ce fonctionnement est lourde d’ores et déjà de dangers extrêmes que nous ne faisons qu’apercevoir, et ceux qui ont aimé l’islam radical ces dernières années pourraient adorer son déferlement si la politique menée par Obama continuait sur la voie aujourd’hui tracée.

Le défaitisme actif pratiqué par Obama en Irak séduit peut-être quelques nostalgiques de Sad­dam Hussein, mais ceux-là de­vraient voir que ce défaitisme actif est pratiqué par Obama aussi en Afghanistan où des soldats français sont présents et se trouvent ainsi mis en danger.
À chaque fois que les États-Unis se sont, depuis au moins un siècle, retirés des affaires du monde, celui-ci est devenu plus dangereux et a vu s’aiguiser les appétits de divers dictateurs et de fanatiques.

Les États-Unis ont permis globalement, selon l’expression consacrée, un monde « plus sûr pour la démocratie » : Obama semble souhaiter un monde plus sûr pour les dictateurs et les fa­natiques. Carter avait été jusque-là le Président le plus nul de l’histoire américaine, et cela avait abouti à la république islamique en Iran, à l’invasion de l’Afghanistan, à des avancées soviétiques en Afrique subsaharienne et en Amérique centrale. Clinton avait été un Président assez irresponsable, et cela avait permis à al Qaïda de se construire des bases d’entraînement dans les montagnes afghanes, et la formation de gens qui sont passés aux travaux pratiques ensuite à New York, Washing­ton, Londres ou Madrid. Obama n’est pas seulement nul et irresponsable, il est imprégné d’idées dont la toxicité doit être mise au jour.

Il faut aussi toucher un mot des destructions infligées par Oba­ma à l’économie américaine, qui ont des répercussions sur les économies de la planète et, donc, sur les économies européennes.

Comme sur d’autres sujets, je n’ai pas d’opinion : j’ai des faits et des documents. J’ai même tellement de faits et de documents qu’il m’arrive de vouloir ne plus les regarder tant ils suscitent mes craintes. Dès le moment où l’élection d’Obama a semblé inéluctable, j’ai écrit ce qui, à mes yeux, devait l’être, et je n’ai pas à retirer un mot de ce que j’ai écrit, hélas. Aux États-Unis, des livres accablants ont été publiés ces derniers mois que nul ne cite de ce côté de l’Atlantique.

Je citerai : « The Manchurian President » d’Aa­ron Klein et Brenda Elliott, « The Post-American President », de Pamela Geller et Robert Spen­cer, et « Deconstructing Ameri­ca » de Thomas Sowell. En France : rien. Sinon, outre l’ouvrage d’Évelyne Joslain, « De la déconstruction de la démocratie en Amérique », édité par Les 4 Vérités, le livre que je publie cette semaine : « La résistible ascension de Barack Obama ». La bibliographie à elle seule fait une trentaine de pages.

Nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut pas voir. Nul ne pourra dire, quand les conséquences seront flagrantes, qu’il n’y avait pas eu d’avertissement…

La résistible ascension de Barak Obama,
Guy Millère
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Obama – De la déconstruction de la démocratie en Amérique, Évelyne Joslain
Les 4 Vérités Éditions
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Comments (30)

  • Anonyme Répondre

    Annika : " La raison est simple, nous préférons la liberté à la sécurité ; en France vous préférez l’inverse.  "
    –       Kudos, Annika, voici une des plus belles phrases du forum depuis longtemps.

    Annika : " You’ve got to come on Nov. 2 @ 6:00 pm for a "Take our Country Back" party… at my house."
    –      Thank you. I wouldn’t miss that for the World.

    Cheers,

    Mancney

    20 septembre 2010 à 0 h 40 min
  • Jaures Répondre

    Chère Annika, vous touchez au fond du problème.

    Ainsi, quand vous dîtes: "Nous préférons la liberté à la sécurité". Mais sur quels aspects de la sécurité êtes-vous prête à transiger pour garder votre "liberté" ? Ainsi, pour lutter contre le terrorisme, et la délinquance en général, vous êtes, j’en suis sûr, prête à sacrifier certains aspects de votre liberté pour que votre sécurité soit assurée.
    Mais pourquoi donc cela n’en serait-il pas ainsi pour, par exemple, la santé ? Et d’ailleurs, peut-on exercer convenablement sa liberté si on est malade ou mal soigné ?

    Par exemple,a quel aspect de ma liberté dois-je, comme Français, renoncer pour m’assurer qu’en toute circonstance, je pourrai, moi et mes proches, être convenablement soigné ?

    En France, ce sacrifice s’appelle le prélèvement obligatoire, c’est à dire qu’une part de mon salaire sert à soigner solidairement les malades et, en retour, si moi même je suis souffrant, cette solidarité s’exercera à mon profit. Et ceci, qu’il s’agisse d’un simple rhume ou d’un cancer, que je sois salarié ou étudiant, chômeur ou retraité. Outre que cela permet d’avoir une population globalement en bonne santé, avec une espérance de vie très élevée, cela crée un lien social dont tout le monde profite un jour ou l’autre, que ce soit pour lui-même, ses enfants ou ses parents.
    Personnellement, je n’accepterait jamais que mes parents ou mes enfants soient soignés dans des "free clinics" !

    Vous le reconnaissez d’ailleurs implicitement, notre système n’est pas moins performant financièrement que le vôtre puisqu’il coûte 3 à 4 points de PIB en moins.

    Il en est de même pour l’assurance vieillesse.

    Je ne vois pas en quoi cela est plus inacceptable qu’un contrôle d’alcoolémie qui, certes me présume coupable et donc met en cause ma liberté, mais permet de sauver la vie de centaines d’automobilistes.

    Tout est une question de mesure et surtout, de réversibilité démocratique. En effet, rien n’interdit à une majorité parlementaire de remettre en cause ce système: une loi peut supprimer des remboursements, fermer des hôpitaux, augmenter l’age du départ en retraite comme une loi peut instaurer le contraire.
    En France, on a pu nationaliser puis dénationaliser, créer des impôts puis les supprimer,…

    Visiblement, les choses sont bien plus rigides chez vous et, en ce sens, je vous considère bien moins libres.

    Enfin, méfiez vous des sondages qui disent que les gens sont pour ceci et contre cela. L’opinion est versatile. Il y a deux mois, en France, une majorité se prononçait pour l’augmentation de l’age du départ en retraite.
    Actuellement, la majorité pense plutôt le contraire.

    19 septembre 2010 à 21 h 32 min
  • Annika Répondre

      Ozone :  "Il est toujours stupéfiant de voir cet antiétatisme aux USA,certains se croiraient encore aux temps du Far west"

    Parmi les Tea Partiers, nul ne plaide pour une Amérique dépourvue de gouvernement,  mais plutôt pour un gouvernement amoindrit, frugal et restreint, constitutionnel et représentatif. Pour saisir la fureur qui nous anime envers et contre les deux partis politiques (oui, les deux !) referons-nous aux écrits des pères fondateurs qui inspirent la culture américaine (oui, l’Amérique a bel et bien… une culture);

    “Je prédis un bonheur future pour les américains, s’ils peuvent empêcher le gouvernement de gaspiller les travaux du people sous le prétexte de prendre soin d’eux.”  Thomas Jefferson

    « Un gouvernement sage et frugal, qui laisse l’homme libre de déterminer ses propres poursuites, soient-elles industrielles ou autre perfectionnement ; et ne prend de la bouche du travailleur le pain qu’il a gagné – voici la somme d’un bon gouvernement ».  Thomas Jefferson

    « La dépendance engendre la servilité et la vénalité, étouffe le germe de la vertu…(…) ».  Thomas Jefferson

    « Il incombe a chaque génération de payer au fur et a mesure ses propres dettes.  Un principe qui, s’il était  respecté,  éviterait la moitié des guerres du monde ».  Thomas Jefferson

    Même Gerald Ford, un modéré des temps presque modernes, dit ce qui suit devant le congres (12 Aout 1974).

    « Un gouvernement assez grand pour fournir tout ce dont vous avez besoin, est assez grand pour prendre tout ce qui vous appartient. ».

    19 septembre 2010 à 20 h 40 min
  • Annika Répondre

      Vous avez raison sur un point Jaurès, je panique « pour des choses qui, en France, sont tout à fait naturelles ».  C’est justement cette perspective francaise qui est instructive, nous sommes en Amérique au début de l’engrenage ;

    1) les droits individuels sont abrogés d’une façon irréversible.

    2) L’état contrôle le peuple en le rendant dépendant

    3) l’intrusion étatiste s’enchaine et rentre dans les mœurs

    Le peuple américain avait tellement plus de droits (que le français), je comprends que la perte de quelques uns ne vous semble pas odieux ! Les américains ne voient pas cet affront du même œil ; entre 58% et 60% du peuple U.S. est CONTRE le programme santé.  Pourtant nous n’avons pas 58 ou 60% de riches ; on ne peut donc rationaliser sur une classe aisée qui est pour et une classe pauvre qui est contre. La raison est simple, nous préférons la liberté à la sécurité ; en France vous préférez l’inverse.  

    Il faudrait une crise constitutionnelle pour renverser le programme ‘santé’ ; et bien que la Cour Suprême sera éventuellement appelée, ca pourrait prendre des années.  Nombre d’états travaillent a l’attaquer en justice, mais révoquer une loi est bien plus difficile que de la pondre. Surtout quand l’administration Obama s’acharne a nous mettre des bâtons dans les roues (devant juges et tribunaux).  En attendant, la nouvelle Chambre des représentants de 2011 peut tout simplement refuser d’allouer des fonds à Obamacare.  

     Note : Aux Etats-Unis, les services santé représentent 16% du PIB (1/6eme du Gross Domestic Product).  Nous voulions des réformes sur l’assurance santé dans le but entre autre, de réduire ce chiffre.  Plutôt que le réduire, l’état se l’est …accaparé. Les chiffres récents du CBO (Congressional Budget Office) projettent qu’Obamacare – qui coutera plus d’un trillion de dollars sur 10 ans… sera infructueux à contraindre l’augmentation du prix des soins. Ca la fout sérieusement… mal.

    Hello Mancney!  How are you?  You’ve got to come on Nov. 2 @ 6:00 pm for a "Take our Country Back" party… at my house.

    18 septembre 2010 à 23 h 16 min
  • ozone Répondre

    Il est toujours stupéfiant de voir cet antiétatisme aux USA,certains se croiraient encore aux temps du Far west,oubliant qu’a "la frontiere" c’était les possedants qui imposait leur loi a tous les autres,qui n’étaient en fin de compte libres que d’éxterminer les peaux rouges,avec la bénediction de l’état,qui était déja bien là,les temps du trappeur libre dans la forét étaient bien loins.

    Tiens,il existe un pays sans état,la Somalie..

    18 septembre 2010 à 22 h 25 min
  • grepon Répondre

    Annika, Jaures se rejouit de toute avance de l’etat, et vous venez de raconter tellement d’exemples de la performance de l’equipe etatiste de Pelosi-Reid-Obama, que j’ai bien peur que Jaures s’est sur-excite ne les lisant.   

    Parmi les exemples, il y en a un qui pourrait sembler anodin, genre la manque d’un budget pour 2010, mais c’est est des reponsibilites les plus claires du House of Representatives dans notre systeme de gouvernement .    Ils s’en foutent, particulierement Pelosi, qui est un etre tout aussi nuisible que Obama jusquici, une vraie vipere celle la.    Elle a promis "the most ethical Congress ever" il y a quatre ans, et elle s’est preside sur une suite d’empechement d’action contre membres democrates pris leur deux mains, jusquaux epaules, dans le sac, admettant sans vergogne qu’ils le font, telle les gangsters et rappers fiere d’etre voleurs et preneurs, tortionnaires, meurtriers et violeurs.    Genre Charle Rangel, responsable du committe qui ecrit les lois de fiscalite, et qui n’a pas paye ses impots.    Liste tres incomplete bien sur.

    18 septembre 2010 à 19 h 28 min
  • Anonyme Répondre

    Annika   : " Le peuple américain trouve les sources de son droit ‘au bonheur et a la liberté’, non pas d’un gouvernement protecteur et omniprésent – mais dans dieu. A l’opposé des constitutions européennes,  la constitution américaine affirme que « La Vie, La Liberté, et la Poursuite du Bonheur » sont des droits indéniables donnés par dieu à tout être humain.  La différence est importante, nos droits n’étant pas graciés par le gouvernement, il n’appartient donc pas a l’état de nous en déchouer.  Cette dimension spirituelle nous a longtemps protégés ; elle anime les Tea Party vers un renouveau des valeurs de base.  C’est purement américain, et c’est bien."

    –    Excellent, Annika, important rappel de la non dépendance du citoyen US a l’Etat, qui ne se tourne pas vers l’Etat pour regler ses problemes, (tant que ces assholes de socialistes ne l’en en pas encouragé, et encore), et qui le surveille attentivement (l’Etat, that is) armé du Second Amendment.
    Oui, le "bonheur" individuel n’a PAS, surtout pas, a venir de l’Etat, mais d’une dimension spirituelle, quelque soit son expression.

    Best, Annika,

    Mancney

    18 septembre 2010 à 14 h 37 min
  • Anonyme Répondre

    (j’ai poste ceci sur un autre article, et le reporte ici). 

    En attendant  le shock wave du résultat d’empilement de dettes, on se prépare au shock wave de l’économie américaine de l’année prochaine.  Le rebond de la crise ne saurait tarder.  Dans cette traduction d’un article du W.S.Journal (traduit par Francois Guillaumat) il illustre la raison d’une forte "récession dans la récession"  qui commencera dés janvier.  http://blog.turgot.org/index.php?q=Arthur+Laffer+explique+pourquoi+la+crise+conomique+va+rebondir+en+2011

    Les raisons sont simples et claires « si les gens savent que les taux d’imposition seront plus élevés l’année prochaine que cette année, que vont-ils faire cette année? (…). Ils vont, dans la mesure du possible, déplacer leurs productions et leurs revenus de l’année prochaine de manière à ce qu’ils apparaissent sur leur feuille d’impôts de cette année. C’est pour cela que les revenus de cette année sont déjà gonflés bien au-delà de ce qu’ils devraient être, et qu’en 2011, l’année prochaine, les revenus seront inférieurs à ce qu’ils devrait normalement être. »

    J’irai jusqu’a dire que ce deplacement de revenus s’est fait au depart, sur les fiches d’impots de 2009 (plutot que seulement 2010).  Une entreprise aux U.S. a jusqu’au 15 Septembre 2010 pour soumettre a l’etat sa fiche d’impot de 2009;  Ca lui donne une longue marge de redistribution.

    18 septembre 2010 à 14 h 18 min
  • Jaures Répondre

    Je ne sais, cher Annika, ce que vous entendez par "L’état s’est accaparé 1/6eme de PIB". Si vous faîtes allusion aux prélèvements obligatoires, ils étaient de 28% aux Etats-Unis en 2007. Ont-ils tant évolués depuis ?

    Par ailleurs, si les décisions d’Obama sont impopulaires et anti-constitutionnelles, soyez sans crainte: elles ne seront jamais appliquées.

    Le problème, chère Annika, c’est que vous semblez paniquer pour des choses qui, chez nous, sont tout à fait naturelles: la sécurité sociale ? Je m’en félicite chaque jour ainsi que le système des mutuelles. Les nationalisations ? Elles ont permis de sauver de nombreuses entreprises qui ont ensuite été remises sur le marché.

    Le reste à l’avenant.

    C’est ce système social qui est actuellement mis à mal par Sarkozy que nous défendons aujourd’hui.
    Je comprends que les riches Américains jouent de toutes leurs forces pour éviter qu’un tel système prenne pied aux Etats-Unis.

    Pourtant, les Etats-Unis sont un pays d’une telle richesse que je suis chaque jour plus déçu qu’il n’offre pas à tous ses habitants une vie paisible.

    Dommage.

    18 septembre 2010 à 12 h 10 min
  • Annika Répondre

    Jaures:  Nous n’avons pas d’allocation familiale aux U.S. ; c’était une aide temporaire instaurée après la 2eme guerre mondiale, qui avait pour but de repeupler la France.  Comme toute aide sociale, elle est devenue un acquis irrévocable.  Les américains font des enfants, et si l’état nous foutait la paix, on en ferait plus (le taux de naissance est tombé depuis Janvier 2009).

    Oui, Jaurès –  les mesures gauchistes adoptées (et promises) par l’administration Obama sont comparables a celles de Mitterrand ;  les atteintes aux libertés individuelles sont peut-être pires.  Les enumerer prendrait longtemps, en voici quelques unes:

              L’état s’est accaparé 1/6eme de PIB (Obamacare)  qui coutera +de $1 trillion; tout en obligeant les américains à acheter un produit (une assurance santé aux critères définis par l’état) qu’ils le veuillent ou non.  C’est anticonstitutionnel, débattu par + de 20 états qui ont attenté procès a Washington, et c’est une loi que 60% du peuple refuse.

              Obama n’a pu augmenter les taxes fédérales, non pas parce qu’il ne le veut pas, mais parce que la loi de GW Bush ne s’éteint pas avant le 31/12/2010. On s’attend à un tsunami de taxes en 2011…

              L’état a nationalisé deux organismes de prêts qui étaient semi-privés (Fannie & Freddie) – cout aux contribuables, $400 billion de dollars.  On estime que ces frais s’élèveront éventuellement  à $1 trillion de dollars.  Fannie & Freddie (l’état) sera alors détenteur de (presque) la moitié de tous les prêts immobiliers américain.  Si ce n’est pas du socialisme, c’est quoi ?

              L’administration Obama a décrété que tout prêt éducatif/universitaire ne pourra dorénavant être accordé QUE par l’état – ouais !  Prochainement décrèteront ils  que seules certaines écoles, ou certains programmes d’études seront acceptés et pas d’autres ?  Possible.

              Il est possible qu’après le 2 novembre, notre congre gauchiste approuvera la loi de Cap & Trade.  S’ils le font – ceci malgré l’opposition du peuple – on estime que le prix de l’essence augmenterait de 58%,  et le prix de l’électricité augmenterait de 90% d’ici 2035. Dans ce pays immense, ou l’on conduit parfois 200 km sans voir une âme, et ou une bonne portion du pays vit ou dans des contres glaciales ou sur-chaudes, qui pâtirait de cette augmentation de prix d’après vous – Al Gore ?

              L’état qui force le licenciement d’un PDG (G.Motors) et qui détermine la valeur des actions de cette même entreprise – actions a valeur 6x + élevée pour les syndicats que pour les actionnaires privés -, ca s’appelle quoi d’après vous  – un état libre ? ou un état socialiste ?

              Obama est en train d’essayer d’imposer des standards éducatifs à travers le pays.  Non seulement en tant que président il n’a pas ce pouvoir, mais il entend l’assumer sans l’acceptation du congre. C’est anticonstitutionnel – et chez nous on appelle cela de la Tyrannie Light.  

              L’administration Obama a intenté procès à l’état d’Arizona, alors que cet état s’apprêtait à appliquer une loi anti-sans-papiers identique à celle de l’état fédéral.  Pourquoi ? L’administration Obama n’a nullement l’intention d’arrêter le flot de sans papiers qui traversent le Rio Grande ou le désert.  Pourquoi ?  – très simple, ils votent Démocrate.  Phoenix peut bruler, son peuple se faire déchiqueter, Washington s’en fout.  (Phoenix-Arizona est devenue la deuxième capitale au monde du kidnapping pour rançon.  Ce sont des crimes commis par le cartel mexicain).

    Guy Mr. Milliere a bien raison de relever le parapluie de protection américain sur l’occident, il s’est fait grâce aux fortunes engendrées par l’immense opportunité économique américaine.  Si l’Amérique engage ces fortunes dans le service du social, au détriment de la défense ; la France (entre autre) deviendrait nue.  

            Nous avons été propulsés en vingt mois dans un monde étatiste et irresponsable qui ne nous représente pas. Savez-vous que la chambre des représentants (congre) n’a toujours pas proposé de BUDGET pour l’année 2010 ? Le budget pour 2011 serait du prochainement…  on attend!

            Le peuple américain trouve les sources de son droit ‘au bonheur et a la liberté’, non pas d’un gouvernement protecteur et omniprésent – mais dans dieu. A l’opposé des constitutions européennes,  la constitution américaine affirme que « La Vie, La Liberté, et la Poursuite du Bonheur » sont des droits indéniables donnés par dieu à tout être humain.  La différence est importante, nos droits n’étant pas graciés par le gouvernement, il n’appartient donc pas a l’état de nous en déchouer.  Cette dimension spirituelle nous a longtemps protégés ; elle anime les Tea Party vers un renouveau des valeurs de base.  C’est purement américain, et c’est bien.

    18 septembre 2010 à 6 h 23 min
  • grepon Répondre

    "Et la rage anti-Obama est en train de faire exploser l’unité nationale du pays."

    Mais il n y avait pas d’unite du pays pour commencer!     Nous somme polarise entre ceux qui veulent suivre sur les pas de l’europe (qui s’est ainsi suicider) et ceux qui veulent continuer avec le projet de liberte prospere resultant d’une intrepretation literale de notre Constition.     D’un cote, etatistes, syndicalistes, fonctionnaires, faineants, depressifs, et anti-americains primaires(comme les Obamas), et de l’autre, les defendeurs de la Constition et de la liberte.     Il n y a pas de "unite" a trouver entre les deux camps.

    18 septembre 2010 à 5 h 15 min
  • grepon Répondre

    "Sur la nôtre, il a obtenu 62 millions de voix (un peu moins de 51%) contre 59 millions à J.Kerry (un peu plus de 48%)."

    Mwais, un candidat faible (GW Bush) a gagne contre un ridicule, deux fois.

    McCain a ete encore plus faible que Bush.     Les deux avait la maladie de moderation, de centrisme, qui faisait se ressembler, pour beaucoup trop de voteurs, les deux partis l’un a l’autre.    Ils ont perdu par faute d’avoir ete conservateur, comme le sont la majorite d’americains, dans n’importe quel polling serieuse sur le sujet.    Les candidats prenant le message de Reagan et/ou du tea pary, c.a.d. limited gouvernement, et reponsibilite pour soi meme, trouvent beaucoup d’enthusiasme chez le public quand ils sont enonce clairement et demontre par des actes.     Bush aurait du dire NON, et utiliser de son veto, sur un tas de projets de lois lors de son presidence, mais ne le faisait pas, car ce n’etait pas un conservateur.    Eh oui.       Celui que vous imaginez etre le summum de l’ultra droite, les neo-cons et autres cowboys, a cooperer avec la gauche de la gauche sur plusieurs programmes de lois du type etat providence, a notre grande regret.   Et puis il y a la malheureuse phrase "religion of peace" et le DHS, et le Education Bill faites avec Kennedy, et j’en passe et des meillieurs.   Malgres ses apparances et facons de parler, Bush a ete un modere et bien trop etatiste a mon gout, et nous souffrons de ca.

    18 septembre 2010 à 5 h 09 min
  • grepon Répondre

    "En tout cas, un rappel des valeurs américaines et du peuple était necessaire aux Republicains dont le Parti était devenu un club de billionnaires."

    Ca c’est de la propagande vehicule par les medias et le monde de show business..qui sont des riches qui donnent presque exclusivement a la gauche et la gauche de la gauche aux Etats-Unis.    Autre secteur plein de tres tres riches qui donne majoritairment aux Democrats:   les puissants et haute cadres de Wall Street.     Les faits sont que la base de contributions chez les Republicans est bien plus large, avec une distribution de montants de dons bien moins gros en moyenne que ceux chez les Democrats.   

    Warren Buffet ;e fameuse capitalistes hyper riche?   De gauche, supporteur de Obama.    

    George Soros, milliardaire et manipulateur non seulement de monnaies mais aussi medias?    Supporteur de la gauche de gauche aux Etats-Unis.

    Bien sur il ya un cinquantaine d’autres a compter, mais c’est c’est moins les quelques milliardaires qui font la masse des gros dons, mais que les milliers et milliers de millionnaires a huit a neuf places(dizaines aux centaines de millions), et les sur-remuneres de toutes sortes juste en dessous.    Ils sont deja riches, et peuvent se payer la luxe de frimer qu’ils vont maintenant ameliorer le monde a coups de Other People’s Money(impots du contribuables bosseurs et productifs) a lieux de depenser le de leur propre fortunes a ce genre de but.    C’est aussi une sorte de cache-sexe qui leur permet d’apparaitre comme etant du cote des "little people" alors qu’ils ne se melangent, mais jamais jamais, avec eux.    Les riches de droites sont differents.   Ils y sont arrivee en bossant avec des gens qui savent faire, c.a.d l’individu devant la tache, en contacte directe avec le probleme.

    18 septembre 2010 à 4 h 56 min
  • grepon Répondre

    "Le mouvement des Tea Party veut tellement durcir ses positions qu’il va finir par créer un schisme irrémédiable. A force de déverser leur rage sur Obama, qui a toutefois été élu démocratiquement par le peuple, les Républicains sont en train de gravement "

    On nous a deverse le meme genre de doutes sur le cas de Reagan a l’epoch de sa montee.   Les "establishment" Republicans ne voulait absolument pas de lui.   Son VP HW Bush, a ete le type de Republican qu’ils preferaient, et lui n’a pas pu  se faire re-elire, voyez?     Reagan a sauver le Republique dans son temps, et le Tea Party va prendre le controle du parti Republican pour le sauver une fois de plus.

    Notez bien que, quand vous dites "elu democratiquement" les Etats Unis est un Republique representatif, sense etre decentralisee, avec beaucoup des pouvoirs reserves aux Etats(les Etats ont cree les Etats-Unis et non pas l’inverse) et/ou au peuple, c.a.d. les individus, familles, entreprises et associations privee LIBRES.   Le gouvernement federale, devenu gouvernement centrale tenticulaire, est allee bien plus loin deja que la Constitution ne veut.   

    Ce que fait Pelosi, Reid, et Obama est une tentative de coup d’etat, car ils se sont declares defendeurs de la Constitution, mais l’ignorent le depasse et comptent le re-ecrire a leur souhaits, situation par situations, le faisant dire des chose precisement a l’oppose de que ca veut tres clairement dire.    Le horrible "Obamacare" est un cas particulier de ca, car c’est une tentativce de faire dire a la "Commerce Clause" que le commerce inter-etats est n’importe quelle agissement humaine a l’interieur des frontieres….et meme au dela des frontieres.   C’est par ce genre d’entorse grave que nous sommes arrivee a nos jours avec un etat centralisee demesuree et se melant de tout, avec des effets desastrueux dans pratiquement tous les domaines.     Prenons par exemple la fraude monstruese dans la finance immobiliere parmi d’autres crises systemiques aux degats durables, ou l’etat des familles detruite par le welfare, ou la destruction des ecoles a travers la nation.    Liste tres incomplete.

    Vous avez rate un autre element aussi:   Les Tea Partiers (pluriel!) n’ont pas une organisation nationale ou meme au niveau des etats organisee comme un parti politique classique.    C’est un mouvement, qui ponctuellement, ici et la, prend forme autour d’un candidat, comme parti politique strictement locale, derriere un candidat quand les Republicans veule faire courir un RINO(Republican In Name Only).   Saufe das ses cas precis, il n y a pas  de "Tea Party" dans le sens de Parti politique etablis, mais des tea parties, dans le sens de "fete".    Les manifs du type tea party ne sont pas des manifs de gauche ou la terre est laisse couvert de de trash jete partout et/ou chants enragees.    Non, ils sont encore plus effrayant que ca.   Il s’agit d’individus reponsables, bourgeois mais pas seulement, venu avec leur famille, gens qui ne sont jamais venu auparavant a aucune manif politique…car lls sont des productifs normalement.   Ils font tourner l’Amerique, et non pas les cretins de "elites" et/ou politiciens qui parlent a la tele ou blahblatent peniblement.    Ce’st ca qui fait peur a la gauche, et a un certain type de Republican.    Ceux la vont devoir rentrer a la maison, et laisser place a ceux fidele au projet de liberte decrit dans notre Constitution.

    18 septembre 2010 à 4 h 41 min
  • Anonyme Répondre

    Grepon : " Nous savons pour ses intentions de par ses votes, paroles, et activites que Obama etait a fond la caisse du cote de la politique Democrate qui a fait la bulle immobiliere.

    –     Excellent commentaire de Grepon qui explique parfaitement, et une fois de plus, les raisons de la crise…. et qui rend a Caesar ce qui lui appartient. Tout cela est vrai et exact. Grepon est excellent…. quant il ne se mele pas d’Hommes, de races et de religions…. Hein, Grepon?
    Tiens, Grepon, tu as oublié de répondre a cette petite question :
    " L’Arabe ne s’assimile pas, et ne le fera pas, il ne le veut pas. Pourquoi quitterait-il ses racines, sa culture pour intégrer un ensemble qui se meurt, qui vacille sous ses coups, pour rejoindre des hommes qu’il considere comme laches et faibles, comme des proies? Quelle vanité vous fait donc croire que l’Arabe souhaiterait renier sa race, sa fierté, des siècles de son passé, et souhaiterait devenir un "Occidental"?
    C’est bien plus noble et bien plus fun d’attaquer, de conquérir, par la force ou par la ruse, que de perdre son âme et de tenter de devenir "quelqu’un d’autre", quelqu’un dont on n’a pas le sang dans les veines, quelqu’un qui n’est pas "nous", qui n’a pas notre histoire, notre culture, quelqu’un qu’on n’aime pas.
    Qui choisirait de renoncer quant il peut vaincre?

    Best,

    Mancney

    18 septembre 2010 à 3 h 55 min
  • francois Répondre

        cher jaures,

     

    je m’attendais à des reponses pour contester mon analyse mais j’avoue etre surpris par la profondeur intellectuelle de la votre.. cependant merci d’ avoir corrigé ma grossière erreur meme si cela ne semblait pas etre l’axe central de ma missive…. vs aurez constaté que les chiffres ne sont pas tjrs fiable sur ce site;j’ai meme trouvé des gens pour defendre qq’un qui parlait de 50 burquas en france …. si mon chiffre est une erreur je pense que defendre celui la est digne d’un clown…à moins que l’unité de mesure soit la rue???ds certains quartiers

    en ce qui concerne la pétition que vs deviez réaliser pour defendre cette enseignante je trouve que s’abriter derriere une intersyndicale marxiste me parait un peu facile surtout lorsqu’on a douté de la réalité de cette histoire….

    le snes est tres mal placé pour defendre des valeurs;en mai 68 mes parents profs ont fait cours tous les jours sous les insultes,crachats et menaces de leurs collegues grevistes …. du snes !!!!

    mais j’imagine facilement que la souffrance des mes parents devant un syndrome totalitaire concret  (venant de gens eduqués et chargés de transmettre le savoir….)vs concerne autant que les souffrances de cette enseignante….

    cependant vos preoccupations sont ailleurs je ne sais où entre quick et cuba peut etre!!!

    17 septembre 2010 à 23 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    Pendant qu’un certain décalé continue à nous bassiner avec des propos bizarres, que faut-il penser de la situation des Américains sous Obama, sachant que la Chine a prêté la somme de 1.000 milliards de dollars pour qu’il relance l’économie de son pays avec le succès retentissant que l’on sait ? Avec une régularité de métronome, nos me(r)dias continuent à tresser des lauriers au messie noir à qui il ne reste plus que le conflit israélo arabe à se mettre sous la dent, en attendant les élections qui devraient se montrer désastreuses pour lui, à moins d’un bouleversement inatendu.

    Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, ni plus aveugle que celui qui ne veut pas voir…

    L’Amérique s’appauvrit sous Obama

    En une année, le nombre de pauvres aux Etats-Unis a considérablement augmenté. Il est passé de 39.8 millions d’individus à 43.6 millions, de 2008 à 2009. Le taux est ainsi passé de 13.2% à 14.3% de la population globale, forte d’environ 300 millions d’habitants. En outre, le nombre de citoyens ne disposant pas d’une assurance-maladie est passé de 46.3 à 50.7 millions. Pendant la première année du mandat d’Obama, le chômage a augmenté de 10%, faisant perdre à de nombreux employés, en même temps que leur travail, leur couverture sociale.

    Source : http://www.israel7.com/2010/09/lamerique-sappauvrit-sous-obama/

     

    17 septembre 2010 à 18 h 05 min
  • SMALL BARTHOLDI Répondre

    Un Empire périt souvent de ses conflits intestins. Et la rage anti-Obama est en train de faire exploser l’unité nationale du pays. Entendons-nous bien : je ne suis pas un fan d’Obama qui a bénéficié à plein de l’idéologie du politiquement correct et de la montée en puissance de la génération X. Mais j’aime les Etats-Unis et je ne vois pas en quoi l’élection d’un Noir démocrate constitue le séisme cosmique décrit par certains. Il serait bon pour les Etats-Unis comme pour Obama lui-même qu’il ne fasse qu’un seul mandat, comme Jimmy Carter. Il bâtirait ainsi sa mythologie sur la méchanceté légendaire des ploucs républicains. Il serait l’invité vedette de tous les médias de gauche, qui visiblement ne sont pas une spécialité hexagonale. De toute façon, dans un mois et demi, il devrait perdre tout pouvoir de légiférer. On peut certainement déjà en parler au passé. Bref, pas de quoi hurler avec les loups.

    PS : la comparaison avec Mitterrand m’est venue en comparant leurs slogans de campagne : CHANGE YES WE CAN / CHANGER LA VIE. Toujours cette folie rimbaldienne de nier les réalités.

    17 septembre 2010 à 17 h 20 min
  • sas Répondre

    OUI AVEC LES MACHINES A VOTER ELECTRONIQUE SUPER Au point……la différence de grands electeurs se faisant par la seule voix de son frère gouverneur de floride…..on sait

    et ca vaut les 98 % de mougasupermenteur chirac a la mairie de paris…….où aujourd hui les francs maçons revenduiquent en directe et publiquement sur chaine TV du 20 h00: avoir pipés et trucqués les elections….FAUSSEMENT DOMICILIE: NOMBRE DU PERSONNEL DE LA VILLE DE PARIS SUR DES LISTES OU LES CHIRAQUIENS ETAIENT MINORITAIRES VOIR ABSCENTS…..et personne ne tousse…

    Mieux , des plaignants ont même été deboutés part cette justice inféodée à la secte maudite…..deboute alors que les demandes etaient et legitimes et fondées…..

    Pauvre france……on a bien vu ou a mené le but de la main de thierry henri…..QUE TOUT LE MONDE A VU ET REVUE……résultat on a perdu la coupe du monde, on a été la risée et la honte du monde entier…..et on a attenté pour longtemps a la perénité et l intéret de ce sport pour 2 ou 3 générations…..

    LES CONSEQUENCES DE CES MANIGEANCES MAFFIEUSES ET DELICTUELLES OPEREES A LA VUE ET SUE DE TOUS…….enterre definitivement la notion de démocratie en france….la participation et complicité de magistarts discrédite totalement et pour toujours le travail salutaires qu ils peuvenet eventuellement faire ailleurs…

    quand au rôle letale de la franc- maconnerie sur nos institutions……par ailleurs minimisé par une poignée de désinformateur plus que choisis voir élus…….on saura s en rappeler

    POUR QUELLES ELECTION RECOMMENCERONT ILS ,,,,?????en 2012 lorsque le FN va les mettre en danger…

    SAS……qui préssent la mort des démocraties….

    17 septembre 2010 à 13 h 49 min
  • Jaures Répondre

    Cher François, je ne sais sur quelle planète Bush a été réélu avec 285 millions de voix en 2004.

    Sur la nôtre, il a obtenu 62 millions de voix (un peu moins de 51%) contre 59 millions à J.Kerry (un peu plus de 48%).

    17 septembre 2010 à 12 h 01 min
  • francois Répondre

     

     

                 il est assez edifiant d’arriver à lire que ce sont les tea party et les republicains qui seraient à l’origine d’une fracture irrémediable aux usa !!!! et puis quoi encore.un simple rappel s’impose :le predecesseur de saint obama s’est vu insulté et calomnié pendant 8 ans par le monde entier et surtout par toute la gauche caviar us !! gauche caviar us qui adorait un président trop occupé avec ses cigares et ses stagières pour se soucier de la preparation du plus gros attentat de l’histoire…..gw bush a donc fait les frais de cette histoire et a simplement remis de l’ordre ds la maison us et ds la maison monde (monde ds lequel la lacheté occidentale avait permis depuis 20ans à des terroristes de s’entrainer dans des camps afghans aux yeux de tous les services secrets).pour information entre 2003 et 2008 il y a eu une baisse de 50p100 des attentats ds le monde(source obsevatoire mondial du terrorisme).et puis un beau phraseur a fait campagne en 2008 pour expliquer que bush n’avait rien compris et qu’il fallait mettre le paquet en afghanistan pour vaincre le terrorisme.18 mois après la situtation afghane et les multiples attentats ds cette région permettent de juger de l’efficacité de cet homme qui a meme du essuyer la demission du plus haut militaire en….. afghanistan .

    il ne manquerait plus que de demander aux neo conservateurs de ne pas critiquer obama!!!

    le seul vrai scandale a été de caricaturer et d’insulter jusqu’a l’extreme un président élu( et réelu avec 285 millions de voix en 2004).la façon de parler de bush des democrates a été à elle seule une honte pour les democrates qui ne font que prendre le retour de boomerang.mais  trouver les critiques trop "hard" envers saint obama;cela ne manque vraiment pas de culot !!!!

     

    16 septembre 2010 à 23 h 17 min
  • grepon Répondre

    "Un danger, Obama ? Aurait-il provoqué une crise financière internationale ?"

    Oui, depuis ses activites de jeune lawyer faisant proces contre banques, pour leur forcer de faire emprunts aux insolvables, Obama est allie a fond la caisse avec ceux qui ont provoque la crise.   C’etait lors de l’Administration Clinton(qui a passe tant bien que mal merci a la majorite Republican au Congress elu en 1994), quand le Dept of Justice de Clinton s’est active eux aussi contre banques pour leur forcer de donner emprunts aux insolvables, sous l’egide du "Community Reinvestment Act(CRA)" signee par…Carter!   

    Reagan et Bush HW ont laisse dormir cette bouse de CRA, heureusement!   Sachez pour la petite histoire, que pour ce genre d’activite vu comme pro-blacks, CLINTON a ete connu lors de son presidence comme…sans blague "The first black president of the United States."     Veridique.   Des membre du Congressional Black Caucus ont utilise la phrase, pour illustrer combien c’etait approuve par les politiciens black de l’epoch.

    Mais pour revenir a Obama, les proces qu’il a gagne contre divers banques, pour le compte de ACORN(organisation marxiste liee a toute sortes d’activites criminelle, y compris et surtout fraude electorale), ont aider, dans une mesure, a cree precedence et jurisprudence derriere le forcage, sous menace de prison et enormes amendes, de prets immobilieres et autres types de prets ABUSIVES faites aux insolvables, sur quelque decennies.

    Bien sur que la vraie bombe a implosion n’a pas ete vraiment charge completement de mauvaise dettes avant l’interventions des Barney Frank et Chris Dodd et tres largement les Democrats aux Congress (avec tout juste suffisamment de Republicans pour avoir raison) de laisser faire Freddie et Fannie (banques immobilliere controlle directement par Congress) a racheter aux banques leurs mauvaise prets a tour de bras et immediatement pour ensuite les securatiser.    Depuis le commencement de cet activite, les banques ont ete alors incentivisees a faire les prets en question, car ils n’avait plus de soucis sur la solvabilite des individus et actifs derrriere.   

    Alors, merci a l’intervention du gouvernement, d’abord forcee, puis apres incentivisee, une montagne de mauvaises dettes a ete empile, lesquelles le monde financier s’est ENSUITE(apres leur creation) mis gerer a coups de securitisation, derivees, et contrats d’assurance comme il convient de faire avec n’importe quel actifs a risque(y compris obligations publics de toutes sortes, lesquelle un Jaures ne pourrait que approuver!).    Mais l’origine des mauvaise prets a ete, et toujours est, activites du gouvernement, tres largement le fait de Democrats aux Congress.

    Nous savons trop bien, par faits averees de la carrriere autrement tres peu remarquable en accomplissements de Barack Obama, qu’il ete supporteur de cet activite hautement destructrice depuis quinz ans environs.     Les proces d’Obama pour le compte ACORN contre les banques sont de record public, alors que presque l’entiere reste des activites d’Obama restent secrets.     Bien sur Obama n’a pas ete au Congress pendant la plupart de la montee des montagnes de mauvaise dettes.   Bien sur qu’il n’avait pas d’influence important  dans le Senat quand il y ete arriveee recemment (il est tres fort a rien faire de legislative lors des ses passages dans la legislative d’Illinois ou du Senat).   MAIS, son vote contre toute reforme des activites hautement dangereuses de Fannie et Freddie a ete assure.  Etant le senateur le plus a gauche de tous, il aurait bien sur pousse plus loin si il avait de l’influence, mais sachez qu’un "Junior" Senateur n’a que tres peut.   Nous savons pour ses intentions de par ses votes, paroles, et activites que Obama etait a fond la caisse du cote de la politique Democrate qui a fait la bulle immobiliere.

    16 septembre 2010 à 18 h 51 min
  • Jaures Répondre

    Ainsi, chère Bête Blonde, les Américains auraient le même QI moyen que les Mauritaniens et un Vietnamien passe pour un intellectuel dés qu’il franchit l’Himalaya.

    Quant aux Australiens, bons derniers, comme ils doivent envier le style de vie des si intelligents Japonais !

    On ne vous appelle pas Bête Blonde pour rien.

    16 septembre 2010 à 17 h 36 min
  • Jaures Répondre

    "Souvenons-nous de la campagne présidentielle de 1981 en France, qui a vu la victoire finale de Mitterrand (auquel Obama peut souvent être comparé)" écrit Small Bartholdi.

    Certes ! Ne manque à Obama que quelques menus détails comme l’abolition de la peine de mort, la retraite à 60 ans, le RMI, l’augmentation de 20% du smic, de 25% des allocations familiales (je ne sais même pas si cela existe aux Etats-Unis),l’instauration d’un impôt sur la fortune, la création de ZEP, la CSG, …et son mandat sera la copie conforme de ceux de Mitterrand.

    Rappelons que sur les pancartes des Tea Party, Obama est plus souvent comparé à Hitler, Staline ou Lucifer qu’à Mitterrand.

    Sans doute n’ont-ils pas osé aller jusque là. Le comparer à Mitterrand, non, ce serait vraiment exagéré !!

    16 septembre 2010 à 17 h 25 min
  • Anonyme Répondre

    Small Bartholdi ( joli pseudo) : " (…) celui de faire exploser le camp républicain. Le mouvement des Tea Party veut tellement durcir ses positions qu’il va finir par créer un schisme irrémédiable."
    –      Le mouvement Republicain a fait tout ce qu’il faut pour créer les Tea Party… Beaucoup d’Américains de "droite", des gens conservateurs et sérieux, ne se reconnaissent plus dans le GOP. Qui croyez-vous a permis l’arrivée d’Obama?
    Mais votre souci/remarque, qui est partagé par beaucoup, est valable, c’est sur. Ca commence deja a bougonner un peu (nomination de O’Donnell au Delaware), et l’on va assister a qqs incidents, mais des accords seront trouvés. Ca va s’arranger.
    En tout cas, un rappel des valeurs américaines et du peuple était necessaire aux Republicains dont le Parti était devenu un club de billionnaires. Tout brillants qu’ils soient, les billionnaires ne se fabriquent pas entre eux… c’est la Middle Class qui leur donne naissance, c’est elle qui est le coeur de l’Amérique.

    Best,

    Mancney

    16 septembre 2010 à 14 h 13 min
  • Anonyme Répondre 16 septembre 2010 à 3 h 47 min
  • SMALL BARTHOLDI Répondre

    Monsieur Millière,

    Je reconnais à vos chroniques un courage qui n’est partagé par aucun commentateur hexagonal de la vie politique américaine. Dans un contexte franco-français, vous êtes parfaitement légitime de critiquer Obama avec la plus grande sévérité.

    Cependant, dans un contexte plus large, vos positions intransigeantes, qui sont celles d’un nombre croissant de citoyens américains, sont porteuses d’un grand risque stratégique : celui de faire exploser le camp républicain. Le mouvement des Tea Party veut tellement durcir ses positions qu’il va finir par créer un schisme irrémédiable. A force de déverser leur rage sur Obama, qui a toutefois été élu démocratiquement par le peuple, les Républicains sont en train de gravement et durablement se diviser. Les radicaux mènent la guerre aux modérés, etc..

    Il ne faut jamais sous-estimer la part de division d’un camp dans la victoire du camp adverse. Souvenons-nous de la campagne présidentielle de 1981 en France, qui a vu la victoire finale de Mitterrand (auquel Obama peut souvent être comparé). Puis celle de 1988, qui a vu sa réélection contre toute attente. Les divisions de la droite en étaient responsables pour une bonne part, et feront certainement élire un socialiste en 2012.

    Bref, à ce train là, Obama sera un tel repoussoir que les Tea Party finiront par présenter leur propre candidat en 2012. Celui-ci mangera 15 % des voix du GOP…et assurera la réélection du candidat démocrate. Et, pour le coup, réélire Obama aurait une toute autre portée que l’élire en 2008 dans un contexte très particulier. Je crains qu’une telle réélection n’aboutisse à une guerre civile entre Rouges et Bleus, comparable à la Civil War ou la guerre fratricide de 14-18. Je suis certainement très pessimiste mais il parait évident que les 2 Amériques ne peuvent plus se sentir, et qu’Obama aura été un révélateur de ces tensions comme aucun autre président avant lui. Le Prix Nobel a peut-être pacifié le monde (ce qui reste à prouver), mais a enflammé son propre pays.

    Cette mise en garde ne remet pas une second en cause votre droit à vous exprimer comme vous le faites, avec liberté et courage.

     

    15 septembre 2010 à 23 h 32 min
  • grepon Répondre

    La fermeture de la parapluie militiaire amercaine est en cours depuis un long moment pour une autre raison:   Le progres de l’etatisme aux Etats-Unis a empile tellement de dettes du type droits aquis, et maintenant dettes ordinaires comme la montagne d’obligations du tresorie qui circulent, que l’Amerique va pouvoir depenser de moins en moins(*) sur la defense d’autres pays.  

    Bien sur que l’Europe n’est pas organisee pour se defendre non plus, avec ses armees deja pitoyable, ses chaines entieres de montagnes de dettes du type droits acquis(qui vont etre repudie bien sur…dans une crise spectaculaire), mais surtout son declin demographique vertigineuse…qui ne peut pas etre renverse probablement a l’heure qu’il est……devant la montee de populations parasites etrangeres hostiles a l’occident et tres peu productives.   (Comme si lEurope n’avait pas assez de parasites de souche come ca, vivant come ils font a la mamelle de l’etat providence socialo-chouette.)

    Obama n’a que fait accelerer ce qui allait arriver de toute facon, par son encouragement des ennemis de la liberte(tyrans et ideologies tyrannique de ce monde), au meme temps qu’il empile dettes sociales et fiscale a des taux jusqualors inimaginable, maintes fois plus rapidement que le pire annee depuis la deuxieme guerre mondiale.

    Eh oui, l’Europe ne sera pas a nu devant ses ennemis, l’Europe est deja a nu, mais ne veut pas le voir!

    (*)    L’appetit pour depenses extraordinaires pour interventions militaires sera en baisse lors de toute discussion politique de couper dans les divers et surtout vaste programmes d’aides et droits acquis.   Surtout avec un president defaitiste, c’est meme contraproductif d’user les armees ainsi, sur des strategies et tactiques inventee par lawyers gauchistes aux idees divorcees de la realite sur le terrain deux fois.    Le programme en Afghanistan est d’user nos militaires dans une campagne farfelue menant a rien, du fait des regles d’engagement et buts definis.

    15 septembre 2010 à 15 h 34 min
  • La bête blonde Teuton Répondre

    Le QI des populations indigènes dans le monde

    Il  faut certes faire parler d’Obama, mais le président des Etats-Unis lui il est fut fut… par rapport aux siens…
    De cette carte il faut parler, aussi…

    15 septembre 2010 à 11 h 20 min
  • Jaures Répondre

    Un danger, Obama ? Aurait-il provoqué une crise financière internationale ?

    Le retrait des troupes américaines d’Irak ? Il s’agissait d’une promesse de campagne, personne n’a été pris au dépourvu. Et puis Millière ne nous explique-t-il pas depuis 7 ans que la guerre est gagnée ? Pourquoi, dés lors, y laisser 150 000 soldats ?

    Sur l’Afghanistan, je ne dirai pas qu’Obama se débrouille mieux que Bush mais guère plus mal.

    Enfin, sur la gestion de la crise, on ne peut pas dire qu’Obama invente des recettes bien différentes de l’économie libérale. D’ailleurs, il s’est entouré de personnalités tout à fait conformes aux souhaits de wall street comme Robert Rubin ou Lauwrence Summers qui a déclaré notamment " Les pays sous-peuplés d’Afrique sont largement sous-pollués. La qualité de l’air y est d’un niveau inutilement élevé par rapport à Los Angeles ou Mexico. Il faut encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays moins avancés.". Quelle bande de dangereux gauchistes !!

    En fait cette diabolisation, au sens propre, d’Obama n’a qu’un but: favoriser l’advenance d’une extrême droite ultra conservatrice autour du Tea Party et nous resservir la chanson du "lourd bilan" si les Républicains reviennent au pouvoir.

    Après 30 ans, on nous présente encore Carter comme cause de tous les maux de la planète. Si Obama est battu aux prochaines présidentielles, on sera tranquille au moins jusqu’en 2040 !

    Finalement, Obama est un bon investissement.

    15 septembre 2010 à 10 h 22 min

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