Trump : des élections au 11 novembre

Trump : des élections au 11 novembre

Malgré des résultats mitigés, les élections américaines sont un verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

En nationalisant les élections, Trump en a fait un référendum qui s’est révélé à son profit au Sénat. La chambre haute, épurée de ses RINOs (Republicans In Name Only) et NeverTrumpers, grossit sa courte majorité avec des membres dédiés à la politique du président, soit 52 ou 54, car les démocrates, toujours mauvais perdants, s’évertuent en recomptages et autres mesures dilatoires, certaines extrêmement suspectes comme en Floride.

Trump s’est concentré sur le Sénat car, malgré son énergie fabuleuse (jusqu’à 3 rallies par jour), il ne pouvait être derrière les 41 candidats républicains à la Chambre (basse).

Quoi qu’il en soit, Trump a désormais un Sénat fiable (et cela jusqu’après 2020) pour confirmer ses choix de haut personnel et son agenda législatif, ainsi que pour ratifier ses décisions. L’essentiel est donc assuré.

Les gouverneurs républicains restent largement majoritaires, même si l’on déplore la défaite de Scott Walker, le valeureux pourfendeur des privilèges scandaleux des syndicats du secteur public. Walker est perdu pour le Wisconsin mais pas pour un poste ministériel possible…

La radicalisation des deux camps est accentuée et prouve que le centre est une utopie absolue dans le cadre de la guerre culturelle mondiale en cours.

On constate, une fois encore, la disparité extraordinaire de financement entre démocrates et républicains : la ploutocratie socialiste a accumulé près d’un milliard de dollars pour rafler la Chambre et 513 millions pour le Sénat, contre 500 petits millions en tout côté républicain !

La Chambre repasse à gauche avec le retour de démocrates modérés décidés à négocier de façon bipartisane, mais aussi, hélas, avec quelques membres particulièrement virulents, certains « produits de l’immigration », comme Alexandria Ocasio-Cortez, qui entend mettre le capitalisme à mort et raisonne comme les pires « élites » de l’UE en matière de dictature écologiste, d’immigration, d’« égalité », ou encore les deux musulmanes ouvertement antisémites et pro-palestiniennes, Rashida Tlaïb et Ilhan Omar, avec laquelle le voile et la charia font leur entrée au Capitole.

De plus, les Comités de la Chambre seront présidés par une brochette de gérontocrates haineux qui rêvent de déposer Trump par un coup d’État législatif.

Le risque de paralysie est donc réel, mais c’est sans compter sur le légendaire « art de négocier » de Trump. Il menace par tweet les démocrates d’une destruction mutuelle assurée, dont les démocrates les moins atteints verront le danger.

L’ironie est donc que Trump a un Sénat pour voter sa politique, mais une Chambre pour lui en refuser le financement ! Toutefois, Trump peut contourner les refus par toutes sortes de moyens parfaitement légaux.

Dans la foulée, il a licencié Sessions, aussi décevant comme ministre de la Justice qu’il avait été précieux au Sénat sur les questions migratoires, et loyal comme soutien de campagne en 2016, puis rédigé un décret statuant que toute entrée illégale aux États-Unis était incompatible avec une demande d’asile.

Et le voici en Europe pour célébrer le centenaire de l’Armistice et l’abnégation de soldats américains venus en 1917.

Ces cérémonies du Centenaire furent transformées en événement mondialiste rassemblant d’innombrables personnalités, dont beaucoup en rien concernés par la Grande Guerre. Honteuse orgie utopique où l’on vit la jeunesse embrigadée pour les conceptions de Macron !

Hargneux contre Pétain ou contre le « nationalisme » auquel il ne comprend rien et fielleux contre ses principaux invités de marque.

Macron, en retard de 100 ans, est prêt en 2018 pour la Guerre de 14-18 ! Pervers, il exploite notre commémoration nationale et trahit nos aïeux pour se poser contre « toute doctrine égoïste qui veut le bien de sa nation d’abord » ! Le lâche avait déjà proclamé dans le dos de Trump qu’il voulait une « armée européenne pour se dresser contre les États-Unis » (sic !), puis s’était peureusement rétracté devant Trump, pour revenir à la charge, en pleine cérémonie du 11 novembre, quand Trump ne pouvait le remettre à sa place ! Cela, en cette circonstance, et contre ceux qui nous ont sauvés par trois fois ! Macron couvre la France de honte.

Pour ce Centenaire de l’Armistice, nul n’aurait pu être plus indigne de nos braves Poilus et de nos Alliés désintéressés que ce pantin vaniteux et pathétique.

 

 

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Malgré des résultats mitigés, les élections américaines sont un verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.
En nationalisant les élections, Trump en a fait un référendum qui s’est révélé à son profit au Sénat. La chambre haute, épurée de ses RINOs (Republicans In Name Only) et NeverTrumpers, grossit sa courte majorité avec des membres dédiés à MAGA (la politique du président), soit 52 ou 54, car les démocrates, toujours mauvais perdants, s’évertuent en recomptages et autres mesures dilatoires, certaines extrêmement suspectes comme en Floride.
Trump s’est concentré sur le Sénat car, malgré son énergie fabuleuse (jusqu’à 3 rallies par jour en dernier et sans jamais montrer le moindre signe de fatigue), ses jours n’ayant que 20 heures, il ne pouvait être derrière les 41 candidats républicains à la Chambre (basse).
Quoi qu’il en soit, Trump a désormais un Sénat fiable (et cela jusqu’après 2020) pour confirmer ses choix de haut personnel et son agenda législatif, ainsi que pour ratifier ses décisions. L’essentiel est donc assuré.
Les gouverneurs républicains restent largement majoritaires même si l’on déplore la défaite de Scott Walker, le valeureux pourfendeur des privilèges scandaleux des syndicats du secteur public. Walker est perdu pour le Wisconsin mais pas pour un poste ministériel possible…
La radicalisation des deux camps est accentuée et prouve que le centre est une utopie absolue dans le cadre de la guerre culturelle mondiale en cours. A droite, on affirme les principes fermes du consensus fondateur de la nation, donc sus aux mous, aux complaisants, aux lâches. A gauche, on laisse libre cours à la schizophrénie politique marxiste révolutionnaire.
On constate, une fois encore, la disparité extraordinaire de financement entre démocrates et républicains: la ploutocratie socialiste a accumulé près d’un milliard de dollars pour rafler la Chambre et 513 millions pour le Sénat, contre 500 petits millions en tout côté républicain…soit 3 à 1.
La Chambre repasse à gauche avec le retour de démocrates modérés décidés à négocier de façon bipartisane ancienne manière, mais aussi hélas avec quelques membres particulièrement vocaux et virulents, certains “produits de l’immigration” comme Alexandria Ocasio-Cortez, , qui entend mettre le capitalisme à mort et raisonne comme les pires “élites” de l’UE en matière de dictature écologiste, d’immigration, d’« égalité », ou encore les deux musulmanes ouvertement antisémites et pro-palestiniennes, Rashida Tlaïb et Ilhan Omar avec laquelle le voile et la charia font leur entrée au Capitole, ce qui est un soufflet à la Constitution américaine et aux victimes du 11 Septembre, signe infiniment triste de décadence civilisationnelle. De plus, les Comités de la Chambre seront présidés par une brochette de gérontocrates haineux qui rêvent de déposer Trump par un coup d’Etat législatif et brandissent leur pouvoir de “lancer des citations à comparaître”, des “enquêtes” et autres “procédures de destitution”.
Le risque de paralysie est donc réel mais c’est sans compter sur le légendaire “art de négocier” de Trump qui peut désormais riposter avec les armes sénatoriales. Il les menace par Tweet d’une destruction mutuelle assurée dont les démocrates les moins atteints verront le danger.
L’ironie est donc que Trump a un Sénat pour voter MAGA mais une Chambre pour lui en refuser le financement! Toutefois, Trump peut contourner les refus qu’il essuiera par toutes sortes de moyens parfaitement légaux.
Dans la foulée et comme on s’y attendait, Trump a licencié Sessions, aussi décevant comme Ministre de la Justice qu’il avait été précieux au Sénat sur les questions migratoires et loyal comme soutien de campagne en 2016, puis rédigé un décret statuant que toute entrée illégale aux Etats-Unis était incompatible avec une demande d’asile…

Et le voici en Europe pour célébrer le centenaire de l’Armistice et l’abnégation de soldats américains venus en 1917, mal préparés, mal équipés mais si ardents à sortir leurs “cousins d’Europe” de l’hécatombe fratricide où ils s’étaient fourrés que leur engagement fut décisif, on ne le rappellera jamais assez.
Ces cérémonies du Centenaire, comme on pouvait prévoir, furent transformées en événement mondialiste rassemblant d’innombrables personnalités et 70 pays, dont beaucoup en rien concernés par la Grande Guerre! Honteuse orgie utopique où l’on vit la jeunesse embrigadée au service des conceptions erronées de Macron, petit homme mesquin, étriqué en tout, de son petit pardessus trop serré et trop court à ses vues préformatées minables.
Macron La Honte! Hargneux contre Pétain ou contre le “nationalisme” auquel il ne comprend rien mais qu’il prétend contraire au “patriotisme” et, inouï, fielleux contre ses principaux invités de marque présents, et seul couple véritablement présidentiel dans la dignité, la sobriété et l’apparence, Donald et Mélania Trump.
Macron, en retard de 100 ans, est prêt en 2018 pour la Guerre de 14-18! Pervers, il exploite notre commémoration nationale et trahit nos aïeux pour se poser contre “toute doctrine égoïste qui veut le bien de sa nation d’abord”! Le lâche avait déjà proclamé dans le dos de Trump qu’il voulait une “armée européenne pour se dresser contre les Etats-Unis”(sic!), puis s’était peureusement rétracté une fois devant Trump pour revenir à la charge, en pleine cérémonie du 11 novembre, quand Trump ne pouvait le remettre à sa place! Entrave au protocole le plus élémentaire et choc de cette INSULTE aux Etats-Unis, seul pays où le soldat meurt encore pour sa nation et même pour celle des autres. Cela en ce jour, en cette circonstance, et contre ceux qui nous ont sauvés par trois fois! Macron couvre la France de honte.
Pour ce Centenaire de l’Armistice, nul n’aurait pu être plus indigne de nos braves Poilus et de nos merveilleux Alliés désintéressés que ce pantin vaniteux et pathétique.

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Comments (2)

  • KAVULOMKAVULOS Répondre

    Les socialistes américain (“démocrates”) sont très largement soutenus par les grandes firmes numériques de la Californie. Laquelle est en train de cramer sans que l’on entende d’ailleurs les puissants décideurs locaux proposer une partie de leur immense fortune pour tenter d’alléger le fardeau. Vous verrez que ce sera encore de la faute de cet “idiot” de Trump qu’ils conchient à plaisir à longueur d’année. On n’entend pas beaucoup non plus le danseur de claquettes , la coqueluche des média franchouillards, sur la question.

    16 novembre 2018 à 17 h 12 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    // On constate, une fois encore, la disparité extraordinaire de financement entre démocrates et républicains : la ploutocratie socialiste a accumulé près d’un milliard de dollars pour rafler la Chambre et 513 millions pour le Sénat, contre 500 petits millions en tout côté républicain ! //

    Cela est plutôt bizarre!
    Les socialistes qui d’ordinaire crachent sur tout ce qui est fric en ont dépensé 3 fois plus que les républicains.
    Une bonne enquête du FBI devrait permettre de voir d’où vient tout ce blé.
    Ah oui, mais bien sûr le FBI serait de mèche avec les socialistes.
    Diantre il faudra alors faire appel à une enquête neutre par exemple une diligentée par le FSB.

    15 novembre 2018 à 13 h 53 min

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