Trump : une victoire d’anthologie

Trump : une victoire d’anthologie

Tel Siegfried, Trump a terrassé le dragon ! C’est une victoire héroï­que. Non seulement nul autre républicain n’aurait pu accomplir un tel exploit, mais aucun candidat démocrate n’aurait fait le poids devant la révolution populiste-conservatrice de Trump.

Peu de gens mesurent vraiment les forces contraires qu’il a dû affronter et les obstacles inouïs qu’il a renversés les uns après les autres, avec relativement peu d’argent, peu de personnel et aucune expérience de campagne. Il a réussi cela grâce à son sérieux dans toute entreprise, sa détermination de fer, sa concentration de chasseur sur le but fixé, son instinct étonnant, sa rapidité à apprendre et à se reprendre, son empathie pour la souffrance de ses compatriotes et son humanité.

Pendant 17 mois, et jusqu’à la veille du scrutin, Trump s’est imposé un emploi du temps et un rythme que peu auraient pu tenir. Et quel courage ! Rien ne lui aura été épargné : il a su encaisser, et les rendre, les coups les plus bas venus de l’opposition – et aussi de quel­ques conservateurs-de-nom-seulement qui portent à jamais la marque de l’infamie sur leur front, même si un Trump président-élu magnanime leur a déjà pardonné.

Le dragon, ce n’est pas seulement ce monstre froid qu’était Hillary Clinton (on en parle déjà au passé…). C’est toute cette gauche arrogante, hypocrite, amorale et incohérente, violente et totalitaire, produit d’une guerre culturelle impitoyable livrée depuis 1962 par la Nou­velle Gauche de Tom Hayden. Ironiquement, ce dernier vient de disparaître dans l’oubli général. Tout un symbole !

La victoire – historique – du premier président issu spontanément de la société civile, puis choisi et imposé par le peuple américain, c’est d’abord la répudiation de huit années d’Obama qui se soldent par le déclin, l’endettement et le déclassement de l’Amérique et des Américains ordinaires – qui ne veulent pas entendre parler davantage de « la transformation fondamentale du pays » (!).

C’est aussi la répudiation de la sous-culture soixante-huitarde névrosée et de l’absurde politiquement correct.

L’Amérique secoue 8 années de folie collective, retrouve son bon sens et reconquiert ses libertés.

Halte aux agences gouvernementales politisées qui intimident ou terrorisent les dissidents politiques et laissent les malfaiteurs tranquilles. Halte aux délires des féministes, des universitaires décadents et des LBGT qui exigent toujours plus de faveurs spéciales. Halte aux républicains lâches et collabos. Halte aux médias et aux élites hollywoodiennes qui militent au lieu, respectivement, d’informer et de divertir.

Halte aussi aux dérives judiciaires : il est impératif de revenir à la lettre de la Constitution.

C’est un rejet massif de la tyrannie de la gauche, jusqu’ici dominante, qui laisse le pays profondément divisé, en quasi-faillite et vulnérable aux menaces, internes et externes. Trump a été élu pour drainer le marécage de corruption qu’est le Washington politique, et cela inclut les influences étrangères infiltrées comme les éléments intérieurs subversifs qui minent la démocratie.

Il a été élu pour restaurer la loi et l’ordre et pour rétablir l’état de droit. Pour réaffirmer la préséance de la souveraineté de l’Amérique sur les organisations internationales (elles aussi largement corrompues), des intérêts américains sur les intérêts étrangers, des gouvernés souverains sur les gouvernants. Et pour enfin sortir les gens des ghettos de leur misère en leur ramenant des emplois décents.

Ce sont les nouveaux travaux d’Hercules, assurément.

La gauche déjantée est momentanément anéantie, mais elle n’a pas disparu et de nouveaux obstacles ne vont pas manquer de surgir.

Rappelons-nous toujours que Trump a déjà sauvé son pays du pire et qu’avec lui, héros homérique, tout ce qui avait été décrété impossible devient possible.

Il a gagné la Maison Blanche en faisant basculer les États com­me des dominos, hissé les Ré­publicains partout, au Congrès et dans les magistratures locales – triple exploit jamais vu depuis 1928 !

Il a su rassembler une coalition, jusque-là introuvable, réinventer la politique américaine et sauver le parti républicain de lui-même.

Gageons qu’il va être un grand président !

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Comments (5)

  • BRENUS Répondre

    A propos de Trump et des “républicains us” , il semble qu’au grand désarroi de la pensée unique franchouillarde, les membres des “républicains” qui affectaient de cracher dans la soupe Trump avant son élection se rangent peu a peu sous sa bannière maintenant. Comme quoi, il n’y a pas qu’en Frrance que l’on trouve des opportunistes, girouettes et autres putassiers. Ainsi que disait l’autre ” quand je me regarde, j’en honte, quand je me compare, je me rassure”.

    19 novembre 2016 à 14 h 13 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    pas d’ enthousiasme politique excessif ! aux U.S., les affaires sont les affaires pour le complexe militaro-politique , les banques et les multinationales et le peuple est toujours prêt à suivre un belliqueux

    18 novembre 2016 à 19 h 52 min
    • vozuti Répondre

      oui,mais quelque chose de positif s’est produit,après il sera toujours temps d’être déçu si finalement rien ne changeait.

      18 novembre 2016 à 20 h 50 min
  • vozuti Répondre

    on ne sait pas encore ce que trump fera,mais on sait pourquoi il a été élu.les américains ont dit non à la caste corrompue mondialiste représentée par clinton et ses médias auxquels plus personne ne croit…les peuples se réveillent.

    18 novembre 2016 à 19 h 19 min
  • Bistouille Poirot Répondre

    On verra bien. Nous jugerons sur pièce. Pour Obama, c’est déjà fait….

    15 novembre 2016 à 19 h 45 min

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