Le génocide arménien, hier et aujourd’hui

Le génocide arménien, hier et aujourd’hui

Le jour où vous recevrez ce numéro, le 24 avril, nous commémorerons le centième anniversaire du massacre de 600 notables arméniens à Constantinople. Ce fut le premier acte du premier génocide « scientifique » du XXe siècle, qui causa environ 1,5 million de morts, non seulement dans la population arménienne, mais dans l’ensemble des populations chrétiennes de l’empire ottoman.
Ce sinistre anniversaire n’est pas seulement un douloureux, mais lointain, souvenir. Il n’a jamais été autant d’actualité.
Tout d’abord, il faut rappeler que tous les génocidaires du XXe siècle (du massacre des Juifs par le IIIe Reich à l’orchestration de la famine en Ukraine par Staline ou l’enfer sur ter­re que déchaînèrent les khmers rouges ou les fanatiques de la machette au Rwanda) ont admiré l’œuvre des Jeunes Turcs et ont constaté que la « communauté internationale » dis­posait d’une admirable complaisance envers les assassins et d’une non moins admirable capacité d’oubli.

Ainsi, on raconte qu’Hitler répondit laconiquement à ses conseillers qui s’inquiétaient des conséquences diplomatiques de l’extermination des Juifs : « Qui se souvient du génocide arménien ? »
De fait, cent ans plus tard, non seulement le génocide arménien n’est plus qu’un petit paragraphe dans les livres d’histoire, mais le fait d’en parler est toujours passible de peine de prison en Turquie. Et, encore tout récemment, des hiérarques du régime islamiste d’Ankara ont honoré des bourreaux de 1915.
Sans souhaiter à ce pays de connaître les délires de repentance qui se pratiquent chez nous, on pourrait considérer au moins comme légitime de se souvenir et de ne pas insulter quotidiennement la mémoire des victimes.

Il est vrai que nous, Français, sommes assez mal placés pour faire la leçon aux Turcs. Les génocides modernes ont trouvé leur modèle, bien avant le génocide arménien, dans la Terreur de 1793. Les Jeunes Turcs ne cachaient d’ailleurs par leur admiration pour nos « grands ancêtres ». Et, chez nous, les lois d’extermination de la Vendée – qui ont été votées dans les formes légales par la Convention – n’ont jamais été abrogées.

Sans doute les sbires de François Hollande estiment-ils que les « va­leurs républicaines » sont trop intimement liées au terrorisme (au moins intellectuel) pour oser toucher à ce monstre sacré qu’est « l’admirable » œuvre législative de la Con­vention ! À ma connaissance, seul Bruno Retailleau, président du conseil général de la Vendée, a proposé d’abroger ces lois génocidaires. Proposition vite enterrée…
Non, décidément, les génocides modernes ne sont pas un simple point d’histoire. Ils sont tellement liés au « progressisme » de la gauche radicale que nul, pas même à droite, n’ose les dénoncer trop fortement.

Un autre point, massif, rattache l’actualité à ce centenaire du génocide arménien.
Les derniers chrétiens de l’ancien empire ottoman sont actuellement assassinés ou expulsés par les gentils « rebelles modérés » de l’État Isla­mique, dans l’indifférence bovine des pays occidentaux.
Quand, exceptionnellement, François Hollande daigne évoquer le sujet, à l’occasion d’un massacre trop atroce pour être passé sous silence, il occulte systématiquement le christianisme des victimes.

Certes, toutes les victimes de l’État Islamique ne sont pas chrétiennes, mais, à l’inverse, tous les chrétiens sont massacrés ou condamnés à l’exil par l’État Islamique.
Et cela, non pas seulement en raison d’une psychopathie du calife auto-proclamé, mais bel et bien en raison de prescriptions coraniques parfaitement claires et développées par une pratique continue des califes depuis treize siècles.

En somme, c’est le génocide arménien et assyro-chaldéen qui se poursuit. Qui n’a jamais été interrompu que par la force militaire des pays occidentaux. Et qui a été formidablement encouragé par l’immense chaos que lesdits pays occidentaux ont mis dans l’ancien empire ottoman, depuis le traité de Sèvres de 1920 jusqu’à l’absurde intervention en Libye.
Entre le totalitarisme socialiste, toujours aux commandes chez nous, et le totalitarisme islamiste, au pouvoir dans la plupart des pays de l’autre côté de la Méditerranée, et qui vise à prendre le pouvoir chez nous, les vieux Français que nous sommes ont, si j’ose dire, l’embarras du choix.
En tout cas, dans ce contexte, quand paradent les descendants des assassins de tout poil, c’est une sinistre farce de contraindre les Français à toujours plus de repentance pour leur prétendu racisme passé, présent et à venir !

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Comments (28)

  • Hilarion Répondre

    Erratum A la 24 ème ligne l’expression “crime contre l’humanité” est à remplacer par “génocide”.

    26 avril 2015 à 20 h 43 min
    • Jacky Social Répondre

      Hilarion, si Jaures vous dit que le genocide vendeen est le resultat d’une guerre civile etatiste, ce n’est plus un genocide. La trollure de bidet utilise ses parametres elastiques comme cela l’arrange. Il est merveilleux. Jaures est un veritable contemplatif de l’etatisme. Son hypocrisie est a mourir de rire. J’adore. Il faut le prendre comme une caricature. Au debut, Jaures m’ennuyait beaucoup. Mais quand on le connait, on finit par trouver ca drole. Jaures, c’est le larbin docile de la pensee unique. C’est un idiot utile. Recitez bien après moi, 1,2,3: “Non il n’y a pas eu de genocide vendeen. Non il n’y a pas eu de genocide armenien. Non il n’y a pas eu de Shoah. Il n’y a eu que des guerres civiles”. Ce socialopathe m’epate. Et puis, il vous dira qu’il n’a jamais dit ca. A chaque post, Jojo nous sort des trucs de plus en plus gros et nous demande des preuves, etc. Il doit s’emmerder sec sur les sites fachosialistes pour venir chez nous se faire rabrouer et invectiver. Comprenne qui pourra.

      26 avril 2015 à 22 h 59 min
  • Hilarion Répondre

    Voici ce que dit Wikipédia à propos du génocide.
    L’article 2 de la Convention pour la prévention et le répression du crime de génocide adoptée par l’assemblée générale des Nations Unies le 9 Décembre 1948
    “Dans la présente Convention, le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national ethnique, racial, ou religieux, comme tel:
    a/ Meurtre de membres du groupe
    b/ Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe.
    c/ Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle.
    d/Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe
    c/ Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.
    L’article 211-1 du Code pénal français adopte une formulation plus restrictive que celle retenue à l’article 2 de la Convention de 1948 et ne se contente pas d’énumérer limitativement les groupes susceptibles d’être victimes de génocide. En effet, à la différence de la convention de l’ONU de 1948 le code pénal français pose comme pré-requis l’existence d’un plan concerté.
    Le législateur français a défini le génocide sur l’existence d’un plan concerté d’extermination établissant le caractère prémédité du crime et écartant toute référence à l’idéologie ayant inspiré les auteurs du génocide.
    Dans ce contexte, l’action des Colonnes infernales (Une troupe républicaine (obéissant aux ordres d’un gouvernement) avance d’Est en Ouest en couvrant le territoire de la Vendée du Nord au Sud, a pour ordre de tout détruire sur son passage, homme, femmes, enfants, bétail, récolte). Cette seule action qui serait responsable de 40 000 morts entre de plein champ dans la définition du crime contre l’humanité. Le Général Westertmann l’un des acteurs de cette horreur fit cette déclaration devant la Convention “La Vendée n’existe plus, elle est morte sous notre sabre libre, j’ai tout tué, j’ai écrasé les femmes et les enfants sous les pieds de mes chevaux, je n’ai pas un seul prisonnier à ma reprocher”.
    La période la plus meurtrière (Septembre 1793 Juin 1794) serait de l’ordre de 180 000 victimes vendéennes. Le total des morts des guerres de Vendée selon Hoche serait de 600 000 comprenant 350 000 Vendéens. Les pertes républicaines étant évaluées à 280 000. Aux massacres des colonnes infernales, il faut ajouter les “noyades” de Nantes, les fusillades d’Angers, du Manillais, de Noirmoutier, etc…soit autant de crimes commis par un état organisé à l’encontre d’une population civile exprimant là encore une volonté d’extermination. Il ne s’agissait donc pas d’une guerre civile selon la définition de Jaurès, mais d’une entreprise de destruction de la part d’un état contre sa propre population, c’est à dire juridiquement un génocide.

    26 avril 2015 à 20 h 33 min
    • Jaures Répondre

      Hilarion, ce que vous décrivez (même si les chiffres divergent selon les historiens) existe et a existé dans toutes les guerres civiles.
      Comme je l’ai écrit plus haut, certains revendiquent le terme de génocide pour la Commune de Paris (plus de 20 000 morts en 1 semaine), l’occupation de l’Irlande ou la guerre d’Espagne.
      Appelez tous les conflits des génocides et n’en parlons plus.

      26 avril 2015 à 22 h 08 min
      • Hilarion Répondre

        Juridiquement dans le génocide, il y a la volonté de détruire un peuple, Le texte de 1948 et son complément dans le code pénal français sont clairs.
        Une guerre civile peut très bien faire de nombreuses victimes sans que pour autant l’une des partie ait cette volonté de détruire l’autre, le combat cessant après un accord ou faute de moyens pour combattre. Le génocide en Vendée est d’autant plus évident qu’il a largement concerné des populations sans défense (femme et enfants dont se glorifie Westerman qui fut d’ailleurs par la suite guillotiné!)
        Je comprend parfaitement qu’il vous soit désagréable que Sainte République objet de votre idolâtrie soit mêlée à un crime aussi monstrueux, mais il s’agit de la triste vérité.
        Aucun de nos grands repenteurs de Chirac à Hollande, en passant par Sarkozy n’a évidemment, fait ne serait-ce qu’une allusion à ces massacres. Il est vrai que ce serait en contradiction avec les déclarations de M.Valls qui vocifère les vertus de la république à tous propos.
        ,

        27 avril 2015 à 11 h 32 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          Le problème est que personne n’ est pour une loi qui s’ applique de façon rétroactive et quand c’ est le cas ( comme cela l’ a été parfois en France ) c’ est une levée de … pavois ! … Il en a été de même pour ce qui concerne la définition du mot ” terrorisme ” par tous les Gouvernements américains qui n’ ont jamais pu en donner une ” version ” officielle puisque aussi bien toutes les définitions proposées les mettaient par au moins un item dans le concept de … ” terrorisme ” ! Le ” terrorisme ” se traite donc , peut on dire, au ” cas par cas ” … le bon terrorisme se différenciant du ” mauvais ” terrorisme selon les seuls critères de la ” puissance ” et de l’ idée que chacun se fait de ce qui doit être ” juste et bon ” … et il en a toujours politiquement été ainsi

          27 avril 2015 à 12 h 06 min
          • Hilarion

            Il est évident que la requalification en génocide des massacres vendéens ne peut avoir de conséquences juridiques pour des raisons évidentes. Mais leur reconnaissance devrait inciter à la modération les laudateurs de la république qui viennent, et avec quelle arrogance donner des leçons au monde entier

            27 avril 2015 à 13 h 01 min
        • Jaures Répondre

          Tout d’abord, Hilarion, je ne fais pas de fétichisme à l’égard de la république qui peut-être la meilleure (république laïque et démocratique) comme la pire des choses (Russie, Iran,…).
          Démocrate avant tout, je n’ai rien contre les monarchies constitutionnelles comme la Norvège ou la Belgique.

          Ceci précisé, une guerre civile a toujours pour but de vaincre l’autre partie et donc de la détruire. Les guerres de religion en France en sont un exemple. Les cathares ont pu être anéantis. Les forces entre catholiques et protestants, plus équilibrées, n’ont simplement pas permis qu’un camp l’emporte définitivement sur l’autre. Par contre, après la guerre d’Espagne (plus de 800 000 morts dont 350 000 civils) le camp vainqueur a procédé à des dizaines de milliers d’exécutions pour achever le travail.
          Lors de la Commune de Paris, Thiers a massacré 20 000 personnes. Il en aurait tué 10 fois plus si cela s’était avéré nécessaire.

          Pour en revenir à la Vendée, s’agissait-il d’un “peuple” ?
          La Vendée n’était qu’un découpage administratif récent (1789). La guerre civile a plus pour racine le refus de la population de répondre à la levée en masse. D’autres places ont connu la répression (Lyon notamment).
          La Vendée a connu la plus abominable répression parce qu’elle fut la plus résistante: plus de 35% des morts de cette guerre étaient républicains.

          Enfin, les guerres civiles concernent toujours les populations sans défenses (femmes, enfants, vieillards). Encore une fois, les guerres de religion en témoignent mais également la guerre de sécession (200 000 morts civils notamment à cause des épidémies et pillages dus à la guerre). La grande Jacquerie fut également réprimée dans le sang sans égard pour les plus fragiles. On pourrait ainsi passer toutes les guerres civiles en revue.

          Il convient donc de bien cerner le concept de génocide et ne pas chercher pour des raisons idéologiques à récupérer cette notion. Se balancer ainsi des génocides à la figure ne fait pas avancer le débat. Si vous êtes contre la République, c’est votre droit: convainquez de sa nocivité et de l’intérêt d’une monarchie restaurée. Mais avec des arguments d’aujourd’hui, pas avec un passé revisité avec le vocabulaire moderne.

          27 avril 2015 à 13 h 53 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      cet article 2 n’ a pas d’ effet rétroactif à ce que je sache ! pour les ” génocides ” antérieurs au Jugement de Nuremberg, parlons de ” massacres ” et tout le monde sera d’ accord !

      27 avril 2015 à 12 h 14 min
  • Jacky Social Répondre

    On voit qu’au moins deux social-fascistes et negationnistes sont sur le site.

    26 avril 2015 à 19 h 23 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Soyons à la fois clair et précis: @ Jacky l ‘ Associal n’ est qu’ un petit con !

      26 avril 2015 à 19 h 32 min
      • Jacky Social Répondre

        Je suis asocialiste effectivement. Mais pourquoi vous sentez-vous vise par mon commentaire precedent?

        26 avril 2015 à 19 h 43 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” @social ” ne veut pas dire ” a-socialiste ” et vous l’ avez bien compris … de même que j’ ai parfaitement intégré le chiffre ” 2 ” … mais je maintiens, et ne pense pas être le seul sur ce blog, à dire que vous n’ êtes qu’ un ” petit con “

          27 avril 2015 à 12 h 10 min
          • Jacky Social

            Vous etes libre, mon gars.

            27 avril 2015 à 13 h 29 min
          • quinctius cincinnatus

            ? ? ? ? … ? et vous ? … vous êtes enfin sous psychotropes ?

            27 avril 2015 à 13 h 47 min
  • Jacky Social Répondre

    Il y a en réalité 2 Jaurès sur le site.

    26 avril 2015 à 18 h 02 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      et heureusement il n’ y a qu’ un seul Jacky l’ @social [ sur le blog ] … @ Jaurès a au moins le mérite de nous faire souvent pouffer de rire avec ses fixations ” démocratiques ” politiquement correctes ce qui n’ est pas le cas des vôtres [ de fixations toutes aussi politiquement correctes ] @Hans pense que la confiance pourrait revenir si on pendait tous les @ Jaurès à des becs de gaz ; j’ en doute ! ils n’ apporteraient pas davantage de lumière ; vous non plus d’ ailleurs

      tiens où est donc passée Dame @Euréka … on ne la … trouve plus

      27 avril 2015 à 19 h 48 min
  • Jacky Social Répondre

    Jaures a raison. Il n’y a jamais eu de Génocide Vendéen, ni même de Génocide Arménien. Jaurès, c’est l’état. Et c’est l’état qui vous le dit. C’est officiel. Et vous n’imaginez pas tout ce que l’Etat peut faire pour vous. Prenez par exemple la camisole de force de l’Etat social avec ses soi-disant acquis. Magnifique l’état, non? Avec son bain de sang social. Ben puisqu’on vous le dit. L’Etahahaha, de la Vendée jusqu’au Bosphore en passant par Berlin, c’est que du bonheur.

    26 avril 2015 à 11 h 18 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Pourquoi n’ y a t il pas ( eu ) de génocide arménien , vendéen ou autre , mais qu’ il existe bel et bien un génocide hutu ? Et bien tout simplement parce que la ” notion en Droit ” de ” génocide ” n’ existe que depuis Nuremberg ( 1947 ) ! Aussi simple que ça ! c’ est bien pour cette raison que les … U.S.A. ne ” reconnaissent ” pas le ” génocide ” arménien car , s’ ils le faisaient ils seraient alors reconnus coupables du génocide de tribus amérindiennes !

      26 avril 2015 à 17 h 57 min
      • Jaures Répondre

        Vous parlez d’or, Quinctius.
        Depuis que la Shoah a donné naissance au concept de génocide, chacun veut, souvent au prix d’une imposture intellectuelle (voir la thèse de Reynald Sécher), trouver une position de victime à ses idées.
        Les communistes parlent du génocide des communards ou des Républicains espagnols. Chacun veut son génocide à brandir comme un drapeau.
        Il convient d’être sérieux, de ne pas galvauder le concept de génocide et de ne pas projeter des préoccupations d’aujourd’hui sur des faits historiques.

        26 avril 2015 à 19 h 05 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          tiens pour une fois vous n’ êtes pas ” amalgamiste ” … méfiez vous , vous êtes sur la ” mauvaise ” voie !

          27 avril 2015 à 19 h 50 min
  • Dail retournée Répondre

    C’est bien Jaurès, vous récitez parfaitement votre leçon de républicain non repentant. Les Vendéens n’ont pas été exterminé en raison de leur attachement à la religion Catholique, ni parce qu’ils habitaient un territoire précis, soit deux des conditions qui définissent le génocide !
    Vive Louis XX !

    24 avril 2015 à 13 h 43 min
    • Jaures Répondre

      Si la guerre vendéenne fut un génocide alors toutes les guerres civiles (toutes liées à une idéologie, une religion ou un territoire) furent des génocides.

      25 avril 2015 à 18 h 53 min
  • Alexandre de La Cerda Répondre

    “l’orchestration de la famine en Ukraine par Staline…”
    Pourquoi lier ce crime à la seule Ukraine alors qu’il avait été étendu par les communistes bolchéviques – au nom d’une guerre sans merci contre la paysannerie – à toutes les terres “productives” de l’ancien Empire Russe, devenu l’univers concentrationnaire soviétique avec le financement des banques anglo-saxonnes ?

    23 avril 2015 à 8 h 26 min
    • Jacky Social Répondre

      Le Holodomor est un crime d’état. L’URSS, l’etat contre le people. Mais chuuuut, il ne faut pas le dire. La vraie raison, c’etait la justice sociale. Et oui. Il fallait dekoulakiser l’Ukraine avec ses fermiers qui risuaient de devenir riches. Il fallait donc les proteger, vous comprenez. C’est ca le communisme. Ces communistes, ce ne sont que des petites gens. Des envieux. Des raclures de bidet. Et certains y croient dur comme fer.

      26 avril 2015 à 19 h 59 min
  • Faustine Répondre

    Pour les socialos et consorts, le génocide vendéen n’est qu’un “détail” de la Révolution française.
    Quels hypocrites !

    22 avril 2015 à 18 h 09 min
    • Jaures Répondre

      C’est que, Faustine, il n’y a pas eu de “génocide vendéen”. Il y a eu une guerre civile sanglante (240 000 morts dont 170 000 du côté des insurgés qui n’étaient pas que vendéens) avec d’atroces crimes de guerre. Toutes les guerres civiles sont atroces, celles qui ont précédé la Révolution Française (guerre contre les cathares, guerres entre catholiques et protestants,…) comme celles qui les ont suivies, en France ou ailleurs.
      Mais ce qui définit un génocide, volonté de destruction d’ une population pour des raisons raciales, ethniques ou religieuses ne sont pas avérées dans ce cas précis.

      23 avril 2015 à 14 h 00 min
  • DESOYER Répondre

    C’est bien ce que je disais dans un précédent commentaire: c’est un concours de c… entre l’islam et le socialisme.

    22 avril 2015 à 11 h 34 min

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