Al Jazeera et le haut conseil religieux saoudien font l'apologie de la pédophilie !
Le spectre de la pédophilie
Al Jazeera, l’empire médiatique du Qatar, n’est pas seulement la bonne fée financière qui contribue au renforcement du club de football Paris St Germain.
C‘est la chaîne de télévision transnationale de culture arabe sur laquelle s’expriment tous les courants de l’intégrisme. La face sportive de Al Jazeera ne doit pas masquer sa fonction doctrinale. Youssouf Al Qaradawi, l’un des fondamentalistes les plus admirés par l’opinion musulmane dans le monde, y présente un programme dédié aux vertus et beautés de la charia.
Maître à penser de l’ islamisme pur et dur, il est un musulman exemplaire : il a épousé une adolescente de 14 ans.
Une fatwa contre les « ininformés »
La question du mariage des enfants ou jeunes adolescentes légitimé par la religion est la preuve qu’entre nous Occidentaux et eux stricts musulmans, s’interpose le clash des civilisations.
Membre du haut conseil religieux saoudien, Salih Ben Fawzan a récemment lancé une fatwa – une condamnation religieuse – contre des journalistes et responsables de presse en pays arabes. Leur faute, selon Ben Fawzan , consiste à vouloir limiter le droit traditionnel d’épouser des filles adolescentes ou même plus jeunes, d’âge enfantin.
La fatwa vise , écrit-il, « l’interférence des non informés sur les lois de la Charia. Leur intervention concerne l’âge des filles enfants destinées au mariage : ils voudraient imposer l’exigence d’ un âge minimum ». Inacceptable au regard du dogme, selon le religieux saoudien.
Mahomet et Aïcha pour l’éternité
Pour justifier l’attaque contre les réformateurs traités d’ininformés, il invoque la figure de Mahomet. L’histoire dit que le fondateur de l’islam épousa Aïcha âgée de 6 ans et en fit sa femme à 9 ans. De cette référence absolue, Ben Fawzan tire un principe d’une logique abominable : « il n’ y a pas d’âge minimum pour le mariage des fille , pas même quand elles sont au berceau ».
A lire Ben Fawzan, la vérité du couple est pour l’éternité du côté du prophète et des musulmans qui vénèrent sa conduite .
Extraits ( traduits par Raymond Ibrahim / Islamic forum for Democracy ) :
1) « le prophète autorisa Aïcha à jouer avec ses poupées »
2) Cela montre « combien notre prophète était indulgent et ouvert d’esprit »
3) C’est une leçon d’humanité donnée par « l’islam, conformément à l’esprit d’Allah, qui attend des époux musulmans plus âgés qu’ils soient patients avec leurs jeunes épouses »
4) la relation hiérarchique entre les sexes est respectée : « le mari plus âgé ne doit pas attendre que sa jeune épouse atteigne le niveau de la maturité. C’est à lui de descendre à son niveau ».
Perversion morale
L’Europe doit combattre la perversion de la morale dans sa version islamiste : pour oser rendre hommage à l’ouverture d’esprit du prophète , époux d’une enfant de 6 ans, il faut être un grand pervers . En fin de compte, Salih Ben Fawzan , et bien des fondamentalistes avec lui, donne des lettres de noblesse à une forme de pédophilie institutionnalisée, sacralisée par le biais de la religion musulmane qui codifie les mariages d’enfants.
Nous sommes à la pointe de l’antagonisme des esprit ou des valeurs. Aux yeux des musulmans, la religion transfigure le caractère pédophile des mariages d’enfants. Selon notre idée de la civilisation, aucune croyance ne peu atténuer la barbarie pédophile des mariages de préadolescentes, parfois à l’âge du cours préparatoire.
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