Faut-il réserver les allocations familiales aux immigrés ?

Faut-il réserver les allocations familiales aux immigrés ?

Ainsi formulée, pareille proposition a l’air d’une provocation. C’est bien ce qui risque d’arriver pourtant, si on suit l’une des propositions phare du rapport Attali 2 : mettre les prestations familiales sous condition de ressources.

Luc Ferry la reprend dans une chronique du Figaro qui n’admet pas de réplique : « C’est une évidence », dit-il. Quand deux proches du pouvoir lancent la même idée, c’est qu’il y a anguille sous roche.

Une évidence ? C’est pourtant tout le contraire. Les allocations familiales ne sont substantielles qu’à partir du troisième enfant. L’immense majorité des familles indigènes (le sens exact de “français de souche”) a un ou deux enfants, quand enfant il y a. Où se situent les familles nombreuses ? Principalement dans l’immigration, surtout sahélienne. Accessoirement dans une frange de la classe moyenne, d’inspiration catholique ou pas, mais consciente de ses responsabilités vis-à-vis des générations futures. (via )

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Comments (2)

  • Béru 45 Répondre

    Il ne faut surtout pas oublier que la plus grande part des allocations familiales est prise sur les impôts des classes moyennes des souchiens.Quant aux immigrés ils ne sont là que pour récupérer puisqu’ils ne foutent rien pour la plupart.Un bel exemple nous est donné par les familles polygames:un seul foyer régulier et les autres de mères isolées.C’est beau la FRANCE !!

    19 novembre 2010 à 10 h 57 min
  • Briscard Répondre

    Des allocations familiales proportionnelles au revenu (pour un nombre d’enfants donné) afin que l’accueil des enfants ne pénalise pas trop fortement le niveau de vie des familles des classes moyennes. Et ce n’est pas une provocation :
    Nous contribuons aux allocations familiales en fonction de nos revenus, pourquoi ne pas être rétribué en fonction des cotisations ? A moins d’être dans un système socialiste.
    Le coût des enfants est indirectement également fonction du revenu (logement, absence de subventions,…).
    Mais le plus simple est d’établir la préférence nationale et de ne plus plafonner aussi drastiquement l’avantage fiscal du aux enfants.

    19 novembre 2010 à 2 h 28 min

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