Les leçons du drame norvégien

Les leçons du drame norvégien

Le crime est effroyable et l’assassinat de 77 jeunes adolescents ne peut trouver aucune excuse : rechercher durant deux heures des victimes innocentes et les exécuter avec un sang froid inhumain relève de l’horreur. Aucune excuse non plus pour une motivation prétexte s’appuyant sur l’islamisation du pays qui serait tolérée par le gouvernement norvégien.

Par contre il nous semble nécessaire de placer le drame dans le contexte de la géopolitique actuelle qui voit s’accumuler les novations criminelles qui ont trouvé leur point de départ avec l’attentat sur les tours de Manhattan et ses milliers de morts. C’est ensuite la séquelle ininterrompue des crimes kamikaze commis eux aussi au nom de l’idéologie, ce sont aussi les attentats contre les églises catholiques à commencer par la cathédrale de Bagdad et ses dizaines de morts.

Politiques et médias occidentaux condamnent la naissance et les risques de mouvements islamophobes. Encore une fois nous considérons qu’il faut respecter la religion musulmane, mais on se doit en contrepartie de s’élever contre l’islamisme, la Charia, Al-Qaïda et ses croisades anti occidentales, les législations qui bafouent les droits humains élémentaires.

Combattre l’extrémisme de droite serait plus crédible si nos politiques condamnaient avec la même fermeté les atteintes intolérables aux concepts démocratiques les plus élémentaires. Comment admettre la législation pakistanaise sur le blasphème qui a condamné à mort la chrétienne Asia Bibi, comment admettre l’assassinat du gouverneur du Penjab et du ministre des cultes qui ont tenté de faire libérer la jeune femme ?

La géopolitique se doit d’être objective et doit en particulier ne jamais oublier les leçons de l’histoire qui condamne les bons sentiments de pharisiens qui excusent trop souvent les bourreaux et condamnent les innocents lucides. Les leçons de la Bible restent toujours valables.

On ne construit pas non plus l’histoire avec des mots : nos chroniques ont souvent mis en garde contrela sanctification incongrue des mouvements dits démocratiques du sud de la Méditerranée. Ces mouvements tournent malheureusement à l’anarchie en affaiblissant dangereusement des économies déjà fragiles. Rappelons que les pays du nord de l’Afrique comptent 170 millions d’habitants qui demandent d’abord du pain et du travail et sont en passe de perdre et l’un et l’autre.

Le drame norvégien nous interpelle, car il oblige à admettre la réalité du monde et à faire preuve d’objectivité, même lorsqu’elle est difficile à accepter.

L’objectivité des analyses, le réalisme géopolitique, l’abandon des vocables creux, le renoncement à la démagogie, sont des impératifs pour résoudre les crises actuelles multiformes que nous traversons.

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Comments (8)

  • Anonyme Répondre

    Hans :"Apparemment il y a des problèmes de sémantique."
    –         Helas, ça va beaucoup plus loin.. Il y a surtout le probleme des mecs qui gueulent apres l’islam, TOUT EN FAVORISANT hypocritement l’installation des étrangers en France. Ce point a deja été développé sur le forum… et n’a pas suscité beaucoup de commentaires… Demandez vous pourquoi!

    Hands :"Ne faudrait-il pas commencer à définir "l’ennemi", s’il y en a un?"
    –        L’ennemi existe, et c’est normal, et c’est celui qui met en danger notre culture, notre civilisation, notre identité nationale, nos "ethnies" locales, bref ce que nos ancetres ont construits depuis des siecles, ce pourquoi beaucoup ont donné leur sang… (probablement pas pour que leurs heritiers – c’est nous, ça! – n’abandonnent notre France a des Asiatiques, des Africains, des Arabes ou des Martiens.)
    Les ennemis sont des HOMMES, avec des aspirations et des desirs humains, y compris les sept péchés capitaux, et ce non pas des idées, ni des systemes, ni des religions; les discussions sur les religions, pour passionnantes qu’elles soient entre gens cultivés et impartiaux, ne restent que des discussions de salon, et n’ont aucune influence sur les actes de l’etranger qui souhaite et essaie – et il en a le droit -, de nous piquer notre maison, notre fric, et notre femme, et en plus, qui tente de prendre le controle progressivement de l’economie, des medias et du pouvoir politique en France.
    Crier "mort a l’Islam", pour s’opposer a l’invasion, semble un peu pathétique!
    Munich, une fois ça suffit!

    Best,

    Mancney737

    17 août 2011 à 1 h 03 min
  • Anonyme Répondre

     

    @HansImSchnoggeLoch

    Vous écrivez:" Pour Luc islam doit rimer avec islamisme comme protestant avec protestantisme.

    Pour Watson et Iosa il faut immobiliser le pilote c.à.d. l’islam.

    Pour Mancney il suffit de détourner l’avion qui transporte le pilote."

    Oui pour moi islam = islamisme, et ceci par construction (comme on dit en démonstrations mathématiques de géométrie). Un islam sans sa dimension islamiste et terroriste n’est plus l’islam, et ainsi privé de son assise théologique ne peut donc plus exister, de même qu’une barre magnétique (aimant) sans pôle nord n’est plus un aimant et ne peut même pas exister.

    Oui pour moi il faut immobiliser le pilote (c.a.d. la construction idéologique dénommée islam), mais en tant que catholique je sais que ce « pilote » a aussi une authentique dimension surnaturelle qui est probablement de nature satanique bien plus que de nature divine.

    Oui il faut détourner l’avion (l’envahisseur musulman). Deux moyens existent: le renvoi au pays et la conversion religieuse. L’extermination est exclue sauf évidemment attaque.

    16 août 2011 à 22 h 21 min
  • Anonyme Répondre

    En 2003, JJ WALTER, ingénieur des Mines (Ecole des Mines de Paris) a fait une lettre ouverte aux députés français, où il résumait certaines choses très importantes à savoir en islam. En voici un extrait: personne ne peut infirmer ce qu’il a écrit:

     

    L’abrogation

    Le coran est censé avoir été écrit avant la fondation du monde, sur une Table Gardée du Paradis, dans la langue que parlent Allah et les anges : le dialecte de La Mecque. Cela tombait bien, c’était la seule langue connue de Mahomet. Cependant certains contemporains avaient été surpris du contraste entre les versets déclamés à La Mecque, quand l’islam était faible et avait besoin de tolérance pour survivre (pas de contrainte en religion, sourate 2 verset 256) et ceux de la période suivante, à Médine, quand l’islam devenu fort voulu user de violence contre ses opposants (assassinez ceux qui quittent l’islam, sourate 4 verset 89, assassinez les polythéistes, c’est-à-dire les animistes, sourate 9 verset 5). Mahomet répondit par des versets, sourate 2 versets 106 et 107 et sourate 16, versets 101 et 102. Lorsqu’Allah remplace un verset par un autre de sens contraire, le nouveau est meilleur, ceux qui contestent iront en enfer… Ainsi, le coran contient deux sortes de versets : les mansukhs, qui sont des versets abrogés, toujours présents dans le coran, mais sans valeur, et les nasikhs, les abrogeants, qui sont des versets ultérieurs de sens opposé. Le coran est fait comme un ensemble de circulaires administratives. Les dernières en date annulent et remplacent les précédentes de sens contraire. Certains disent que les atteintes aux libertés et les violences ne sont qu’une déformation de l’islam, lequel serait modéré. Mais cette modération n’est présente que dans les mansukhs, les versets abrogés qui n’ont plus de valeur.

    En particulier, les 115 versets tolérants, répartis dans 54 sourates, sont tous, sans aucune exception, des mansukhs, des abrogés sans valeur. Ils sont cités par les musulmans dits modérés, qui savent que les hommes politiques ou les journalistes d’Occident sont très rares à avoir lu le coran, et qu’il n’y a guère de risques à présenter des versets abrogés comme preuve de tolérance…

    La taquia

    À la mort de Mahomet, la succession se traita par des guerres et des assassinats. Ali, un petit fils de Mahomet, conquit le pouvoir, le garda deux ans, et le perdit. Ses partisans formèrent les Chiites (chiite vient d’un mot arabe qui signifie partisan). Les adversaires formèrent les Sunnites (leur nom vient d’un mot qui signifie le chemin, celui que doivent suivre les musulmans). Comment résoudre ce schisme ? Mahomet avait montré la voie, en appliquant la solution finale d’abord aux Juifs de Médine, puis à ceux qui abandonnaient l’islam, puis aux « polythéistes ». Les Sunnites tentèrent donc de génocider tous les Chiites. Ceux-ci choisirent en masse l’abjuration. Pour éviter de perdre tous leurs fidèles, les dirigeants du chiisme inventèrent la taquia : c’est l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie, en faisant une abjuration publique, sans pourtant changer de religion.

    La taquia s’est ensuite généralisée, et aujourd’hui elle est devenue l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam. C’est au titre de la taquia que les musulmans d’Occident citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés…

    16 août 2011 à 22 h 01 min
  • Anonyme Répondre

    @HansImSchnoggeLoch

        Vous résumer bien les différents points de vue. Vous remarquerez qu’ils ne sont pas complètement incompatibles. Si j’ai le temps je referai un bref crash-course d’islam, où l’essentiel de ce qu’il faut savoir tiendra en une page même si chaque phrase pourrait y être développée en un chapitre, chacune.

     

    16 août 2011 à 17 h 08 min
  • dissident39 Répondre

    il faudrait nous prouver c a va etre difficile a mon sens que le droit d envahir unn pays fait partie des fameux droitd de l homme et que le devoir de se laisser envahir sans mot dire existe donc aussi

    16 août 2011 à 14 h 15 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Apparemment il y a des problèmes de sémantique.

    Pour Luc islam doit rimer avec islamisme comme protestant avec protestantisme.
    Pour Watson et Iosa il faut immobiliser le pilote c.à.d. l’islam.
    Pour Mancney il suffit de détourner l’avion qui transporte le pilote.

    En fin de compte on ne s’y retrouve plus. Ne faudrait-il pas commencer à définir "l’ennemi", s’il y en a un? Et ensuite établir une méthode qui permette de le contrer.
    Cela permettrait à tout le monde de s’exprimer de la même façon, le but ultime de chacun étant viviblement le même.

    15 août 2011 à 19 h 49 min
  • Anonyme Répondre

    "Il faut respecter la religion musulmane, mais on se doit en contrepartie de s’élever contre l’islamisme".

    Et NON justement : il faut respecter les musulmans certes, MAIS justement PAS ceux qui font du prosélytisme.

    Et « il NE FAUT PAS RESPECTER LA RELIGION MUSULMANE », en tant que corps de doctrine, surtout si on n’y connait rien. Il n’y a aucune raison valable de respecter un corpus théologique de cette nature, intrinsèquement pervers. Il est de plus parfaitement incompatible avec notre Constitution, avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 etc.

    Il a été démontré ici-même moultes fois, au-delà du devoir d’information, que la PARTICULARITE IRREVERSIBLE de l’islam est d’être théologiquement INDISSOCIABLE de l’islamisme, du jihad, du mensonge institutionnel et du meurtre, et ceci pour l’éternité future. Malheureusement ….

    15 août 2011 à 18 h 21 min
  • ozone Répondre

    La gauche se saoule avec des mots,il suffit de dire "révolution" et ils entrent en transe,ils se montent la téte et jouissent sans mesure.

    Comme toujours se sera la gueule de bois au réveil

    Mais pas grave,on sauvera le monde entier……..Pour les suisses on ne pourra rien faire.ce sont un cas perdu.

    15 août 2011 à 16 h 46 min

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