Rapport Sauvé et idiots utiles de l’islam

Rapport Sauvé et idiots utiles de l’islam

Avant de parler de la « Commission Sauvé », qui a provoqué une véritable onde de choc dans les médias, et pour que mes propos ne soient pas mal interprétés, je tiens à dire ceci : La pédophilie est un crime abject, injustifiable, inexcusable, impardonnable.

Si nos « démo-crassies » molles n’avaient pas aboli la peine de mort, les pédophiles (avérés) finiraient sur la guillotine.

Précisons aussi que je n’ai pas lu le fameux rapport Sauvé.

Je m’en tiens à ce que résume, souvent avec une jubilation malsaine, une presse très majoritairement de gauche : il y aurait eu entre 2 900 et 3 200 pédocriminels, hommes – prêtres ou religieux – au sein de l’Église catholique depuis 1950.

La première question qui me vient à l’esprit est la suivante : qu’est-ce qui a poussé l’Église de France, déjà si mal en point, à se tirer ainsi une balle dans le pied ?

A-t-elle fait ça dans un esprit de repentance, puisque c’est devenu, hélas, une habitude ? Ou bien y a-t-il quelque arrière-pensée machiavélique pour « moderniser » l’institution, comme semble le vouloir le pape François ?

Si j’étais franc-maçon, je me taperais sur les cuisses et je fêterais dans des agapes gargantuesques la victoire d’un combat contre l’Église catholique commencé il y a plus de deux siècles.

L’habitude de « bouffer du curé » a été prise dès les débuts de la Révolution.

On avait commencé, le 4 novembre 1789, par la confiscation des biens du clergé, puis la Terreur avait détruit les temples et tué bon nombre de curés « non-jureurs ».

L’œuvre de déchristianisation de la France était en marche, elle n’allait plus s’arrêter.

Ce fut ensuite Émile Combes, franc-maçon qui doit ses brillantes études aux institutions catholiques et qui, par la loi du 7 juillet 1904, interdit aux congrégations d’enseigner.

Il fait fermer, en quelques jours, 2 500 écoles religieuses.

C’est le général André qui, pour favoriser l’avancement des officiers républicains et anticléricaux, faisait ficher les officiers catholiques. Le scandale sera énorme.

Beaucoup d’officiers indûment promus (dont presque la moitié des 425 généraux !) seront alors limogés.

C’est la loi de séparation de l’Église et de l’État, d’Aristide Briand, le 9 décembre 1905 et le scandale des inventaires qui se dérouleront dans un climat de guerre civile.

C’est la scandaleuse condamnation de l’Action française par Pie XI.

Cette condamnation sera levée par Pie XII en 1939, mais le mal était fait.

C’est le concile Vatican II qui va provoquer une forte crise des vocations et une désertification des séminaires et des églises.

Ce sont les excès liturgiques d’après Vatican II, qui vont amener la rupture entre les « traditionalistes » et le courant progressiste de l’Église.

C’est encore le retour en force de l’islam, qui, dans notre ancien empire colonial, reprend le terrain jadis conquis par le catholicisme.

Je ne suis ni donneur de leçons, ni calotin, ni « cul-béni », mais, qu’on le veuille ou non, notre civilisation s’est construite sur le décalogue et cet « ordre social chrétien » cher à La Tour du Pin.

Les coups de boutoirs contre l’Église sont une stratégie voulue par les Loges qui profitent de la passivité, voire de la complicité d’un clergé progressiste.

Un récent sondage nous apprend que 51 % des Français se déclarent totalement athées et que 3 % des catholiques pratiquent encore leur religion.

L’islam est donc devenu la première religion de France !

Il n’est pas question de minorer les choses mais, selon le rapport Sauvé, le nombre de pédophiles dans le clergé catholique se situerait entre autour de 2,8 % des clercs.

C’est parfaitement dégueulasse mais il est assez vraisemblable qu’on retrouve un tel pourcentage dans toutes les professions.

On va voir ressurgir quelques vieilles lunes comme le mariage des prêtres, l’ordination des femmes et la suppression du secret de la confession.

Notre époque décadente a même tué le bon sens, car je ne vois pas en quoi le fait d’être marié serait une garantie contre la pédophilie (Marc Dutroux ou Michel Fourniret étaient mariés).

Ceux qui ont tout fait pour tuer le catholicisme auront été les « idiots utiles » d’une religion forte qui déteste les traîtres et les mécréants.

On me dit que certains « frères la gratouille » commencent à s’en inquiéter.

 

Version longue :

Le 11 octobre 2021
Tsunami dans un bénitier.
« Depuis les débuts de la Troisième République, l’Église catholique et la Maçonnerie sont ouvertement ennemies et, chaque avancée de la laïcité est imputée à « la secte ». Les enquêtes pour entrer dans une loge sont devenues plus sérieuses. On pardonne à un candidat son inculture politique (mais il doit être républicain), mais pas de fréquenter une église. Être maçon, c’est s’afficher comme anticlérical, d’où, pour certains, des ennuis dans leur vie professionnelle ou affective car les épouses restent souvent attachées à la religion… » (André Combes, « Regard des F-M sur l’Eglise »).

Avant de parler de la « Commission Sauvé », qui a provoqué une véritable onde de choc dans les médias, et pour que mes propos ne soient pas mal interprétés ou déformés, je tiens à dire ceci : …

Partager cette publication

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *