Une réforme des institutions turques se prépare à l’initiative du parti au pouvoir islamiste conservateur. Ces deux principales novations sont à son
avantage :
Il sera plus difficile de dissoudre un parti politique, aussi radical puisse-t-il être. Or on sait que le parti au pouvoir avait échappé de peu à la dissolution en 2008.
Les magistrats seront moins indépendants et pourront donc subir des pressions politiques, dont on sait qu’elles sont organisées en Turquie par les Islamistes.
La fameuse république laïque turque dont on nous rabat les oreilles continue donc sa mue en système quasi islamiste, avec la bénédiction de l’Union européenne, puisque celle-ci a exigé la
mise en place de cette réforme !
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