Un islamiste syrien pour inaugurer la mosquée de Roissy-en-Brie
Culturelle Musulmane de Roissy en Brie
Vous Prient de leur faire l’honneur d’assister à la pose de la première pierre du projet de construction de la mosquée et du Centre Socio Culturel de Roissy en Brie
Par le Grand Savant Cheikh Saïd Ramadan AL BOUTI
La cérémonie qui sera suivie d’une réception aura lieu sur les terrains de l’association
En face du Bureau de Poste et des cours de tennis de la Ville
Avenue Jean Monet – 77680 Roissy en Brie
En date du samedi 5 juin 2010 à 10h30
Venez nombreux,
Fraternellement
Bordeaux, présente de manière synthétique les principaux positionnements de Muhammad Said Ramadan al-Bûti à la page 71 :
« Comme chez les islamistes, l’islam, selon al-Bûti, est valable en tout temps et en tout
lieu [1] ; il est facteur de force, car il est dogme (‘aqîda), éthique et code ( nizâm)[2] et non un phénomène social. Il est l’avenir de
l’humanité[3], ce qui signifie
qu’il n’est pas un legs (turât) [4] La sûrâ se substitue, chez lui, à
la démocratie. Malgré son importance, il n’est pas, pour le gouvernant, une obligation stricte[5]. De plus, il
ne concerne pas les masses populaires qui doivent obéir, sans jouir pourtant d’aucun rôle dans la vie politique[6]. Cela est contradictoire avec le libéralisme et le pluralisme politique[7]. Donc la souveraineté n’appartient qu’à Dieu, ou peut être à son représentant
terrestre[8]. Al-Bûti justifie la violence en vue de la conquête du pouvoir et,
par conséquent, de la propagation des valeurs de l’islam[9]
Notre complément d’information :
Dans son site Internet[10], al-Bûti répond aux questions des visiteurs voulant le consulter sur
toutes sortes de sujets. A l’un d’entre eux il répond :
« Si vous voulez dire que les masses doivent se gouverner par elles-mêmes, cela rentre en contradiction avec les règles de l’islam, car celui qui fixe les règles est seulement
Allah et les lois islamiques[11] »
A un autre, se
présentant comme un étudiant étranger en France ne sachant si la charia l’autorise à pratiquer du sport avec des filles en short, al-Bûti
répond :
« Le consensus de la majorité des juristes sur la question est que la partie située entre les anches et les genoux est privée. Ainsi, si le pantalon recouvrant le genoux est
permis, il n’est pas permis qu’un pantalon s’arrête au dessus [12]»
Révélateur de l’abysse
culturel séparant culture occidentale et islamique, le juriste interdit à toute personne non mariée d’écrire… des lettres d’amour.
Question d’un internaute : « Si vous essayez de vous marier avec quelqu’un, est-il permis de lui écrire des lettres d’amour ou des poèmes d’amour (exprimant vos
sentiments ?) :
Muhammad Said Ramadan al-Bûti : «Ecrire des lettres d’amour avant le contrat de mariage n’est pas permis »
A un autre, ne
sachant quoi dire à sa sœur ne voulant pas porter le voile au prétexte que, selon elle, cela serait facultatif en islam, al-Bûti
répond :
« Le chemin de la persuasion est de lui réciter les commandements d’Allah sur
le voile pour les femmes dans les sourates (coraniques) Al-Nour et Al-Ahzab »