Liberté d’opinion : l’autre régression française

Liberté d’opinion : l’autre régression française

J’ai fait mes premières armes, comme journaliste, sous l’autorité de Jean Loustau-Chartez, qui, vingt ans plus tôt, pour avoir appartenu à la Waffen SS, s’était retrouvé, condamné à mort, à la prison de Fresnes, les fers aux pieds, pendant de longs mois. Son patron, qui m’avait recruté, Raymond Bourgine, était un ancien de la 1ère armée française…

C’était en 1970. La justice était passée. L’esprit de la résistance, l’idéologie des vainqueurs de 1945 dominaient déjà largement le paysage politique, culturel et intellectuel. Mais la liberté d’expression existait encore. Louis-Ferdinand Céline était mort en 1961, mais il continuait à être réédité. Même Lucien Rebatet, également condamné à mort et gracié, qui vivait encore (décédé en 1972), sera réédité jusqu’en 1991.
La liberté d’expression avait pour seule limite l’apologie des crimes. On ne déniait à personne la liberté de penser différemment de la majorité… Les braises de la 2ème guerre mondiale étaient encore tièdes. Pourtant, la parole et la pensée sur cette période étaient beaucoup plus libres. L’édition et la presse avaient su réintégrer les anciens « collabos ».

Aujourd’hui, le paysage a bien changé. J’ai vécu, à la télévision, en 1977, l’ouverture des rédactions, sur ordre de l’Élysée, à des journalistes ayant leur carte du parti communiste. Pour la plupart, ils y sont toujours. Imagine-t-on Nicolas Sarkozy donnant des consignes pour intégrer des rédacteurs qualifiés d’extrême droite ? Il suffit d’exprimer cette idée pour en mesurer l’incongruité. Et pourtant, après avoir pillé le programme du Front National, n’aurait-il pas été judicieux qu’il apporte une contribution déterminante de cette nature à la réintégration dans le concert de la nation de cette famille politique, qui pèse un certain poids, et dont la légitimité historique en vaut bien d’autres ?…

Un cordon sanitaire a été constitué entre les rédactions de tous les médias et les idées réputées de droite. Les soi-disant débats, dont les radios et les chaînes TV sont friandes, sont à 99 % endogènes. Sauf « outing », toute personne ayant frayé aussi peu que ce soit avec le Front National, n’a plus aucune chance d’être éditée ou publiée. Même sa famille devra utiliser des noms d’emprunt. J’ai des cas précis à l’esprit…

Cette évolution est spécifique à la France. Dans le même temps, en effet, la Cour européenne des droits de l’homme a bâti toute une jurisprudence destinée à protéger l’expression des pensées et des points de vue minoritaires. Mais l’oligarchie française s’en fout !
Des gouvernements sous influence communiste ont, ici, dans les années quatre-vingt, mis au point une police de la pensée, et les tribunaux l’appliquent, avec zèle !

Il y aurait de quoi rire si ce n’était tragique à la lecture du jugement de la XVIIème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris, condamnant lourdement le 8 février dernier à la fois Jean-Marie Le Pen, Jérome Bourbon, journaliste et Camille-Marie Galic, directrice du journal Rivarol, parce que le premier avait estimé, à la fin d’une interview publiée le 7 janvier 2005, et qui ne portait d’ailleurs pas sur ce sujet, que « l’occupation allemande n’avait pas été particulièrement inhumaine ». Ce qui est une opinion, d’ailleurs partagée par la plupart des historiens sérieux, auxquels il n’a pas échappé, par exemple, que le nombre de juifs exterminés en Pologne ou même aux Pays-Bas a été sans commune mesure plus élevé qu’en France.

Vingt jours plus tard, c’était au tour de Bruno Gollnisch d’être condamné en appel pour « contestation de crimes contre l’humanité », alors qu’il avait pris soin de reconnaître la Shoah comme un crime contre l’humanité, ce qui est une évidence…

On ne peut comprendre ces jugements sans les situer dans une perspective de persécution permanente, qui en est arrivée à poursuivre, au-delà de l’expression des opinions, les non-dits qu’ils soupçonnent.

Si les cendres de la dernière guerre mondiale constituent le terrain favori des censeurs, il y en a beaucoup d’autres. Y compris au plan politique et économique. En regardant bien on pourrait en relever un quasiment chaque jour !

Considérons par exemple cette affaire déclenchée par l’achat par le fisc allemand d’un listing de contribuables de différents pays titulaires de comptes au Liechtenstein. Je n’ai trouvé un point de vue en défense de cette principauté où le revenu par habitant est quand même deux fois et demi celui de la France, que dans « L’Ami Hebdo », édité à Strasbourg, d’ailleurs sous la plume d’un ancien de « Valeurs », écrivant sous un pseudo…

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Comments (35)

  • sas Répondre

    La france et la liberté d’expression…..

    BRUNO GUIGUE…….qui c’est exprimé de manière extraprofessionnelle sur le comportement lamentable d israel: des tueurs de fillettes à la sortie des ecoles, ou arrêtant la torture simplement pendant shabbat…….cesous prefet vient d’être limogé

    on n’ennonce pas de vérité "biblique" en nouvelle terre de Gaulle…….

    solidaire et hommage à Mr guigue……qui aurait pu rajouter des tueurs de paralétiques devant des mosquées……à partir d helicoptères de combats…

    sas

    27 mars 2008 à 11 h 52 min
  • SAS Répondre

    Excellente analyse :observateur…….

    nous vivons une fausse démocratie et avons donc le droit divin de ne point être assujeti a ses règles crapuleuses……

    sas

    24 mars 2008 à 13 h 04 min
  • Observateur Répondre

    Monsieur Dumait,

    Votre article a une une grande valeur de témoignage et montre bien que la situation que l’on connait aujourd’hui n’existait pas au début des années 70, sous les vrais gaullistes, et a commencé à se détériorer avec Giscard qui est celui qui a les plus augmenté les dépenses de l’état et les fonctionnaires de toute l’histoire de la France. Puis la liberté des médias a continué à reculer davantage avec Mitterrand, Chirac, Jospin, Chirac de nouveau et enfin Sarkozy, jusqu’à la situation que l’on connait actuellement où  la quasi totalité des médias disent la même chose et sont  la botte du pouvoir, par l’entremise de quelques grands groupes industriels privés ou des médias d’état. Des journaux qui pouvaient être encore lisibles il y a 10 ans, tels que Le Figaro magazine, Valeurs actuelles, ou l’Express sont devenus d’authentique organes de propaganda Staffel. Et puisque que les gens ont renoncés à lire ces pravdas, la propagande a du innover et s’intensifier.

    D’ailleurs le fait que la situation que l’on connait aujourd’hui qui est autant dûe à la fausse droite altermondialiste qu’à la gauche altermondialiste, et leurs alliés, est bien la preuve de l’hypocrisie et du double jeux que joue la fausse droite UMP avec ses électeurs.  On ne peux nier le rôle de la fausse droite dans cette situation : la fausse droite UMP, et vous le reconnaissez, vous-mêmes, a mis en place des moyens presque aussi efficaces que les laogaïs chinois, sans avoir besoin d’élimination physique des individus, officielle tout au moins : Halde, MRAP, lois liberticides, procès staliniens, racket des payeurs…, tout en donnant l’impression aux gens qu’ils vivent dans une démocratie. 

    Et si on peux adhérer à la presque totalité de ce que vous dites, on peux y mettre le bémol suivant :  parler constamment du FN qui n’arrivera jamais au pouvoir, ce qu’on sait depuis longtemps déjà, n’aboutit qu’à renforcer le système et aider la censure. Le système socialo-mondialiste a besoin d’un bouc-émissaire et d’un alibi pour donner une apparence de démocratie et ce rôle a été imparti au FN qui joue parfaitement ce rôle, au delà de toutes leurs espérances : cela permet de mettre en place un système très astucieux de censure tout en donnant l’illusion que la censure n’existe pas.

     

    18 mars 2008 à 22 h 40 min
  • Jaures Répondre

    A Red: Parce que les nazis n’ont pas eux-même emprisonné, torturé et éliminé d’autres Allemands ? Vos afirmations grotesques dicréditent l’ensemble de vos propos. Changez de pseudo et reprenez tout à zéro. 

    18 mars 2008 à 11 h 47 min
  • dagmar Répondre

    à notre cher jaures

    Espagne

    Pour Zapatero, il y a charnier et charnier

     

     

    Le 11 février dernier, on vient annoncer à Zapatero une nouvelle « formidable » : des ouvriers en charge d’un chantier de la caserne de la brigade parachutiste d’Alcalá de Henares (banlieue de Madrid) viennent de découvrir un charnier. Une dizaine de cadavres. Des malheureux tués, pour la plupart, d’une balle dans la tête. Pour Zapatero, c’est bonnard : ce doit être un charnier de républicains massacrés par les abominables franquistes. Il n’hésite pas :

    — Nous allons nous rendre avec une délégation du Parti socialiste (PSOE) sur le chantier.

    La délégation est composée. Les médias sont convoqués. A un mois des législatives (le 5 mars dernier, voir Présent du 12 mars), il y a là de quoi monter une belle petite opération d’agit-prop.

    Le déplacement sera annulé au dernier moment. Si les ouvriers ont bien mis au jour un charnier, les cadavres ne sont pas exploitables. Loin d‘être des victimes des abominables franquistes, les corps retrouvés sont ceux de nationaux liquidés par les ancêtres idéologiques de Zapatero.

    Dans Minute (1), on précise : « Pire que tout : dans cette fosse commune pourraient se trouver les restes du célèbre Andreu Nin, le chef du Parti ouvrier d’unification marxiste (POUM), antistalinien enlevé en mai 1937 et torturé par des agents du NKVD soviétiques… »

    Enlevé, torturé et, finalement liquidé le 20 juin de la même année, selon l’historien José Maria Zabala, auteur de En busca de Andreu Nin (« A la recherche de Andreu Nin »), curieusement jamais traduit en français.

    Le 5 mars, le quotidien ABC – non repris par la « grosse presse » européenne, bien sûr – sort toute l’affaire, faisant éclater au grand jour la « mémoire » à sens unique de Zapatero : il y a des charniers politiquement corrects et d’autres qui ne le sont pas… Nous avons eu souvent l’occasion de l‘écrire : toutes les actions de Zapatero et de ses sicaires ne visent qu‘à raviver de vieilles blessures et à instaurer un climat de guerre civile. L’affaire du charnier d’Alcalá de Henares n’en est qu’une preuve de plus.

    Mais, comme l‘écrit le rédacteur en chef d’Aventures de l’Histoire, Balbino Katz, tout cela commence à faire désordre : « Les socialistes ont été effarés de découvrir que la majorité des condamnés à mort du Front populaire s‘étaient rendus coupables de crimes atroces et que les dossiers d’instruction des juges franquistes sont très solides, riches en preuves matérielles, en témoignages et en aveux. »

    L’enquête sur les morts du charnier d’Alcalá de Henares se poursuit. Il pourrait s’agir, en plus d’Andreu Nin, de militants de droite sortis de la prison Modelo de Madrid ou de malheureux lynchés à mort lors d’un safari rouge d’août 1936 au cours duquel le député de droite Raphael Esparza avait été assassiné.

    (1) Sur le sujet, lire l’excellent article de Patrick Cousteau dans le dernier numéro de Minute : « Zapatero se prend les pieds dans les cadavres. »

    ALAIN SANDERS

     

     

    17 mars 2008 à 17 h 20 min
  • R. Ed. Répondre

    @ Joresse:

    Il y a quand-même une grosse différence entre les morts sous le régime nazi, lc’est à dire les Allemands morts au combat et morts sous les bombes alliées, et les morts sous le régime communiste.

    Les dirigeants communistes éliminaient leur propres concitoyens.

    Ce n’est pas du tout la même chose.

    17 mars 2008 à 11 h 43 min
  • Jea-Claude THIALET Répondre

    17/03/08    – "Les 4-Vérités"

    L’article en forme de testament (1) que vient de signer Alain DUMAIT est remarquable. Il fait le bilan de la dégradation régulière   – et j’ose dire systématique –  de la liberté de la Presse dans notre pays. Cette "dégradation" tient essentiellement à deux éléments majeurs :

           – un Etat de plus en plus tentaculaire qui musèle une Presse servile au nom de "l’intérêt supérieur de la Nation", du  "Secret Défense" ou de  la nécessité d’éviter au "peuple" une "psychose collective (2). Une Presse d’autant plus servile que les journalistes sont très largement de gauche et que, pour eux, "L’Etat, c’est nous !", ce qui fait qu’ils sont aux ordres des politiciens et des hauts fonctionnaires. Sans parler du fait que les journaux appartiennent de plus en plus à de gros intérêts financiers, lesquels sont dépendants des (grosses) commandes de l’Etat ! Sans parler d’autres "accojntances" sur lesquelles il serait trop long de s’étendre …

            – des Associations qui se veulent "anti-antiracistes", "anti-antisélites", ou anti-anti ceci ou cela, qui, progressivement, ont fait adopter des lois "scélérates" (j’emprunte ce mot au "gaulliste" Jacques TOUBON qui l’avait utilisée pour la loi FABIUS/GAYSSOT) (3) qui permettent à la Justice de faire payer lourdement le moindre mot de travers, le moindre mot mal interprété  (4).

                            Merci encore, Alain DUMAIT !

        Bonne semaine à toutes et à tous, cordialement, Jean-Claude THIALET

    P.S. FRANK. Vous vous plaignez d’avoir vu censurer un texte dénonçant le fait que Jan-Marie LE PEN et le FRONT NATIONAL percevraient de "l’argent arabe". Ne pensez-vous pas que cette "information", dès lors que vous n’en apportez pas la preuve, tombe sous le coup de la diffamation ? Quand on connaît la "popularité de Jean-Marie LE PEN dans les banlieues ("Juifs" et "Arabes" sont au moins d’accord sur un point : leur haine commune pour "l’antisémite" et le "raciste"), cela paraît pour le mons douteux… Et si, comme vous le prétendez, "l’argent arabe" finance Jean-Marie LE PEN et le FRONT NATIONAL (pas seulement eux, selon vous !) que n’est-il venu à point pour lui permettre de conserver son Siège historique qu’il a dû mettre en vente ? Ou encore l’aider à financer un campagne municipale squelettique du fait, précisément, du manque absolu de fonds ?

    Par contre, si vous êtes un lecteur attentif des "4-Vérités", vous vous souviendrez qu’un certain Jacques CHIRAC (comme l’avait révélé Maurice PAPON dans une vidéo) avait "détourné" une valise "d’argent arabe" destinée à financer la campagne de Georges POMPIDOU aux présidentielles ! Sans parlez de tous les financements occultes de campagnes électorales avec des fonds provenant de roitelets africains et tirés des subventions accordées généreusement, à l’insu de leur pleine gré, par les contribuables français.. Mais il est plus facile de s’en prendre au FRONT NATIONAL qu’aux partis gouvernementaux !

    Pour ce qui concerne les allégations de JMLP au sujet du MNR, ignorant ce qu’il en est, je vous dirai que le Président du FRONT NATIONAL en a pris la responsabilité face à Bruno MEGRET comme face à l’opinion publique, sans faire courir à "4-Vérités" le risque d’être tenu pour complice de diffamation. Contrairement à ce que vous vous proposiez de faire ici. mais vous avez tout loisir de tenter votre chance sur d’autres "forums". Pourquoi pas sur ceux de "L’HUMA", de "LIBE", etc. Il ne manque pas de journaux qui ont fait leeur fond de commerce de l’anti-lepénistes …

    Quant à la pauveté engendrée par le "SOCIALISME", vous avez tort de vous en prendre à TUCROY, il ne fait que constater de (dures) réalités. Là où passe le Socialisme, l’argent de ceux qui produisent et/ou créent des richesses trépasse ! Je dis bien de ceux qui "produisent et ou/créent des richesses" !

           JAURES. Fidèle à vous-même, vous refusez que Jean-Marie LE PEN "minimise" (selon vous !) le poids et les méfaits de l’Occupation (quelques Historiens l’ont attesté à leur manière …), mais vous ne cessez de le faire à propos de l’Occupation par les Soviétiques de nombreux pays européens…

    (1) j’utilise ce mot, même si j’espère bien que nous aurons le plaisir de retrouver de loin en loin sa plume !

    (2) l’exemple le plus fameux est celui du "nuage de tchernobyl" dont le Gouvernement de l’époque, avec la complicité de la Presse avait fait croire aux Français qu’il ne franchirait pas les Alpes  (5). Sans parler de l’affaire du sang contaminé que l’on a tardé à révéler… Lire à ce sujet l’excellent ouvrage de Jean-Paul LE PERLIER "LOÏC LE RIBAULT, le scientifique qu’il fallait faire taire", chez Trédaniel, auquel j’ai emprunté le "secret défense", "la défense de l’Intérêt supérieur, etc." 

    (3)  je précise toujours "LOI FABIUS/GAYSSOT/LELLOUCHE", car le "gaulliste" Pierre LELLOUCHE (et non Patrick DEVEDJOIAN, comme le dit SAS dans un de ses "posts") dont on connaît les accointances avec certains obbies, a tenu à la faire aggraver. Alors qu’il eût fallu l’abroger, ce que, devenu Garde des Sceaux, Jacques TOUBON qui l’avait pourtant dénoncée comme "scélérate" n’avait pas eu le courage de faire :!

    (4) Alain DUMAIT a parfatement raison de dénoncer l’acharnement de ce que ne n’ose qualifier de "Justice" contre Jean-Marie LE PEN et Bruno GOLLNIISCH, ainsi, d’ailleurs quie contre "RIVAROL" et tel ou tel de ses collaborateurs, à commencer par sa directrice, Camille-Marie GALIC ! On se croirait revenu à l’époque "louis-philippienne" où l’on faisait taire la presse à grands renforts de procès et d’amendes de plus en plus lourdes !

    17 mars 2008 à 10 h 39 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<A Hans: le Socialisme n’est pas contraire à l’ être humain mais à la conception que vous en avez. N’appliquez pas à la réalité vos propres notions, c’est faire le lit de la tyrannie.>>

    Avec des conceptions rétrogrades pareilles l’inhumanité et la tyrannie ont encore de beaux jours devant elles! Il est confortant de savoir que la majorité des intervenants sur le site des "4 vérités" ne partagent heureusement pas ces idées.  A bon entendeur, salut!

    17 mars 2008 à 9 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    @Jaurès
    L’une des différences est que les socialistes gèrent la pauvreté (comme un fonds de commerce) quand les libéraux tentent de la combattre. Il s’agit pour les uns d’une tentative d’égalitarisation par le bas pendant que les autres veulent tirer le plus grand nombre vers le haut. Pour les premiers le partage est une contrainte imposée à ceux qui créent la richesse par leurs efforts,  quand pour les autres ce même partage doit résulter des efforts de chacun, après qu’il aient été au moins tentés.
    Je constate comme tout un chacun que vos amis scandinaves semblent en revenir, du socialisme de progrès.
    Je n’ai jamais prétendu qu’il n’y avait pas de pauvres dans les pays libéraux, j’ai simplement souligné le fait qu’ils n’ont jamais autant augmentés en nombre, chez nous, que sous le règne du socialisme, dont c’est l’intérêt de les multiplier, serait-ce en en inventant de nouveaux genres. La pauvreté, comme la richesse, étant une notion toute relative, le procédé ne demande qu’un peu de cette démagogie, seconde nature de la gauche.

    16 mars 2008 à 20 h 24 min
  • Jaures Répondre

    Le problème avec les différents intervenants de ce site, c’est qu’il ne parle du socialisme que de manière fantasmée. Les socialistes européens conduisent régulièrement les affaires de différents pays (ils viennent d’être reconduits en Espagne). On peut critiquer tel ou tel aspect de leur gestion, mais ils n’ont jamais mis en cause la démocratie. Je ne pense pas que F.Hollande sera jamais condamné pour crime contre l’humanité.
    Si dans les méthodes de répression Fascisme et Stalinisme ont des points communs, ils divergent sur de nombreux points idéologiques. Hitler n’a jamais caché sa haine du communisme (et il a d’ailleurs trouvé de nombreux appuis aux E.Unis sur ce thème) et ceux ci furent parmi les première victimes de sa répression, avec d’autres démocrates de droite ou de gauche. Si lStaline affiche un nombre de morts plus élevé que Hitler, c’est pour l’unique raison qu’il fut au pouvoir plus longtemps.
    A Tucroy: Mettre sur le dos des socialistes l’existence des pauvres est un peu léger. Comme s’il n’existait pas de pauvres dans les pays libéraux ! C’est d’ailleurs dans les pays où les socialistes ont été présent le plus longtemps (Scandinavie), que les inégalités, le niveau et la qualité de vie sont les plus importants. Sous Jospin, le chômage a fortement reculé ainsi que le nombre de RMistes, tout en créant une CMU dont de nombreux américains, par les temps difficiles qui s’annoncent, souhaiteraient bénéficier.
    A Hans: le Socialisme n’est pas contraire à l’ être humain mais à la conception que vous en avez. N’appliquez pas à la réalité vos propres notions, c’est faire le lit de la tyrannie.

    16 mars 2008 à 15 h 57 min
  • Frank Répondre

    La liberté de parole est menacée par qui? J’ai posté un texte affirmant que l’extrême-droite française, Le Pen en tête, reçoit de l’argent arabe pour propagager l’antisémitisme et l’idéologie arabiste en France et j’ai été censuré. Pourtant je ne suis pas le seul à le dire:

    Le leader du FN a accusé hier celui du MNR d’avoir été «aidé» par l’UIMM. «Quand on a la réputation d’avoir été financé par Saddam Hussein et la secte Moon, on ne lance pas de telles assertions», réplique Mégret.
    15 mars 2008 à 17 h 32 min
  • grutjack Répondre

      "Jaures" a raison de minimiser le "socialisme" du Parti nazi, mais pas tout à fait. Hitler avait adhéré à un parti minuscule, presque confidentiel, qu’il parvint à transformer en un mouvement de masse, grâce à un programme nationaliste, qui correspondait à ses idées, mais également favorable aux travailleurs. Il considérait lui-même ce "socialisme" comme de la pure propagande, mais il faut ajouter que beaucoup de nazis au début y ont cru. Le parti avait progressivement développé une aile gauche, dirigée par le très populaire Gregor Strasser, qui se posa même à un moment donné en rival du Führer. Après son accession à la Chancellerie, pour devenir le maître absolu de l’Allemagne et pour organiser son réarmement, Hitler avait besoin de la neutralité de l’Armée et de l’appui des banques. Il céda à leurs exigences en 1934. Au cours de la "Nuit des longs couteaux", il fit assassiner les dirigeants de ses propres "Troupes d’Assaut" (S.A.) qui étaient devenues une véritable armée parallèle et il en profita pour liquider en même temps les représentants les plus en vue de la gauche du Parti, dont Gregor Strasser. A partir de cette grande purge, le "socialisme" des nazis n’était  plus qu’un mot.

    15 mars 2008 à 17 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    Jaures

    Que vous le vouliez oui ou non les nazis étaient des socialistes même si cela vous choque KOMRAD!

    15 mars 2008 à 16 h 13 min
  • Gérard Pierre Répondre

    LIBERTE D’ OPINION : L’ AUTRE REGRESSION FRANCAISE

    Titre tout à fait emblématique de l’état actuelle de l’autocensure pratiquée par une opinion marxisée de façon larvée. J’invite les lecteurs des 4 vérités à lire NICOLAS GOMEZ DAVILA, écrivain colombien né en 1913 et décédé en 1994, mal connu de nos médias gourmandes de littérature sud américaine lorsqu’elle est de gauche bien sûr.

    Quelques citations de cet auteur, histoire de vous mettre l’eau à la bouche :

    * Les journalistes sont les courtisans de la plèbe.

    * La Vérité n’est pas relative. Ce sont les opinions sur la Vérité qui sont relatives.

    * Les idéologies ont été inventées pour que celui qui ne pense pas puisse donner son opinion.

    * Le progrès se réduit finalement à voler à l’homme ce qui l’ennoblit, pour lui vendre au rabais ce qui l’avilit.

    * Celui qui réclame l’égalité des chances finit par éxiger que l’on pénalise celui qui est doué.

    * Les gens de gauche ne sont pas les représentants des pauvres mais les délégués des idées pauvres.

       Vous comprenez pourquoi on ne parlera pas de lui au salon du livre, …… en France ! …… Avouez franchement qu’en quelques citations il vous donne envie de le lire.

       POUR LUTTER CONTRE LA REGRESSION FRANCAISE,  LISEZ NICOLAS GOMEZ DAVILA .

    15 mars 2008 à 14 h 40 min
  • sas Répondre

    A jaures…….les choses étant ce qu’elles sont……et la nature ayant horreur du vide…..à un moment ou un autre , quelque soit les forces au pouvoir (même maléfiques…..fils du diable) ,je crains fort que pour stopper czette chute libre suicidaire (depuis 1789 et boosté en 68) il n’y ait une formidable purge……qui laisseront pol pot et ses copains……au rang d’amateurs du dimanche….

    ET VU LA LISTE QUE TU NOUS A SERVI…….je vois que toi aussi tu as une idée très claire des noyaux cancéreux à extraire du corps social….

    que le GADLU nous entende….et nous exhause

    sas

    15 mars 2008 à 14 h 23 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    À Mr.Jaurès,

    vous avez une conception très spéciale des mots et votre esprit est plutôt compliqué. Je pense que l’intox a passé par là. Mais bon, c’est la vie. Marx dirait à chacun selon ses facultés.

    Au temps de la DDR le mot national-socialiste était proscrit par le SED, parti unique en place. On lui préférait le mot nazi.  Je vous laisse deviner pourquoi.

    De plus Mao dirait peu importe la couleur du chat l’essentiel c’est qu’il élimine les souris. Ici les souris représentaient tous ceux qui n’étaient pas dans la pensée unique du moment. Coloristiquement parlant le brun est une variante du rouge, le saviez-vous?

    Le socialisme est tellement contraire au naturel humain qu’ il faut fabriquer un être humain génétiquement modifié pour qu’il soit applicable.

    Mr.Jaures détruisez ce mur qui bloque votre vue sur la réalité et cessez de jouer à l’avocat du diable.

     

    15 mars 2008 à 12 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    Plutôt d’accord avec vous Jaurès -une fois n’est pas coutume-, pour condamner ce qui n’est rien d’autre que du négationisme nazifiant.
    Cependant, n’oublions tout de même pas l’origine de l’internationale socialiste et la nature fondamentale de la gauche, toutes obédiences confondues, qui fait bon marché d’autres victimes, se atteignant plus de la centaine de millions celles-là
    Et à par ça, s’il ne peut être tué davantage de victimes qu’il n’en existe de potentielles, il en est de même pour les pauvres. Les socialistes n’en feront pas davantage qu’il y a d’hommes sur terre, même s’ils en inventent sans vergogne de nouveaux, chaque jour et à la moindre occasion, pour servir leur idéologie pleurnicharde. Je l’ai dit ailleurs et je ne suis pas le seul : les pauvres sont le fonds de commerce de la gauche et il importe donc qu’elle l’entretienne et le développe si besoin. La preuve en est que jamais la pauvreté –heureusement plus relative qu’absolue- n’a cessée de croître en France, depuis la glorieuse année 1981, alors que tous s’accordent pour constater son (trop lent) recul dans le monde..
    C’est probablement pour cette raison que la liberté d’opinion conduit aujourd’hui la gauche, à l’occasion d’élections dans lesquels ces questions n’ont rien à faire, à invoquer de manière éhontée la baisse d’un pouvoir d’achat dont les conditions d’appréciation sont totalement faussées, ou à faire un procès d’intention à qui de droit quant à un prétendu plan de rigueur qui n’a pas besoin d’être instauré par qui que ce soit, nous étant imposé par une situation qu’elle a largement contribué à créer (cf. 35 heures et autres mesures d’égalitarisme par le bas).
    La liberté d’opinion est certes une noble cause, à condition de ne rien consentir au mensonge, qu’il relève de la négation des faits dès lors qu’ils dérangent, du procès d’intention, de l’incitation à la haine ou de toute autre forme de manipulation.

    15 mars 2008 à 9 h 07 min
  • Jaures Répondre

    A wanadoo.fr: Post attendu. Les millions de morts ne pèsent pas le même poids selon votre idéologie. Je vous laisse vous en arranger. Dire que les nazis étaient socialistes sous prétexte que le mot socialiste décorait le nom de leur parti est aussi ridicule que si je disait que le front national est fasciste parce que National figurait au nom de ce même parti. Les idéologies nationales et socialistes étaient, à l’époque, les plus courues et donc accolées au nom du parti nazi par pur opportunisme.
    Les tyran n’utilisent l’idéologie que comme prétexte, selon leur propre utilité. Il lui suffit de désigner celui qui le gène comme race inférieure, bourgeois, infidèle, mécréant ou terroriste pour justifier ses exactions.
    Le nombre de victimes sera alors affaire de circonstance: on ne peut tuer plus de victimes qu’il n’en existe de potentielles.

    14 mars 2008 à 21 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    Sauf provocation, Je ne saisis pas les raisons pour lesquelles il est fait mention, par Alain Dumait, de l’appartenance aux Waffen SS de son maître es journalisme, mais je n’y trouve aucune raison particulière de l’évoquer pour ouvrir un débat sur la liberté d’opinion, si ce n’est par défaut.
    S’il a été de l’opinion de ce monsieur de s’enrôler sous la croix gammée, il ne faudrait tout de même pas oublier le sort que faisaient les nazis à ladite liberté d’opinion.

    14 mars 2008 à 21 h 22 min
  • no.second.to Répondre

    Jaures

    Vous avez entiérement raison, 450 millions d’ amérindiens + 600 ou 700 millions de pauvres noirs déportés de leur terre magnifique qu’est l’ Afrique et qu’ ensuite les blancs sont venus kolonisés et massacrer les millions de pauvres africains restés dans cet eden qui ne connaissait que le bonheur et la joie.

    Cela vous convient cher "rose bonbon"  pour votre vision du monde selon Jaures.

    Oncques ne faillit

    14 mars 2008 à 21 h 04 min
  • Anonyme Répondre

     

    <<Même le stalinisme deviendra négligeable si on lui compare celui des victimes de la colonisation de l’ Amérique: 450 millions de morts (remarquable si l’on se souvient que l’on était alors dépourvu d’artillerie lourde).>>

    Ce chiffre est totalement farfelu, il faut être totalement fou pour faire une affirmation pareille. Il y a certes eu des massacres au cours de la colonisation des 2 Amériques, mais jamais de cet ordre de grandeur. De plus la plupart des victimes a succombé aux maladies importées par les nouveaux arrivants et contre lesquelles leur système immunitaire était mal armé.

    Parlons donc plutôt des méfaits du socialisme et de ses dérivés qui eux sont plus récents et dont les traces de sang encore toutes fraiches sont très bien répertoriées.

    Le communisme dont la réputation de brutalité et d’inhumanité est internationnalement reconnue bat certainement le record mondial dans cette spécialité. Les statistiques ne sont malheureusement pas encore closes, attendons de voir ce qui va se passer au Thibet…

    Et quoiqu’on en dise  le "Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei (NSDAP)"  ou parti national socialiste des ouvriers allemands était bien un parti ouvrier donc de gauche avec le mot socialiste bien en vue dans le sinistre sigle. Un parti de droite n’aurait jamais fait les conneries du peintre en bâtiment s’appelant  Adolf Hitler.

    Va-t’on enfin jeter le socialisme, qui a failli partout où il a été implémenté, dans la poubelle de l’histoire et laisser les gens vivre en paix?

    14 mars 2008 à 15 h 25 min
  • Jaures Répondre

    A messieurs les relativistes de l’inhumanité, que sont, au regard des chiffres que vous allignez les 3000 victimes des attentats du 11 septembre: un nombre négligeable, cet attentat ne fut donc "pas particulièrement inhumain". Qu’est-ce que la shoah relativement aux victimes de la faim dans le monde ? Un pécadille ! Même le stalinisme deviendra négligeable si on lui compare celui des victimes de la colonisation de l’Amérique: 450 millions de morts (remarquable si l’on se souvient que l’on était alors dépourvu d’artillerie lourde).

    Bref, rien de plus facile de justifier un massacre par un autre encore plus atroce. L’inhumanité n’est pas une question de nombre mais de nécessité pour le tyran (si Pinochet avait dû assassiner 100 000 personnes, il ne se serait pas arrété à quelques milliers) ou de ses capacités (si Hitler en avait eu les moyens, il eût sans hésiter massacré tous les juifs, communistes, tsiganes de France).

    Enfin, cher EIFF, c’est sur ce forum que j’entends le plus parler de purges: enseignants, juges, syndicalistes, fonctionnaires, immigrés, … Gageons que si le destin des ces populations étaient entre les mains des intervenants de ce site, les génocides les plus noirs feraient soudain piètre figure.

    13 mars 2008 à 15 h 06 min
  • sas Répondre

    A jaures le démocrate opportuniste…..JM LEPEN vient encore d’être condamné par nos juges décérébrés et pleutres….qu a t – i l dit ?

    ……aujourd hui les musulmans sont 5 millions en France , dès qu’ils seront 25 millions , il nous faudra descendre des trotoires et baisser les yeux……sous risque de nous faire avoiner…..et c’est déjà le cas en fait…..

    ……et bien pour cette vérité évidente : 10 000 euros d amende et 6 mois avec sursit…

    j’ai honte de la france et des gaulois actuels….. a quand de juger ces juges…????? et leutrs commanditaires maçonniques…

    sas

    13 mars 2008 à 13 h 28 min
  • Frank Répondre

    L’extrême-droite est totalement hostile à la liberté de la presse et chaque fois qu’elle l’a pu, elle l’a supprimée. Arrêtez de jouer les victimes.

    L’extrême-droite n’a rien à envier aux communistes sur ce point.

    13 mars 2008 à 12 h 57 min
  • EIFF Répondre

    A Jaurés.

    150 millions de morts victimes du socialisme et du communisme, des élus et des militants  "républicains" qui se réclament aujourd’hui encore de cette idéologie macabre et génocidaire, ça ne vous fait pas honte ? ça ne vous effraie pas un tout petit peu quand même ? …..Souvenez-vous d’Adolf Eichmann, un des planificateurs de la soluton finale, lors de son procés il avait subitement perdu la mémoire et ne manifesta jamais aucun regret ….un peu comme nos néo-communistes réformateurs secrétement nostalgiques des grandes purges et des goulags qui osent se présenter devant le suffrage et qui pratiquent le négationnisme à tous les niveaux pour cacher aux jeunes générations les tragédies et les horreurs monstres du socialo-communisme.

    13 mars 2008 à 12 h 02 min
  • R. Ed. Répondre

    @ Joresse:

    Pour ajouter " au " livre de votre bibliothèque, quelques chiffres …

    Pologne, habitants en 1940, 30 millions – nombre de morts (pratiquement que des civils), 6 millions. Soit 1/5, un vingtième de la population.

    Pays-Bas ( Hollande …) 8,8 millions à la même époque – nombre de morts (presque tous civils) 220000. Soit 1/40

    France : 41 millions – nombre de morts ( 80 % de MILITAIRES)  535000., soit 1/80. ce qui donne pour les civils, 1/400.

    Donc, quand Jean-Marie Le Pen affirme que la population civile française n’a pas "particulièrement souffert pendant la seconde guerre mondiale, il n’a pas tort.

    Il y a une différence visible entre 1/5 et 1/400. C’en est presque indécent d’oser se placer en principale victime.

    Les Allemands, à la débâcle, ont détruit d’énormes quantités de dossiers ( de dénonciation entre-autres) en quittant la France. Pour pouvoir faciliter la réconciliation qui devait suivre logiquement.

    D’ailleurs ceux-ci ont cru que la population française en 1945 était de 80 millions, Les 40 millions de collaborateurs et les 40 millions de résistants (de la dernière heure)

    La résistance, en France, c’était 3 % de la population. Les autres …ont fait "avec".

    13 mars 2008 à 11 h 34 min
  • dagmar Répondre

    Monsieur Dumait

    je vous remercie pour votre courrage extraordinaire de défendre le FRont National. Je m’explique:

    1. Les deux mouvement aux quels JMLP est sans cesse assimilé, à savoir le fascisme italien et national socialisme allemand étaient les formations politiques de GAUCHE. Le terme "extrême droite" leur a été, progressivement, collé après la querre pour que  la gauche internationale=communisme se distingue du fascisme+national socialisme.

    2. Le FN n’est pas la gauche, il s’agit de la droite nationale, qui fait partie légitime de la famille droite avac son courrant libéral et national.

    3.Mais pourquoi diable cette assimilation du FN avec les deux gauches citées? Cette question m’a longtemps torturé la tête. J’ai trouvé la réponse, après avoir lu beaucoup de livres des auteurs prohibés, entre autre gén Aussaress, et  je trouve ma réponse juste.

     Le FN était une seule formation politique en France qui tennait la tête au communisme. Le seul  denoncait les crimes du communisme…souvnez vous une minute de silence exigée pas JMLP (je ne me souviens plus la date et je suis à mon cabinet, je ne peux pas faire les recherches) en honneur des victimes du communisme. Après la guerre, les communistes en France se sont  bien instalés avec appuis de de Gaulle, qui a même instalé au gouvernement Thorez, deserteur, refugié au SSSR,   le communiste le plus dur. Ma belle mère, qui a fait pluisieurs capms de concentrations y compris Auchwitz, où elle s’est lié d’amitié avec les compagnons  français, encore aujourd’hui ( a son age)le cite comme un monstre. La France d’après la guerre a pris direction l’Union sovietique. JMLP est donc devenu une bête à abbatre et à faire taire car il gênait par sa franchise.

    3. en 19898 le mur de Berlin tombe. Nous, les habitants des pays de l’est, nous sommes remplis de joie et de reconnaisence à Lech Walesa, Vaclav Havel et les USA sont pour nous symbol de la liberté tant convoitée. Mais en France c’est la stupeur. Le communisme était découvert et nomé comme une monstruosité égal Hitler. Qoui faire pour sauver la face???? La diabolisation du seul denonciateur du communisme, JMLP, est à son apogée….c’est l’affaire Carpentrasse sous la direction de chef d’orchestre Joxe

    La France s’enfonce de plus en plus dans les mensonges sur  le communisme, 20 après on en parle même pas et si parfois, on ne dit pas le communisme, mais en parlant de la Russie, on dit "l’ancien système". Et pour se donner la bonne concience, la France intoxique progressivement la pensée européene avec une reussite, il faut le dire. En France Le communisme est devenu génétiquemet transmissible. Nous avons subi le communisme car nous avions les mitraillets sur la nuque, mais la France, prétendue libre, elle l’ai choisi.

    J’ai beaucoup de respect pour JMLP, il faut avoir les applombs solides.

    Pour ce qui concerne des pays martyrs, c’est la Pologne qui tiens la tête de liste. Déchictée en deux  par Hitler d’un côté et Stalin de l’autre dans le cadre du pact germano-sovietique. qui portait justement sur le partage de la pologne.

    12 mars 2008 à 18 h 04 min
  • Ben Répondre

    L’analphabétisme nous sauverait de la propagande gauchiste si la presse écrite était la seule. Mais il y a aussi la presse télévisuelle et radiophonique, plus le bouche-à-oreille. On peut se faire lessiver la cervelle sans savoir bien lire. Les ennemis de la liberté de pensée et d’expression se font réélire; je ne crois pas que ce soit par volonté de la majorité. Les élections sont depuis quelques décennies un simulacre. Les gens dépendent tant de l’état pour divers subsides que même un épouvantail badigeonné d’anthrax serait réélu, du moment qu’il refile une alloc à quelqu’un.

     L’effort gauchiste pour étouffer la libre pensée prouve qu’elle existe encore, car elle est instinctive. Si la contestation ne demeurait plus, l’état devrait-il encore la museler? Elle existe beaucoup plus largement que le pessimisme le fait croire. Elle couve, l’ampleur de l’attaque contre elle prouve l’épouvante qu’elle cause aux gauchistes. S’ils la craignent, elle les contrôle. Il suffirait de beaucoup moins que vous le supposez pour abolir ces froussards. Si des pensées les effraient, quelles mauviettes sont-ils?

    12 mars 2008 à 16 h 52 min
  • Louis Loaec Répondre

    A ce propos ,il serait judicieux de faire connaitre un petit opuscule "Instructions for British Serviceman in France" joint au paquetage du soldat anglais en partance pour  le débarquement du 6 juin 1944 qui lui demandait d’être poli avec les Français  et les Françaises parce que les allemands l’avaient été avant eux….C”était pendant la guerre et les réalités ne sont pas niées…Bodleian Library,university of Oxford.

    12 mars 2008 à 15 h 54 min
  • Jaures Répondre

    80 000 juifs déportés, 30 000 otages fusillés: l’occupation allemande ne fut pas, en dehors de cela, particulièrement inhumaine. On sait que plus de 200 000 juifs ont été sauvés par le courage d’anonymes de toutes obédiences politiques ou religieuses sans lesquels le bilan eut été plus navrant.

    Les propos de J.M. Le Pen, du "point de détail" à ceux auquels l’article fait allusion ont toujours eu pour cible la frange anti-sémite de la population française (rappelons qu’il y eut en France plus de lettres de dénonciation entre 1940 et 1944 que d’habitants). Que ceux qui défendent de telles "idées" ne profitent pas de tribunes sur nos services publics me parait la moindre des choses.

    12 mars 2008 à 13 h 14 min
  • SAS Répondre

    Le comble…c’est que nous sommes dans la patrie des droits de l homme et autres lumières…..ou est celui qui déclarait la main sur le coeur "……Monsieur j’irais jusqu’à mourrir pour faire entendre la voix de mon contradicteur……"

    la révoluiton française etait un gadget et un outil pour d’autres fins…..ses principes ont vécus…

    sas

    12 mars 2008 à 13 h 14 min
  • R. Ed. Répondre

    La justice ne s’attaque qu’à ceux qui peuvent payer.

    L’automobiliste, par exemple, avec des exeptions, quand-même, s’il s’agit de CPF au volant de grosses cylindrées.

    Les centaines de milliers, ou plutôt les quelques millions de clandestins qui se trouvent en France, eux, ne doivent rien payer, au contraire, ils reçoivent de l’argent.

    La clandestinité, encore appelée la sans-papeterie est un délit, passible de la correctionnelle. Dans ce pays, on poursuit les contrevenants et on absout les délictueux.

    On marche à côté de ses pompes

    Une voiture légèrement mal garée, on l’enlève à grands frais, deux cents culs levés qui bloquent la circulation pendant vingt minutes, plusieurs fois par jour, là, c’est normal, pas de sanctions.

    On marche sur la tête.

    Un jeune homme, Daniel Lajoye, pose un pétard mouillé dans un café africain, ne tue ni ne blesse personne. Prison à vie. Encore heureux pour lui, si on peut dire, que la veuve ne soit plus en service, il eut perdu la tête assûrement.

    Pendant ce temps, on relâche des tueurs et des assassins qui s’empressent de recommencer.

    Le monde à l’envers.

    12 mars 2008 à 12 h 16 min
  • MAGNE Répondre

    Bonjour . On ne peut comprendre ces jugements sans les situer dans une perspective de persécution permanente, qui en est arrivée à poursuivre, au-delà de l’expression des opinions, les non-dits qu’ils soupçonnent.

    Je crois que tout le monde se moque de ce que pense un tel ou un tel . Les écrivains , journalistes , cinéastes , acteurs de cinéma etc… travaillent d’arrache – pied pour façonner leur opinion .

    Quand serait – il  ,s’ils venaient à admettre dans leurs rangs des gens qui ne pensent pas comme eux .

    Il faudrait partager les bénéfices avec d’autres , ce qui paraÏt inimaginable à un esprit sain et logique .

    Même les poules , dans les poulalliers  reconnaissent une hiérarchie . Les plus fortes mangent à tous les "rateliers " , les plus faibles en bas, sous peine de recevoir des coups de bec sur la tête .

    Seule la Loi du plus fort reste est et restera valable . Même la force prime le droit .

    Bien cordialement . MAGNE

    12 mars 2008 à 12 h 03 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Alain Dumait a tout dit.

    Ce qui est alarmant est que la France soit réputée être un pays de "fortes têtes" et de gens peu gouvernables, soit-disant prompts à secouer le joug de la tyrannie.

    En fait la majorité est en bonne adéquation avec la situation dénoncée ici, laquelle perdure au delà du collectivement excusable. 

    12 mars 2008 à 2 h 35 min
  • Florin Répondre

    La liberté de la presse n’existe plus … mais bon, vu le nombre réduit de lecteurs … et celui, en constante augmentation, des analphabètes de tout poil … la perte est vraiment minime …

    12 mars 2008 à 1 h 44 min

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