L’extrême gauche terroriste

L’extrême gauche terroriste

Un rassemblement autour d’Éric Zemmour à Nantes, le 30 octobre, a fait l’objet de violentes attaques de la part des « Antifas » – aux cris de « Zemmour à mort », « À mort les flics », ou encore « À mort les fachos ».

Selon les observateurs, il y avait là 300 à 400 casseurs d’extrême gauche.

Grâce aux forces de l’ordre, il n’y a pas eu, à ma connaissance, de blessé, mais les dégâts sont importants.

Le Premier ministre slovène Janez Janša (qui préside en ce moment le conseil de l’Union européenne) a très justement commenté l’événement sur Twitter : « Le mouvement Antifa est une organisation terroriste mondiale soutenue par le capital des spéculateurs financiers qui profitent du chaos provoqué par ses actions. » (La traduction est du « Visegrad Post ».)

Les relations entre des milliadaires comme George Soros et les casseurs d’extrême gauche, actifs partout dans le monde, sont en effet bien connues.

J’ignore si Soros finance directement les Antifa, mais il a dit lui-même avoir financé les Black Lives Matter, milice qui a beaucoup contribué aux émeutes raciales de l’autre côté de l’Atlantique après la mort de George Floyd.

En toute hypothèse, peu importe l’organisation ou le label de tel ou tel.

L’important, c’est qu’une nébuleuse violente se réclamant de l’anarchisme ou de l’ultra-gauche sévit depuis des années – dans l’indifférence totale, sinon la complicité, des pouvoirs publics.
Cependant, je vois au moins deux signes d’espoir.

Le premier, c’est que de plus en plus de chefs d’État ou de gouvernement désignent ces casseurs pour ce qu’ils sont : des terroristes – et, naturellement, leur appliquent la législation anti-terroriste, également utilisée contre les islamistes radicaux.

Nous venons de voir la déclaration du Premier ministre slovène, mais Donald Trump avait, lui aussi, désigné cette mouvance comme une organisation terroriste.

Le deuxième signe d’espoir, c’est que la mémoire revient à la faveur de ces violences.

Éric Zemmour a twitté après ces violences : « Nous savons qui était Joseph Staline, nous connaissons les centaines de milliers de morts qu’il a causées, ces personnes ne sont que ses lointains descendants. »

Pouvons-nous enfin espérer une sérieuse condamnation historique des crimes du communisme ?

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