Logement social et préférence étrangère

Logement social et préférence étrangère

Alors que certaines officines d’extrême gauche cherchent à censurer ceux qui défendent la priorité nationale, principe fondamental rattaché à la notion de citoyenneté, les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur révèlent la surreprésentation des immigrés dans les logements sociaux.

En effet, une étude de l’Insee sur la répartition des ménages selon leur origine et le statut d’occupation de leur logement pour l’année 2017 précise que :

– 50 % des immigrés algériens, 45 % des marocains, 38 % des tunisiens et 48 % des immigrés issus d’autres pays d’Afrique, occupent une habitation du parc social.

– Pour l’année 2016, 31 % des ménages dont la personne de référence est née à l’étranger bénéficiaient d’un logement social, contre seulement 14 % des ménages dont la personne de référence est née en France.

Aujourd’hui, les critères d’attribution d’un HLM favorisent indiscutablement les familles étrangères au détriment des familles françaises, dont beaucoup désespèrent d’être reléguées sur d’interminables listes d’attente avec pour conséquence une aggravation de leurs conditions de vie.

Cette inégalité est inacceptable, au moment où l’effort public pour le logement n’a jamais été aussi faible, où la production HLM est en baisse depuis 2018, où notre pays compte 4,1 millions de personnes mal-logées selon le dernier rapport de la fondation Abbé Pierre et où l’Insee recense 13 millions de Français en dessous du seuil de pauvreté pour l’année 2019.

La priorité nationale consiste à donner d’abord un toit à chaque membre de la famille France en supprimant notamment le droit au logement quasi automatique pour les étrangers légaux et a fortiori pour les clandestins.

Bilde Bruno

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