Qui sont les vrais racistes ?

Qui sont les vrais racistes ?

Qui sont vraiment les racistes ? Depuis des décennies, le mouvement antiraciste et, d’une façon plus générale, le politiquement correct répandu par les médias a une réponse bien simple à cette question : c’est « l’extrême droite », ceux qui n’acceptent pas « la diversité », qui ont « peur de l’autre », les « identitaires », etc.

En conséquence, ils ont lutté contre cette menace, avec le peu de succès que l’on sait, la population française acceptant de moins en moins facilement l’immigration incontrôlée qu’elle subit et ne se laissant plus impressionner par les accusations de racisme.

Quelques observations devraient remettre en question cette bonne conscience, majoritairement de gauche, sur la question du racisme.

Un policier excédé vivant dans une résidence de banlieue me disait qu’il avait reçu la directive verbale de ne pas poursuivre un jeune faisant de la moto sans casque dans les quartiers sensibles, de peur des réactions des « jeunes » du quartier.

Et il s’agissait clairement de directives venant de sa hiérarchie. Même si elles sont souvent transmises de façon discrète, il arrive qu’elles le soient de façon plus publique.

Ainsi, faisant allusion aux rodéos à moto qui empoisonnent la vie des braves gens de certains quartiers, Jean-Paul Pec­quet, directeur territorial de la sécurité des Hauts-de-Seine, a lancé un appel aux policiers et gendarmes, au micro de France Bleu : « Nous appelons nos policiers à ne pas créer un incident dont le trouble pourrait être supérieur au trouble initial. »

Une façon de dire qu’il ne s’agit pas de faire respecter la loi, mais d’éviter des troubles.

Ce genre de conseil a des implications très graves. En n’appliquant que rarement aux jeunes dans certains quartiers la loi sur le port du casque, mais en l’appliquant strictement pour les jeunes de Versailles ou des beaux quartiers de l’ouest parisien, on peut dire que l’on montre plus de considération pour la vie et la santé des derniers que pour celles des premiers – et donc que cette application différenciée de la loi est une forme de racisme.

On pourrait parler du laxisme des juges. Ainsi, quand on ne punit pas sévèrement des jeunes qui s’attaquent aux forces de l’ordre, aux médecins urgentistes ou aux pompiers, et bien sûr aux forces de police, cela amène les pharmacies, cabinets médicaux et supérettes à les quitter.

Qui en subit les conséquences, sinon les victimes de malaise cardiaque ou autres, les blessés ou victimes collatérales en cas d’échauffourées habitant dans ces quartiers ou cités ?

Au final, la santé des personnes vivant dans ces quartiers est moins bien protégée, à cause d’une idéologie de l’excuse empêchant de condamner lourdement, comme l’indique la loi, des jeunes s’attaquant aux représentants de l’État.

De nouveau, on peut parler de racisme à l’égard des populations largement d’origine étrangère dans ces quartiers, car on ne se donne pas les moyens de leur assurer le même niveau de protection contre les délinquants que dans des quartiers plus favorisés.

On pourrait multiplier ce genre d’exemples qui ont tous en commun que, sous prétexte « d’acheter la paix sociale » ou éviter qu’une situation se dégrade, on la laisse pourrir.
Cette différence dans l’action des représentants de l’État selon les zones géographiques ou les populations s’apparente à ce que l’on appelait, il y a quelque temps, en Afrique du Sud, une politique d’apartheid, c’est-à-dire une application différenciée de la loi pour les jeunes des « cités » et ceux des beaux quartiers.

Alors, qui sont les vrais racistes ? Les Français de souche excédés qui vivent encore dans ces quartiers et qui, le soir, doivent parfois montrer patte blanche à un « guetteur » en bas de leur HLM, ou ces hauts fonctionnaires, juges laxistes, ou « intellectuels » de gauche prétentieux qui, même dans leurs pires cauchemars, n’oseraient imaginer que leurs enfants aillent étudier dans un lycée ou un collège de ZEP de banlieue, où la part d’élèves issus de l’immigration de première ou deuxième génération peut atteindre les 50 % dans certaines classes – ce qui ne les empêche pas de pérorer sur le racisme des Français qui ont des idées trop à droite pour leur goût ?

Qui est responsable de la situation actuelle ? Un Jean-Marie Le Pen qui, depuis des décennies, dénonce, contre vents et marées, l’immigration incontrôlée ou ceux qui ont organisé ou laissé faire cette immigration incontrôlée ?

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Comments (18)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Oyez, oyez braves gens…
    LE PASSAGE PIÉTON LGBT : LA GRANDE INNOVATION DE PÉRIGUEUX

    Le vénéré passage est situé au pied de l’arbre de la liberté. Après installation d’un lampadaire de la tolérance, d’une bouche à incendie de l’antiracisme et d’un feu rouge du vivre ensemble, la ville de Périgueux devrait aller mieux.

    Voir article complet sur “bvoltaire.com”.

    Avis aux racistes, les pompiers de Périgueux ont muni les bouches à incendies de détecteurs spéciaux.
    Dès qu’un raciste passera à proximité un sprinkler se mettra en route automatiquement et le barbouillera d’encre brune.

    Le “vivrensemble” s’arrêtera suivant les règles du code de la route au feu rouge, qu’on se le dise.
    Le refus de marquer l’arrêt sera bien sûr pénalisé, -10 points au permis de bonne conduite ainsi qu’une amende de € 5000.- payable sur place.
    La police y veillera.

    19 mai 2018 à 11 h 15 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    Anthony Pondaven , voleur de voitures , et fiché ” S ” pour appartenance au … ” mouvement indépendantiste breton ” est hyper activement recherché par toutes les polices après son évasion spectaculaire qui une fois encore a mis en lumière les failles béantes de la surveillance en milieu carcéral … je lui souhaite bon vent

    16 mai 2018 à 14 h 54 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Pour une fois un fiché S non islamique.
      On pourrait lui faire une fleur et le laisser tranquille, non?

      16 mai 2018 à 16 h 37 min
      • BRENUS Répondre

        Sauf que le “non islamique breton” s’est en fait converti a l’islam en taule et l’a fait savoir. Désormais les bretons n’auront pas que des chapeaux ronds mais aussi des cheichias!

        17 mai 2018 à 0 h 03 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Chic, c’est bien parti pour le califat breton.
          À défaut d’avoir la pierre noire ils auront déjà les Montagnes Noires.
          Un imam un peu futé saura les transformer en lieu de pélerinage international.
          Plein d’emplois d’avenir en perspective.
          Dommage que Macron ait décidé d’arrêter la construction de l’aéroport international de NDDL.

          17 mai 2018 à 9 h 39 min
          • quinctius cincinnatus

            oui mais un désastre pour l’ élevage … porcin et plus de ces délicates odeurs de lisier dans la campagne bretonne et … l’ andouille y avez seulement pensé ?

            17 mai 2018 à 12 h 32 min
          • HansImSchnoggeLoch

            On y élevera du domadaire et du chameau, animaux beaucoup plus sympathiques que les porcs.
            Pensez donc Mme Michu que le “#balancetonporc si grosier sera remplacé par un #balancetonchameau beaucoup plus raffiné.

            Le problème des portiques bretons fera partie de l’histoire et les caravanes feront un gros pied de nez aux convois de camions.
            Les zadistes pourront quitter NDDL et dirigeront ces caravanes.

            Que du progrès en vue, France will be back!

            17 mai 2018 à 13 h 15 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” l’ équipe d’ escort médical n’ a qu’ un gilet par-balles et un … sifflet dans sa poche *** ”

          nous apprend le syndicat pénitencier

          ce qui me renvoie à mon dernier adage … alsacien

          ” c’ est un Français , le meilleur ne vaut rien ”

          et surtout n’ oubliez pas, vous qui êtes si orgueilleux d’ être français : … vivez heureux

          *** pour siffler la fin de la récréation

          17 mai 2018 à 14 h 53 min
  • HOMERE Répondre

    Recette du racisme :
    Prenez une tranche de pays tiers,
    Délayer dans un jus de poires pressées dans une sauce blanche,
    Trempez la tranche de pays tiers dans la préparation précédente,
    Lorsque la tranche a absorbé le jus et la sauce,vous pouvez servir sans retenue !
    Au cas où vous ne pourriez pas servir vous même,vos invités s’en chargeront…!

    15 mai 2018 à 16 h 09 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” qui sont les vrais racistes ? ”

    ” où sont les vrais racistes ? ”

    ” que font les vrais racistes ? ”

    que de bonnes questions !

    15 mai 2018 à 15 h 04 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Réponses

      a) qui sont les vrais racistes ? Ce sont celles et ceux qui ont comme occupation principale le racisme
      b) où sont les vrais racistes ? Ils sont partout, on en a même trouvé des traces sur Mars.
      c) que font les vrais racistes ? Ils pratiquent le racisme à grande échelle.

      17 mai 2018 à 10 h 32 min
  • diego48 Répondre

    La lâcheté, le dogmatisme, les compromissions font que nos responsables (nombreux) laissent faire et que la justice n’a que peu de chance d’être appliquée contre ces “incivilités”

    15 mai 2018 à 14 h 39 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Je pensais que le mot “race” était tabou et aboli en français.
    Mais il nous revient sous la forme de racisme.
    Certainement un néologisme ayant comme racine le mot anglais race = course,.
    Il s’agirait donc de coursisme, j’avoue être perplexe.
    Les coursistes seraient donc celles et ceux qui pratiquent le racisme.
    Il faudra d’urgence inclure cette discipline aux prochains jeux olympiques.

    15 mai 2018 à 12 h 55 min
    • Bernard Mitjavile Répondre

      Commentaire amusant mais c’est vrai qu’il y a une contradiction profonde entre vouloir abolir le mot race et poursuivre sans arrêt des gens au nom du “racisme”, poursuites bien souvent effectuées par des organisations “antiracistes”. Il faudrait savoir ce que l’on veut, ou on abolit le mot race et le racisme n’est plus qu’une forme de préjugée ou une maladie mentale ou c’est une réalité et les races sont réelles. En tout cas être antiraciste est absurde si les races n’existent pas. Il faut dire que le politiquement correct n’en est pas à une contradiction près.

      15 mai 2018 à 14 h 20 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Oui nous sommes en pleine époque de “novlangue”.
        Celle-ci a comme particularité de ne pas s’encombrer des contradictions.
        Elle épouse fidèlement tout ce qu’Orwell a pu imaginer et dans certains cas elle le dépasse même.
        Le ministère de “l’Éducation orientée” y veille activement.
        Faites lui confiance.

        16 mai 2018 à 9 h 54 min
  • BRENUS Répondre

    Reponse à la question : les “responsables” sont en premier lieu sont ceux qui se qualifient eux-memes de racisés ( rakaya poiro et autres). Alors que nous, fromages blancs, n’en n’avons rien a foutre. Par contre, ce que ces cons veulent ignorer ( ou sont trop limite pour seulement y réfléchir) c’est qu’ils ne peuvent subsister en France que grace aux dits fromages blancs. Il n’est que de constater le bordel, la pourriture et j’en passe de leurs bleds d’origine pour comprendre. Du moment où nous (eux) seront tous racisés, leur survie dans nos contrées sera comptée. L’Europe n’est pas une région où il suffit de foutre un morceau de manioc en grattant la terre ou planter un rejet de bananier pour que ça pousse tout seul et s’en groinfrer. Allez voir ce que font les asiatiques, souvent partis économiquement de bien plus bas que l’afrique et où ils en sont (Corée par exemple) Il ne suffit pas de gueuler black is beautiful : si vous ne vous remuez pas le fion, la bouffe ne viendra pas toute seule. Meme après avoir consommé la production des “lavabos”.

    14 mai 2018 à 17 h 36 min
    • Bernard Mitjavile Répondre

      Concernant la différence d’intégration en France selon les origines, il y a un livre remarquable publié il y a déjà longtemps par Christian Jelen “La famille, secret de l’intégration” dans lequel ce sociologue montrait avec de nombreuses statistiques que la réussite relative des différentes communautés en France n’avait pas grand chose à voir avec leur situation économique de départ, les aides reçues de l’Etat mais beaucoup avec leur culture et le type de famille correspondant à chaque communauté. Ce qui est surprenant, c’est que dans la plupart des débats sur l’immigration ou le racisme, on n’ait pas tenu compte de ce genre d’études. Il faudrait citer plus récemment les travaux de Malika Sorel et d’autres.

      15 mai 2018 à 11 h 55 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        le faire serait … ” stigmatiser ” certains groupes sociologiques et / ou ethniques et cela ne saurait être moralement supportable … y avez vous seulement pensé ?

        16 mai 2018 à 14 h 57 min

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