Après le covid, le cauchemar postmoderne!

Après le covid, le cauchemar postmoderne!

Le dernier livre de Philippe de Villiers porte sur la gestion de la pandémie.

On pourra bien sûr le taxer de «complotisme» comme tous ceux qui ne bêlent pas avec la pensée unique. Mais ce livre mérite vraiment d’être lu.

Car, loin d’imaginer d’obscurs complots, l’auteur rend compte de textes et d’actes tout à fait publics qui font froid dans le dos sur la mégalomanie (et la détestation de l’être humain) de nos dirigeants.

Je n’insiste pas sur ces documents. La plupart étaient déjà connus, mais Philippe de Villiers les «met en musique», si je puis dire, avec son talent habituel – qu’il s’agisse du livre «Great reset» de Klaus Schwab, le directeur du forum de Davos, ou de la simulation de pandémie, quelques mois avant le covid.

Mais ce qu’apporte surtout Philippe de Villiers, c’est une réflexion sur l’idéologie dominante et sur notre propre condition humaine.

Tous, nous sentons confusément que la pandémie a été une «opportunité» pour ceux qui prétendent nous gouverner. Mais en quoi?

La première réponse tient à la construction de ce que l’auteur appelle une «société disciplinaire»: l’alliance de Big Tech et de Big Pharma, associée à la panique mondiale, a permis de faire accepter aux Occidentaux, avec une facilité déconcertante, la mise à mort de leurs dernières libertés et d’être traqués en permanence, jusque dans l’intimité de leur maison.

Le «modèle chinois», dont rêvaient à voix haute tant de politiciens et de journalistes français, est désormais une possibilité cauchemardesque : notre téléphone suffit à fournir à toutes sortes d’intrus (de Facebook à l’État) une masse gigantesque d’informations sur notre comportement.

Les communistes en avaient rêvé, la technologie l’a fait: la vie privée n’existe plus!

Mais la réponse que je trouve la plus originale et la plus stimulante est ailleurs.

Philippe de Villiers lie cette fantastique accélération du «flicage numérique» à l’obsession «sociétale» des dirigeants occidentaux.

Les post-soixantehuitards détestent la notion même de nature humaine.

Ils ne supportent pas l’idée que nous soyons limités par la mort, qu’un homme ne puisse pas ressentir l’intégralité des émotions d’une femme et inversement. Ils veulent donc faire en sorte que notre existence ne soit que le fruit de nos désirs du moment.

Cela nous emmène bien loin de la pandémie, direz-vous.

Pas tant que cela.

D’abord, ce sont les mêmes monopoles privés qui ont poussé à la numérisation, puis au flicage, et qui font la promotion active de tous les délires post-moderne!

Mais, surtout, ce «lobbying sociétal» est la seule façon de rendre compréhensible l’attitude apparemment incohérente de nos dirigeants pendant la pandémie: d’un côté, on mettait le monde entier sous cloche, officiellement pour protéger les personnes âgées, mais on laissait ces dernières mourir comme des chiens.

La seule explication, c’est que nos «post-humains» rêvent d’une humanité sans mort.

Oui, cette pandémie fut une «fenêtre d’opportunité» pour transformer nos sociétés en dystopies et fabriquer, comme tous les totalitaires et tous les révolutionnaires en ont rêvé, un «homme nouveau»!

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