Assassins binationaux

Assassins binationaux

La gendarme qui a été tuée n’a pas été victime d’un chauffard, comme je l’ai lu et entendu, mais d’un criminel qui a utilisé sa voiture comme une arme. Le chauffeur de bus tabassé à mort par deux passagers doublement contrevenants (ne portant pas de masque et ne disposant pas de titre de transport) n’a pas succombé suite à des coups portés accidentellement mais a été tué par des assassins motivés. Dans les deux événements, l’intention de tuer est présente. Face à ces problèmes (et bien d’autres), les pouvoirs publics envisagent seulement des actions palliatives. Enfermer les chauffeurs dans une cage en verre est un exemple révélateur de demi-mesure. On efface un symptôme sans s’attacher à la cause. Quels que soient les moyens mis en place, il restera toujours des situations à risque. Il faudra donc bien s’attaquer aux causes. Quelle est la cause visible en dénominateur commun dans les deux occurrences citées ? C’est la haine qualifiée pudiquement de « communautaire » par les médias et révélée par les prénoms de protagonistes, Yacine, Mohamed et encore Mohamed. Les Nord-Africains forment, hélas, les plus gros bataillons de la délinquance haineuse. Qui pourrait inverser cette réputation ? Les musulmans eux-mêmes – et seulement eux. Pour y parvenir, il leur faudrait accepter des choix clairs et faire à Rome comme les Romains. Ils en sont empêchés par une religion qui mêle inextricablement préceptes religieux et comportementaux. Transgresser ces derniers est un acte d’apostasie. Or certains sont d’une violence extrême. Mélanie et Philippe sont, en dernière analyse, les victimes innocentes d’une incurie politique qui, par couardise, refuse de renvoyer chez eux les binationaux criminels. Condamnés ici, ils devraient purger leurs peines là-bas – où les élargissements anticipés ne sont pas la règle.

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