Attentats et responsabilité des « élites »

Attentats et responsabilité des « élites »

Trois événements nous ont rappelé, coup sur coup, la tragique actualité de la guerre que l’islamisme mène contre notre civilisation occidentale.

Tout d’abord, la prise de Kaboul par les Talibans et l’échec colossal des États-Unis ;
puis l’ouverture du procès des attentats du 13 novembre 2015 ;
enfin le vingtième anniversaire des attentats du 11 septembre 2001.

Notre pensée se tourne d’abord vers les victimes civiles et militaires et leur famille et, bien sûr, ceux que je connais et n’oublierai jamais.

Mais elle se tourne également aussitôt vers des responsables politiques qui, dans le meilleur des cas, organisent des marches blanches et, dans le pire des cas, encouragent et financent l’islam radical.

Qu’est-ce qui a changé concrètement depuis 2015 ?

J’entends encore le Premier ministre socialiste de l’époque, M. Valls, déclarer en octobre 2015 :
« On ne fait pas le tri entre les migrants » et en novembre : « Des terroristes se sont glissés dans le flot des réfugiés » !

Et, maintenant, que fait le pouvoir ?

La même chose : il continue, il sait enfermer les Français mais est moins allant à contrôler les frontières.

Toutes ces victimes sont-elles mortes en vain ?

Allons-nous enfin nous réveiller et défendre ce que nous sommes et ce en quoi nous croyons ?

Certains nous haïssent.

Certains veulent applique la charia en France et, de fait, cela existe déjà …

Autant j’étais très réservé sur l’idée pour le moins curieuse d’apporter la démocratie à coups de bombes à l’Irak, l’Afghanistan ou la Libye, autant je ne vois aucune raison de nous repentir en permanence de notre histoire et de notre culture.

Oui, nous sommes heureux et fiers d’être les héritiers d’une grande civilisation ;
nous sommes heureux et fiers de notre esprit critique qui a nourri tant de génies.

Nous sommes chez nous en France et nous devrions pouvoir y vivre comme nous l’entendons.

Ceux à qui notre mode de vie ou nos valeurs ne plaisent pas peuvent s’en aller ;
nous ne les retenons pas !

En revanche, nous avons une furieuse envie de renvoyer avec eux ces politiciens qui, par démagogie, par idéologie ou par lâcheté, continuent à faire venir par millions sur notre sol des personnes qui veulent vivre selon leurs mœurs et leurs coutumes !

En 2019, le pouvoir macronien a laissé entrer légalement 460 000 personnes – chiffre qui ne comprend évidemment pas l’immigration illégale.

En 2018, un rapport parlementaire d’un député de la majorité écrivait que, dans le seul département de Seine Saint-Denis, « l’État ne savait pas à 100 000, 150 000 voire à 400 000 près le nombre de clandestins ».

La seule loi promulguée par Emmanuel Macron sur l’immigration en 2018 a contribué à élargir le regroupement familial … nourrissant les trafics des dits « mineurs isolés », fléaux de la police et d’innombrables victimes.

Et, pourtant, si nous voulions, nous pourrions redevenir ce pays de liberté et de sécurité.

En 2022, il faudra le vouloir !

Partager cette publication

Comments (2)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    Vozuti très bonne comparaison mais comparaison n’ est pas toujours raison

    3 octobre 2021 à 9 h 06 min
  • vozuti Répondre

    le plan de remplacement de la population française a été mis en oeuvre en 1975 avec la loi du regroupement familial chirac-giscard. après un demi siècle de repeuplement forcené, on ne peut que constater que ce plan a réussi.
    avec le recul, on se rend compte que la défaite définitive des français de souche a eu lieu en 2002 lorsque, face à lepen, chirac a obtenu 82% des suffrages pour valider sa politique d’immigration. n’écoutant que leur tv, les français se sont rendu sans combattre.
    20 ans après, les probabilités que les français reprennent un jour leur terre sont équivalentes aux probabilités que les indiens d’amérique ou les aborigènes d’australie récupèrent le control de leurs pays.

    28 septembre 2021 à 14 h 31 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *