Bilan de la mandature

Bilan de la mandature

La finalité d’une entreprise n’est pas de créer des emplois, comme l’insinuent de nombreux journalistes.

Elle consiste à produire des biens de consommation, à assurer des services, et à les commercialiser – le tout au meilleur coût.

Les bénéfices doivent aller aux investisseurs. L’État prélève déjà des impôts sur les salaires versés, mais aussi sur la société elle-même et des taxes comme la TVA sur les produits vendus.

L’actionnariat remplace la propriété étatique qui avait cours par exemple dans l’ancienne URSS. Le secteur privé n’a cessé de se moderniser.

L’agriculture et l’élevage sont devenus intensifs, permettant de nourrir beaucoup plus de personnes, avec, en plus, une baisse des prix.

L’industrie a bénéficié du machinisme, de la robotique couplée avec l’intelligence artificielle, contribuant également à l’augmentation du pouvoir d’achat.

La construction et la restauration sont encore des secteurs archaïques, car bénéficiaires d’une main-d’œuvre immigrée bon marché tirant les salaires vers le bas.

De très nombreux archaïsmes subsistent encore sur notre sol, comme la retraite par répartition, les gestions irresponsables de la SNCF, d’EDF, d’Air France et de beaucoup de services publics.

M.Macron n’a pas eu la volonté de les réformer par crainte des syndicats tout-puissants et des manifestations de rue. Une chose est certaine.

La pauvreté gagne du terrain.

Les fractures sociales générées par ses prédécesseurs depuis au moins un demi-siècle ont continué à s’amplifier avec les divorces, les familles éclatées, et l’entrée massive d’immigrés pauvres.

Il lui reste peu de temps pour convaincre et redresser la barre. Dommage!

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