Cauchemar en couleurs

Cauchemar en couleurs

Agacé par le rejet de tout véritable débat sur la réalité et l’incidence de l’immigration, allant jusqu’à l’interdiction de certaines expressions langagières, M. Durand se coucha très énervé. Il finit cependant par sombrer dans un sommeil agité et ce fut le cauchemar.

Il passa du blanc au bleu de frayeur au regard des conséquences financièrement ruineuses, mais aussi identitairement et culturellement mortifères, de l’invasion incontrôlée de la France par des peuplades revendicatives déferlant du Maghreb, du Moyen-Orient et d’Afrique subsaharienne, se réclamant majoritairement d’un islam rétrograde, exclusif et haineux de l’Occident diabolisé… Il devint rouge de colère face au déni opposé à ces évidences par de lâches et traîtres politiciens et de prétendues élites déracinées, coupées des terribles réalités vécues au quotidien par un peuple autochtone parfois ravalé avec dédain au rang de « souchien ». Puis il rit jaune et se mit à broyer du noir au vu de la soumission de citoyens apathiques, hypnotisés par des bonnes âmes et des bien-pensants autoproclamés fébrilement occupés, le cœur en bandoulière mais le cerveau en errance et les deux mains dans les poches des contribuables essorés, à faire accueillir et materner des kyrielles de migrants : populations souvent hostiles au pays sommé de les accepter, bon gré mal gré, mais avides des aides et allocations distribuées à tout-va par une République aveulie, morbidement adepte d’autoflagellation mémorielle et de borgne repentance.

Triste et las devant cette marche de la Nation au suicide assisté, il se demanda s’il ne vaudrait pas mieux chercher ailleurs un avenir plus serein, avec une herbe plus verte, moins piétinée par les hordes d’envahisseurs ; là surtout où les tenants de la charia seraient fermement contenus et au besoin combattus et refoulés.

Il se réveilla en sueur, tremblant de rage et abattu pour la journée de dur labeur qui s’annonçait pour lui. Journée durant laquelle les maîtres de la propagande lui serineraient encore et toujours que le « grand remplacement » de population est un fantasme de l’extrême droite et de complotistes racistes, alors même que d’aucuns qui le nient soutiennent que l’avenir est à la créolisation généralisée, voire au métissage obligatoire.

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