Conflit d'intérêt et art contemporain à Versailles
Ancien ministreux de la Culture devenu président de l’Établissement public
du musée et du domaine national de Versailles par la grâce de Sarkozy, le nauséeux Jean-Jacques Aillagon poursuit son entreprise de
déconstruction du plus haut lieu du patrimoine français – et du partrimoine classique – en y installant, après les gadgets érotiques de
Jeff Koons, puis le carosse en plastoc de Veilhan, les « mangas » pornographiques du japonais Murakami.
Anne Brassié, femme de lettres, qui
s’oppose à cette nouvelle atteinte au site royal, proteste dans Minute :
« Murakami s’inspire de la culture populaire japonaise en la détournant et, comme
Koons, comme Warhol, a créé sa “factory”, une société de
promotion et de management d’artistes présente à travers le monde entier. C’est un financier de l’art. (…)
Koons, Veilhan et Murakami ont pour point commun d’avoir confié le soin de promouvoir leurs
prétendues “oeuvres” au galeriste Emmanuel Perrotin, protégé du milliardaire FrançoisPinault, lequel possède le Palazzo Grassi, qui employait Aillagon voilà quelques années, et la holding financière Artemis, dont le même Aillagon est toujours conseiller.
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Voilà qui fleure bon le conflit d’intérêt !
Le TA plaque Delanoë , favoritisme, Delanoë gagne du temps, Delanoë devant la justice
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