Contre le racisme anti-français et contre la repentance

Contre le racisme anti-français et contre la repentance

Connaissez-vous Houria Bouteldja ? Cette Fran­co-Algérienne de 36 ans est la porte-parole du groupuscule raciste « Les indigènes de la Républi­que ». Groupuscule dont l’hebdomadaire « Marianne », qui ne passe pas pour proche de « l’extrême droite », a déclaré qu’il présentait un discours fondé sur la haine. C’est à ces gens charmants que l’on doit, notamment, le délicieux jeu de mots censés nous caractériser, nous qui sommes Français depuis des générations : « souchiens ». C’est-à-dire à la fois « Français de souche » et « sous-chiens », vous l’aurez compris !

Ce jeu de mots positivement hilarant dit assez quel traitement judiciaire serait réservé aux « Indigènes de la République » si, par hasard, leur racisme, au lieu d’être dirigé contre des blancs, était dirigé contre ce que l’on appelle désormais des « minorités visibles ». Pourtant, la justice française (qui porte si mal son nom de justice et son qualificatif de française) fait preuve ici d’une étonnante patience.
Bernard Antony, militant nationaliste et catholique bien connu, vient d’entreprendre de répondre à ces forcenés.
Pour être tout à fait honnête, l’idée d’une telle réponse ne m’aurait pas effleuré l’esprit.

Ma réaction spontanée consiste plutôt à dire : ils crachent sur la France, ils trouvent les Français insupportables, personne ne les retient. Qu’ils aillent donc proposer leurs immenses talents à des gens qui en seront plus dignes que nous, odieux « souchiens » !

Mais, à la réflexion, c’est évidemment Bernard Antony qui a raison. D’abord, parce que l’on peut espérer que ces « Indigènes de la Répu­blique » soient un jour saisis par la beauté de notre civilisation française sur laquelle ils crachent allègrement et que c’est tout le mal que nous leur souhaitons. Ensuite (et, dans un avenir prévisible, c’est cette raison qui me semble prioritaire), ne pas répondre au racisme anti-français de ces groupuscules, c’est accoutumer l’opinion publique, les médias, les citoyens « lambda », les politiques, à l’idée qu’il y a une différence de nature entre les différents racismes.

À dire vrai, il y a bien une différence de nature : le racisme d’un étranger contre son hôte me semble infiniment plus immoral que tout autre racisme. Le degré zéro de la civilisation, c’est tout de même de respecter ceux qui nous accueillent. Eh bien ! ce degré zéro est encore trop élevé pour Mme Bouteldja et ses amis !

En tout cas, je ne trouverais personnallement pas choquant que le racisme anti-français soit plus sanctionné en France que tout autre racisme. Et, en attendant, qu’il ne soit pas purement et simplement toléré, au contraire des autres racismes !

Sur le fond, Bernard Antony répond à Houria Bouteldja sur l’esclavagisme, le colonialisme et le racisme. Ce racisme anti-français repose en effet sur l’idée que nous, Français, serions responsables de tous les maux de la planète et que nous devrions « payer » pour nos méfaits. Il cite ces phrases effarantes de Mme Bou­teldja : « Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlent encore. Mais, demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »

La présence des Blancs en France, pour ceux qui n’auraient pas suivi !

Pour le moment, dans son incommensurable générosité, Mme Bou­teldja tolère notre présence sur le sol de nos ancêtres, mais ça pourrait bien durer moins longtemps que les contributions directes ! Merci de l’information !

Et Bernard Antony de répondre. Non, nous n’avons pas à rougir de la colonisation française. Ces jeunes Oranais roués de coups pour avoir manifesté aux cris d’« Algérie française », voici quelques années, en savent quelque chose…

Non, nous n’avons pas non plus à rougir d’une tache esclavagiste. L’esclavage a existé dans toutes les civilisations, mais la chrétienne a été la première à le supprimer… et il perdure dans des sphères culturelles qui ne sont pas les nôtres !

Ressasser sans cesse ces évidences a un côté lassant, bien sûr. Mais, cela reste indispensable, puisque la repentance se porte encore bien chez nous. Alors, contre la repentance et contre le racisme anti-français, lisez et surtout faites lire ce petit livre de Bernard Antony !

Bernard Antony

Vérités sur les esclavagismes
et les colonialismes
Réplique à Houria Bouteldja

Godefroy de Bouillon

113 pages – 15 €

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Comments (13)

  • luc Répondre

    Chers voisins français !

    Concernant le racisme dont vous êtes les victimes. Ne vous apitoyez pas trop vite sur votre sort, et ayez la correction de rectifier ce qui ne va pas chez vous; n’oubliez pas que vous êtes les premiers a vous moquez des etrangers: Belges, suisses, arabes, noirs, etc. et cette façon de vous croire supérieur a tout le monde (et qui agace beaucoup de monde!)est en train de vous retomber sur le nez….

    Il existe également en Belgique ( même francophone…) un sentiment anti-français !.
    Francais petit joueurs qui acceptent d’insulter tout le monde mais n’accepte pas dêtre insulté lui même…

    A bon entendeur, salut!

    9 mai 2011 à 15 h 26 min
  • ozone Répondre

    Le virus est trop incrusté.

    L’autre soir,chez Taddei,Milliére aquiesce aux dires de cette "passionaria" lorsque celle ci accusa les manifestants contre la réforme des retraites de ne pas le faire aussi contre les "discriminations",

    La haine des syndicats est elle si forte ?

    En tous cas bel exemple de "terrorisme intellectuel" a l’oeuvre

    21 novembre 2010 à 23 h 08 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Un jour proche, je pense qu’en France, des gens courageux de toutes origines mais ayant accepté de s’intégrer, écrirons sur les murs : "la valise ou le cercueil" à l’adresse des immigrés délinquants, des parasites et des islamistes.  

    ça y est ! En Corse on a pris de l’avance, c’est déjà fait… certains ont opté pour la valise, d’autres pour le cercueil…

    21 novembre 2010 à 20 h 33 min
  • Anonyme Répondre

    Un jour proche, je pense qu’en France, des gens courageux de toutes origines mais ayant accepté de s’intégrer, écrirons sur les murs : "la valise ou le cercueil" à l’adresse des immigrés délinquants, des parasites et des islamistes.   Ce jour là, les Français commenceront à prouver qu’ils peuvent se tenir debout.

    21 novembre 2010 à 12 h 26 min
  • lavandin Répondre

    Lors du referendum pour l’indépendance, en 1962, ils étaient 98 pour cent à dire non à la France et aux français, et ils le soulignaient en inscrivant sur les murs en grandes lettres : "la valise ou le cercueil", puis début juillet de la meme année, pour ajouter plus de crédibilité à ces inscriptions, massacraient entre 1500 et 2000 français à Oran. Depuis, ils reprennent le flambeau chez nous, dans l’hexagone,dans l’indifférence de nos gouvernants

    20 novembre 2010 à 20 h 34 min
  • Anonyme Répondre

    Ecoutez : quand un pays comme le nôtre accueille Djamila BOUHIRED dans un grand palace de Paris alors que cette engeance était la principale poseuse de bombes anti-civils en Algérie, et qui ont fait des centaines de morts et de mutilés, on se dit que nous couvons en notre sein des serpents qui nous tuerons.  Les Français sont cinglés, c’est surtout ça le problème.  Et personne pour "dégager" cette crapule là.

    On a le destin que l’on mérite, surtout quand on ne fait rien pour changer les choses.

    20 novembre 2010 à 14 h 40 min
  • Alceste Répondre
    Shadoc écrit : « Je ne connais pas de philosophe ni de journaliste capable de lui faire face et de lui tenir tête sans être quelque peu ébranlé.
     
    Il y en eut un, pourtant. Ou plutôt, une. Car c’était une femme, elle aussi. Une femme d’une trempe exceptionnelle. Une femme libre. Depuis l’aube des temps ce sont elles les premières victimes de la barbarie. De toutes les barbaries. Ce fut d’ailleurs la seule à dire, à crier sa « rage et son orgueil », ce qu’elle pensait de nos envahisseurs, ce qu’elle pensait de la pleutrerie des élites. Bien entendu elle eut à subir la hargne vengeresse de la gauche française et de ses organisations croupions prétendument antiracistes. Néanmoins, quelques intellectuels prirent sa défense, non sans les circonlocutions d’usage. Elle est morte en 2006 âgée de 77 ans. Elle s’appelait Oriana Fallaci.
    A lire aussi: Jacques Heers. Les négriers en terres d’islam. Perrin 2003.
    19 novembre 2010 à 19 h 13 min
  • Shadok Répondre

    Comment une société relativiste qui ne croie plus en elle même, comment une société qui pratique en toute occasion la ” tyrannie de la repentance et de la pénitence ” peut-elle imposer ses propres valeurs aux immigrés ? Pour que l’intégration réussisse, la société d’accueil doit savoir ce qu’elle veut et savoir où elle en est.

    19 novembre 2010 à 13 h 05 min
  • Shadok Répondre

    LA bêtise au front de taureau.

    C’est Baudelaire qui dans un de ses poèmes parle de la " bêtise au front de taureau." ( Examen de Minuit )

    C’est excactement ce que je ressens quand je vois et que j’écoute la Houria Bouteldja, une bêtise au front de taureau lachée à toute vitesse de toute la puissance de sa charge,de sa bêtise et de sa haine qu’on a qu’une envie , celle de fuir pour ne pas se faire piètiner et ecrabouiller. Je ne connais pas de philosophe ni de journaliste capable de lui faire face et de lui tenir tête sans être quelque peu ébranlé.

    18 novembre 2010 à 16 h 15 min
  • HOMERE Répondre

    Preuve à l’appui et vu sur des teashirts : "avant vous étiez en Afrique chez vous,maintenant nous sommes en France chez nous"…romantique non ?

    Les allemands voulaient nous occuper, les islamo racistes veulent nous virer.Nous avons résité aux premiers,apprenons à nos enfants le devoir de résistance et l’exemple des maquis."Ami entends tu le vol noir des burkas sur nos villes…éternel refrain des résistances aux occupants.Comme le FLN en son temps,nous devons engager de vastes opérations de propagande pour convaincre nos concitoyens du mal absolu qui les guette….et,comme eux,nous libérer du colonialisme.

    18 novembre 2010 à 11 h 03 min
  • vozuti Répondre

    les étrangers sont en pays conquit.ils ont remporté la victoire sans meme avoir besoin de se battre.                 les français ne parlent pas de défaite mais d’anti-racisme, ce qui est censé etre au contraire une preuve de supériorité morale et de modernisme.         sauf que l’anti-racisme n’éxiste pas dans la nature:chaque groupe se bat pour sa survie de  meme que chaque individu et lorsque le combat cesse la seule issue possible est la mort.               est-ce que la prochaine génération tolèrera les blancs?       probablement pas,mais pourquoi s’étonner?         dans l’histoire on a rarement vu les vainqueurs respecter les vaincus,meme si les vaincus se prennent pour des saints et des génies.

    18 novembre 2010 à 2 h 46 min
  • MAGNE Répondre

    Le chien ( kelb ) est trés mal vu des mukallafs ( musulmans ) pour la raison qu’ils auraient endommagé le corps du Prophéte( QSSSL) , juste aprés sa mort , et avant qu’il soit enterré . D’où  les termes de kelb nsrani ( chiens de chrétiens ) que les chrétiens trancrirent par " chiens d’infidéles " renvoyant la balle .Karmouss n’sara ( figues de chrétiens ) =( figues de barbarie ) et des dizaines d’autres amabilités .

    17 novembre 2010 à 15 h 11 min
  • sas Répondre

    C est connu les francais sont racistes…..

     

    La voiture, on s’en fichait. On voulait retrouver le petit vivant. » Sur le pas de sa porte, Karim confie hier son soulagement après le de voiture peu ordinaire dont a été victime sa belle-sœur. Lundi à 19h30, à Meaux (Seine-et-Marne), dans le quartier sensible de Beauval, deux jeunes ont volé une Audi Q7 avec un bébé de 11 mois à l’intérieur.

    Sa mère venait de l’emmener chez le kinésithérapeute et avait laissé ses filles chez sa sœur. Quand elle revient les récupérer, son fils dort dans son siège auto, à l’arrière. Elle se gare dans une petite impasse, laisse le moteur ronronner et la porte passager ouverte. Mais le temps qu’elle aille chercher ses filles, le véhicule disparaît. « J’ai couru dehors mais les voleurs sont partis en arrière. J’ai cherché en voiture sur tous les parkings, les voisins nous ont aidés », raconte Karim.

     

    Retrouvé dans un petit cageot

    La famille a acheté une petite maison de ville dans cette rue, créée il y a moins d’un an à la faveur de la rénovation urbaine en . Les petites résidences fleurissent à la place des tours dynamitées. « C’est très calme ici, nous n’avons jamais eu de soucis », sourit Karim. Jusqu’à lundi soir où les voleurs n’ont pas résisté à la vue de l’énorme 4 x 4 allemand à 60000 €, rare dans le quartier, le moteur en marche et la porte grande ouverte.

    L’enlèvement de l’enfant déclenche une cellule de crise avec sous-préfet, procureur adjoint, commissaire et directeur de la police municipale. Une trentaine de policiers sont appelés en renfort, épaulés par des CRS et la municipale. Ils quadrillent les grands axes de la ville. Un hélicoptère de la gendarmerie survole le secteur. La voiture est repérée aux alentours de Varreddes et de Penchard, des villages au nord de Meaux. Le maillage de la ville par 132 caméras de vidéosurveillance permet de retracer certains passages de l’Audi. Mais pas de la retrouver.

    Vers 23 heures, coup de fil au commissariat. Une femme a trouvé l’enfant sur son perron. Elle habite au bâtiment Chambord, une tour du même quartier. Le bébé était dans un petit cageot, avec un papier griffonné : « On a volé une voiture, on a trouvé un bébé dedans. Désolé. Amenez-le à la police. » L’enfant, transporté à l’hôpital pour un examen complet, n’a subi aucune maltraitance. « Il va bien, il ne semble pas perturbé », sourit Karim.

    SAS

    17 novembre 2010 à 12 h 30 min

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