Échec cuisant de la vulgate antiraciste

Échec cuisant de la vulgate antiraciste

L’institut BVA, en partenariat avec SOS Racisme et l’Union des étudiants juifs de France, a publié le 30 mai un sondage sur les « préjugés racistes » des Français. Et, aussitôt, les ligues de vertu de lancer leurs traditionnelles jérémiades sur la permanence (que dis-je ? la hausse préoccupante) des préjugés racistes des Français.

Petite nouveauté : cette fois, la responsabilité de cette « inquiétante dérive » incomberait aux politiques, et notamment au gouvernement Sarkozy qui au­rait « décomplexé » la parole.

Mais de quoi parle-t-on ?

D’abord, ces prétendus préjugés racistes ne concernent pas spécialement les questions raciales : on y parle aussi bien de différence religieuse ou de différence sexuelle. On savait depuis longtemps que l’on pouvait être « nazi », dans le vocabulaire de la gauche, en ayant lutté contre le national-socialisme, simplement pour avoir refusé d’adhérer au Parti communiste. Désor­mais, on peut être « raciste » sans parler de race !
Plus grave encore, les commentateurs font mine de croire que les réflexions des Français sur l’immigration sont des préjugés racistes. Rien n’est plus faux. L’immense majorité des Français s’intéresse à l’immigration pour des raisons de sécurité, pour des raisons religieuses, ou pour des raisons d’identité nationale. Ceux qui s’opposent à l’immigration pour des raisons purement raciales sont ultra-minoritaires.

Parmi les faits « prouvant » la hausse du racisme figure le fait que 52 % des Français pensent qu’il est plus facile de percevoir des prestations sociales quand on est étranger. Où est le racisme ? Ignore-t-on qu’il existe des Français « de couleur » et que, par définition, ils ne sont pas visés par ce « préjugé » ?

Accessoirement, il ne faut pas manquer de souffle pour prétendre que le gouvernement actuel a « décomplexé » la parole « raciste ». Faut-il rappeler que c’est sous l’actuelle majorité que le préfet Girot de Langlade a été sanctionné, au mépris du droit, pour avoir (peut-être) dit qu’il y avait beaucoup de noirs à Orly !

Enfin, admettons un instant que ce sondage prouve effectivement la hausse des préjugés racistes dans la population française. Cela prouverait surtout que les associations anti-racistes ne servent à rien, puisque les millions que le contribuable (non consulté) leur offre gracieusement ne permettent pas de diminuer lesdits préjugés.

Au demeurant, ces associations anti-racistes qui refusent de défendre les blancs victimes d’actes racistes se révèlent pour ce qu’elles sont : une arme con­tre l’identité française !

Partager cette publication

Comments (53)

  • Anonyme Répondre

     @ Mancney

    Je ne prends pas les femmes pour des êtres idiots et stupides mais les faits sont assez nombreux pour vous que ces dernières sont souvent victimes de la maltraitance des hommes. Bien sûr des femmes extraordinaires sont devenues présidentes, écrivains célèbres, chercheurs ou tant d’ autres que j’oublie ; ce n’est pas pour cela qu’ il faut oublier la majorité d’entre elles qui sont victimes d’ injustices parce qu’ elles sont simplement femme.

    Dans vos voyages qui selon vos dires sont nombreux, comme disait un personnage dans une pièce de théâtre: " on peut entendre sans écouter mais on ne peut pas écouter sans entendre" donc en paraphrasant ce dernier ; "on peut regarder sans voir mais pas voir sans regarder". Vous me faîtes penser à cette anglais qui débarquant en France aperçoit une autochtone rousse et écrit à ses amis toutes les françaises sont rousses.

    Des femmes en Afrique qui détiennent un pouvoir sans doute comme les "Mama-Benz"  mais combien sont chassées de leurs foyers sans aucun motifs et ces dernières sont certainement plus nombreuses que les premières. Dans l ‘ histoire, il y eut Cléopâtre et d’ autres reines même dans l’ Afrique sub-saharienne, un régiment  d’ amazones existait aussi mais est ce pour cela que toutes les femmes sont heureuses de vivre dans certains pays.

    Mon évocation du sort des jeunes filles nubiles vous gêne mais en plus vous me prêtez des intentions peu louables mais elles n’ engagent que vous.

    Sur le sujet des pilotes afro-américains, je vous laisse vôtre aveuglement idéologique voir ethnologique, vision  dont vous êtes devenu otage.

    Dans le même ordre d’ idée , pensez vous que les exploits  des GI américano-japonais dont l’ unité fut la plus décorée de l’ US Army durant la seconde guerre mondiale, était là pour cacher un quelconque comportement "merdiques" de leurs compatriotes restés dans des camps d’internement.

    Closterman, que vient il faire ici, vous avez besoin de son témoignage pour corroborer vos affirmations Il fut le héros de beaucoup de combats mais je doute qu’ il soit heureux de participer à cette querelle d’ allemands.

    Sécutor ou rétiaire?

    7 juillet 2010 à 13 h 18 min
  • Anonyme Répondre

    Siniq, vous dites vouloir essayer de me répondre? Mais vous ne répondez a rien du tout, a rien d’intéressant.  Je sais que vous aimez bien noyer le poisson et vous cacher derrière les écrans de fumée, et tandis que vous etes passé maitre dans les changements de sujets (vous vous embarquez généralement dans des petites anecdotes charmantes et historiques), vous ne répondez jamais aux questions de fond, comme par exemple, le cas que devraient faire les Yemenis des sentiments amicaux et admiratifs que vous portez a leur civilisation et a leurs moeurs, ou d’une maniere plus générale, quelle est la légitimité morale ou civile pour un Occidental d’insulter tout ou partie d’autres cultures, comme vous le faites crument.
    Autre question sans réponse de votre part : Est-ce que prendre les femmes pour des êtres faibles et stupides, éternelles victimes des hommes, ne serait pas en réalité les prendre pour des êtres inférieurs?  Vous dites pouvoir me "(…) citer des régions ou les femmes sont êtres de secondes zones" ? Ne vous en privez pas, car pour ma part, durant mes qqs voyages, je n’ai pas rencontrées de femmes qui soient considérées de la sorte dans le contexte culturel de leur peuple; au contraire, j’ai vu bien d’avantage de lieux, entre autre en Afrique, ou les femmes tiennent un réel pouvoir pendant que les mecs filent doux.
    Pour les black pilots, qqs centaines sur plus de deux cent mille pilotes US, votre développement n’apporte rien et ne change pas le fait que, égaré par vos tendres et généreuses émotions, vous vous etes trompé, et qu’il y a bien eu des pertes de bombardiers escortés pendant leurs missions…. Heureusement pour eux, car cela, ainsi que leurs pertes propres, prouve au moins qu’ils ont rencontrés l’ennemi : c’est deja bien, car le meilleur moyen d’avoir un minimum de pertes, est indubitablement celui de se voir attribué les missions les moins dangereuses, qui elles-mêmes sont évidemment confiés aux meilleurs pilotes. Ce que j’ai entendu au sujet des Tuskegee pilots par des vétérans, et qui n’est pas publié mais largement répandu, n’est pas ce qu’un avocat de leur cause, convaincu que Chuck Jaeger et Clostermann étaient de race noire, souhaiterait entendre; souffrez donc que je ne m’étende pas sur ce point. Je préciserais simplement qu’il y eut une forte opération de pub dans ces éloges publiés a l’époque, avec les exagérations d’usage, pour tenter de compenser un peu le merdier mis par un certain nombre de soldats de race noire présents dans les rangs de l’USAAF : " Mainly draftees, most did not fly or maintain aircraft. Their largely menial duties, indifferent or hostile leadership, and poor morale led to serious dissatisfaction and several violent incidents."
    Je ne m’étendrais pas non plus d’ailleurs sur vos histoires de vagins de petites filles, qui sont un peu graphiques pour moi, et dont l’intérêt que vous semblez porter a leur révélation est surprenant, et devrait peut-être vous inquiéter. Généralement, on ne parle pas de ces choses-la, on fait juste tout ce qu’on peut pour que cela n’arrive pas, ou le moins possible, mais surtout sans le publier. Question de réserve, probablement.
    Mais vous avez raison, je suis intervenu a tort dans votre discussion avec Jaures. Je m’en retire donc et ne troublerais plus désormais vos intéressants dialogues, auquel effectivement, ma contribution ne peut rien apporter de positif.

    All the best,

    Mancney

    29 juin 2010 à 18 h 52 min
  • Anonyme Répondre

    @ Jaurès l’étroit  dit aussi : «  Au bonheur des dames »

    Vous allez devenir un professionnel de la pirouette à quand le quadruple axel et la quintuple boucle piquée.

    Il est certes plus facile à venir peaufiné le travail déjà en cours que de mettre réellement à la tache dans les régions du Monde où la condition des femmes n’est pas celle même si peu parfaite des françaises. 67 ans certes, mais au moins elle ont le droit au travail ce qui pour beaucoup est encore un rêve.

    @ Mancney

    Je vais tenter de vous répondre,

    Commençons par vôtre second « coup de gueule » ; ma remarque s’adressait à Jaurès qui dans son combat pour l’égalité des chances pour tout les âmes de cette terre, se perd en conjonctures négatives sur l’Occident alors quad dans certaines régions de ce bas monde, le vie n’est point rose. Si j’ ai pris en exemple les contrées islamiques, la raison est simple, cet intervenant est un fervent défenseur des adorateurs de Mahomet, mais comme cette secte ne semble selon vous un danger pour ce Monde que venez donc vous me reprocher. Trouvez vous normal que des gamines de 9 ans soient mariées et violées au nom d’ un dogme datant du Moyen Âge. Combien de ces gamines sont amenées aux urgences pour blessures vaginales, en avez vous seulement une idée !

    Mais j’aurais pu citer d’ autres régions où les femmes sont êtres de seconde zone, mais selon vous tant que cela reste entre eux, où est le problème. Les soucis c’est que ces personnes en venant vivre chez nous, amènent avec ces coutumes d’un autre âge. Des gens comme le dénommé Jaurès au nom de la repentance n’admettent pas que la loi de la République viennent y mettre une holà.

    Venons en à vôtre première crispation.

    Selon un article du musée de l’ US Air Force, les pilotes du 332 figther groupe ne perdirent aucun de leurs bombardier quand ils escortaient ces derniers sous la protection de leurs P 51 à queue rouge. 66 de ces pilotes payèrent de leurs vies ces escortes et 32 furent faits prisonniers. L’habilité de ces hommes leurs permirent d’ abattre 3 jets allemands et d’en endommager 5 autres sans perdre un des leurs. Ce qui valut au groupe de chasse, une citation du Président des Etats-Unis.

    Au moment où l’ article du Chicago Defender fut  publié le 24 Mars 1945, aucun bombardier n’ avait été abattu sous protection du 332 figther. Un historien cité par le Saint Petersbourg Time infirme cette histoire mais un autre ayant étudié les rapports de vol de 200 pilotes de la Tuskegee ne trouva aucune perte parmi les bombardiers escortés, le dernier homme cité est professeur d’ histoire d université.

    Pour la chasse allemande, je n’ ai jamais mis en doute l’ habileté tactique des pilotes de la Luftwaffe. Mais à la fin du conflit, les élèves pilotes étaient jetés dans la fournaise sans un nombre d’heure suffisante souvent par manque de carburant. Certains en arrivaient des méthodes extrêmes comme l’abordage volontaire quant aux « expertens » ils succombaient sous le nombre , il fallait compté un ratio de 1:7 sur certain front comme celui de l » Est.

    Pour terminer en ces temps où tout se conteste, certains pseudo-historiens remettent en cause les bombardements stratégiques et leurs résultats sur l’économie allemande durant le conflit. D’est au calme dans un bureau, on refait le monde en faisant de l’uchronie.

    24 juin 2010 à 15 h 19 min
  • IOSA Répondre

    Ca c’est marrant et ce n’est pas n’importe qui ….qui le dit !

    "J’ai beaucoup de mal a imaginer le fonctionnement d’une civilisation, quelle qu’elle soit et ou qu’elle soit, dont les moeurs et coutumes n’auraient pas au moins l’aval d’une très grande majorité des femmes…."

    Car dans le même ordre d’idée farfelue, on peut d’ors et déjà considérer que les esclaves africains étaient d’accord et si on poussait beaucoup plus loin le raisonnement sur la Shoah ?

    Il manque un élément essentiel dans ce type de raisonnement et c’est la raison de l’acceptation, qui autrement dit….est le motif de cet "échange" entre victime et bourreau !

    Et là, on s’aperçoit que l’échange ne se fait en sens unique ( un peu comme les impôts sensés nous faciliter la vie et qui ne facilitent en réalité que ceux qui en profitent).

    Que gagnent les femmes à accepter le titre de bobonne à la maison ? Rien du tout, sauf que la Bible les considèrent comme des êtres inférieurs, voir même une marchandise.

    N’oublions surtout pas, que c’est à partir du moment où le "savoir" fut partager par tous…y compris les femmes, qu’elles ont voulu s’émanciper.

    Et celà gêne autant la religion musulmane que la chrétienne.

    Celà ne me gêne en aucune façon et je dirai même que cette émancipation rend les femmes bien plus jolies et davantage encore….lorsque je regarde de quelle façon sont accoutrées celles du moyen-orient.

    Y a pas photo !

    IOSA

     

    24 juin 2010 à 12 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    Siniq : " allez donc prêcher la bonne parole dans les régions du monde où les femmes sont considérées comme des êtres inférieurs"

    –  Toujours au premier degré, hein, Siniq? A votre avis, les femmes sont-elles vraiment "considérées" comme inférieures ou s’agit-il d’un substerfuge social pour limiter leurs pouvoirs?
     J’ai beaucoup de mal a imaginer le fonctionnement d’une civilisation, quelle qu’elle soit et ou qu’elle soit, dont les moeurs et coutumes n’auraient pas au moins l’aval d’une très grande majorité des femmes…. En plus, c’est assez déplaisant et c’est vraiment les prendre pour des idiotes que de les présenter en "victime" permanente dans les sociétés de cultures différentes de la notre; c’est peut-être cela, justement, qui est de les "considérer comme des êtres inférieurs"….
    Je regrette, mais la Civilisation Occidentale du début du XXIeme science n’est pas la seule sur Terre, et il convient de laisser les autres peuples vivrent selon leurs valeurs et leurs croyances, leur way of Life et leurs coutumes, meme si celles-ci comprennent parfois des méthodes que nous condamnons aujourd’hui… souvent apres les avoir pratiquées nous-mêmes hier. Laissons les peuples vivre leurs culture et évoluer a leur rythme et, au lieu de donner des leçons, généralement d’ordre émotionnelles (Oh, my God! Comment est-ce possible?), essayons plutôt de conserver un peu chez nous cette merveilleuse civilisation Occidentale… en attendant que sa quasi-perfection ne nous conduisent a devoir l’abandonner pour une culture étrangère beaucoup moins parfaite mais plus agressive.
    A quoi cela sert-il de s’opposer au Socialisme et a son égalitarisme si c’est pour vouloir imposer partout nos propres moeurs, nos propres idées ? Quelle est donc cette insupportable prétention qui conduit certains a se croire les juges de tout ce qui se passe sur Terre?

    Mancney

    20 juin 2010 à 21 h 43 min
  • Anonyme Répondre

    Siniq : " Durant la deuxième guerre mondiale les pilotes de chasse de l’escadrille de chasse « Tukegee Airman » tous afro-américains se distinguèrent en ne perdant aucun bombardier allié sous leur protection et se fut le seul groupe d’escorte à réaliser cet exploit.."

    –    Oui..  A condition d’être vraiment naïf, de prendre aveuglement ses désirs pour de la réalité, et de ne pas vraiment réaliser l’efficacité de la chasse allemande, on peut toujours croire ca. Cette allégation n’est pas crédible, Siniq, et cela obere la qualité de vos propos, hélas souvent chargés de plus d’émotivité que de rigueur. Je sais que cette fable a été publiée en son temps (the Chicago Defender, March 24, 1945), mais la réalité est differente, d’ou le rapport : " The subsequent report, based on after-mission reports filed by both the bomber units and Tuskegee fighter groups, as well as missing air crew records and witness testimony, was released in March 2007 and documented 25 bombers shot down by enemy fighter aircraft while being escorted by the Tuskegee Airmen."
    Cette histoire ressemble un peu a ce film qui laissait entendre en substance que les Arabes, les Indigenes, avaient pratiquement gagné la WWII…  Toujours ce besoin de Gloire, ce besoin de courir apres ce qui manque, d’effacer des siècles de retard culturelle, de gommer cette frustration d’avoir été "en retard", de faire oublier la qualité incertaine de ses racines, de son propre sang…  Mais tout cela est légitime et ce sont les vrais raisons du momentum arabe (et non pas leur Religion!!).
    Mais ne vous en faites pas pour les reves de Gloire des Arabes et des Africains, car leur victoire, ils la préparent en ce moment, et c’est demain qu’ils pourront vraiment raconter comment ils nous ont vaincu aujourd’hui. Et croyez moi, nos bombardiers sont deja en feu!

    Best,

    Mancney

    20 juin 2010 à 21 h 11 min
  • Jaures Répondre

    Cher Siniq, je ne saisis pas bien le développement de votre dissertation mais si la conclusion en est que nous sommes tous égaux mais différents et qu’il faut lutter au côté des femmes pour qu’elles disposent partout de la même considération que les hommes, je suis en phase avec vous.

    Camarade Siniq, je compte sur vous pour la manif de jeudi contre le projet de loi sur les retraites, les femmes en étant les premières victimes puisque, trustant les incidents de carrière et les travaux les plus précaires, elles devront, pour plus d’un tiers d’entre-elles, bosser jusqu’à 67ans pour toucher une modeste pension.

    Après la théorie, camarade Siniq, la pratique !

    20 juin 2010 à 13 h 42 min
  • Anonyme Répondre

    @ Jaures l’étroit

    Calomnier, calomnier, il en restera quelque chose et comme souvent cela vous permet de vous défiler par une belle pirouette à la Beillmann.

    Il y a 74 ans, un certain Jesse Owens en remportant 4 médailles d’ or à Berlin devant un stade hostile, démontrant que la suprématie d’une race sur une autre n’existait pas.

    Joe Louis en battant Max Schmelling faisait de même ce qui n’ empêcha ce dernier de venir en aide au premier et devenir amis.

    Durant la deuxième guerre mondiale les pilotes de chasse de l’escadrille de chasse « Tukegee Airman » tous afro-américains se distinguèrent en ne perdant aucun bombardier allié sous leur protection et se fut le seul groupe d’escorte à réaliser cet exploit..

    Anton Geesink en 1964 devant un public médusé devint champion olympique toute catégorie dans le temple du Judo à Tokyo, démontrant ainsi qu’avec un entrainement soutenu, il était possible de battre l’ héritier d’ un sport ancestral.

    Toutes ces personnes ont fait plus que n’importe quel  partisan de l’ égalité raciale dont vous l’ aigri représentant sur ce site en venant nous inonder de vos mièvres commentaires toujours suant de politiquement correct.

    Depuis sur les stades d’athlétisme, les athlètes noirs quelque soit le pays qu’ils représentent, trustent les premières places et cela vous dérangent, c’est un comble ! Pourtant quand en 2002, la plus grande partie des joueurs de football français étaient tous d’origine afro, vous n’aviez que des écrits dithyrambiques, on prenait les meilleurs d’ entre tous et vous n’épargnez de vos sarcasmes pas les intervenants ne se reconnaissant pas cette troupe de mercenaires katangais.

    La compétition que vous semblez me proposer existe bien depuis un certain baron Pierre de Coubertin, les jeux olympiques et les nations participantes à ces nouveaux jeux du Cirque n’hésitent à faire des ponts d’or à certains sportifs africains pour représenter leurs couleurs comme Oman, le Danemark,  et même la France qui naturalisa l’ heptathlonienne d’ origine sierra- léonaise  Eunice Barber.

    Que cela dérange vos conceptions de l’égalité, je peux le comprendre mais c’est ainsi, il ya des gens gros, des maigres, des blonds, des roux, des noirs, des blancs qui peuvent être des géants ou des nains. Vous désireriez tellement que tous habitants de ce monde soient uniformes, une vision parfaitement socialiste de la société.

    Vos amis musulmans ont une vision différente de ce monde selon leurs préceptes religieux, il y a eux et les autres qu’ils leurs sont inférieurs et je n’évoque même pas leurs opinions sur les peuples sub-sahariens. Je comprends mieux que le grand Muphti de Jérusalem était l’ ami d’ Adolf Hitler , une conception identique de supériorité des races.

    Puisque vous me donnez un conseil ce qui ne m’étonne guère pour un homme qui pense détenir la vérité, je vais faire de même ; allez donc prêcher la bonne parole dans les régions du monde où les femmes sont considérées comme des êtres inférieurs, où elle sont assassinées par des membres de leurs familles, des crimes d’honneur même en Europe et aussi en France où certaines sont renvoyées dans les pays de leurs parents pour vivre selon les us et coutumes de ces régions islamiques.

    Vous y serez bien plus utiles qu’ ici à nous faire la morale.

     Pour les animaux , les zoologistes ont déja fait le travail.

    20 juin 2010 à 11 h 09 min
  • Jaures Répondre

    Cher Siniq, je m’avoue vaincu.

    Votre érudition en matière sportive est sans égal.

    Je me range donc à votre avis et propose qu’une course soit organisée entre les représentants des différentes couleurs de peau de l’espèce humaine afin qu’un catalogue des différentes races soit établi.

    Cependant, il nous faudra revoir toute notre science de la vie.

    Car si la vitesse de course départ arrêté est le critère de définition d’une race, il faudra procéder de même avec toutes les espèces.

    Je vous engage donc, dés aujourd’hui à répertorier l’ensemble des races animales suivant votre méthode en commençant par les gastéropodes.
    Bien entendu, il serait souhaitable que vous limitiez vos interventions sur ce forum aux résultats de cette tâche aride mais enthousiasmante dont l’Humanité vous sera redevable.

    18 juin 2010 à 17 h 18 min
  • Anonyme Répondre

    @ Jaurès l’ étroit

    Quand le manque d’arguments se fait sentir, on utilise l’ironie et le sarcasme. Une habitude prise dans les sections du Parti Socialiste, il est  vrai que les pointures de ce groupe politiques utilisent à tout va, le mot de racisme quand vient une discussion sur l’immigration où ils trouvent en perdition face à un interlocuteur plus informé. L’anathème lancé, le valeureux protagoniste doit absolument se défendre contre cette affirmation et ainsi la pierre d’achoppement sur lequel le ténor socialiste a chuté, passe dans aux oubliettes. Belle manœuvre mais le poisson est gros.

    Revenons maintenant à nos athlètes. Je vous parle d’ un effort solitaire sur une piste plate et non de courses de haies ou la technique de passage de ces dernières peut réduire à néant toute la vélocité d’ un compétiteur. Malgré tout , le compétiteur chinois Lui Xiang que vous évoquez brièvement ne fut champion du monde te olympique qu’ une seule fois , ce hurdler ne détient plus le record de cette discipline puisque l’actuel détenteur est cubain (afro-caribéen) . La technique est si importante que le merveilleux champion que fut Edwin Moses domina de la tête et des épaules sur plusieurs années, le 400 mètres haies en mettant que 13 foulées entre chaque obstacle , là où tous ses adversaires en faisaient 14.

    Vous reconnaissez implicitement le bien fondé de mes propos par cet écrit et je vous cite : «  Pourquoi les Noirs Américains dominent jusqu’à 400 mètres et que ce sont les Noirs Kenyans ou Ethiopiens au-delà ? » Dans vôtre empressement à vouloir le ridiculiser, vous n’avez pas remarqué que si les uns sont kényans et les autres américains, comme vous le faîtes remarquer à l’ insu de vôtre plein gré, ils sont NOIRS !

    Pour Malia Matella, nous attendons toujours ses héritières comme pour Laura Flessel en escrime pourtant les équipements sont présents dans ces deux départements français.

    Pour le tennis, vous faîtes erreur chez les hommes, il y eut un certain Arthur Ashe dans les années soixante .Pour les sœurs Williams, elles ne dominent plus le tennis mondial mais ici le plus souvent de piliformes jeunes femmes slaves.

    Vous devriez regarder un peu plus la NBA et vous serez surpris, les serbes ne dominent pas sous la raquette mais plutôt les successeurs de Jordan et O neal comme Kobé Bryant qui veint de gagner avec les Lakers le championnat de ligue majeur de basket.

    Pour les sauts en hauteur, longueur ou triple saut, la maîtrise totale des techniques d’ appel sont aussi importante que la vitesse d’ élan.

    Là où je suis en parfaite adéquation avec vôtre vision d’ascenseur social dans la société serait la boxe mais là il faut un courage certain pour monter sur le ring et voir les gants de boxe devant ses yeux. Il est bien plus facile de dealer dans une banlieue à l’ abri des kalachnikovs.

    Pour vôtre information, il y eut deux joueurs afro-américain dans le hockey, Mike Marson, le deuxième noir à avoir joué dans la NHL. Le premier étant Willie O’Ree en 1958On attends toujours leurs successeurs, pourtant Détroit ou Philadelphie ont une importante communauté afro-américaine.

    En football américain, la majeur partie des receveurs sont afro-américains souvent loués pour leur vista et souvent mieux payés que leurs partenaires de type caucasien, l’ ironie est toujours présente.

    Si vous désirez des informations sur d’ autres sujets où vous échouez de façon dramatique, je serais heureux de vous informer.

    Pour terminer, Monsieur Jaures, nous sommes en France pas Etats Unis et pour l’ instant en ce pays, il me semble que les musulmans tiennent le haut du pavé (ironie) dans le milieu carcéral français.

    18 juin 2010 à 12 h 22 min
  • Jaures Répondre

    Cher Iosa, il existe une délinquance massive d’origine latino aux USA.
    Depuis quand les Mexicains sont-ils musulmans ?

    La raison est démographique et culturelle. Les immigrés vietnamiens sont 10 fois moins nombreux que les hispaniques qui, eux,  peuvent entrer clandestinement.
    Par ailleurs, il existe un "milieu" asiatique très vigoureux aux Etats Unis. Peut-être plus discret mais très efficace.

    En France aussi court cette idée reçue d’une immigration asiatique calme et intégrée.
    Lire à ce sujet l’excellent "J’ai infiltré le milieu asiatique" de Mohamed Sifaoui  (même si il date de 3 ou 4 ans déjà).

    15 juin 2010 à 16 h 56 min
  • IOSA Répondre

    Siniq@…

    Si vôtre vision sociale était exacte, comment se fait il que les enfants des réfugiés vietnamiens issus des « boat-people » ne soient pas des délinquants ultraviolents.

    Je vous le concède, ils ne souffrent pas, ni avant et ni maintenant la comparaison avec les immigrés musulmans.

    Celà tient sans aucun doute, du fait que la religion de l’ Islam est une théologie conquérante et sans gêne…une verrue du christianisme, contrairement au Bouhdisme.

    Ces hommes et ses femmes venus du Viêt-Nâm ont cette particuliarité d’avoir été reconnaissant pour le pays d’acceuil, tandis que les nouveaux migrants musulmans, ne l’ont pas.

    IOSA

     

    15 juin 2010 à 12 h 44 min
  • Jaures Répondre

    Cher  Bidulon, vous distinguez bien ce que je nomme séparément "égalité", qui concerne le droit et "identité" qui concerne les individus.

    Etre égaux en droits n’empêche absolument pas une différence identitaire entre hommes et femmes. Une femme pourra réussir comme pompier, chef d’entreprise ou pilote de ligne tout en abordant ce métier à sa manière. Il y a plusieurs expressions à la compétence.

    Il ne faut cependant pas sombrer dans le lieu commun: la tendresse et l’écoute ne sont pas plus des qualités génétiques de la femme que l’autorité et la force pour les hommes. Celles-ci s’expriment simplement de manière différentes. Il existe des femmes fortes et autoritaires, elles n’en sont pas moins femmes.

    Respecter les droits des enfants  ne veut pas dire être laxiste. Ces droits sont répertoriés: santé, école, protection,…
    A ce titre, laisser un enfant "tout faire", c’est ne pas respecter ses droits car cela nuit à sa sécurité.

    Sur le manque de respect général que l’on constate, j’ai une analyse peut-être différente de la vôtre. Ainsi, comment demander à un élève de respecter son prof ou le policier du quartier quand on entend toute la journée dire que les fonctionnaires, dont ces deux professions forment les plus gros bataillons, sont des fainéants trop payés et incompétents  ? Comment inciter un jeune à faire des études quand son grand frère, titulaire d’un BTS est chômeur alors que son cousin ramène 100€ par jour en traficotant ?
    Comment leur parler de méritocratie quand les Lagardère, Dassault, Bouygues et consort ne se sont que donné la peine de naître pour vivre grand train ?
    Comment  parler d’égalité des chances quand on propose un poste important à un fils de président en échec scolaire et un travail de chargé de mission au fils d’une ministre alors que ses qualifications n’y ont rien à voir ?

    C’est l’exemple qui éduque les enfants et avouez que celui-ci n’est guère reluisant:: combien d’adultes se rouent de coups pour une aile froissée ? Combien s’insultent ou se battent pour une équipe de foot, pour un micro-onde le jour des soldes, pour une place dans une file d’attente ?

    C’est notre monde adulte que nous devons observer avant de remettre en cause le droit des enfants.

    Enfin, sur la fatalité qui toucherait certains individus, j’admets que certains, dans tous les milieux, semblent bien difficiles à rentrer dans le rang. Mais il s’agit là d’une infime minorité. Dans les prisons, la moitié des détenus a de graves déficiences psychologiques, un sur dix est schizophrène.
    Pensez-vous que les prisons sont réellement conçues pour leur réinsertion ?
    Il ne s’agit pas d’être compatissant mais efficace: pas de réinsertion durable veut dire récidive donc de nouvelles victimes.

    Cependant, la plupart des difficultés que rencontrent ceux qui peinent à s’insérer sont liées à une histoire personnelle, des mauvais choix, le manque de chance, des échecs successifs, la maladie, …
    Je vous invite à participer une fois à une distribution aux restaus du coeur et à discuter avec les personnes présentes.

    Ce qu’ils vous raconteront de leur vie vous montrera ce que celle-ci peut parfois réserver à des gens qui subissent des évènements sur lesquels ils n’ont pas prise.

    15 juin 2010 à 11 h 52 min
  • Euréka Répondre

    @ bidulon13   vous avez dit " ils sont incapables d’intégrer la moindre notion de civisme et d’hygiène.Donnez leur votre confiance et ils vous voleront, Il n’y a définitivement rien à en tirer".

    Quel pessimisme ! Ce sont des êtres humains. Comme partout, Il y en a de bons , et des mauvais. Là, vous faites allusion aux plus mauvais, sans doute aux pires criminels, à la lie de la société.  (Genre qui vous poignarde dans le dos, alors que vous venez de les secourir).  Or, n’exagérons pas. La grande majorité des délinquants ne sont pas de cette race malfaisante que vous décrivez. Ce sont simplement des "asociaux" qui vivent de fric mal acquis. Beaucoup sont de jeunes adolescents souvent élevés par des femmes seules qui n’ont plus d’autorité sur leurs fils.

    Pour les plus irrécupérables, récidivistes, et auteurs de meurtres, il suffit tout simplement de les déchoir de leur nationalité française et après leur peine de prison effectuée, les expulser à vie du territoire français.Pour que cela soit possible, il nous faut changer les conditions d’octroi de la nationalité française, et préciser les cas où la perte de cette nationalité est possible (l’étendre aux multi-récidivistes). A mon avis, c’est la seule façon que nous ayions, pour nous protéger de cette racaille, car , comme vous l’avez dit, certains individus sont sourds et réfractaires à toute tentative pour les aider à sortir de leur criminalité.

    La faute de cette chienlit en revient à la lâcheté des hommes politiques (de droite comme de gauche) qui ont instrumentalisé l’insécurité et la violence pour mieux cacher leurs pratiques corrompues et toutes les affaires politico-financières (pétro-dollars en provenance d’Algérie ou des pays du Golfe).  Mais croyez bien que le jour où ils n’auront plus d’ intérêt à protéger cette racaille, ils feront comme ils ont toujours fait : ils ordonneront à l’armée de tirer dans le tas, et ils voteront des Lois d’exception, pour ramener l’ordre.

     

     

     

     

     

     

      

     

    14 juin 2010 à 18 h 21 min
  • bidulon13 Répondre

    Cher Jaurès, je ne remets pas en cause l’égalité en droit entre les personnes: il me semble scandaleux que les femmes soient moins rémunérées que les hommes pour le même travail, c’est une évidence!

    Mais ne confondons pas "égalité en droit" et "égalité" tout court. Pour moi, un homme et une femme ne seront jamais égaux, mis à part dans le droit, et la dessus, il reste de nombreux progrès à réaliser encore.

    Ce n’est pas à un père de se substituer à la mère, et vice et versa. Un père ne pourra jamais remplacer la tendresse et l’écoute maternelle ni le lien "ombilical" naturel qui existe entre une mère et son enfant; De la même manière, une mère ne pourra jamais remplacer l’autorité et la force représentée par un père. L’équilibre des deux est nécessaire pour construire un enfant sain. ll en a toujours été ainsi, les trente dernières années n’ont rien inventé!

    De même que ce n’est pas à un enfant de décider les règles de vie dans un foyer. Vous me parlez encore de "droits" au nom des malheureux qui sont martyrisés dans leurs familles, et ce n’est pas mon propos.
    Il n’y a donc pas de juste milieu chez vous, entre carrément maltraiter et carrément laisser tout faire?

    Evidemment que les enfants ont des droits et qu’il faut les protéger, mais qui de sensé s’aviserait à dire le contraire?!

    Et la première chose à faire pour les protéger est de leur apprendre les règles et les codes qui régissent notre société, pour en faire des êtres intégrés et pleinement responsables. Les droits fondamentaux sont une chose, les devoirs en sont une autre.

    Le problème est que maintenant, les gens n’ont plus que des "droits" dont ils se servent abondamment pour piétiner les autres. Et les enfants le comprennent très vite. On voit tous les jours des enseignants, proviseurs, et éducateurs frappés, menacés ou traduits en justice pour avoir simplement réprimandé un enfant récalcitrant. Les parents réagissent comme des petits consommateurs bornés, qui ont le "droit", parce qu’ils sont "clients".

    Les "droits" servaient à protéger les plus fragiles, à l’origine, et j’étais sans réserve d’accord avec cet esprit des "droits". Aujourd’hui, ils servent surtout de prétexte pour s’arroger toutes les libertés, envers et au détriment de tous. Est-ce une bonne chose?

    Vous me reparlez du "manque d’éducation"…Mais à quoi est t’il dû, selon votre propre analyse?

    Qu’est-ce qui fait qu’en 1970 un élève ne parlait pas de sa réprimande à l’école du matin à ses parents de peur de se prendre un supplément à la maison, et qu’est-ce qui fait qu’aujourd’hui, ce sont les profs qui n’osent plus rien dire de peur d’être agressés et par l’enfant, et par la famille?

    Et le respect de la hiérarchie, des ainés, la méritocratie, que faites-vous de ces valeurs? Ou pensez-vous également au nom du progrès social que les "droits" des uns et des autres doivent gommer définitivement toutes les différences, tous les rituels, toutes les étapes?

    Un cancre turbulent doit t’il être l’égal d’un élève brillant?

    Un salarié malhonnête et paresseux devrait t’il être considéré de la même manière qu’un salarié laborieux et méritant?

    Une famille de gens sales, peu soucieuse de l’éducation de ses enfants et vivant des diverses allocations et de trafics devrait t’elle avoir le même confort de vie qu’une famille de gens propres, très impliquée dans le devenir de ses enfants et vivant d’activités professionnelles légales?

    Ou bien vos sacro-saints "droits" devraient-ils balayer toutes ces différences de mérite pour ne pas complexer ceux qui profitent des failles du système et les hisser au même rang que ceux qui se donnent du mal pour être les meilleurs?

    Vous n’empêcherez jamais la sélection naturelle entre ceux qui sont aptes à s’intégrer, et ceux qui ne veulent rien faire pour, et qui resteront toujours dans la marge de toutes les sociétés possibles et imaginables. Les prisons en sont pleines, d’ailleurs, de gens inclassables, ingérables et incapables de respecter quoi que ce soit. Mais leur sort ne m’inspire aucune compassion ni remord; ils sont seuls responsables de leur sort, je et vous n’y sommes pour rien.

    En clair, il y a des individus prompts à s’intégrer et réussir, d’autres pour lesquels ce ne sera jamais réalisable; ceux-la toujours seront pauvres, malades, alcooliques ou drogués, enfermés, rejetés et montrés du doigt. Ni vous ni moi n’y pouvons rien, et ce ne sont pas les humanistes calfeutrés dans leur joli petit nuage rose qui y changeront quelque-chose.

    14 juin 2010 à 17 h 07 min
  • Jaures Répondre

    Cher et fidèle Siniq, je pense que votre thèse sur les performances sportives pour définir les races humaines est extrêmement intéressante et vous devriez la développer.

    Ainsi, vous nous expliqueriez pourquoi, quand il s’agit simplement de courir, être Noir est un avantage, mais que dés que l’on pose des haies, il vaut mieux être Chinois.
    Pourquoi en natation, seuls les blancs sont performants, sauf pour les femmes où la Guyanaise Malia Matella fut vice-championne du monde et olympique il y 6 ans ?
    Pourquoi les Noirs courent-ils plus vite sur une piste d’athlétisme mais pas sur un cours de tennis où seuls les Blancs sont numéro 1 (sauf chez les femmes) ou sur un parquet de basket où ce sont les Russes et le Serbes qui dominent ?
    Pourquoi les Noirs Américains dominent jusqu’à 400 mètres et que ce sont les Noirs Kenyans ou Ethiopiens au-delà ?
    Pourquoi les Noirs sautent-ils plus loin (longueur, triple saut), mais pas plus haut (hauteur, perche) ?

    Cette thèse devrait vous occuper sérieusement. Ne manquez pas de nous informer de l’avancement de vos travaux.

    14 juin 2010 à 11 h 21 min
  • Jaures Répondre

    Cher Bidulon, nous nous retrouvons si les acquis du féminisme vous semblent positifs et que vous ne souhaitez pas les remettre en question.

    Que ces acquis n’ouvrent pas mécaniquement la porte au bonheur est une évidence. Ce qui est nécessaire, c’est que chacun assume ses choix, ceux de vivre avec un partenaire, d’avoir des enfants, de refaire sa vie quand les liens sont rompus.

    Au moins, aujourd’hui ce choix existe. Je ne prétends pas qu’autrefois les couples n’arrivaient pas à s’entendre, mais cela n’allait pas sans une grande part d’hypocrisie dont la victime était toujours celle qui avait le moins de droits.

    Je sais pertinemment qu’une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son conjoint. Cela a toujours existé mais n’est dénoncé que grâce au combat des féministes.
    Je ne sais d’ailleurs pas ce que vous appelez concrètement "terrorisme féministe". Aujourd’hui, ce sont encore les femmes qui occupent les postes les plus précaires, les moins rémunérés. Elles sont ultra minoritaires dans les sphères de décision politiques ou économiques.
    A la maison les femmes assument encore les deux tiers des tâches ménagères et s’impliquent bien plus dans la vie scolaire des enfants.
    Apparemment, ce "terrorisme" n’a pas encore porté ses fruits et les femmes sont en droit de montrer parfois leur impatience.
    A titre personnel, je ne considère pas comme castrateur d’accompagner les enfants à l’école, de prendre le balai ou de descendre faire les courses.

    Par ailleurs, il ne faut pas tout mélanger. L’enfant, tant qu’il est mineur, n’est pas l’égal en droit d’un adulte. Il a cependant le droit au respect: 20 000 enfants sont victimes de sévices, il faut les protéger.
    Par contre, la femme est l’égal de l’homme. Mais égalité de droit ne veut pas dire identité. Vous et moi sommes égaux en droits, nous avons cependant des modes de pensée et de vie différents qui relèvent de nos choix. Cette possibilité de choisir doit être la même pour tous.

    De même, c’est pour moi une évidence, la couleur de peau ne détermine pas vos droits et si vous pensez qu’un Noir, parce qu’il est Noir, doit se voir retirer certains droits, il faudra avancer de sérieux arguments et aller l’expliquer aux intéressés directement.

    De plus, je ne pense pas que le féminisme soit cause de troubles sociaux. D’autres facteurs comme le manque d’éducation et de culture, le chômage de masse et la précarité me semblent des causes beaucoup plus sérieuses de délitement social et de violence.

    Cette violence que vous dénoncez n’est d’ailleurs pas nouvelle, elle n’est pas propre à la France ni liée à des "bandes ethniques". Les viols par exemple dont vous parlez, tout comme les faits de pédophilie, ont lieu pour l’essentiel dans le cercle familial.
    Je ne nie pas l’existence d’une délinquance liée aux quartiers sensibles, mais il est facile de s’y focaliser.
    C’est contre toutes les violences qu’il faut lutter et y consacrer les moyens nécessaires.
    Si vous vous battez pour obtenir ces moyens, vous me trouverez à vos côtés.

    13 juin 2010 à 19 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    Comme d’ habitude, ma petite allusion sur vos commentaires,  cher Père Jaures ne fut pas comprise. Je les comparais à des comptines pour enfant mais quand on s’intéresse un peu à la psychologie de ces derniers, vos babillages leurs sont bien inférieurs.

    Malgré tout, je vous conseillerais cette petite histoire «  Le loup et Marlaguette ».

    Vôtre explication sur les sportifs sont faux comme souvent, car les athlètes est-allemands ne devaient pas leurs performances à leurs seules qualités physiques mais aux décoctions de certains docteurs «  Mengéle »  locaux qui avaient le soutien des dirigeants de ce pays afin de prouver la supériorité de «  l’ hommo-socialicus » sur l’occidental décadent de l’Europe de l’Ouest. De plus, les expériences est –allemandes n’ont donné des résultats que sur les nageuses. Une fois l’Allemagne réunie, les docteurs « Mengele » ont proposé leurs services à divers pays comme le Chine qui présentèrent des athlètes de demi-fond courant plus vite que des guépards.

    Dès qu’un sport fait appel à des qualités autres qu’intrinsèquement physiques mais aussi techniques, toute personne a sa chance.

    Certains européens partirent sur les hauts plateaux d’ Afrique pour s’entrainer, mais le résultat fut toujours le même, les kenyans et autres éthiopiens finirent toujours premiers.

    Mes petits camarades d’origine polonaise ou italienne ne fréquentèrent pas les tribunaux, ne mirent jamais le feu aux voitures de leurs voisins ou ne pratiquaient pas le trafic de drogue pour s’acheter les dernières chaussures à la mode, pourtant leurs parents étaient de simples ouvriers, mineur de fond pour les pères, ouvrières dans les lainières du Nord pour leurs mères, sœurs ou tantes. Pas de travailleurs sociaux parlant leur patois afin de mieux les comprendre ou les intégrer dans la société. Ils n’ont pas choisi un sport éprouvant pour se sortir de leur condition, ils ont simplement travaillé, comme tout à chacun qui veut s’en donner le courage.

    Régler les problèmes sociaux, vos verts amis tirent sur la police avec des kalachnikovs, apparemment ils sont imperméables à certains services nationaux puisque les pompiers en font aussi les frais. Certains postiers (facteurs) sont escortés par des grands frères simplement pour distribuer le courrier. Les services sociaux tant que cela leurs rapportent de l’argent et que l’on ne cherche pas un devoir en retour, tout va bien. Si vôtre vision sociale était exacte, comment se fait il que les enfants des réfugiés vietnamiens issus des « boat-people » ne soient pas des délinquants ultraviolents.

    Cette affirmation : « Aux Etats-Unis, le sport est une opportunité de promotion sociale » ; démontre vôtre parfaite méconnaissance du système sportif aux USA. Pour la plupart des grands sports comme le basket ou le foot-américain, les équipes professionnelles pratiquent par « Draft » pour les meilleurs tous issus d’universités diverses et dans le « free-agency », joueurs eux aussi issus d’université comme Florida, Florida State, Orégon, Orégon State, le terme State désignant une université d’état.

    Il existe une bourgeoisie afro-américaine aux Etats-Unis, les enfants pourraient devenir de grands cavaliers mais apparemment ils ne goutent guère aux joies de l’hippisme.

    Même si l’on suivait vôtre piteux raisonnement, comment se fait il que les représentants des  communautés asiatique et mexicaine ne soient pas plus nombreux dans les sports olympiques ou autres.

    Pour vos dernières incantations, la vieille histoire sur « le rythme dans la peau » est mauvaise car même en l’ an 3000 , les blancs auront toujours le «  cul vissé » pourtant les plus grands danseurs étoiles sont occidentaux, va savoir Charles.

    Sur les prisons sud –américaines, que viennent elles faires ici, nous parlons de l’Europe en général et de la France en particulier. Mais si ces pays sont désireux de les prendre sous leurs ailes, aucun problème nous serons heureux de leurs envoyer une banlieue entière de ces « chances pour le pays d’ accueil » et grand bien leurs face

    13 juin 2010 à 14 h 14 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Bidulon 13 et jaurès…

    Il y a une troisème voie : nous sommes en train de l’expérimenter en Corse, en Sardaigne, à Malte, bref dans toutes les petites communautés. Il suffit pour cela que les gauchistes soient peu nombreux et surtout moins cons que les gauchistes parisiens qui comptent parmi les plus imbéciles de la planète… et que les immigrés ne fassent pas la loi. C’est aussi simple que cela !

    13 juin 2010 à 11 h 43 min
  • bidulon13 Répondre

    Cher Jaurès, je ne remets pas en cause les nécessaires acquis de la femme comme le droit de voter ou de travailler, mon propos visait exclusivement le "terrorisme féministe" pratiqué dans ce pays depuis une trentaine d’années. Ne caricaturez donc pas mon propos, lorsque je parle de terrorisme, il ne peut évidemment pas s’agir de droits légitimes obtenus par de courageuses luttes.

    Je parlais bien de ce terrorisme intellectuel féministe qui pèse sur notre société depuis les années 70.

    Il en résulte aujourd’hui un profond mal-être chez les jeunes femmes, souvent bien incapables de vivre durablement en couple et de supporter la présence d’un partenaire masculin à ses côtés, fut t-il docile comme un agneau…tout cela parce que leur mère les a élevées dans le culte des "hommes, tous des salauds".

    Vous me citez "une vie" de Maupassant, parce que dans votre imaginaire, tous les couples étaient sans exception comme ça, sauf dans la famille Ingalls, pour vous citer. Ignorez-vous à quel point l’amour était présent également dans de nombreux foyers qui restaient unis à vie, malgré tous les tourments d’une vie? Une vie, ce n’est pas que du bonheur et du plaisir à consommer satisfait ou remboursé, c’est souvent des difficultés de santé, de finances, d’éducation à affronter conjointement, sans s’enfuir comme un péteux pour trouver un nouveau partenaire prêt-à-consommer à la moindre difficulté.

    Et ignorez vous qu’aujourd’hui, en 2010, malgré les acquis contemporains des femmes, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint?

    Et nous passerons le chapitre sur vos petits protégés de banlieue, qui eux, ont une conception bien arrêtée sur la manière dont il faut traiter les femmes…Mais cela ne vous préoccupe sans doute pas le moins du monde, il est vrai qu’à gauche, difficile de jongler entre la compassion officielle pour la petite racaille misogyne et le soutien sans faille à toutes les dérives féministes.

    Croyez-vous que les femmes sont épanouies aujourd’hui, dans une société rongée par la solitude, l’incapacité des gens a supporter les autres, ou l’on passe des années a attendre vainement le grand amour sur Meetic.fr ou dans des soirées speed dating pour célibataires, entre deux volées d’antidépresseurs?

    Oui, apparemment elles en ont l’air, elles se disent libérées, indépendantes, se consacrent à leur beauté et a leur apparence, mais elles n’ont jamais été aussi seules et abandonnées, parfois avec un ou plusieurs enfants de pères différents "sur les bras".

    La monoparentalité, la banalisation du divorce (aussitot consommé, aussitot jeté, digne héritage du baby-boom), j’y reviens encore, ont été catastrophique pour l’éducation des filles.

    Dans de nombreux foyers, les enfants ont pris le pouvoir, car leur seule mère n’a pas les moyens d’imposer son autorité, elle préfère souvent s’effacer derrière un rôle de bonne copine que de mère garante de l’autorité. Combien de mères seules se disent aujourd’hui "débordées" par leur(s) enfant(s)?

    Alors si vous trouvez naturel qu’aujourd’hui les filles se distinguent de manière inédite dans la délinquance, les bandes violentes de filles, fument et perdent leur virginité à douze ans, portent des strings et exhibent leurs corps sur webcam à leurs copains de classe, si vous trouvez cela idéal et sans accroc, et bien ayez au moins le courage de me le dire en face!

    Si pour vous ce résultat est satisfaisant, je vous laisse à votre douce folie…Voila toute l’hypocrisie du peuple de gauche qui est viscéralement incapable de condamner les dérives de ce qu’ils ont soutenu parfois plusieurs décennies en arrière.

    C’est avec complaisance que vous avez assisté à la destitution du rôle du père dans la famille, celui qui incarnait l’autorité et la sécurité du foyer. Car depuis la grande libération de 1968, l’autorité est devenue obsolète, voire même prohibée.

    Le père n’est plus, est quand il y est, c’est un mâle castré moderne qui peine à trouver sa place au sein de sa propre famille. Des études récentes réalisées auprès d’adolescents ont démontré que le père était souvent  vécu par les jeunes comme un suppléant effacé de la mère omnipotente.

    Mais c’est la modernité, la course à l’égalité, l’enfant doit être l’égal du parent, l’homme doit être l’égal de la femme, le noir doit être l’égal du blanc. Jusqu’ou iront nous dans cette course à l’absurdité?

    Vous venez déplorer la banqueroute de l’éducation, alors que ce sont des gens comme vous qui ont bâti méticuleusement cette société abandonnée et sans repères, et aujourd’hui encore, vous ne trouvez même pas l’honneteté de dire que c’est allé trop loin et que l’on est dans la dérive absolue.

    Mieux, je vais vous dire que la société va se radicaliser face à cette délinquance, politiquement, et puis civilement, lorsque les gens auront enfin pris conscience que les politiques ne peuvent rien pour eux. On assistera à une montée en puissance des sociétés privées de sécurité, de l’autodéfense et des milices, tout ça parce qu’un raz-le-bol général qui dure depuis une vingtaine d’années n’a jamais été écouté par les élites, parce que pendant que des gamines de quinze ans se font quotidiennement violer et frapper dans le RER par des bandes ethniques, des petits bourgeois rondouillards de gauche sont grassement payés pour venir raconter sur la télévision publique que l’insécurité n’est en fait qu’un "sentiment" d’insécurité…

    13 juin 2010 à 9 h 18 min
  • sas Répondre

    A jaures….

    ….quand il y en a 1 ca va…….c’est quand il y en tout plein partout et au gouvernement et parlement….que ca pose de sérieux probmlèmes de représentation….dite NATIONALE.

    J e leur déni de représenter SAS, même en rêve et où que ce soit……à ces gens là.

    Ils ne parlent, n ont parlé et ne parleront JAMAIS en mon nom….point

    non négociable…qu ils s occupent de leurs b….. respectives entre eux et au seing de leur confrérie, et surtout pas de mon cul.

    …… l intérêt général est baffoué en permaneneceet proportionnellement au bruit que l on fait en prétendant le defendre, alors qu on le piétine ardamment par la complaisance et la prime à la médiocrite et le pouvoir de nuisance.

    SAS

    12 juin 2010 à 3 h 35 min
  • Jaures Répondre

    Cher Bidulon13, difficile répondre en quelques mots à votre diatribe.

    Tout d’abord, avant de contester votre sévère constat, tout était il pour le mieux avant ?
    La famille était-elle cette cellule unie où le rôle de chacun était défini dans un cadre éternel où le respect de chacun était préservé ? Soyons clair, cela n’a existé que dans "La petite maison dans la prairie".

    Relisez Maupassant ("Une Vie") ou  Balzac ("La cousine Bette") ou Flaubert afin de mieux cerner l’hypocrisie et la violence qui régnait au sein des couples quand l’amour s’était enfui (quand il avait existé) et que la séparation était impossible. Combien l’homme pouvait tout se permettre sans se gêner quand la femme devait subir et fermer les yeux.

    Entendons-nous bien, Bidulon, je ne pense pas que la femme soit la servante de l’homme.

    Je pense donc que les acquis du féminisme qui ont permis l’émancipation des femmes sont positifs. Rappelez-vous que jusqu’au début des années 60, les femmes devaient demander à leur époux la permission de travailler, de posséder un compte en banque,…
    Elles ne pouvaient accéder à de nombreux métiers.
    Voulez-vous revenir sur ces avancées ?
    Vous parlez de "terrorisme féministe" mais quel mouvement social a pu tant obtenir sans jamais la moindre violence ?

    Sur les comportements sexuels modernes, ils sont les mêmes qu’autrefois: il n’y a pas plus d’homos qu’il y a un ou 25 siècles. Heureusement, ces comportements ne sont plus réprimés. Et vous ne pourrez pas nier qu’être homo n’a jamais empêché d’enrichir à la civilisation, notamment dans les Arts et les Lettres.

    Je dirai pour conclure que, comme en économie, ce n’est pas la liberté qui compte mais ce qu’on en fait. La liberté n’apporte pas mécaniquement le bonheur. Elle en est cependant une condition indispensable.

    Mais comme en économie, la liberté demande qu’on la régule pour que l’intérêt général soit préservé.

    11 juin 2010 à 14 h 18 min
  • bidulon13 Répondre

    Mon cher Jaurès, vous dites que la meilleure des préventions est l’éducation, et la-dessus je vous rejoins à 100%. Ce n’est pas à la police ou à l’éducation nationale de se substituer aux parents.

    L’éducation est dispensée par les parents, justement, au sein d’une famille unie par des valeurs que l’on se transmet de génération en génération. C’est ce qui avait assuré jusqu’ici la solidité de notre civilisation.
    Mais que reste t’il de ces valeurs, aujourd’hui? Rien.

    Que reste t’il de la famille, dans une société qui a érigé la monoparentalité, l’homosexualité et l’émasculation des hommes en normes branchées?

    La massification de la monoparentalité a été introduite par la banalisation du divorce, l’explosion des libertés sexuelles et le terrorisme féministe. Le mariage est devenu dépassé, ringard, pourquoi se coltiner les petits travers d’un seul partenaire pendant cinquante ans lorsque l’on peut s’éclater sexuellement, avec des personnes du même sexe, de trente ans de moins ou de plus?

    Consommer, jouir, gaspiller et jeter, le baby-boom est passé par la!

    L’homosexualité  a été décomplexée par la "libération sexuelle", et les démarches démagogiques des partis politiques recherchant toujours davantage le nivellement de la société par le bas, à des fins clientélistes. La gauche s’est largement engouffrée dans cette facilité. On défend ‘le droit à la différence" et la sacro-sainte "égalité", l’homosexualité doit être érigée au même statut que l’hétérosexualité.

    L’émasculation des hommes et l’éradication du père est devenue la norme imposée. Pour etre un homme "moderne", il faut aujourd’hui se faire piétiner par sa compagne et humilier par ses enfants, entre deux séances de peeling pour homme. Ou est donc passé le mâle qui travaille dur pour subvenir aux besoins de sa famille, qui incarne l’autorité, la sécurité et la force dans son foyer. Un macho primaire, un beauf en voie de disparition, me dirait t’on à gauche, en ricanant.

    Que reste t’il de la famille dans une société ou le travail est devenu ringard, la politesse dépassée et la culture, les belles lettres et l’école désuètes?

    Ou le langage SMS commence a s’introduire dans le Larousse avec la bénédiction des académiciens, ou les i-pod, i-pad et Facebook ont relégué le livre au rang de curiosité historique…

    Que reste t’il de la famille dans une société ou les femmes sont davantage préoccupées par leur ambition personnelle et leur jeunesse éternelle que par le devenir de leurs enfants?

    Dans ce contexte de déchéance organisée, parler de famille unie par les liens du sang, de mariage est aujourd’hui devenu presque risible, un fantasme d’aristocrate fin de race, me dirait t’on également entre deux rires.

    Et qui sont tous ces apôtres de la décadence, qui depuis la fin des années soixante ont prêché pour normaliser cet abandon définitif et généralisé de toutes ces valeurs qui jusqu’alors avaient assuré la perennité et la suprématie de notre civillisation?

    Ce sont tous ces gauchistes qui ont gangréné notre société pendant quarante ans, et c’est loin d’être fini. Pas une semaine sans son lot de viol d’adolescentes, d’enseignants roués de coups, d’élèves tabassés dans l’enceinte même des établissements scolaires. Et les intellectuels à la mode nous disent que c’est mieux qu’avant, quand les élèves tremblaient devant leurs maitres et leurs parents. Que l’insolence est préférable à la discipline, que l’épanouissement personnel et égoiste de chaque enfant est préférable au respect strict des règles de vie en société.

    Bien, c’est super! On est encore dans la douce masturbation idéologique, sans même soupçonner que l’on a déjà foutu en l’air plusieurs générations d’individus, dont les comportements aberrants ne permettront jamais d’intégrer simplement une entreprise, ou de réussir une vie de famille saine.

    Que de futurs destins brisés, de futurs gens malheureux, d’exclus, de déchets humains l’on fabrique à tour de bras dans nos foyers recomposés et écoles en déliquescence, pour ne pas reconnaitre que l’on à fait fausse route et qu’il faut vite se reprendre!

    On en arrive à une société ou c’est devenu normal de se faire insulter, de voir des jeunes se taper dessus pour une broutille, de bousculer sans dire pardon, de ne pas dire bonjour ni merci, de violer une fille, d’assassiner banalement quelqu’un pour lui voler 10€.

    Dites, c’est une société comme celle-ci que vous rêviez d’obtenir, les humanistes endoctrinés, ou bien vous allez finir par reconnaitre que vous vous êtes lourdement trompés, lorsque vous proniez l’éducation sans contraintes, la libération des moeurs et l’abolition de l’autorité?

    Car demain, nous périrons assassinés par nos propres enfants, incapables que nous avons été de leur expliquer la différence entre le bien et le mal, la nécessité des bonnes manières, du respect de son prochain et de la discipline qui assurent la pérennité des sociétés avancées. Non, nous étions trop occupés à les pourrir de gadgets technologiques branchés pour nous faire pardonner de ne jamais avoir une seconde à leur consacrer…Nous étions trop occupés a vouloir rajeunir, a draguer des jeunots dans les boites branchées, a faire du fitness et des UV pour continuer à séduire, à cinquante ans, des conquêtes de passage dans nos lits, nous n’avions pas une seconde à leur consacrer pour vérifier si les devoirs étaient bien faits, les leçons apprises, si le carnet de correspondance ne cachait pas des retards et des absences injustifiées.

    Alors quand la gauche vient aujourd’hui nous parler de carences sociales à l’origine de la délinquance, alors qu’elle a copieusement encouragé pendant quatre décennies cette escalade dans la médiocrité, cela ne peut que me faire rire, même si je ris jaune.

    10 juin 2010 à 22 h 17 min
  • Jaures Répondre

    Cher Bidulon, je ne légitime absolument pas les délinquants.
    La question est de savoir si vous souhaitez voir le nombre de délits baisser ou augmenter.
    La délinquance se traite sur 3 fronts d’importance égale: prévention, dissuasion, répression.

    La meilleure des préventions est l’éducation et la formation pour tous. Ne dîtes pas que les jeunes de quelque origine ne souhaite pas réussir. L’immense majorité le veut et doit avoir sa chance, et pas seulement les quelques centaines choisis sur le tas pour bénéficier des établissements d’excellence.
    Les excellents élèves s’en sortent toujours.
    Mais tout le monde, quelle que soit ses capacités purement scolaire doit trouver moyen pour s’insérer.

    Ensuite, il faut dissuader notamment par la présence policière de proximité avec des agents formés et présents sur le terrain.

    Enfin, il faut réprimer mais en songeant à la réinsertion. La prison pour la prison conduit à la récidive, donc à de nouvelles victimes.

    Régler les problèmes sociaux n’est pas un tour de magie. Cela demande une intervention de l’état, un investissement massif dans l’éducation, la formation et la culture.
    De même que si l’on supprime la cigarette on ne supprime pas le cancer, régler les problèmes sociaux n’éradiquera pas la délinquance: toute société génère une forme de délinquance.
    Mais une certaine forme de délinquance qui prend corps dans des quartiers à l’abandon parmi une population délaissée régressera.

    Quand on veut on peut, mais certains n’ont guère besoin de volonté: Pierre Bachelot, le fils de la ministre vient d’être embauché aux côtés de maman à l’INPS. Le profil recherché était un diplômé de Sciences Po. L’heureux élu est diplômé de l’Institut des Arts de Paris.

    De toute façon, nous n’avons pas le choix. Il faut essayer car tout le reste a échoué.

    10 juin 2010 à 12 h 00 min
  • bidulon13 Répondre

    @Jaures

    "Réglez les problèmes sociaux, vous réglerez une bonne part de la délinquance"

    Comment "régler les problèmes sociaux", avec quelle baguette magique?

    Vous êtes en train de sous-entendre que les exactions commises par les délinquants des banlieues seraient donc légitimées, auto-justifiées par le climat social qui ne serait pas propice à la promotion sociale des familles. Cessez donc d’ériger ces vermines en martyrs, ils n’ont jamais rien fait pour changer leur condition; mieux, ils s’en sont fait une alliée, un joker qui leur permet d’agresser, de voler et parfois de tuer avec toujours un statut de victime, tant qu’il leur restera des gens comme vous pour les victimiser.

    Donnez leur du travail, ils n’en veulent pas, trop de contraintes et de hiérarchie, et surtout, pas assez d’argent "facile". Donnez leur des immeubles tout neufs, ils en feront des bidonvilles en quelques semaines, ils sont incapables d’intégrer la moindre notion de civisme et d’hygiène. Donnez leur une chance, votre confiance, et ils vous voleront, vous dépouilleront, vous menaceront de mort. Il n’y à définitivement rien à en tirer.

    Leur sort ne m’inspire pas la moindre compassion. Peut-être suis-je un socialiste qui s’ignore, à être davantage touché par la souffrance silencieuse des ouvriers et petits employés sous-payés, des retraités, chomeurs et étudiants sans-le-sou.

    Une question;

    Combien de français (de souche, et issus de l’immigration) vivent en dessous du seuil de pauvreté, aujourd’hui? Vous n’imaginez pas le nombre de retraités qui vivent pauvrement, le nombre d’agriculteurs, de petits commerçants et artisans qui n’arrivent plus a joindre les deux bouts, de travailleurs précaires et sous-payés qui ne se nourrissent pas à leur faim et sont mal logés, d’étudiants sans le sou contraints à travailler à coté pour financer les études…tous ces français ordinaires, qui subissent en silence et qui sont les premières proies de vos petits protégés, je les plains, eux.

    Ils n’ont pas sombré dans la facilité du vol, de la fraude aux allocations, la gratuité de l’agression, la barbarie du viol pour meubler leur vie de déchets humains. Les délinquants sont comme des microbes, si on les laisse prospérer dans un climat d’impunité et de toute-puissance, alors ils proliféreront et prendront le pouvoir. c’est ce qui se passe depuis un certain temps dans notre pays, annonçant inévitablement une confrontation avec le reste de la population.

    Réflechissez: pouvez-vous sortir le soir dans certaines rues de votre ville? non? et pourquoi? parce que les simples citoyens y sont des cibles faciles, et que visiblement l’ordre républicain n’y est plus respecté. C’est la loi du Talion qui a pris le dessus. Vous, le modeste travailleur, qui payez de lourds impots pour votre sécurité, êtes contraints de rentrer chez vous passée une certaine heure,
    d’éviter certains quartiers, de baisser la tête dans les transports en commun, de poser des cannes antivol sur votre véhicule et de bien cadenasser votre maison, parce que quelque part dehors, une poignée de mineurs bien connus des services de police et de justice mais jamais inquiétés pour autant, baignent dans une enivrante illusion de toute-puissance dans laquelle votre vie, votre intégrité morale et physique ne valent absolument rien. S’il faut poignarder un septuagénaire, frapper une femme enceinte ou taper dans une poussette, ils le feront sans hésiter.

    Que risquent t’ils? un placement de quelques semaines dans un centre fermé dans lequel ils feront du cheval, des stages de ski à la montagne à vos frais? Et quand ils ressortiront, ils reprendront de plus belle, et de façon plus violente encore, enorgueillis doublement par le laxisme judiciaire et par leur future réputation de petits durs qu’ils se seront taillés dans leur rue.

    Alors je voudrais savoir; pourquoi dans le fonctionnement d’un humaniste, la vie d’un délinquant vaut mille fois plus que celle d’une victime, ou celle d’un policier?

    Parce que moi, dans ma logique personnelle, chaque vie est égale d’importance. Je ne vais pas favoriser le bien-être d’une population ou d’une autre, au prorata de mes divagations idéologiques.
    On en est arrivé à un point dans ce pays ou le meurtre d’un policier ne touche plus que la population de droite, et celle d’un délinquant la population de gauche. A chacun sa clientèle!

    La vie est un jeu de société, avec ses règles, mais aussi avec ses tricheurs. Les délinquants sont des tricheurs, et qui plus est des mauvais perdants.

    Le social n’a rien à voir la dedans. Chaque individu, toutes races confondues, est maitre de ses décisions, de sa vie et de son comportement. Il existe des gens qui sont partis de rien, d’une extreme pauvreté, et qui ont bati des empires à force de travail et d’acharnement. J’ai connu des immigrés au parcours à faire pâlir de honte et de respect n’importe lequel d’entre nous.

    Mais cela emmerde beaucoup de monde à gauche, le mythe du "quand on veut, on peut". C’est tellement plus facile de devenir une loque humaine et d’en attribuer bruyamment la responsabilité à des entités génériques telles que l’état, les patrons, la droite, la violence policière, le racisme des "petits blancs", la crise, etc…

    A chacun ses responsabilités. A gauche, aujourd’hui, on défend ardemment des petits criminels sans coeur, sans aucune considération pour la vie des autres, sans aucun respect pour les plus anciens, les plus fragiles, tout ça pour assouvir un petit fantasme bourgeois suranné dans lequel "personne n’est mauvais, c’est la société qui rend les hommes méchants"…Vous êtes tombés plus bas que la poussière, à gauche. Si Jaurès, le vrai, était en vie, il trouverait certainement que les "humanistes" d’aujourd’hui ont complètement perdu les pédales, et chantent à l’unisson avec ceux qu’ils sont censés combattre.

    Je vous laisse en paix avec votre bonne conscience.

    Un jour peut-être comprendrez-vous tout le mal que vous avez fait -sans doute involontairement- à votre pays. Votre aveuglement en tous cas, ne vous épargnera pas les souffrances à venir, bien au contraire.

    9 juin 2010 à 20 h 43 min
  • maury Répondre

    Toutes ces associations doivent être dissoutes comme l’a été LA HALDE!Jetons ce ramassis  de
    demeurés trotskiste qui persécutent les gens biens, et défendent par leur inertie toute la racaille existante
    dans notre beaux pays!Jetons  tous les bobos -gauchos-collabos qui permettent par leur
    connerie, par leur lâcheté,  l’invasion de notre Pays pendant qu’il est encore temps!montrons que nous sommes encore capable de défendre nos valeurs,comme nos ancêtres pour conserver notre liberté,nos
    droits ,notre souveraineté!bloquons le projet des future mosquées et rejetons à la mer les imams prêcheurs de haine!
    "LE PRIX DE LA LIBERTE C EST LA VIGILANCE ETERNELLE!!!!"(Thomas Jefferson!)

    9 juin 2010 à 17 h 13 min
  • Jaures Répondre

    François, vous ne trouverez pas un seul de mes posts où je généralise les frasques, comme vous dîtes, de certains prêtres sur l’ensemble de l’église. Et pour cause, la quasi totalités des cas de viols ou de pédophilie ont lieu au sein des familles. Les autres cas ne sont pas représentatifs: les pédophiles vont naturellement où se trouvent les enfants. L’église n’est qu’une opportunité parmi d’autres (école, centres de vacances, …).
    Merci donc de retirer vos propos.

    Siniq, vous devriez nous faire un disque: "Jaures, la compile".

    Pour le reste, tout relève du bon sens populaire rabaché.

    Glissons donc rapidement:
    les prisons ont de tous temps été occupés par les classes défavorisées masculines. Les immigrés sont très majoritairement des hommes et dans des situations sociales précaires. Autrefois, c’était les italiens, les Portugais ou les Polonais qui occupaient nos prisons.
    Il y a à Neuilly la même proportion d’étrangers qu’à Sarcelles (12%). Pourtant il y a peu de délinquants (autres que financiers). Les pays où la délinquance est la plus élevée (Bolivie, Mexique, Russie) n’ont pas d’immigrés arabo-musulmans mais beaucoup de pauvres.
    Réglez les problèmes sociaux, vous réglerez une bonne part de la délinquance

    Si une demi-seconde au cent mètre vous permet de définir une race, vous auriez sans doute, il y a 30 ans définit une race est-allemande !
    Tout cela est ridicule: les sports les plus durs sont trusté par les habitants des pays où les conditions de vie sont difficiles. Aux Etats-Unis, le sport est une opportunité de promotion sociale.

    Ca me rappelle cette vieille blague: en l’an 3000, les Noirs ont pris le pouvoir. Un Blanc cire les chaussures d’un riche Noir en sifflotant "au clair de la Lune".
    – Vous les Blancs, dit le Noir, on dira ce qu’on voudra mais vous avez diablement le rythme dans la peau.

    Les Noirs ne sont pas plus doués pour tel ou tel sport. Bientôt, certains d’entre eux brilleront en équitation comme ils peuvent briller au tennis ou au golf, sport qui leur étaient impossibles d’accès il y a 30 ou 40 ans.

    9 juin 2010 à 14 h 01 min
  • IOSA Répondre

    Il existe même chez les chrétiens des gens de bien, pourtant ces mêmes gens placés au moyen orient et dans un pays ravagé par l’ Islam, ne sont pas bien vu par les autochtones et à plus forte raison…par les autorités du dit pays.

    Déjà et selon notre concept européen, nous savons parfaitement qu’il ne s’agit pas de notre image que l’on balance en travers de la figure de ces braves gens, ni même de l’image d’eux que nous leur renvoyons, mais tout simplement le fait qu’ils ne nous aiment pas….parce que nous sommes différents d’eux par notre culture.

    Et c’est très exactement ce qui arrive aux immigrés, lorsqu’ils arrivent en France ou en Europe.

    Il faut avoir le courage de le dire.

    Donc, je donne raison à Jaurès dans ses explications.

    IOSA

    9 juin 2010 à 13 h 48 min
  • Anonyme Répondre

    Père Jaures, raconte nous une histoire
    Même deux histoires
    Père Jaures, mets tes lunettes et lis nous tout !

    Père Jaures, raconte nous une histoire
    Père Jaures, raconte nous deux histoires
    Père Jaures, Père Castor, mets tes lunettes et lis nous tout

    Lis nous, dis
    Oui l’histoire encore, pour petits
    Grands et moyens soumis
    Nous, Siniq, Scipion  et François
    On t’écouterait bien

    Père Jaures, mets tes lunettes et lis nous tout, tout
    Que sont devenus les roses promesses ?
    Peut on avoir un socialiste chez soi ?
    Quand reviendra Mitterrand, le cagoulard
    La rose de Martine ?

    Quand reviendra  Mitterrand, le cagoulard
    La rose de Martine ?

    Père Jaures raconte nous une histoire
    Parles fort on entend peu
    Tu nous raconte
    Nabil qui est toujours vainqueur.
    Père Jaures raconte nous une histoire

    Voilà ce que m’inspire le galimatias de « Jaures l’ étroit » ; pourtant il faut raison garder. Le matraquage du politiquement correct réduit le libre arbitre des citoyens.

    Nous avons tous remarquer que nôtre « Pink-thinker » est un adepte des statistiques surtout quand ces dernières le confirment dans sa ligne de pensée mais dans le cas contraire comme sur la forte présence d’ immigrés dans les prisons de France et de Navarre, il nous répond par une pirouette, quand ces derniers ( les chances pour la France) n’étaient point en Gaule, les pénitenciers étaient  surchargées de vilains corses. Le seul souci, c’est que le chiffre des détenus a explosé sans que celui des vilains corses augmente. Comme là si bien dit Jaures, ils sont sous les verrous pour défaut de papiers. A ce stade, la niaiserie c’est de l’art !

    Les races n’existent pas selon les parangons du «  On est tous pareils » ; donc pourquoi nous bourrer le mou avec le racisme. Mais dans le culte de la repentance où les héritiers de la libération (communistes et consorts)nous l’ enfoncent jusqu’ à la gorge, nous sommes encore redevables.

    Nous remarquerons que nôtre barde de l’ égalitarisme ne connaît que des immigrés ayant tous des emplois patronaux ou élevés dans la hiérarchie des entreprises, les « chances pour la France », ils ne les voient pas ou plutôt ne veut pas les voir, ils ruineraient ses visions ectoplasmiques de monde parfait.

    Pour vôtre information, certains groupes ethniques sont moins immunisés que d’autres face à des infections et j’ aimerais que l’ on m’explique , le fait que sur des épreuves de sprint court, la majorité des concurrents sont majoritairement de type africain quelque soit le pays qu’ ils représentent. Et là pas d’explication de hauts plateaux mais là aussi dans ce cas pourquoi les habitants des Andes ne trustent pas les médailles dans les courses longues.

    Désolé, Jaures mais vous êtes à côté de la plaque, comme souvent !

    8 juin 2010 à 14 h 47 min
  • François Répondre

      Il est dommage, Jaures que votre " analyse " sur l’image soit sélective. C’est ainsi que, pour vous, si un noir a une image de fainéant, c’est en raison des préjugés malveillants des autres. Par contre, l’image de l’église, par exemple, quand elle est négative , n’est pour vous due qu’aux frasques de certains de ses membres que vous vous hâtez de généraliser…

    8 juin 2010 à 9 h 07 min
  • Jaures Répondre

    Vous avez raison, cher François, vous pouvez être victime d’actes racistes tout en étant blanc. La bêtise est la chose au monde la mieux partagée quelle que soit l’ethnie. Mais mon raisonnement est le même.

    Si vous êtes blanc, noir, jeune, vieux,…vous ne maîtrisez pas votre image. Le regard de l’autre, parasité par des préjugés, vous jugera à votre insu.
    Vous pouvez brouiller cette image (par le costume, le langage, le comportement,…), mais dans la limite de la tolérance de celui que vous croisez.
    Ainsi, ces pompiers qui refusaient qu’une femme fasse partie de leur caserne. Comment une femme peut-elle changer l’image que se font ces hommes de sa propre nature ?
    Ou bien ces Noirs qui ne pouvaient partager les bus des blancs aux états unis avant les droits civiques. Comment faire quand votre image vous dénie vos droits ?

    Changer sa propre image ne dépend pas que de soi mais d’un contexte culturel, politique, éducatif qu’un individu ne maîtrise pas.

    Et appeler quelqu’un "ami" n’a rien d’humiliant pour moi. Nous dialoguons calmement, c’est une forme d’amitié, au moins virtuelle. Que nous ne partagions pas les mêmes opinions n’est pas bien grave. Certaines familles se déchirent pour bien moins.

    7 juin 2010 à 22 h 10 min
  • Jaures Répondre

    Scipion, si 100 000 personnes suffisent à représenter un peuple, à quoi bon le suffrage universel.

    Mais comment allez vous choisir cet échantillon représentatif ? A la manière des sondages ? Auquel cas, il vous faudra revoir votre échantillon tous les mois.

    100 000 personnes sont d’autant moins représentatifs d’un peuple que ce dernier est mouvant, changeant instable. Vous aurez, au mieux, une photo lié à un contexte mais qui ne sera plus efficiente sortie de ce contexte.

    Cheik Modibo Diarra n’est pas plus représentatif de son peuple que n’importe quel astrophysicien l’est du sien, pas plus que Nadal ne fait de l’Espagne un peuple de tennismen. Il n’y a pas de "peuples de conquérants de l’espace" mais des pays qui, lors de contextes spécifiques, développent une telle ambition.

    7 juin 2010 à 12 h 55 min
  • François Répondre

     " Si vous êtes noir, un raciste pourra à priori vous être hostile…"
     Et si je suis blanc un raciste ne me sera pas hostile? Ou peut être que l’on ne peut pas être raciste vis à vis d’un blanc? Ou qu’un noir ne peut pas être raciste?
     Cela dit, votre affirmation que l’on renvoie l’image que les autres se sont créés de vous est pour le moins réductrice. D’abord, c’est l’objet qui crée l’image et non l’inverse. Ensuite, ramener autrui à un simple miroir qui ne saurait que renvoyer l’image que vous vous êtes faites de lui est flatteur pour votre ego et insultant pour lui. Enfin, votre affirmation infantilise autrui en lui déniant toute responsabilité dans son image.
     
     Pour terminer, il m’est toujours pénible de voir quelqu’un s’humilier en m’appelant " mon cher" ou "ami untel" alors qu’il n’en pense pas un mot…

    7 juin 2010 à 11 h 31 min
  • Scipion Répondre

    "L’attitude rationnelle serait pourtant celle que suit mon employeur (avec lequel j’ai parfois des tensions mais pas sur ce point): "Pour un poste à pourvoir, dit il (et je l’ai vérifié), je choisis le meilleur, peu m’importe qu’il soit blanc, noir, jaune ou bleu".

    Un individu ne représente que lui-même. Cheikh Modibo Diarra ne fait pas des Maliens un peuple de conquérants de l’espace et, moi, je ne raisonne qu’en termes de communautés.

    A l’opposé, je pense que cent mille personnes, considérées en bloc, sont représentatives de la communauté, ou du peuple, dont elles sont issues.

    6 juin 2010 à 22 h 57 min
  • Scipion Répondre

    "L’attitude rationnelle serait pourtant celle que suit mon employeur (avec lequel j’ai parfois des tensions mais pas sur ce point): "Pour un poste à pourvoir, dit il (et je l’ai vérifié), je choisis le meilleur, peu m’importe qu’il soit blanc, noir, jaune ou bleu".

    Un individu ne représente que lui-même. Cheikh Modibo Diarra ne fait pas des Maliens un peuple de conquérants de l’espace et, moi, je ne raisonne qu’en termes de communautés.

    A l’opposé, je pense que cent mille personnes, considérées en bloc, sont représentatives de la communauté, ou du peuple, dont elles sont issues.

    6 juin 2010 à 21 h 14 min
  • Jaures Répondre

    Ami François, "raciste" ou "fasciste" n’est pas une image. Sauf à vous promener en uniforme nazi, personne ne peut deviner vos idées.
    Si vous possédez une réputation, ce qui est différent, de fasciste raciste, c’est que votre discours ou vos actions la confirme.

    Le fait de ressentir une aversion pour un groupe ethnique n’est pas lié aux idées exprimées par tel ou tel individu, mais uniquement à son apparence. Ainsi, François, je ne sais pas si vous êtes fasciste, mais si vous êtes Noir, un raciste pourra a priori vous être hostile.

    Il en est ainsi de l’attitude de Scipion qui prendra a priori 100 000 Allemands plutôt que Grecs pour valoriser une terre nouvelle.
    L’attitude rationnelle serait pourtant celle que suit mon employeur (avec lequel j’ai parfois des tensions mais pas sur ce point): "Pour un poste à pourvoir, dit il (et je l’ai vérifié), je choisis le meilleur, peu m’importe qu’il soit blanc, noir, jaune ou bleu".
    Ainsi, cher Scipion, la blague qui circulait sur l’Europe était que celle ci fonctionnerait si le touriste est accueilli par les Anglais, que l’organisation est allemande, la cuisine française et l’animation italienne.
    Imaginez que les Français accueillent, que les Italiens organisent, que les Anglais cuisinent et les Allemands animent !!

    Sur votre Terre, Scipion, il vous faudra choisir les plus compétents pour les différents métiers qui vous seront nécessaire en faisant fi de vos préjugés.

    6 juin 2010 à 15 h 09 min
  • François Répondre

      " On renvoie de soi même l’image que les autres se sont créés de vous…"
     Donc, si on renvoie une image raciste, c’est que les autres ont créé cette image de moi.
     Si on renvoie une image " faciste" c ‘est que les autres ont créé cette image de moi…
     
    Fort de ce principe, je ne comprends pas que vous vous en preniez  aux " fachos" et aux "racistes" puisque ce sont les autres qui sont responsables de l’image qu’ils envoient…

    Quand à l’image de "pink thinker" de mauvaise foi que vous traînez sur ce site, vous en êtes, croyez moi, l’artisan exclusif…

    6 juin 2010 à 10 h 56 min
  • IOSA Répondre

    Scipion@….

    ????

    Pourquoi faire une comparaison avec des exemples dont la nature même dénote avec vos affirmations ?

    Ainsi, vous ne pouvez pas comparez l’ Afrique avec l’ Europe, puisque déjà à la base l’évolution culturelle était différente….Eux vivaient en tribues éparses, vivaient de ceuillettes, de chasses, avec aussi quelques troupeaux et surement pas d’agriculture et d’élevage intensifs qui aurait permit un balbutiement d’industrie…. comme les européens.

    Les besoins des africains n’étaient absolument pas les notres….eux c’étaient nous durant la préhistoire.

    Il n’est donc pas étonnant, que les anglais aient mis 8 siècles à industrialiser quelque peu l’ Afrique avec les autochtones et encore…il reste beaucoup à faire !

    Par contre, votre exemple démontre parfaitement ( comme partout où il y a eu des colonies), que le racisme est bien le fait que l’on considère l’autre comme un être inférieur, juste bon à servir de main d’oeuvre, puisqu’il n’en fait rien (selon nos critères) de ses richesses ( dont il ignore même encore, l’importance à nos yeux) et que de surcroit, il adore une ou plusieurs divinités "payennes".

    En ce qui concerne Borhringer….le fait de trouver une résonnance spirituelle conforme à notre esprit, ne prévaut pas une supériorité, mais simplement que nous pensons à l’identique ( après que Borhinger s’en serve pour insinuer qu’il est supérieur, ne fait qu’abonder à mon sens).

    IOSA

     

     

    5 juin 2010 à 22 h 24 min
  • Scipion Répondre

    "Pourquoi ne pas aller au fond de la chose et dire tout simplement qu’être raciste…c’est considérer l’autre comme un être inférieur en raison de son sexe, sa physionomie, sa couleur ou sa croyance."

    Pourquoi ? Parce que ça ne tient pas la route ! L’infériorité en soi n’existe pas plus que la supériorité en soi et les deux éléments sont parfaitement subjectifs.

    Richard Bohringer pourra vous entretenir pendant des heures de la "supériorité spirituelle" des Africains de l’ex-AOF, tandis que Gregory Clark, économiste et historien, professeur à l’Université de Californie Davis, explique dans "A Farewell to Alms" que le développement de l’Afrique se heurte à quatre obstacles rédhibitoires que les Anglais, sur lesquels il a fondé son étude, ont mis huit siècles à surmonter :

     1. une vie tournée vers le présent et l’incapacité à  consentir des sacrifices immédiats pour un mieux-être ultérieur

    2. une maîtrise très approximative du calcul, de la lecture et de l’écriture. Et une volonté insuffisante de développer ces compétences

    3. la résolution des conflits par la violence physique plutôt que par la négociation

    4. une quantité de travail insuffisante.

    A partir de là, on constate que nous vivons, non pas dans un grand village, mais sur deux planètes différentes où la comparaison est insensée, et le classement beaucoup plus encore.

    La seule conclusion que nous pouvons en tirer, c’est que, par delà tous les dogmes étouffants de l’égalitarisme, nous ne sommes pas faits pour vivre "massivement" et durablement ensemble.

    5 juin 2010 à 12 h 24 min
  • Jaures Répondre

    Cher Scipion, l’image d’un groupe provient d’une double entrée: on renvoie de soi-même l’image que les autres se sont créés de vous.
    Le parallèle avec les femmes est édifient. Lors d’une enquête à laquelle participait Simone Signoret au début des années soixante, l’actrice allait interroger les femmes dans des filatures et à sa question "pensez-vous que les hommes sont supérieurs aux femmes ?" la plupart répondaient par l"affirmative.

    Comment en aurait-il été autrement quand les livres d’histoire, les musées, les académies,les universités et les assemblées étaient investis par les hommes ?

    Les pays Africains renvoient une image de pauvreté endémique, de corruption et de violence. Comment les populations européennes n’intégreraient-t-elles pas spontanément un sentiment de méfiance à l’égard des immigrés ou des Français d’origine africaine sur lesquels nous renvoyons cette image ?

    Pourtant, quand on connait individuellement les individus, à classes sociales identiques, ils nous ressemblent en tout. Comme mon pote Nabil qui s’est fait un plaisir d’aligner tout le monde au tennis, profitant notamment de la condescendance de ses collègues ("Un Arabe, me battre au tennis ?").

    C’est l’ignorance qui nourrit les phobies: les villages de Province qui votent le plus Front National sont ceux qui n’ont jamais vu un Arabe en chair et en os.

    Par ailleurs, vous trouverez aisément des phrases à caractère ambigüe (raciste, sexiste, homophobique) dans toutes les catégories, y compris de gauche (si vous assistiez à certaines réunions, vous ne seriez pas déçus).
    Un ami Algérien, médecin, me disait ressentir plus d’appréhension en voyant un groupe de jeunes maghrébins qu’un groupe de jeunes européens.
    Mais quand je lui demandait si ce même groupe de maghrébins se promenant en costume ou en blouse blanche l’effraierait, il me répondait par la négative.

    Pour le racisme, comme pour toutes nos pensées irrationnelles, il faut laisser notre cerveau reprendre le dessus.

    5 juin 2010 à 11 h 08 min
  • IOSA Répondre

    François@….

    " Etre raciste c’est penser qu’être blanc, noir ou jaune implique des comportements différents…"

    Pourquoi ne pas aller au fond de la chose et dire tout simplement qu’être raciste…c’est considérer l’autre comme un être inférieur en raison de son sexe, sa physionomie, sa couleur ou sa croyance.

    Mais là, on touche la racine profonde du racisme enseigné par toutes les religions, qui considère:

    1- la femme comme un être inférieur dans toutes les ethnies du globe terrestre.

    2- Que seule sa propre religion est représentative de la vérité divine.

    Une impasse aux ligues anti-racisme qui ne peuvent condamner les coutûmes sans s’attirer les foudres de leurs adhérants, dont la plupart sont des croyants.

    IOSA

     

    4 juin 2010 à 23 h 14 min
  • François Répondre

     " Etre raciste c’est penser qu’être blanc, noir ou jaune implique des comportements différents…"
     Et penser comme le Cran qu’être noir donne des droits particuliers, penser comme nos " jeunes" qu’être musulman autorise des tolérances avec la loi, penser comme SOS Racisme qu’être autre chose que blanc donne droit à un traitement de faveur, dire comme Madame Lauvergeon qu’être autre chose qu’un " mâle blanc" est une compétence ( ou un diplôme) autorisant une embauche prioritaire, qu’est-ce? Du racisme? un fantasme irrationnel? de l’idéologie? de la recherche de bouc émissaire?

    4 juin 2010 à 17 h 57 min
  • Frédéric Bastiat Répondre

    "J’aime pas les riches, j’en conviens" Quid du "racisme"? Mon pauvre jojo épargnez-nous votre cuistrerie l’intelligence en sortira grandie !

    4 juin 2010 à 12 h 39 min
  • Scipion Répondre

    "Je parlerai plutôt de phobies ou d’idées reçues qui laissent à penser…"

    Il est vraiment dommage, M. Jaurès, que vous n’ayez pas lu mon intervention, la première de ce fil, chronologiquement.

    Quand je dis que le racisme naît de l’image que donne de lui-même le groupe qui en est la cible, c’est vraiment très vrai.

    Ainsi, je ne pense pas que votre "héritier" Mitterrand (François) professait "que les Noirs auraient le rythme dans la peau et seraient peu enclins au travail", mais il était néanmoins aussi raciste qu’il est possible de l’être, lorsqu’il laissait tomber, à propos des massacres du Rwanda :

    « Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important »,

    …et il est hors de doute que son jugement était influencé par l’image que "ces pays-là" donnent d’eux-mêmes.

    Je voudrais aussi attirer votre attention sur ce phénoméne que les Anglo-Saxons nomment le "white flight", Il s’agit d’une forme de racisme indirect qui consiste, pour les Blancs, à fuir les zones où s’expriment exagérément "les bruits et les odeurs" de chiraquienne mémoire.

    Ici encore, le rejet vient du comportement du rejeté !

    Enfin, je dois vous avouer que si on me sommait de choisir 100’000 Allemands et Grecs pour coloniser une terre vierge, je prendrais 99’995 Allemands et 5 Grecs. Des joueurs de bouzouki, parce que les Allemands adorent cela. Et mon choix aussi serait dicté par l’image que les deux pays donnent d’eux-mêmes.

    J’espère que vous remarquerez que nous sommes très loin de vos banalités *Café du Commerce AOC", millésime 1920, à base de voleurs, de poivrots, de radins et d’arrogants.

    4 juin 2010 à 9 h 25 min
  • Jaures Répondre

    Cher Quentin, le racisme ne consiste pas à ressentir une aversion pour tel ou tel ethnie ou groupe  sociologique (les jeunes, les vieux, les riches, les enseignants,…). Si vous ne supportez pas d’emblée les noirs mais que, après un accident, vous ne voyez aucun inconvénient à être soigné par un urgentiste Noir, c’est que votre aversion ne relève que d’un fantasme irrationnel et que, au moment opportun, le cerveau reprend le dessus. Le problème serait de penser qu’un Noir ne peut être médecin.

    Etre raciste c’est, pour le moins, penser qu’être blanc, noir ou jaune induit des comportements différents indépendants de l’éducation.
    Les plus idéologues parleront même de "race" (notion absolument pas prouvée pour l’espèce humaine) et de hiérarchie de ces races.

    Cependant les idéologues sont assez rares. Je parlerai plutôt de phobies ou d’idées reçues qui laissent à penser que les Noirs auraient le rythme dans la peau et seraient peu enclins au travail, que les Arabes seraient voleurs, mais aussi les Bretons alcooliques, les Auvergnats radins, les Juifs arrogants, …

    Tout cela est, bien entendu, totalement irrationnel donc difficile à combattre, surtout quand la difficulté des temps rend les âmes sensibles aux discours simplistes et à la recherche de bouc-émissaires.

    3 juin 2010 à 18 h 41 min
  • HOMERE Répondre

    L’avant dernier commentaire est interessant à plus d’un titre,et,notamment par la mise sous tutelle de ce que nous avions la mauvaise habitude d’appeler "liberté".Il s’agit là d’un aspect faisant partie de la stratégie globale de désunion du peuple français,puis de sa destruction,menée par les laïcards et les marxistes depuis maintes lunes.J’y ajouterai les loges et le GO comme structures occultes agissantes dans le même objectif.Les dégâts sont déjà considérables (aculturation,perte d’identité et de spiritualité,histoire traficotée,symboles bafoués…) ils vont, hélas,perdurer jusqu’à l’agonie du peuple qui s’appellera jadis "France".

    En tant qu’entité,je n’aime pas profusion de personnes et il m’arrive de reprendre à mon compte la célèbre phrase d’un homme célèbre :"Plus je regarde vivre les hommes,plus j’aime les animaux".Je connais bien l’Afrique pour y avoir défendu la France…je n’aime pas l’Afrique et ses peuples.Je ne demanderai jamais si j’ai le droit de ne pas aimer l’Afrique…parce que celà est simplement mon droit.Ainsi pour tous les autres aspects de la vie…..bien sûr les comportements dictent l’aversion ou l’appréciation de ce que l’on vit,permettant notre jugement de valeur,y compris celui qui mettrai en cause toute personne de race différente.Il se trouve que nous sommes nombreux à formuler des jugements de valeurs négatives sur tel ou tel groupe,association,parti…dont ils nous paraissent agresser notre identité,et notre liberté doit rester entière de le dire…

    Les relents gestapistes de vindicte et de lapidation populaire semble renouer avec le succès que nous avons pu apprécier en d’autres temps…la liberté était absente alors…aujourd’hui elle commence à suffoquer.

    3 juin 2010 à 18 h 07 min
  • ozone Répondre

    Et le lynchage par des bandes de "jeunes" des "sales blancs"qui croisent leur chemin,c’est dans leur liste d’actes racistes??

    2 juin 2010 à 22 h 53 min
  • Anonyme Répondre

    Il faura un jour que l’on m’explique pourquoi, au XXIeme siècle, des habitants d’un pays dit civilisé et développé, peuvent croire que le fait de ne pas aimer son prochain est un crime.

    Aurait-on la prétention de dire que tout le monde doit s’aimer et apprécier son voisin ?

    A ce tarif, la lutte contre le racisme n’est ni plus ni moins qu’une entorse à l’une de nos liberté fondamentale : celle de penser !

    Mon voisin est pour moi le dernier des cons. Je suis voisiniste ? Vite ! Jetez moi en prison ! Je suis un dangereux aculturé anarchiste et passablement nazillonien !

    Plus sérieusement, si il est admis que tous les gouts sont dans la Nature, il faut aussi admettre que l’on puisse ne pas aimer tel ou tel peuple. Quelqu’en soit la raison. Chacun pense ce qu’il veut. Il y a toujours eu et il y aura toujours autant d’avis que de gens. Ne pas l’accepter, ça, c’est de l’intolérance !

    De la même maniére que le fait de ne pas admettre qu’il y a des différences physiologiques entre les différents types humains est, non seulement profondément intolérant, mais surtout idiot et terriblement dangereux ! On nous asséne à longueur de temps que les différences font notre force, alors il ne faut pas oublier que cela ne se limite pas au simple plan culturel. Certaines maladies ne touchent que telle ou telle race, ou même genre ! Dirait-on qu’il est machiste d’affirmer que le cancer des seins ne touche que les femmes ? De même qu’il y a des genres, il y a des races. Ou alors il n’y a pas de racisme non plus. Est-ce raciste de dire que les asiatiques ont les yeux bridés ? Les différences ne se limite pas à l’apparence et les scientifiques le savent bien puisque des études ont étaient et sont toujours menées à ce sujet…

    D’ailleurs, à propos des asiatiques, pourquoi ne sont ils jamais représenté par ces soi-disant association anti-raciste ? Ils sont pourtant trés nombreux en France… Ah oui ! C’est vrai ! Il ne brûlent pas de voiture, eux… Il n’y a donc pas besoin de les défendre. Et puis, ils sont tellement conciliant qu’on peut se foutre de leur gueule à longueur de temps quand la moindre vanne sur un arabe est sanctionnée. A croire qu’il faut une soupape de sécurité pour le racisme et que ça retombe, comme toujours, sur les plus discrets, ceux qui la ferment… La fameuse main, le logo de SOS Racisme, est pourtant jaune… Non parce que, soit on est contre le racisme et c’est valable pour tous les peuples, soit on ne l’est pas et c’est idem.

    Bref, de toute manière, cette vaste fimusterie qu’est SOS Racisme, ainsi que tous ses avatars hystériques, n’est que le porte voie d’une "certaine France" qui n’a de cesse de baffouer les valeurs et les habitants de ce pays pour mieux se l’approprier. Ca commence avec des boucheries hallal et des minarets pour mieux poursuivre sur une voie plus pernicieuse, celle des esprits, des consciences, en faisant appel aux bons sentiment de la patrie des Droits de l’Homme… Désolé, il semble que je fasse partie des 49% de français à croire que les étrangers (pas tous, mais beaucoup trop !) tirent profit du systéme social de notre pays.

    Pauvre France. Sous couvert de t’enrichir de la "culture" des autres, tu en perds ton identité, et même ton âme. Il ne te reste même plus tes bas de laine…

    2 juin 2010 à 22 h 38 min
  • sas Répondre

     

    ……..tiens après les meurtres en eaux internationales d israel…….

    voyons voir si ces association anti racistes et autres defenseurs de la veuve et de l orphelin (dès lors qu ils sont hautement "initiés"…)  et des causes "humainistes" vont assigner et poursuivre les fauteurs de ces troubles…..

     

    je me marre…..pas un mot du crif,licra,cran,pif boum hue……

    mesuré , pesé jugé…….qu on arrête de leur filler du gros pognons public… là ca fera des économies directes…

    SAS

    2 juin 2010 à 19 h 18 min
  • bidulon13 Répondre

    A propos des dites "associations antiracistes"….

    Ne trouvez-vous pas choquant que lesdites associations se soient chacunes spécialisées dans la défense d’une ethnie ou religion particulière?

    On trouve des associations consacrées à la défense exclusive des noirs, d’autres de toutes les minorités visibles moins les juifs, d’autres des juifs mais pas des autres, etc…le conflit israelo-palestinien ayant depuis longtemps transféré le monopôle de l’antisémitisme d’une extrême-droite fantasmée à celui réel et décomplexé des maghrébins fanatisés soutenus d’ailleurs dans cette démarche par une certaine gauche.
     
    La haine du "juif fourbe et manipulateur", autrefois fantasme de petit nazillon sous-instruit a fini par trouver une clientèle "noble", jeune, souvent estudiantine et donc "instruite" et forcément de gauche si instruite (lol, mais le peuple de gauche y croit dur comme fer), ainsi qu’une autre clientèle ethnique ultraviolente, acculturée mais volontiers martyrocrate issue de la ban-lieue.
    Qu’importe, ces derniers sont d’excellents porte-drapeaux, de fabuleux faire-valoirs idéologique pour la jeunesse communiste dorée des facs de lettres en mal de confrontation politique!

    Taper sur le juif, c’est taper de façon subliminale sur Israel, sur le Sionnisme, et par extension sur l’expansionnisme, le colonialisme et le capitalisme qui sont devenus les épouvantails sur lesquels il est de bon ton de taper quand on veut faire partie du réseau de bien-pensance.

    Hair Israel et le Juif, c’est hair l’Amérique et le capital, c’est hair l’Europe et son passé colonial, c’est hair à l’unisson avec "la rue arabe" l’Occident tout entier, et ce qui a jadis fait sa grandeur dont nous sommes les héritiers honteux.

    Tout le matraquage de repentance autour de la Shoah organisé par la gauche jusqu’à la fin des années 80 s’est lentement mué en franche dérive antisémite légitimée depuis que les jeunes arabes de banlieue se sont emparés de la cause Palestinienne pour tenter de donner une consistance politique à leur haine antitout et leurs crimes crapuleux.
    Bon nombre d’entre eux seraient bien incapables de situer les territoires palestiniens sur une carte, ainsi que de nommer l’actuel dirigeant de l’autorité palestinienne, d’ailleurs…

    La gauche s’est largement montrée plus silencieuse sur l’affaire Halimi que sur quatre stèles de soldats musulmans épisodiquement renversées dans un quelconque cimetière par quelques prépubères écervelés…

    Les mosquées tagguées rencontrent bien plus de succès médiatique que les églises saccagées, les juifs agressés le sont sans doute moins quand ils sont molestés a longueur d’années par les beurs qu’une fois par décennie par quatre skinheads résiduels, à en croire la supercherie médiatique.

    A croire que dans ce pays, il existe un racisme légitime, comme celui des pauvres maghrébins opprimés contre les méchants blancs ex-colonisateurs et les immondes juifs assassins de frères palestiniens.

    En revanche, penser qu’un noir est physiquement plus solide qu’un blanc, qu’un homosexuel est davantage attiré par le sexe ou que les jeunes d’origine nord-Africaine sont davantage impliqués dans la délinquance commune serait "inquiétant" pour notre démocratie.

    Pauvre France, continue donc de sombrer.

    2 juin 2010 à 11 h 55 min
  • Quentin Répondre

    Les "maîtres à penser" qui nous inculquent leur cathéchisme ne doivent pas être mécontents de leur résultat en voyant les contorsions que s’imposent les malheureux pourchassés pour expliquer qu’ils ne sont bien sûr pas racistes, mais que … et dégouline alors toute une explication prudente.

    Qu’est-ce qu’être raciste? Pour ma part je n’ai aucune aversion vis à vis des asiatiques et j’ai parmi eux des amis. La race noire m’indispose et je fais un détour pour ne pas la frôler de près.

    Question? Qui suis-je? Un demi-raciste ou un demi anti-raciste? Chacun a le droit de ses choix et qu’on cesse de nous emm….

    Monsieur Jean Rouxel se risque à parler d’une infime minotité de racistes existante dans notre pays. Je prends le pari qu’un référendum fait dans l’isoloir et sans matraquage de la malfaisance médiatique lui prouverait qu’il est très certainement loin de la réalité. Laissons donc la nature s’exprimer et localiser les populations là où elle avait prévu de les mettre.

    2 juin 2010 à 11 h 03 min
  • Anonyme Répondre

    Je suis juif, de droite conservatrice et patriote, et j’ai honte de l’UEJF. Ces gens de représentent pas les juifs. Il y a beaucoup de juifs de gauche, des c*ns, mais beaucoup aussi de juifs de droite, qui ne demandent qu’à servir la France, malgré tout.

    2 juin 2010 à 10 h 10 min
  • Scipion Répondre

    De toute manière, il est impossible de lutter contre le racisme. Le racisme naît de l’image que donne de lui-même le groupe qui en est la cible.

    Le racisme est donc un sentiment et on ne maîtrise pas les sentiments. On peut tout au plus en brider l’expression publique.

    L’antiracisme sert donc à l’entretien de l’autocensure, et à rien d’autre. Il n’agit pas au niveau des reins et des coeurs que les sondeurs n’atteignent pas.

    Et c’est des reins et des coeurs que pourraient venir de douloureuses surprises, le jour où les Français seront exaspérés de cacher leurs pensées profondes à propos de certaines cohabitations qu’on leur impose.

    2 juin 2010 à 0 h 39 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *