Écologie ou la propagande de la peur

Écologie ou la propagande de la peur

Un siècle s’est écoulé depuis la révolution russe de 1917 qui, jouant sur la naïveté des peuples mais surtout de nos soi-disant «élites», a imposé le communisme qui devait devenir la pire catastrophe infligée à notre monde moderne (100 millions de morts selon le « Livre noir du communisme »).

L’idée du communisme semblait pertinente au départ et s’est maintenue près de 80 ans jusqu’à la chute de l’empire soviétique (ce qui démontre qu’une idée populiste peut avoir la vie dure) – malgré de nombreux « communisto-sceptiques » dénonçant cette arnaque.

Allons-nous subir la même pression de nos «ayatollahs» de l’écologie?

Même discours, cette fois-ci, sur «l’évidence» de la culpabilité de l’être humain sur le réchauffement climatique que l’on peut constater.

Le réchauffement ne pourrait donc en aucun cas provenir d’un événement cyclique (prouvé par de nombreux scientifiques et répété maintes fois dans la longue histoire de notre Terre).

Même certitude de nos élites qui n’admettent pas qu’il puisse y avoir la moindre contradiction.

De même que, naguère, un non-communiste n’avait, pour certains, «pas le droit de vivre» un climatosceptique n’a pas droit à la parole et doit être mis à l’index de la société!

Même discours haineux et dédaigneux envers ces «sous-hommes» que sont ceux qui osent seulement mettre en doute cette parole de «Dieu écologie» ou de son «Messie Greta Thunberg».

Ils méritent tous un «goulag» médiatique, en attendant la création de goulags physiques qui ne saurait tarder.

Comment fonctionne donc cette propagande?

Tout d’abord, on (le GIEC) annonce une catastrophe, calculs à l’appui: si l’homme ne change pas radicalement, la «fin du monde» est pour 2100.

Constatant le peu d’effet sur la population, le même GIEC dit avoir refait ses calculs qui, maintenant, arrivent à la même conclusion, mais pour 2050 (donc un des deux calculs est faux, sinon les deux).

Devant cette nouvelle échéance, nos dirigeants, afin de montrer leur bonne volonté, accélèrent les COP et la 21e du genre, qui a lieu en France, durcit les contraintes, mais sans les rendre obligatoires.

Pas contents du résultat, nos écologistes enfoncent le clou et commence alors la «propagande de la peur».

Puisque nous ne réagissons pas comme il le souhaite, le GIEC refait une troisième fois ses «calculs» et annonce l’apocalypse pour 2030 en y rajoutant les pires scénarios: mort des océans et cataclysmes en tout genre qui sonnent la fin de l’espèce humaine.

Bien que ces nouveaux dictateurs de la pensée nous annoncent le pire, ils nous somment de prendre des décisions si draconiennes que l’humanité, si elle ne disparaît pas à cause du réchauffement, disparaîtra par une famine inéluctable amenant la majorité des humains à s’entre-tuer pour survivre.

Ce n’est plus en millions de morts qu’il faudra compter, mais en milliards !

Faisons la supposition absurde qu’ils aient raison, il serait, de toute façon, trop tard pour convaincre tous les pays en voie de développement qui aspirent à une vie meilleure comme celle dont nous-mêmes profitons depuis des décennies.

À quoi bon donc ces efforts stériles!

Alors un conseil: profitez donc de la belle vie actuelle.

Si les écologistes radicaux ont raison, ça ne changera rien au résultat, mais le peu qui nous resterait à vivre ne serait pas un cauchemar.

Et s’ils ont tort, nous échapperons à une guerre civile mondiale et nous aurons un peu plus de soleil en attendant l’inversion naturelle du climat qui entrera immanquablement dans une future période de glaciation.

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Comments (7)

  • cliquet Répondre 3 décembre 2019 à 17 h 35 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    beaucoup de ” caractériels ” sur ce blog à moins que ce ne soit toujours le même sous des pseudonymes différents

    2 décembre 2019 à 16 h 59 min
  • OMER DOUILLE Répondre

    C’est vrai qu’elle fait un peut peur quand on la regarde bien sainte Greta. Est elle toujours à la recherche de galériens qui pourraient la ramener en bateau en Europe ? Les bancs de nage, il n’y a rien de plus écolo. Bien “drivés” par la schlague, heum, c’est bon.

    27 novembre 2019 à 0 h 52 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      je vois que vos connaissances ( et vos ” croyances ” ) en psychologie s’ arrêtent ( et se limitent ) à l’ aspect physique des gens

      est ce ” scientifique ” ?

      votre avis m’ intéresse

      27 novembre 2019 à 8 h 24 min
      • OMER DOUILLE Répondre

        Reponse à Quinctius :
        a) chacun ses gouts, la merde a bien le sien
        b) contrairement à vous qui vous pensez supérieur en tous au point de vous ridiculiser aux yeux de tous je me fous comme de ma première chemise de votre préoccupation de psychologie à la noix et d’une supposée analyse “scientifique” . Gardez cela pour les gogos comme vous.
        c) je maintiens que votre idole manipulée ne m’inspire pas confiance et je vous dénie le droit de me dicter mes gouts et choix, surtout venant d’un mytho tel que vous.
        Mettez cela dans votre poche et votre mouchoir par dessus.

        2 décembre 2019 à 1 h 59 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” la merde a un goût ” ***

          rassurez moi ! vous ne seriez pas tout de même coprophage ?

          *** vous … aussi semblez avoir un évitement pour l’ ” ^ ” ( ” goût ” écrit par deux fois en omettant l’ accent circonflexe )

          2 décembre 2019 à 9 h 09 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    et pourtant , pourtant , la planète se met en surchauffe !

    pourquoi le nier ? uniquement pour poursuivre égoïstement la ” belle vie actuelle “( sic ) ? celle spirituellement et intellectuellement exaltante et riche en promesses des beaufs et des bobos ? celles des consuméristes de tous crins et à tout va ?

    26 novembre 2019 à 23 h 24 min

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