Émeutes au Val-de-Reuil

Émeutes au Val-de-Reuil

Dans la nuit du 27 au 28 juin, le commissariat de Val-de-Reuil (Eure) a été attaqué par une trentaine de «jeunes», dont certains criaient «Allah Akhbar».

«Curieusement», cet événement, en soi gravissime, n’a pas fait l’objet de commentaires médiatiques abondants.

Presque seuls (le député LR Éric Ciotti a sauvé l’honneur de la corporation politicienne en interrogeant sur Twitter Christophe Castaner – qui n’a pas daigné répondre), les syndicats policiers ont dénoncé des actes d’une «violence inouïe».

Mais le maire socialiste Marc-Antoine Jamet, comme la sous-préfète de l’Eure, ont minimisé les événements, niant qu’il s’agisse d’émeutes urbaines.

À les entendre, il s’agirait d’une simple distraction de jeunes désœuvrés, poussés dans la rue par la chaleur, et mis en joie par la victoire de l’Algérie face au Sénégal.

C’est bien possible, mais cela montrerait au minimum que des mœurs étrangères aux nôtres se développent à grande vitesse dans cette commune.

Et la minimisation des faits, à la fois par la mairie socialiste et par la préfecture macronienne, laisse supposer que la politique d’apaisement, voire de soutien au communautarisme islamique – a fortiori à la veille des municipales –, a encore de beaux jours devant elle.

En toute hypothèse, qu’il s’agisse d’une attaque islamiste comme le pense Éric Ciotti, ou de l’agression de jeunes désœuvrés mais non politisés, s’en prendre à un commissariat n’est pas un acte anodin.

Il est d’ailleurs frappant de constater le «deux poids, deux mesures» en vigueur : voici quelques mois, dénoncer la violence de la répression policière contre les gilets jaunes revenait à «mettre en danger la république»; aujourd’hui, croire que les policiers assiégés dans le commissariat de Val-de-Reuil auraient pu dire la vérité revient à «faire le jeu du populisme».

Pour ce qui me concerne, je ne crois pas que les policiers aient toujours raison d’obéir aux ordres, mais il me semble légitime de supposer leur bonne foi.

En sens contraire, la démagogie électoraliste et la progression de l’islam en France risquent fort de livrer à la charia et aux trafics de nouvelles villes et de nouveaux quartiers – tout particulièrement à la faveur des prochaines municipales.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les élus (quel que soit leur niveau) qui prennent le risque de négocier avec des crapules anti-françaises, ou au minimum de fermer les yeux sur la réalité sécuritaire et identitaire du pays, portent une lourde responsabilité.

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Comments (4)

  • lavandin Répondre

    …c’était pour rire. Ne tombons pas dans le piège de la stigmatisation !!! De même l’assassin de Sarah HALIMI était un déséquilibré : il ne faut pas voir le mal partout , voyons !!! Les supporters de l’Algérie avaient bien le droit d’exprimer leur joie et de tout casser dans leur élan de liesse , ce n’est pas grave, même s’ils avaient conspué la Marseillaise au cours d’un match amical entre l’Algérie et la France, n’y voyez aucune relation !!!

    13 juillet 2019 à 17 h 25 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    par définition un supporteur d’ une équipe de football est un ” con “

    13 juillet 2019 à 16 h 38 min
    • BRENUS Répondre

      J’apprends ainsi que tu es un supporter de football. C’est bien Q.Q. mohamed

      15 juillet 2019 à 19 h 14 min
  • BRENUS Répondre

    “Une bande de jeunes criant allaou akbar” et foutant la merde ? Ils voulaient sans doute faire un concours avec la saloperie qui a écrasé une femme et son bébé dans le sud, emporté par une saine exaltation spécifique à sa culture. Encore des cousins de notre sarrazino-franchouillard. Mais on nous dit que nous avons les meilleurs : décidément, nous sommes chanceux. Hamdoulillal !

    12 juillet 2019 à 15 h 18 min

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