Ennemi
Le nouvel attentat perpétré à la Chapelle-sur-Erdre débouche sur une nouvelle polémique ou un embrouillamini sur le thème de la sévérité des peines, l’application des peines, ou le traitement d’individus plus ou moins responsables.
Moyennant quoi, il n’y a pas de raison qu’un «radicalisé» ne fasse pas, à nouveau, la une, à la faveur d’un nouvel attentat. Autant dire que l’état de droit appliqué à nos ennemis actuels, les protège eux, mais pas les Français.
Mais pourquoi se pose-t-on autant de questions alors que les plus hautes autorités disent que nous sommes en guerre?
Dans un état de guerre, que fait-on des prisonniers? Partout, y compris chez nos adversaires, on les garde entre des barbelés jusqu’à la fin de la guerre.
Comme cela, on est sûr qu’ils ne nous nuiront plus. Le butoir dans le temps est la fin de la guerre. Point à la ligne!
Nous en savons quelque chose puisque durant la dernière guerre nous avons eu plus un 1,5 million des nôtres derrière des barbelés en Allemagne et ce jusqu’à la fin de la guerre!
Évidemment, des «bonnes âmes» vont hurler à l’atteinte aux droits de l’homme et seront aveugles à tout ce qui les dérange.
Tant pis pour elles!
Alain Billières
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