Face à la dictature de la rue

Face à la dictature de la rue

[Notre dossier CPE] La France se trouve aujourd’hui confrontée à une situation politique qui étonne le monde entier. Personne ne peut comprendre que dans une nation qui passe pour être l’une des grandes démocraties historiques de la planète, une loi votée par le Parlement régulièrement élu puisse être battue en brèche par une partie de la population occupant la rue pour exiger péremptoirement son retrait. A fortiori si cette part de population est la plus jeune, donc la moins expérimentée politiquement, la moins au fait des problèmes de l’économie, la moins qualifiée pour juger des effets potentiels d’une loi qui, pour imparfaite et discutable qu’elle puisse être, n’en a pas moins été rédigée de bonne foi par des gouvernants soucieux d’apporter une réponse aux inquiétudes de la jeunesse.

Le Contrat Premier Emploi n’est sans doute pas une panacée, mais il vaut la peine d’être essayé. Or, les étudiants de gauche et ceux qu’ils entraînent ne veulent rien essayer. Ils ne rêvent que d’une immédiate sécurité d’emploi qui les dispense à jamais de prouver leurs compétences. Quant aux syndicats et partis qui les soutiennent, ils n’ont d’autre souci que d’imposer au moyen de la rue leur idéologie pernicieuse refusée par les urnes, trop contents de mettre en difficulté la majorité choisie par les électeurs, révélant ainsi leur vrai visage de pseudo-démocrates en quête de revanche tricheuse.

Pour les étudiants révoltés, la démocratie n’est qu’une formule de rhétorique. Son fonctionnement ne les intéresse en aucune façon. Ils veulent à toute force imposer leur point de vue, tant à leurs camarades modérés qu’ils empêchent d’étudier ou de s’exprimer, qu’à un gouvernement légitime qui s’efforce d’avoir des idées pour juguler le chômage des jeunes. Ces étudiants ne sont rien d’autre que des graines de dictateurs. Et les caméras de télévision nous révèlent que les filles sont les pires : de véritables hystériques hurlantes excitées à la seule idée de faire chuter Villepin.

Face à cette populace immature et déchaînée, que devait faire le Président ? Ne rien céder, promulguer la loi et la faire appliquer immédiatement en comptant sur les chefs d’entreprise pour offrir une masse de CPE qui eût démontré la validité de la formule. Au lieu de cela, Jacques Chirac a choisi la pire solution : céder sur le fond en maintenant dans la forme l’apparence de la fermeté, se replier sur le Palais-Bourbon en laissant l’Élysée dégarni, bref, perdre la tête pour sauver la face.

Mais, soyons justes, il n’est pas seul responsable de demi-capitulation. C’est le brinquebalant triumvirat Chirac Villepin Sarkozy qui a concocté cette demi-mesure absurde qui cumule tous les inconvénients : promulguer sans appliquer (ce qui est un non-sens juridique total, comme l’a très bien souligné François Bayrou) et retourner vers l’Assemblée pour bricoler deux aménagements en d’interminables parlottes au cours desquelles la gauche va se complaire en combats retardateurs, tout en abandonnant la rue aux manifs, aux grèves et aux désordres divers, avec le risque de débordements aux conséquences imprévisibles. Mais qu’est-ce que nos trois compères ont bien pu s’imaginer ? Que ce bricolage allait faire rentrer les étudiants dans le rang ? Ils n’ont donc pas compris que ces jeunes surexcités n’ont qu’une idée en tête : prouver qu’on peut mettre un gouvernement à genoux quand on a vingt ans afin de pouvoir s’en glorifier à quarante. Ô vanité des vanités !

Le refus du CPE ne serait-il donc qu’un prétexte ? Pas seulement. Ce rejet obstiné dissimule sous des dehors bravaches le terrible manque de confiance en eux de ces hyperscolarisés qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, et qui redoutent le jugement des entreprises lorsqu’ils seront au pied du mur et constateront que l’université ne les a préparés à rien. Ces jeunes ont peur de leur avenir, parce qu’ils ont peur de leur propre incapacité. L’école n’a cultivé que leur infantilisme et ils craignent, à juste titre, que les patrons exigent d’eux beaucoup plus que leurs professeurs. Mais un jeune sûr de lui, sérieux, courageux et créatif n’a rien à craindre d’un contrat précaire. Les bons, on les garde toujours !

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Comments (85)

  • Anonyme Répondre

    Il est vrai que la situation politique en France intérêsse tout le monde d’autant plus que certains dangers menaçent la république depuis l’étranger, en effet au Maroc à casablanca existe un groupe d’anciens colons juifs et une junte gotha politique contre le regime marocain qui veulent renverser le pouvoir à Rabat pour instaurer une republique et renverser le pouvoir en France pour instaurer une regence, pour plus de details voir ce qui se passe aux délégations provençiales hay mohammadi et casa-anfa ou certains noms sur google : Said Benbiga , raoul yacoubi, hmamsi abdelghafar, senhaji abdelaal, michel.

    1 septembre 2008 à 15 h 17 min
  • Sev Répondre

     

     

    Salut les kékés.

    Question pour un plomb : sur le cycle de doha.

    Si le rite, je l’ai entre les cuisses et que j’emmerde la démographie. Qu’est ce qui se passe? RIEN. Il est là je crois le véritable pouvoir.

    14 décembre 2006 à 20 h 55 min
  • Thierry Répondre

    A Pierre, Tout à fait OK. Il semble que le débat se soit épuisé. Cordialement

    2 mai 2006 à 11 h 32 min
  • Pierre LANCE Répondre

    A Alborg. Vous avez parfaitement raison. “Jamais” et “toujours” sont des mots imprudents que l’on ne devrait jamais prononcer si l’on voulait rester dans la stricte vérité. Et pourtant il est impossible de s’en priver, parce que ces mots, pour excessivement catégoriques qu’ils soient sur le fond, sont indispensables pour donner à la forme la puissance nécessaire. C’est regrettable, mais c’est ainsi. C’est au lecteur qu’il appartient d’avoir l’esprit assez fin pour ne pas prendre les termes au pied de la lettre. C’est un peu comme le fameux “Je t’aimerai toujours”, dont on sait très bien qu’il est (sauf exception rarissime) complètement utopique. Mais vous imaginez un amoureux transi s’écrier “Je t’aimerai longtemps” ? Ce serait la rupture assurée ! Aussi pouvons-nous complimenter Thierry lorsqu’il dit fort justement : “Vous savez bien que le langage formalisé n’a pas la possibilité de traduire l’idée intime de celui qui parle.” C’est parfaitement exact, et c’est pourquoi je dis toujours qu’un auteur ne fait jamais que la moitié du travail, et qu’il appartient au lecteur de s’appliquer à faire l’autre moitié. Les lecteurs ne sont pas dispensés d’avoir du talent, mais rares sont ceux qui sont prêts à faire l’effort nécessaire ou même seulement capables d’imaginer qu’ils ont un effort à faire. Cordialement à tous.

    30 avril 2006 à 1 h 17 min
  • grandpas Répondre

    Pour Thierry Que voulez mon cher,à force d’essayer de dialoguer avec des personnes de gauche on finit par en adopter leur langue de bois.

    25 avril 2006 à 14 h 15 min
  • thierry Répondre

    A grabdpas BAC plus 5, non pas par suffisance mais par la nécessité d’avoir le titre de psychologue. Il n’y a donc pas de quoi vomir. A+

    25 avril 2006 à 12 h 43 min
  • Thierry Répondre

    A sas et à grandpas Pourquoi prenez-vous nos écrits à “rebrousse poils” et de façon manichéenne ? Vous savez bien que le langage formalisé n’a pas la possibilité de traduire l’idée intime de celui qui parle, qu’il est toujours possible de tergiverser en utilisant cette brèche pour pervertir le discours de l’autre. Les politiques en sont friands et sont experts dans le domaine. Personnellement je ne jouerai pas à ce jeu là. Je pense que l’on peut mieux faire ensemble. Cordialement A+

    24 avril 2006 à 19 h 04 min
  • sas Répondre

    sas dit que l’important n’est pas l’embauche des bac + N ou bep ou autres….pas plus que la rose (arf,arf)…l’important étant de pouvoir embaucher ce dont l’entreprise à réellement besoin,et si le mec ou la fille ne colle pas….et que l’entreprise ne peut pas conformer le quidam, lui imposer l’effort…donc lui apprendre ou enseigner le métier propre: sans être emmerdé par les syndicats et le droit du travail…et plus en mesure de s’en séparer….alors il se passe ce qu’il ce passe….les entreprises n’embauchent plus…pour celle qui ont encore du travail… L’en doit livrer un produit brute, et l’enteprise l’affiner….l’en livre des “madriers” vérolés…mités…cancérisé…..derrière les patrons sont niqués car sans autorité ni marge de manoeuvre….cqfd sas

    24 avril 2006 à 14 h 22 min
  • sas Répondre

    A thierry, j’en étais à un moment à recevoir les postulants et me fonder , que sur des critères personnels et subjectifs….un vrai revers de médaille et un drame pour l’emploi. Les 2 piliers les plus pourris de l’etat ripoublicain , sont la JUSTICE et l’ EN…. POLPOT avait raison…. sas

    24 avril 2006 à 3 h 05 min
  • grandpas Répondre

    La suffisance de certain est à vomir.Dans mon secteur je ne recrute que des niveaux sup,bac plus 5.Les diplômes ne font pas les hommes mais flattent leurs ego. Et cela fonctionne trés bien,surtout en France pays des faux semblants.

    23 avril 2006 à 20 h 27 min
  • Thierry Répondre

    A SAS Dans mon secteur, je ne recrute que des niveaux sup ou égal à BAC plus 5. Il est vrai que les niveaux sont très inégaux. Sur le sujet, bien que je n’emploierais pas les mêmes qualificatifs, je trouve effectivement que l’éducation nationale est un peu à côté de la plaque en matière d’éducation. On est très loin de “la tête bien faite”. Je pense que le rôle de l’éducation nationale vise avant tout à former le citoyen plus que le travailleur. Cependant, j’estime qu’elle s’y prend bien mal (du bourrage de crâne, un schéma d’enseignement directement inspiré de Pavlov). Des enseignants qui pour beaucoup n’ont jamais lâché leur petit cartable et parlant haut et fort en bombant le torse dans les salles de profs. Le pire est que même en formation continue ou en FAC on a pas encore réussi de vraies alternances (ou les cas sont assez rares). Le formations-actions où la théorie apportée éclaire le terrain et permet une production de vrai savoir sont malheureusement bien méconnues. On a donc tout naturellement des consomateurs de savoir déconnectés de la réalité, voire souvent, en faisant une indigestion. Je ne peux donc qu’être OK avec SAS sur la grande pauvreté de l’enseignement en france. Et ce n’est pas une question de moyens mais de posture. Je crois que beaucoup d’enseignants on peur de se situer en réponse aux questions posées par la réalité à travers leurs élèves. Dès fois qu’ils s’aperçoivent qu’ils n’ont eux même pas bien métabolisé leur propres connaissances (c’est une hypothèse que j’ai malheureusement bien trop souvent vérifiée). Ils préfèrent donc, en toute sécurité, balancer un spectacle bien rôdé et sans surprise. D’où le manque d’intérêt tant pour les élèves que les profs devenus les automates d’un apprentissage programmé. Voilà pour l’EN A+

    23 avril 2006 à 9 h 54 min
  • grandpas Répondre

    Thierry Le même?Avec ses trois librairies,trouvant que ce site etait rempli de vilains fachos.Heureusement!Jaures 2 est arrivé comme Zorro.L’honneur est sauf.

    23 avril 2006 à 0 h 30 min
  • sas Répondre

    A thierry, quand tu auras fait du recrutement…pour tes propres entreprises et que tu auras auditionné, convoqué et entretenu autant que sas….que tu auras en face de toi des bac +2 ET 3 ET 4….qui ne savent ni lirent , ni ecrirent,n’ont aucune connaissance générale….et sont tout juste spécialisé dans leur domaine propre….tu comprendras mieux ce que j’évoque, et ma théorie sur la fabrique à cons…idem la fabrique du cretin… sas

    22 avril 2006 à 19 h 33 min
  • Alborg Répondre

    Décidément Mr.LANCE, c’est bien votre “chute” de fin d’article qui fait problème, même pour moi ! Relisant votre article pour la 2nde fois et avec quelque distance, je continue à trouver votre analyse de tout le psychodrame CPE non seulement la plus lucide mais aussi la plus lumineuse de tout ce que j’aurai lu sur le sujet… Ce n’est pas rien, n’est-ce pas ! Mais je dois également vous faire part d’un gros bémol que j’ai(si j’ose dire) sur l’estomac ! Je pense que de même qu’il ne faudrait ni angéliser ni diaboliser les chercheurs d’emploi, il conviendrait – en cette société “humaine-trop-humaine” comme dirait l’autre, de faire exactement pareil avec les chefs d’entreprises : NI ANGELISATION, NI DIABOLISATION… Or, et de même que beaucoup de commentateurs aux 4V, vous les IDEALISEZ à outrance ! Votre fameuse chute (très controversée, décidément) est : “Les bons, on les garde toujours.” Je proposerais pour ma part, pour être vraiment en accord avec vous, et aussi afin que vous vous rapprochiez encore d’un peu plus près de la réalité (car vous la touchiez presque du doigt)……. : “Les bons, on les garde SOUVENT !” ….. ce qui, mine de rien, produit un monde de conséquences différentes…. surtout pour celui qui les vit ! Bien cordialement Alborg

    21 avril 2006 à 23 h 48 min
  • thierry Répondre

    Pour info Après le CPE, M. Chérèque (CFDT) veut mettre sur la table le dossier du CNE PARIS, 12 avr 2006 (AFP) – François Chérèque, le secrétaire général de la CFDT, estime qu’il sera “difficile” au gouvernement de “ne pas ouvrir le dossier” du CNE après la crise qui a conduit à l’abandon du CPE, soulignant que sa centrale “le demandera”, dans une interview à Libération, jeudi. “Aujourd’hui, la bagarre contre le CNE (contrat nouvelles embauches) est sur le terrain juridique. Et au moment où le gouvernement veut un débat sur la sécurisation des parcours professionnels, il lui sera difficile de ne pas ouvrir le dossier du CNE”, explique M. Chérèque, selon lequel en tout état de cause “la CFDT le demandera”. Les syndicats, comme pour le CPE, fustigent dans le CNE (réservé aux entreprises de moins de 20 salariés), la faculté donnée à l’employeur de licencier sans avoir, deux années durant, à justifier sa décision. Le secrétaire général de la CFDT, revenant sur la disparition du CPE, a estimé par ailleurs que dans cette affaire “le gouvernement avait mal posé le diagnostic de départ”. “Par exemple”, dit-il, s’agissant du chômage des moins de 26 ans, “il est faux de dire” qu’il touche 22% des jeunes car “rapporté à la classe d’âge des 16-25 ans, il est de 8%, puisque l’écrasante majorité des jeunes poursuit des études, beaucoup plus que chez nos partenaires européens”. “De plus”, observe M. Chérèque, “leurs situations dans l’accès à l’emploi sont très diverses”. Ainsi “le CPE donnait une réponse unique à des situations très diverses” alors que “71% des jeunes les plus qualifiés sont en CDI dans les deux ans suivant la fin de leurs études”. Selon M. Chérèque, “en masquant le vrai problème de ceux qui sont en difficulté, le gouvernement a suscité la colère de ceux qui ne se sentaient pas, eux, en difficulté”. Il plaide ainsi pour “des parcours différenciés vers l’emploi pour les jeunes”, selon “leur histoire dans la formation et leur histoire sociale”. Evoquant l’unité d’action syndicale durant le mouvement anti-CPE, notamment entre CFDT et CGT, M. Chérèque note que lorsque les deux principaux syndicats “s’entendent sur un mode d’emploi”, se montrent “capables de s’engager et, comme on dit au tarot, de +mener le petit au bout+, cela marque dans notre pays”. La question, ajoute-t-il, est de faire une démonstration identique “sur des négociations”: cela prouverait que “le syndicalisme français peut être transformé. Aujourd’hui, on est au milieu du chemin”, conclut le secrétaire général de la CFDT Parisot (Medef) défend le CNE, logique “tout à fait différente” du CPE PARIS, 12 avr 2006 (AFP) – La présidente du Medef, Laurence Parisot, a défendu mercredi le contrat nouvelle embauche, estimant sur RTL que le CNE obéissait à une “logique tout à fait différente” du CPE et favorisait la “souplesse” nécessaire à la création d’emplois dans les petites entreprises. “Ce sont deux logiques tout à fait différentes. Dans un cas on stigmatisait une partie de la population, et dans un autre cas on permet au secteur qui est peut-être le plus dynamique de notre pays” de recruter, a-t-elle dit, en soulignant que “près de 400.000 emplois avaient été créés” grâce au CNE. Interrogée sur la “légitimité” de ce contrat permettant aux entreprises de moins de 20 salariés de licencier sans motif pendant deux ans, la présidente du Medef a insisté sur la “souplesse” requise dans les TPE (très petites entreprises) et a invité les syndicats à “distinguer les bonnes précarités des mauvaises précarités”. Je vous laisse juger. Je ne vais pas mappesantir là-dessus, dans la mesure où j’estime que la sotlution est ailleurs. Sans compter le doute énorme qui subsiste sur les 400 000 emploi CNE (on aime tellement les choses simples qu’on fait allègrement abstraction de la complexité de certaines analyses). Il est en effet tout à fait impossible de chiffrer. Rien ne nous dit qu’un certain nombre de contrats moins précaires n’auraient été créés en l’absence d’une telle mesure. Etant moi-même souvent conduit à des opérations de recrutement, je m’apperçois de la facilité inhérente à l’utilisation de contrats précaires. En effet, cela permet de tester des variables d’ajustement liées au développement de nouvelles prestations instables (pour d’autres la déontologie est bien moins présente). Mais, je m’apperçois aussi de tout l’inconfort que cela provoque pour les personnes qui ne peuvent, malgré leur professionnalisme avéré, faire de projets d’avenir et se fixer. Le pire dans l’histoire étant que ces contrats précaires tournent depuis plusieurs années (sans compter les règles liées aux périodes de carence qui compliquent considérablement la gestion des RH). En effet, l’instabilité globale du marché ne permet même pas de péréniser de tels contrats. C’est donc un problème qui reste entier malgré l’éthique dont peuvent faire preuve certains employeurs. A+

    21 avril 2006 à 21 h 01 min
  • thierry Répondre

    A SAS Je trouve ton hypothèse sur le fait que je puisse ne pas avoir les pieds sur terre hasardeuse, tout comme celles d’une recherche de Bouc hémissaires et du constat d’une armée de cons. Tout cela n’est à mes yeux que jugements de valeurs et partis pris. A Jaures Je suis encore OK avec toi Jaures. On attend autre chose des services publics. Sur le plan psy, il est tout à fait naturel que face aux jeux joués par les politiques, les français manifestent inertie, révolte, sabotage, résistance, etc. Comme le disait si bien Coluche : “faut pas nous prendre pour des cons…” Je ferais volontier l’hypothèse que, à contrario de celle que les français ont peur du changement, les français souhaitent le changement. Cependant, les changements proposés à travers les contrats de ce type ne sont que des changements de premier niveau. Ce sont des changements sans changement. Sans changement, car ils permettent à certains de trouver un emploi tout en privant de ces mêmes emplois les personnes qui les auraient tout naturellement pourvus dans des conditions normales. Ce ne sont que des platres successifs sans effets réels sur le plan macro. Le vrai problème n’est pas l’emploi, mais notre incapacité à nous positionner sur le plan international. Il ne s’agit pas de faire le déni des énormes difficultés des chefs d’entreprises et des chercheurs d’emploi. Il s’agit d’arrêter de produire des solutions temporaires permettant de sauver la face sur le plan politique par des artifices statistiques (exemple : le Contrat de Reclassement Personalisé où la personne est considérée Stagiaire de la formation continue pendant 8 mois suite à un licenciement économique – et il y en a bien d’autres) permettant de masquer allègrement les vrais chiffres du chômage. On délocalise… très bien, on a 10% de chômeurs (on peut appliquer un fort coef pour avoir le vrai chiffre)très bien… Mais on a aussi d’énormes richesses qui ne sont pas exploitées et qui ne sont pas délocalisables. Il me semble donc que ce que les français attendent avec impatience, c’est un vrai changement de posture. Il ne s’agit donc pas, lorsque l’on fait un cauchemard, de changer le contenu de ce dernier par une autre mise en scène, mais de changer de niveau de changement en se réveillant. Il reste donc à encourager les idées et à aider les porteurs de projets. Or, quant on voit que 55% des créations d’entreprises échouent au cours des deux premières années, laissant les créateurs dans un état bien pire après l’essai qu’avant, on a de quoi douter du sérieux de l’accompagnement mis en oeuvre. Certaine régions échappent à cela par le biais d’élus et de collectivités territoriales qui ont décidés d’être consistantes sur le sujet. Les français attendent peut être de l’Etat ce type de consistance, et surtout, de vrais changements et non des artifices ? A+

    21 avril 2006 à 18 h 29 min
  • grandpas Répondre

    Jaures Imaginons une seule seconde l’état se substituant à Bil Gates avec sa cohorte de syndicats.On en serait encore à la machine à ecrire.

    21 avril 2006 à 18 h 04 min
  • Jaures Répondre

    A Thierry: Ma solution est celle de l’intervention publique. On ne peut tolérer que des jeunes soient sans formation: c’est un gachis économique et surtout humain. Pareillement, comment concevoir que des jeunes titulaires d’une maîtrise de Droit ou de Lettres ne trouvent aucun emploi. L’Etat doit se substituer au marché et exploiter ces compétences au sein de services publics: aide aux devoirs, assistance juridique aux personnes défavorisées, soutien scolaire dans les écoles,formation continue, etc… Les besoins sont immenses.

    21 avril 2006 à 14 h 57 min
  • sas Répondre

    A thierry, désolé de te ramener les pieds sur terre…mais c’est largement plus de tes 10% de français …qui sont bon à quenib…ET ARRETE DE CHERCHER des boucs emissaires: l’etat, l’economie,les patrons, l’education nationale….en france , nous avons une armée de cons…point….pinailleurs,réclameurs et jalous(souvent délégués syndicaux d ailleurs)….dont inemployables.simple sas

    21 avril 2006 à 13 h 45 min
  • Thierry Répondre

    Je suis tout à fait OK avec Jaures. Il existe autant de définitions de salariés modèles que de chefs d’entreprises, chefs de services etc… Par ailleurs, une infinité de modèles permettraient de montrer à quel points les citères sont paradoxaux (je veux un salarié autonome, par exemple). Les apports des uns et des autres sur le sujet me semblent apporter pas mal de repères sur ce point. Par contre, nous n’avons pas suffisamment débattu, de mon point de vue, de l’élistisme de notre approche actuelle de la recherche d’emploi et de l’accès à la formation. Comment chacun pourrait-il trouver sa place ? J’ai vu tellement de profils très bien dimentionnés abandonner toute recherche d’emploi (la cinquantaine – anciens dirigeants d’entreprises, femmes ayant élevé et éduqué des enfants, etc.). Je suis OK avec P Lance, bien sur que certains chefs d’entreprises ont une vision relativement globale. Mais cela ne résous en rien la problématique des personnes laissées pour compte. Je ne peux concevoir que presque 10% des français puissent être des fainéants ou inaptes à quoi que ce soit. Où sont donc les principales failles de notre système ? A+

    20 avril 2006 à 21 h 53 min
  • grandpas Répondre

    Juares Votre vision du monde est d’une simplicité ennuyeuse A droite:les méchants(bouh)les patrons A gauche:les bons(ouaih)les ouvriers L’arbitre:les syndicats(yes) Devinez le vainqueur!

    20 avril 2006 à 20 h 29 min
  • Jaures Répondre

    A P.Lance: Pourquoi demander du travail (c’est à dire offrir ses compétences) serai plus honteux que de chercher un client (c’est à dire offir son produit ? Si vous travailliez en entreprise vous consateriez que votre approche reste théorique.Qu’est-ce qu’un bon employé ? Chaque patron, chef d’équipe, directeur de service vous en donnera une définition différente. J’ai connu d’excellents éléments mis au rancard car pas assez déféren, trop militant, trop exigeant,…J’ai connu des employés loués par leur chef devenir indésirables après un changement d’encadrement. Enfin, si certaines compétences arrivent à se monnayer aisément, elle sont rares et changeantes.

    20 avril 2006 à 15 h 30 min
  • mike Répondre

    un chomeur qui cherche du travail est un chomeur qui a du boulot !

    19 avril 2006 à 20 h 36 min
  • sas Répondre

    A mr lance….c’est y que tu causerais comme un chef d’entreprise maintenant ???ami pierre… Mais alors , aurais tu déjà crée un emploi …directe ou à l’insue de ton plein gré…???? Tu es en progré mon frangin… sas qui confirme qu’on ne vire JAMAIS un bon element : c’est anti economique.

    19 avril 2006 à 13 h 51 min
  • Pierre LANCE Répondre

    Ma chute “Les bons, on les garde toujours” semble avoir suscité quelques interrogations. C’est étrange. Elle voulait simplement dire que si un chef d’entreprise embauche quelqu’un à l’essai et qu’il le trouve sérieux, capable et compétent, bien entendu il le garde à son service, car il n’est pas fou. Il le garde comme “esclave” ? Quelle connerie ! Plus un homme est compétent et moins il est esclave, car il connaît sa propre valeur et n’hésite pas à quitter l’entreprise si sa situation ne le satisfait pas, sachant qu’il retrouvera du travail sans difficulté. Ey à moins d’être idiot (ce qui arrive, hélas, je vous l’accorde) un chef d’entreprise respecte et ménage ses meilleurs employés, car il sait ce qu’il leur doit. Que fait-on des moins bons ? demande Adolphos. On les laisse où ils sont, ce qui doit normalement les inciter à devenir bons, à moins qu’ils soient complètement avachis. Cela dit, n’oublions pas que les meilleurs ne cherchent pas des emplois : ils les créent ! C’est-à-dire qu’ils deviennent agriculteurs, artisans, commerçants, entrepreneurs. On devrait toujours être un peu honteux de demander du travail à quelqu’un d’autre. Mais c’est toute une édfucation à refaire. … Cordialement à tous.

    19 avril 2006 à 1 h 34 min
  • Thierry Répondre

    “Les bons, on les garde toujours !” De quelle société élitiste rêvez-vous donc ? Si l’emploi n’est plus réservé, non pas aux élites, mais aux bons esclaves, si la formation, comme c’est le cas actuellement, est suspendue aux métiers en tension (c’est bien maçon comme job !) et uniquement aux demandeurs d’emploi bénéficiant d’un financement autre que les fonds publics (CIF, CIF CDD, ASSEDIC … – le demandeur d’emploi landa n’y a plus accès), rien d’étonnant à ce que ce nouvel ordre crée un beau désordre. Il fut un temps ou même le fou du village avait sa place dans la cité, mais cela doit être bien trop éloigné de vos préoccupations. On ne peut cautionner la violence de ceux qui interdisent les cours à leur pairs par la violence. On ne peut cautionner, non plus, un tel élitisme, un tel prosélitisme de l’esclavagisme moderne bien loin de l’intelligence. Je suis de ceux qui pensent que chacun a sa place dans une société, avec les moyens dont il dispose. Je suis de ceux qui pensent que le stress et la compétition (en surdose), tuent, non seulement l’homme, mais aussi les relations entre les hommes, et donc, la société. La souffrance au travail est une réalité (voir écrits et études de Desjour Christophe). Je crois qu’il faut équilibrer les choses en mettant le dictat économique à sa juste place, c’est à dire de façon conjonctive avec d’autres valeurs (telles que l’humanité, le bien être, etc.). Bref, il nous faudra éviter la facilité et créer une organisation digne d’intérêt pour tous. Sinon, seuls les cas pathologiques y trouveront leur compte, les malades du boulot, les boureaux et autres sadiques, les centrés sur le fric, bref, les gros malades. Winnicoot disait qu’il arrive un moment où, dans une société, la proportion de gens sains est si infime qu’il ne leur est impossible d’assumer les autres. Je crois qu’on y est …. Je sais que je ne ferai pas changer d’avis les irréductibles, je suis réaliste sur ce point. Simplement, il suffit d’attendre que le partage du gateau soit un vrai partage. Il me semble qu’on en est bien loin. J’ai malgré tout bon espoir que maître renard soit assez intelligent pour faire tomber du bec de se méchant corbeau égoiste, son fromage.

    18 avril 2006 à 21 h 15 min
  • Florent Répondre

    A Santeur bassement snob, l’ironie et les rimes, tu connais? Si oui, j’ai rien à expliquer. Sinon, j’y peux rien.

    17 avril 2006 à 14 h 08 min
  • S.B.S Répondre

    Moi je dmande : pourquoi Florent et sas parle toujour des trompettistes? C4EST des guitaristes jalous ou quoi ?????

    14 avril 2006 à 22 h 34 min
  • Florent Répondre

    A Tony, oui bien sûr, c’est connu: si les djeuns des banlieux ne réussissent pas, c’est à cause de la vilaine société raciste, fasciste, colonialiste, trompettiste… Bref, franchement, explique nous où il est le scoop?

    14 avril 2006 à 18 h 34 min
  • sas Répondre

    A pascal toi tu es suisse et tu ne contribue pas (financer) à cette gabgie….nous france du bas dite profane….on rince… comprends tu pourquoi on prend mal la plaisanterie???? SAS

    13 avril 2006 à 14 h 02 min
  • Tony Répondre

    Les bons, on les garde toujours… Beh justement, c’est pas d’eux qu’il faut s’occuper, ils en ont pas besoin… Moi je n’ai aucun problème ni d’emploi, ni de finance, je suis cadre dans une grande socièté du CAC40, j’ai eu un emploi sans jamais avoir eu à rédiger un CV, etc… Mais je n’oublie pas que je suis tout simplement chanceux, que pour tout le monde quoi qu’on en dise, c’est le contexte qui fait l’homme, que si tu nait en banlieue dans une famille Ben Soussan, tu t’en sort, si et seulement tu es trois ou quatre fois plus motivé qu’un natif de Neuilly chez les De Lapompe. Cela serait plus facile (d’ailleurs c’est même super facile) de dire que les problèmes de la société sont toujours apportés par les autres. Mais je suis toujours aussi outré par cette ideologie égoiste (individualiste pour faire politiuquement correct) du “moi je m’en fout des autres tant que moi ca va” qui traduit une ignorance compléte de tous les domaines de la vie en société… Y a pas que l’économie… L’économie doit nous servir, on ne doit pas devenir des esclaves de l’économie. Et je me battrai jusqu’a la mort contre ca….

    13 avril 2006 à 13 h 56 min
  • Pascal Répondre

    En tant que Suisse, je suis effaré par le recul de votre Gouvernement dit de droite. Chez nous, on travaille 42 heures par semaine, il n’y a qu’un seul contrat de travail et les syndicats ne sont en tous cas pas noyautés par les gauchistes, trotzkystes et autres révolutionnaires de pacotille. Chez nous, le taux de chômage est inférieur à 4% et 95% des jeunes trouvent rapidement un travail après leur formation. Voir une minorité d’agités lycéens et universitaires en appeler à la grève générale, quelle farce ! Envoyez-les une bonne fois pour toute faire un stage en Corée du Nord.

    11 avril 2006 à 22 h 03 min
  • sas Répondre

    A eiff, et bien plus encore….des sommets… Bon de galouzeau de viilepin marié à une degentil de martinique de mon cul….vient d’être tacklé par son “frères “nicolas de sarközy de naguy becsa….”ils” lachae la loi “promulguée” pas applicable , aidé en cela par supermenteur super escroc….pour le calme de la rue La rue ,additionnée en cela des droit communs subversifs et collègiens annonants de la MNEF….continu Ils voulaient choisir entre la paix dans la honte et la guerre dans l’honneur….”ils “auront le guerre dans la honte”….à quand les frappes aériennes de SADAM HUSEIN, afin de nous aider a conquérir notre liberté ???? sas qui se marre, car il n’y a qu’une facon d’accrocher les choses…c’est par le haut.

    11 avril 2006 à 19 h 52 min
  • EIFF Répondre

    A Sas, nos gouvernants de la majorité UMP plurielle viennent d atteindre le 33eme degré de la connerie Humaine.

    11 avril 2006 à 18 h 34 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    A Florent (celui de gauche). En manifestant contre Claude Allègre qui avait eu le courage de dénoncer l’archaïsme du “Mammouth” et de vouloir le réformer avant qu’il ne disparaisse sous la glaciation qui est en train de transformer le pays en cimetière (notamment celui des éléphants du P.S.), vous avez montré précisément combien vous, les syndicats, vous êtes non seulement archaïques, mais attachés non seulement à vos avantages acquis, à vos privilèges, etc. mais aussi allergiques à toute réforme digne de ce nom. On vient de le voir encore lorsque Gilles de Robien, ministre de l’Education (prétendue) nationale a décidé de supprimer la méthode globale dont on sait, depuis longtemps, qu’elle forme des générations d’illettrés*, incapables de comprendre ce qu’ils lisent, incapables d’entrer dans la vie professionnelle, ce qui en fait autant d’aigris, et de potentiels casseurs. Tout honnête enseignant (Dieu merci, il en reste une majorité mais qui sont désespérés et n’osent plus se manifester face aux diktats des camarades syndiqués) aurait été soulagé par cette décision. Eh bien non, il s’en est trouvé pour dire en susbtance : “Nous, nous sommes libres de continuer à enseigner la lecture comme nous l’entendons”. (sic) Ce que je traduirai par : libres de continuer à fabriquer des illettrés et à leur pourrir à vie l’existence… Comme en a témoigné récemment à la TV un allogène qui était obligé de réapprendre à lire, à écrire, et même à apprendre le Français (né en france, il avait 25 ans) pour pouvoir passer le Code. Il avait eu la lucidité de dire : “Moi, j’appartiens à une génération sacrifiée” (sic). Il aurait pu dire “à DES génération sacrifiées” !. Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior * comme en témoigne l’excellent livre de Marc Le Bris (Et votre enfant ne sais pas lire. Ni compter) qui avait pendant plus de dix ans enseigné avec la méthode globale dont ils constatait, année après année, l’inefficacité constaternante. Un instituteur de gauche (comme il le précise lui-même), ce qui lui a fait refuser l’invitation de “RADIO COURTOISIE” (95.6 à Paris) à venir parler de son livre. Marc Le Bris a invoqué le fait que s’il intervenait sur une radio réputée de droite, il serait voué à l’ostracisme des gens de gauche et des syndicats (là, il est inutile de préciser : “de gauche” !). C’est dire la dictature que les syndicats et la gauche ostracisante font peser sur les esprits ! Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior

    11 avril 2006 à 14 h 26 min
  • Lise Répondre

    Respect total… Malheureusement lorsque l’on tient ce genre de discours dans les AG à l’université on se fait traiter de nazi…

    11 avril 2006 à 12 h 44 min
  • Adolphos Répondre

    ” A Adolphos: Vous faites erreur, nous avons également manifesté contre le gouvernement Jospin. Ces manifs ont d’ailleurs engendré la démission de C.Alegre.” Alégre est l’un des seul socialiste que je respect, parce que, à par sa haine irrationelle de la droite, il n’a que des idée de droite, justement (anti bové, pro nucléaire, pro ogm, pro sciences, pour la selection etc etc..). Encore une fois, vous refusez le réel, mais tôt ou tard, il va vous retomber dessus, et toute vos simagrés n’y changerons alors plus rien. ” Il est vrai, je vous l’accorde, que les pires lois anti-sociales sont le fait de la droite. ” Je me permets de vous signaler que la sécurité sociale, c’est la droite, et que si Bloom à fait voter 2 semaines de congés payé, c’est sous le droite, dans les années 60 qu’elles ont effectivement étaient appliqué, et même doublé, et que la massification de l’enseignement n’a pas attendu Mai 81, etc.. Le bilan sociale de la gauche est catastrophique. C’est normal, car sinon, elle n’aurai plus de programme. PS : Jaures, un conseil : économise pour ta retraite.

    10 avril 2006 à 14 h 38 min
  • sas Répondre

    La rue illégitime a gagné…contre l’olligarchie illégitime…question: A QUOI SERT LE VOTE ELECTORAL EN FRANCE???????? sas rdv en 2007

    10 avril 2006 à 12 h 48 min
  • Pierre Répondre

    Jaures ecrit: ‘A Pierre. Personne ne vous oblige à me lire’. Vous avez le sens de l’humour, j’en conviens… On vous laisse vous exprimer ici. Ce qui n’est pas le cas pour nous autres de droite qui sommes systematiquement censures sur les forums socialo-immigrationistes affilies au PS-UMP-PC-UDF-Verts. C’est l’autre face de la discrimination ‘positive’ qui vous est chere (franchement negative et anti-democratique pour les patriotes-liberaux). Cela etant dit, nous ne baisserons pas les bras jusqu’a verite soit faite (nous n’en sommes plus tres loin). Amities

    10 avril 2006 à 10 h 29 min
  • Florent Répondre

    Au camarade Jaures, A Adolphos: Vous faites erreur, nous avons également manifesté contre le gouvernement Jospin. Ces manifs ont d’ailleurs engendré la démission de C.Alegre. Non sans rire, mais alors c’est bien ce que je pensais, c’est une manie compulsive chez vous les manifs, ou un moyen de remplir le grand vide existentiel de votre vie. Au fait, c’est curieux je croyais que Alègre avait démissionné à cause de sa mauvaise communication avec les profs. Bon, sans doute de la propagande libérale. Il est vrai, je vous l’accorde, que les pires lois anti-sociales sont le fait de la droite. Ce qui explique notre virulence. Ah, comme j’aimerai que vous disiez vrai, seulement voila, ces lois là n’existent pas ou alors dites moi quand ont été abrogées les lois sur les 35 heures, l’impôt sur la fortune et le SMIC, acquis sociaux par excellence ( c’est à dire entravant toute forme de croissance et de progrés ). Comment, j’entends pas?!

    9 avril 2006 à 21 h 38 min
  • abuabkr marouf Répondre

    A QUEL SAINT VA-t-IL AVOUER LE GOUVERNEMENT FRANCAIS . UNE LOI PARIELLE VA DEFIRMER LA BONNE IMAGE DE FRANCE COMME PAYS DE REVOLUTION ,PAYS DE DEMOCRATIE DE LIBERTE. LA VOIX DE LA RUE REPRESENTE AUJOURD’HUI LA VOIX DE LA FRANCE LIBRE

    9 avril 2006 à 19 h 14 min
  • sas Répondre

    raison de plus pour ne surtout pas voter pour naguy becsa… sas,mon frangin que mon cousin que mon voisin…et surtout pas de…in.

    9 avril 2006 à 16 h 54 min
  • Pierre Répondre

    Sarkozy laisse s?installer l?ordre barbare A la une 30/3/06 Jean-Christophe Mounicq Sarkozy laisse s?installer l?ordre barbare Le lundi 27 mars, veille des grandes manifestations contre le CPE où bandes ethniques et hordes barbares s?apprêtent à fondre sur Paris et les principales villes de France pour saccager, piller et frapper manifestants, forces de l?ordre et passants, le ministre de l?Intérieur, que d?aucuns imaginent surmené, prend le temps de lancer sa campagne présidentielle dans un grand meeting à Douai. A chacun ses priorités. Certains fantasment sur un Sarkozy obsédé par la sécurité et l?ordre. Nicolas Sarkozy, lui, fantasme sur la présidence de la République. Pas seulement quand il se rase le matin, aime-t-il répéter. La décence conduirait à attendre que la France cesse de donner aux médias de la planète l?image dévastatrice d?un pays au bord du chaos. La conscience professionnelle commanderait de réussir à son poste de ministre, en rétablissant l?ordre et la sécurité en France, avant de rêver de fonctions plus hautes. « Sarko » ne connaît pas ce type de pudeur. Avec des banlieues en situation insurrectionnelle, la barbarie et la criminalité en hausse, le petit Nicolas sait son bilan de ministre de l?Intérieur bien plus catastrophique que ses pourtant déjà mauvais bilans de ministre de l?Economie dans le gouvernement Raffarin ou de secrétaire d?Etat au Budget dans celui de Balladur. Il sait aussi, en vieux politicien du système, pouvoir compter sur les medias complices pour ne pas évoquer les choses qui fâchent. Les journalistes ne chercheront pas davantage de vrais poux sur la tête de M. Sarkozy que sur celle de M. Fabius ou de Mme Royal. Ainsi va la vie politique en France, avec ses médias aux ordres, souvent menteurs par omission. La manifestation parisienne du 28 mars contre le CPE a été le prétexte d?un déchaînement de violence inouïe. Dès son départ, place d?Italie, des centaines de casseurs enfoncent le cordon de sécurité pour frapper les manifestants. A l?arrivée, place de la République, les bandes franchissent un nouveau pas en attaquant le carré de tête de la manifestation pourtant le plus protégé. Tout au long de la manifestation « des bandes très organisées et mobiles d’émeutiers de la banlieue parisienne ont frappé et dépouillé dans les transports en commun et au c½ur même de la manifestation toutes les personnes sur leur passage. Ces bandes, regroupant jusqu’à 300 individus, se sont livrées à des vols avec violence en réunion avec une barbarie jamais égalée » précise le communiqué du syndicat CFTC Action Police. Pour les révisionnistes du Figaro du 29 mars cela donne : « Services d?ordre syndicaux musclés et forces de l?ordre réactives ont permis d?éviter violences et pillages durant le défilé ». Dormez en paix braves gens, Sarkozy et ses propagandistes veillent. Les éditorialistes étrangers évoquent un destin à l?Argentine pour une France asphyxiée par son Etat-providence, tout aussi incapable de contenir l?explosion de ses dettes que de relancer sa machine économique. Les télévisions du monde montrent une France peuplée de barbares qui enflamment les banlieues des trois cents plus grandes villes, quand ils n?attaquent pas les trains ou les défilés d?étudiants. Les barbares tuent. Ils tuent Jean-Claude Irvoas parce qu?il prend une photo d?un réverbère, tuent Jean-Jacques Le Chenadec parce qu?il éteint un feu de poubelle, percutent et laissent mourir Raphaël Clin parce qu?il est gendarme. Les Barbares torturent à mort. Ils brûlent vive Sohane Benziane et Chahrazade Belayni, lapident Ghofrane Badaoui parce qu?ils ne conçoivent la femme que soumise. Ils brûlent Ilan Halimi avant de le couvrir d?acide parce qu?il est juif et que sa communauté doit payer. Le ministre de l?Intérieur laisse s?installer l?« ordre barbare », donne des consignes de modération à la police et à la presse, et entame sa campagne présidentielle. Il se présente en sauveur providentiel, tel un extra-terrestre tombé du ciel. Il va jusqu?à supprimer toute référence à l?UMP lors de son meeting. Comme s?il n?était pas le président du parti qui a dirigé sans partage la France depuis bientôt quatre ans. Comme s?il n?avait aucune responsabilité dans le marasme économique et sécuritaire de notre pays. Sarko sait que journalistes et gauchistes le traiteront toujours de libéral conservateur tendance réactionnaire et que son électorat s?y laissera prendre comme il s?est laissé prendre par Giscard et Chirac. En bon radical socialiste, le ministre de l?Intérieur multiplie les déclarations de foi pro-immigrationnistes (1). Il agit en conformité (2). Il multiplie les circulaires aux préfets pour demander de la complaisance à l?égard des immigrés illégaux, octroie des titres de séjour à ceux de Sangatte, décuple le quota de visas aux Algériens. Il relance l?immigration, reconnaît officiellement et sponsorise une organisation proche des « Frères musulmans », l?UOIF, interdit l?expulsion hors de France des délinquants étrangers, promet aux immigrés des droits et avantages particuliers dont seront privés les Français de souche avec la discrimination positive, et s?engage pour le droit de vote des immigrés aux élections locales. Les 200 000 membres de l?UMP, par « naïveté », aveuglement plus ou moins volontaire, ou calcul personnel, suivent un chef qui enfonce la France. Devant 3000 d?entre eux, il a expliqué sa méthode pour réformer notre modèle économique et social : « La « rupture » comme projet, le « compromis » comme méthode », titre le Figamonde du 28 mars, édition du matin ; en « prônant le dialogue social » précise l?édition du soir. Ce seront les syndicats marxistes ou trotskistes de fonctionnaires qui diront jusqu?où la réforme peut aller : nulle part ! « La rupture par le compromis » est aussi absurde qu?impossible. Sarkozy révèle, ici encore, sa vraie nature en recommandant de faire machine arrière face à la pression de la rue sur une mesure aussi dérisoire que le CPE : il est un homme du centre mou. Nul disposant de ses pleines facultés intellectuelles ne peut de bonne foi dire que ce politicien pourra réformer la France et la remettre sur la voie de la prospérité dans la sécurité. Sarkozy est un malin. Seule son élection l?intéresse. « On peut être ferme sans être rigide, conciliant sans être faible » chiraquise-t-il. « Il me semble utile qu?avant toute initiative d?application, on prenne le temps que la négociation aboutisse » raffarine-t-il. Cette méthode, n?est rien d?autre que celle utilisée par les technocrates sociaux-démocrates depuis 1974. Elle est la méthode de l?échec. Avec elle, dix ans de présidence Sarkozy ne suffiraient pas à pondre un rapport sur les mesures nécessaires au redressement de la France. Le Président de l?UMP s?adresse aux centristes, aux satisfaits, aux frileux et aux privilégiés qui ont, ou croient avoir, un intérêt au statu quo. Il veut conquérir les Français qui imaginent que la France finira par se redresser par l?opération du Saint-Esprit sans qu?ils fournissent d?efforts. Son électorat sera majoritairement composé de fonctionnaires, retraités et salariés de grandes entreprises qui savent leurs positions bien plus favorables que celles des jeunes, des chômeurs et des salariés en situation précaire ou instable. Le sarkozyste prétend vouloir le changement pour se donner bonne conscience. Il n?y est pas prêt et ne le souhaite pas en son for intérieur. Jean-Christophe Mounicq 1. cf. Libération du 23 décembre 2005 ou « 100 minutes pour convaincre » du 9 décembre 2002 sur France 2. 2. cf. l?instructif dossier « Les 7 péchés capitaux de Nicolas Sarkozy » dans La Voix des Français de mars 2006 (www.vdfr95.com)

    9 avril 2006 à 11 h 31 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    “Les manifestations font partie de la démocratie”, dixit Jaurès-bis. Mais ce qui ne devrait pas faire partie d’une “démocratie” digne de ce nom, ce sont les manifestations qui bloquent les usines, les facultés, les lycées, les collèges (en attendant les maternelles (j’allais écrire “maternités”), les routes, les autoroutes, les gardes, etc. en empêchant de travailler, au mépris des lois, ceux (la grande majorité) qui veulent travailler. Des manifestations (et des grèves) votées au mépris des lois par des votes à mains levées. Ce qui est aussi “hors la loi”, ce sont les prises de position politicardes des enseignants, l’entrisme des syndicats et des partis politiques dans les établissements scolaires, etc. Et, sans être à proprement parler pour le CPE (je ne suis pas non plus contre), je concluerai que ces “manifestations qui font partie partie de la démocratie” sont illégales dès lorsqu’elle s’opposent à une loi régulièrement votée par le Parlement. Jaures-bis, vous n’aviez qu’à pas voter en mai 2002 pour Chirac II. La meilleure arme, c’est – de devrait être – dans une vraie démocratie, le bulletin de vote. A condition que les élections ne soient pas truquées par le tam-tam médiatico-syndicalo-politique (vous y avez participé à votre niveau !) auquel on a assisté entre les deux tours de la dernière présidentielle,et qui, selon la journaliste Elisabeth Lévy (“Marianne”) avait transformé la France en “démocratie populaire”. Démocratie populaire ? nous y sommes en plein avec “vos” manifestations à répétition qui, si elle devaient se prolonger risquent de mettre la France à feu et à sang. Ce dont vous vous foutez éperdumment, vous, votre “centrale” syndicale et les autres. Cordialement à toutes et à tous, et bon dimanche. Lundi, il fera jour ! Jean-Claude Lahitte senior.

    8 avril 2006 à 18 h 29 min
  • Jaures Répondre

    A Adolphos: Vous faites erreur, nous avons également manifesté contre le gouvernement Jospin. Ces manifs ont d’ailleurs engendré la démission de C.Alegre. Il est vrai, je vous l’accorde, que les pires lois anti-sociales sont le fait de la droite. Ce qui explique notre virulence. A Pierre. Personne ne vous oblige à me lire.

    8 avril 2006 à 17 h 40 min
  • Kranz Répondre

    Ah! Mon long commentaire d’hier sur le “pays de non-droit” a été censuré…. même ici!

    8 avril 2006 à 15 h 12 min
  • Florent Répondre

    Pour répondre à Kikinos, c’est justement la question que se pose en France toute personne dotée d’un minimum de neurones. Mais tant que les autres, les empafés, resteront au pouvoir, ça ne risque pas de changer. Pour moi aussi l’exil s’annonce prochainement car je ne me fais aucune illusion pour 2007. A Karman, tu t’es trompé de rubrique, mais bon les africians utilisent m’inporte quel prétexte pour culpabiliser la France. La seule chose qu’on leur a enlevé, c’est leur illusion d’être des sur hommes.

    8 avril 2006 à 14 h 02 min
  • L. Labiche Répondre

    Depuis fort longtemps la “fracture sociale ” qui consiste à stigmatiser les jeunes ( de souche comme ceux issus de l’immigration ), et à parquer les vieux , a fini par porter ses fruits . Le Parlement est illégitime .Les troubles sont devant nous, et pour une longue période . La jeunesse ne peut plus être canalisée par qui que ce soit .il faut leur faire confiance , et , je crois leur laisser , ou du moins les faire participer , au pouvoir . Les généraux de la Révolution avaient au maximum 35 ans . La multiplication massive des effectifs de police ( nationaux et locaux ), des forces répressives n’y feront rien . Les partenaires sociaux (8%) ne pourront pas endiguer la jeunesse . Ils pourront tout au plus se maintenir quelques temps à leurs postes . M. Lance , vous avez écrit un jour : ” il nous faut une éthique nouvelle , pour un âge nouveau ” . Souvenons – nous de notre jeunesse . Le voilà le nouvel âge . Bien cordialement .L.L

    8 avril 2006 à 9 h 55 min
  • Helios Répondre

    La crise se poursuit et l’on en vient à se demander ce que veulent vraiment les manifestants, car il ne faut pas se le cacher le “pouvoir” est actuellement dans la rue et l’on est aussi en droit de s’interroger pourquoi le tandem Chirac-Sarkozy laisse faire. Deux hypothèses valent la peine d’être explorées: la première: les hommes politiques sont dépassés par les événements, ils ont à la fois peur de provoquer les manifestants et craignent de perdre la face s’ils cèdent à leur demande. En émasculant le CPE, ils espèrent désarmer les opposants et obtenir le calme tout en donnant l’impression de maintenir le cap sur l’objectif, en évitant de sévir contre les abus des manifestants ils espèrent atténuer leur agressivité et les amener à de meilleurs sentiments. La seconde: Chirac et Sarkozy, mais surtout ce dernier ont choisi leur champ de bataille contre la gauche. Sarkozy se contente d’observer, il laisse les désordres s’amplifier et s’abstient de sévir; on ne sévit pas contre des lycéens qui manifestent ce sont nos enfants après tout! En “démocrate” il fait mine de respecter le droit de protester sachant que les dérapages se feront de plus en plus fréquents et de plus en plus dévastateurs, il fait le pari que la protestation en se développant se nourrira d’elle-même. N’ayant pas d’organisation cohérente ni de solution de compromis,les manifestants intoxiqués par l’impunité voudront toujours aller plus loin. La gauche a perdu le contrôle de la rue, voulant surfer sur la vague anti CPE qu’elle a elle-même provoquée, elle est en voie d’être submergée par elle, il lui est cependant difficile de faire marche arrière sans perdre la face et sans susciter chez les manifestants le sentiment d’être trahis. Quand le vin est tiré il faut le boire et la gauche devra le boire jusqu’à la lie. Sarkozy en politicien “modéré et responsable” observe aussi la température de l’électorat, généralement apathique la majorité silencieuse est de plus en plus interpellée par le désordre. De l’agacement à la désapprobation le chemin est quelque fois long, mais de la désapprobation à la colère il n’y a souvent qu’un pas. Quand monsieur tout le monde s’indignera contre le chaos, en rendra la gauche responsable et les médias complices, il réclamera un geste d’autorité que le gouvernement se sentira “obligé” de poser. L’attitude “mesurée” de Sarkozy et les abus de pouvoir de la gauche seront présents dans l’esprit des électeurs en 2007. Ces derniers ne voteront peut-être pas POUR Sarkozy mais ils voteront sûrement CONTRE la gauche. Helios

    8 avril 2006 à 4 h 43 min
  • Alborg Répondre

    Remarquable article de Pierre LANCE, et parfaitement synthétique sur cette ubuesque question. A LARTIGUES : Dites-le moi franchement : vous avez quelque chose contre le verbe “Avoir”, n’est-ce pas ? Alborg

    7 avril 2006 à 21 h 08 min
  • grandpas Répondre

    Certainement pas dans le programmes des socialistes,ils n’en avaient point et n’en ont toujours pas! Le droit aà l’éducation est libre comme celui du travail,mais quand il s’agit de vois idées,les droits élémentaires de vos contra-dicteurs ne vous interessent pas. Et vous parlez de liberté!

    7 avril 2006 à 15 h 27 min
  • Pierre Répondre

    Jaures, Tu es trompe de site, le socialo-immigrationisme se trouve sur les sites UMP-PS-PC-UDF-Verts. Amities

    7 avril 2006 à 14 h 12 min
  • sas Répondre

    A bflorent,j’ai fais plus que mon devoir d’homme libre et de citoyen cérébré…si 2007 c’est encore une enclume initiée qui passe…je me barre et c’est t e r m i n é…j’ai déjà un pied de l’aute coté… sas LE BIOPHILE, qui dit que quand on fait ce qu’on peut ,on fait ce qu’on doit…

    7 avril 2006 à 13 h 59 min
  • kermann Répondre

    haaaa! la france Chiraquienne des ignards. Elle ne fais que payer ce quelle a toujours semer dans les pays africains. je me rejoint de cette tous ces problème que vous avez. Que Dieu par ces troubles vous fasse revenir à de meilleurs sentiments vis-à-vis des africain.

    7 avril 2006 à 12 h 30 min
  • kikinos Répondre

    Désolé pour cette question un peu en dérive du sujet; Mais est-ce que quelqu’un peut y répondre, svp ? Pourquoi en France, on ne demande pas de dommages-intérêts (responsabilité civile) aux étudiants qui ont bloqué le trafic routier, ferrovier etc ? Parce que ce n’est pas possible en France sur le plan juridique ??? Je pars de ma compréhension suivante; dans les pays civilisés, les grévistes peuvent en effet être dispensés de la réparation des dommages qui’ils ont causés à autrui lorsque ceux-ci découlent de l’exercice normal du droit de grève. Autrement dit, la responsabilité civile, le principe du code civil est exceptionnellement écarté par les dispositions spéciales du code du travail (ou des équivalents). Or, les étudiants, ne sont-ils pas hors couverture du code du travail, non ? Alors, ils sont bel et bien redevables, non ? Si j’ai raison, pourquoi personne d’influent ne donne de belle leçon de la vie à ces jeunes immatures ?

    7 avril 2006 à 12 h 29 min
  • LARTIGUES Répondre

    Je ne comprent pas que pendant les jours sida ils n’y est personne qui est fait remarquer aux jeunes qu’avec l’argent qu’il faudrat pour reparer tous ce qu’ils cassent ont pourrait en faire de la recherche.Pauvre jeunesse

    7 avril 2006 à 12 h 08 min
  • Adolphos Répondre

    “Les manifestations font partie de la démocratie. La droite contre le projet sur l’école privée en 1984 en a également usé. La désaprouviez-vous à l’époque?” Voila. La droite à manifesté une fois en 25 ans, mais la gauche elle manifeste plusieurs fois par ans, et presque uniquement quand c’est un gouvernement de droite. Dés le soir des défaites de la gauche, on entend des apple à un 3éme tour social. Vous ne respectez pas les régles de la démocratie puisque vous en combatez les conséquences. “Etre élu ne donne pas les pleins pouvoirs pendant 5 ans. Dans quel programme électoral figurait le CPE?” On est élus pour 5 ans, et donc on commande pour 5 ans. Les élections servent à désigner le chef. Si à l’issue de cette période la Nation n’est pas satisfaite, elle vote pour l’opposition qui à son tour etc.. Faire des manifestations à tout bout de champ pour des interets corporatistes et individuels, c’est marcher sur la tête de la majorité : étonnez vous après de l’expansion d’un certain parti extrémiste ! Quand à cette histoire de programme, elle est ridicule : tout le monde sait que les programme électoraux ne sont que attrape couillons, et que les vrais programmes restent toujours secrets.

    7 avril 2006 à 5 h 36 min
  • Florent Répondre

    A Jaures Les manifestations font partie de la démocratie. La droite contre le projet sur l’école privée en 1984 en a également usé. La désaprouviez-vous à l’époque? A ce que je sache, lors de ces manifs, il n’y a eu aucun blocage d’université, ni casse collectif. Et la réforme de Mitterand était anticonstitutionnelle. Pas le CPE. De même les étudiants de droite, l’UNI, ont organisé des manifs contre les blocages (ils n’ont pas osé contre le CPE) qui ont réunies 3000 personnes (1000 selon la police). Encore heureux, il faut bien qu’ils ripostent et se fassent entendre. Et votre chiffre est faux, ils étaient entre 3 et 6000. Ah, désinformation, quand tu nous tiens! Etre élu ne donne pas les pleins pouvoirs pendant 5 ans. Dans quel programme électoral figurait le CPE? Ben si justement, être élu donne les pleins pouvoirs le temps du mandat, c’est inscrit dans la constitution. Quant aux programmes, dites-moi, dans quel programme figurait le Pacs ou la pilule au lycée? Le peuple a eu raison de réagir. C’est sain et salutaire. Il faudra un jour redescendre sur terre, le peuple ne vous suit absolument pas, il subit et attend un déclic, en vain. Il est trop anesthésié pour réagir, mais des initiatives comme celle-ci le réveillent chaque jour un peu plus. Saint les marches forcés de l’extrême-gauche stalino-maoiste, les casses, les ratonnades et les prises d’otage des opposants? Mon dieu,avec un médecin tel que vous, ce pauvre monsieur Jourdain serait vite passé de vie à trépas! A SAS, bien d’accord avec toi même si je ne trouve pas Lepen très fiable. En 2007, je soutiendrai Villiers et s’il ne passe pas, ce sera Lepen. Seras-tu au rendez-vous? Pour les ratonnades, ce n’est quand même pas trop grave vu que ce sont surtout ces abrutis de manifestants gauchistes qui casquent. Plus des passants innocents et les forces de l’ordre, hélas. Amicalement

    6 avril 2006 à 22 h 55 min
  • david martin Répondre

    Amusant de voir que la partie la plus interessante de mon message ait disparu. J’y disais que l’EN avait failli à sa mission en matière d’éducation mais que je tentais avec quelques autres de remettre au goût du jour dictée, calcul mental, tables de multiplications, règles d’orthographe… pas de quoi me censurer

    6 avril 2006 à 22 h 17 min
  • Mancney Répondre

    Encore une fois, bravo, Pierre Lance, pour cet excellent article. Beaucoup de verites et de realisme. Merci. Best, Mancney

    6 avril 2006 à 19 h 26 min
  • Jaures Répondre

    (En espérant que cete fois cela passera). Les manifestations font partie de la démocratie. La droite contre le projet sur l’école privée en 1984 en a également usé. La désaprouviez-vous à l’époque? De même les étudiants de droite, l’UNI, ont organisé des manifs contre les blocages (ils n’ont pas osé contre le CPE) qui ont réunies 3000 personnes (1000 selon la police). Etre élu ne donne pas les pleins pouvoirs pendant 5 ans. Dans quel programme électoral figurait le CPE? Le peuple a eu raison de réagir. C’est sain et salutaire.

    6 avril 2006 à 19 h 17 min
  • grandpas Répondre

    Pour Regis on commence par dénigrer les propos qui ne sont pas dans la ligne des braillards et ensuite on aasssassine les contrevenants. La terreur ne fonctionne plus et vos troupes de ligne habituelles (ouvriers,étudiants) ne sont pas assez nombreux,vous allez donc débaucher dans les lycées et colléges a quand les écoles élémentaires? Détruire ces enfants ne vous gênent pas tant que vous pourrez hurler vos idioties au mégaphone et permettre à certains(es)de se fabriquer une carriére politique. On retrouvera les meneurs(euses)dans nos futurs assemblées0 Voir L’exemple de Cohn Ben Dit. Quant aus autres donneurs de leçons(sohp),expliquez nous votre vision personnelle de le vie. Merci à Florent,pour son intervention.

    6 avril 2006 à 14 h 59 min
  • sas Répondre

    C’est marrant, ce sont les mêmes tarlouzes qui à ce jour fustige le comportement anticonstitutionnel et antidémocratique de supermenteur le rouge….avec sa vrai fausse entérination du texte du CPE…applicable mais pas appliqué…comme les vrai faux passeports et le dopage à l’insue du plein gré de l’autre camé…il y a donc et liens et surenchères…et continuité… Donc les mêmes connards qui s’émeuvent aujourd hui tappaient des mains et des pieds lorsque pour l’entre 2 tour des dernières présidentielles…”ben ‘mbala chirac mbongo” refusait la confrontation avec un candicat “réellement élu du peuple sans artifices ni triches”…. Il y a de quoi rire…ce sont des comportement de schizophrènes… sas qui préconise une bonne cure de psychanalise au peuple de GAULE. Seul LEPEN DE SALUT PUBLIQUE PEUT PRETENDRE reprendre la main , si lui failli la france n’existera plus.

    6 avril 2006 à 13 h 35 min
  • GUS Répondre

    Souvenez-vous! ” Face à la chienlit, je-ne-me-re-ti-re-rai pas!!!Je dissous aujourd’hui l’Assemblée Nationale etc etc…” Mais, c’était le grand Charles, et un véritable homme d’Etat.Souvenez-vous aussi de cette foule immense descendant les champs élysées derrière Debré et du retour en force à l’Assemblée des députés du pays profond indigné par mai 68. Contrairement à ce que “prédisent” les sondeurs d’opinion, rien ne dit que la gauche aurait été majoritaire au Parlement s’il y avait eu dissolution.Renvoyer tous ces députés-godillots devant les électeurs, voilà la terreur: en fait, le responsable de tout celà, c’est le suffrage universel ou sa façon de l’appliquer qui fait du role de député un métier (et la soupe qui va avec). Jamais un député ne devrait faire plus de 2 législatures.

    6 avril 2006 à 9 h 29 min
  • Adolphos Répondre

    “Quand on ne sait pas écrire le français correctement,on évite de donner des leçons aux “pauvres jeunes” qui, à défaut de savoir faire quelque chose de leurs 10 doigts, connaissent au moins les règles d’orthographe de base.” En France, 20% des jeunes de 15 ans ne savent pas.. lire. Pour les universités, il fallait les isoler, couper électricité, chauffage, internet, télephone, brouiller les portable, les entourer de haut parleur diffusant de la musique militaire jour et nuit, faire payer aux familles les dégats et réparations, et interdire pour 10 ans d’examens et concours les bloqueurs. Par ailleur ce serait l’occasion d’expérimenter les nouvelles armes non léthales. Enfin il faut licencier immédiatement pour faute grâve tous les fonctionnaires s’étant compromis avec ce mouvement anti-démocratique, et leur coller un contrôle fiscal. Un fonctionnaire, ca ferme sa gueule ou ca démissionne ! ” “Les bons, on les garde toujours !” et que fait on des moins bons ?” Qui ca “on” ? “Le droit social français est jugé, critiqué pour être inflexible, qu’en est-il du statut des salariés dans les autres pays émergeants ou occidentaux ? ” En général, les autres paye encourage le licenciment zéro-cout, car ils savent que cela facilite les embauche, donc la baisse du chomage. De toute façon c’est aussi un probléme de justice. Si je n’ai plus besoin d’un service, pourquoi devrais-je être obliger de continuer à le payer ? Est-ce qu’on voit des coiffeurs porter plainte parce que leurs clients ne vont plus chez eux ?

    6 avril 2006 à 7 h 04 min
  • EIFF Répondre

    Toute cette affaire prouve encore une fois que ce gouvernement n est pas à la hauteur de sa mission et qu il est incapable de s imposer face à une gauche qui est pourtant trés mal en point et sans programme et face à quelques parasites syndicalistes infiltrés dans les mouvements étudiants. Il aurait suffit pour le premier ministre, comme a tenté de le faire le ministre de l éducation De Robien, de rappeler à l ordre les médias et les journalistes qui se font les relais directs des agitateurs quand ce n est pas carrément leur porte-parole pour appeler à la grève à telle heure et à tel endroit. Il aurait suffit au premier ministre de menacer de sanctions les présidents d universités qui ne respectent pas la liberté d étudier et qui encouragent ou tolérent les blocages, et de rappeler que l immense majorité des étudiants entendaient poursuivre le rythme des études. Mais ces gaullistes de pacotille n ont aucun sens de l ordre et de la discipline et préférent faire les fanfarons alors que des ratonnades et des lynchages anti-blancs tentent à se banaliser et à s étendre à chaque nouvelle manifestation dans l indifférence général. A force de pondre de fausses mesures de droite et de prendre de fausses postures de droite le gouvernement Chirac-Sarkozy-Villepin accouche de vrais mesures de gauche. Ce CPE encore un fiasco digne des plus grands épisodes comiques de l UMP et de la chiraquie croulante.

    6 avril 2006 à 1 h 14 min
  • kikinos Répondre

    Une chose est sûre au moins; je n’embaucherai jamais ces jeunes-là qui pensent déjà vieux. Oui, ce sont des vieillards recroquevillés qui ne sont jeunes qu’en apparence. Je garde des enregistrements des infos télé. Pour l’entretien d’embauche avec moi, ceux qui y figurent s’abstenir. Je me forçais de croire qu’il y avait toujours espoir pour la France tant qu’il y a des gens comme ces chroniqueurs des 4V et leurs lecteurs. Mais avec cette reculade, je pense que c’est fini, la France. Elle n’est pas capable de se réformer et le temps passe. C’est trop tard. Elle est pourrie irrévocablement. Dîtes-moi que je me trompe, svp !

    6 avril 2006 à 1 h 01 min
  • gpa Répondre

    GREAT. AMEN GBA

    6 avril 2006 à 0 h 13 min
  • Pierre Répondre

    Le monde nous regarde avec stupefaction. LE CPE n’est qu’une mesure purement symbolique (1) pas a meme de regler les problemes economiques, sociaux et de societe que notre pays connait. Mais la encore, on releve l’incompetence et la trahison des Chirac-Sarkosy-Villepin-Bayrou…comme de leurs amis de gauche. Amities (1)il faudrait plus serieusement commencer par baisser les impots et stopper l’immigration

    5 avril 2006 à 22 h 40 min
  • Josh Répondre

    Bravo a Jean-Claude Lahitte !… Excellent expose. Merci.

    5 avril 2006 à 22 h 14 min
  • Florent Répondre

    Parait qu’ils font même manifester les chiens maintenant (je serai Brigitte Bardot, je porterai plainte pour exploitation de l’image et destruction de la réputation). Au train où l’on va, on eut supposer qu’ils feront bientôt descendre les maternelles. Voire les nourriçons. On parie combien. A Regis, vous avez du oublier vos lunettes ou lire bourrer, Alex et grandpas se sont très bien exprimé et les seuls propos douteux ici sont les votres mossieur le donneur de leçon. A SAS, dis donc, tu bosserais pas pour la chaine Planète des fois? A force de faire du lobbying pour eux!

    5 avril 2006 à 22 h 14 min
  • Soph Répondre

    Quand on ne sait pas écrire le français correctement,on évite de donner des leçons aux “pauvres jeunes” qui, à défaut de savoir faire quelque chose de leurs 10 doigts, connaissent au moins les règles d’orthographe de base. Relisez-vous donc, messieurs.

    5 avril 2006 à 18 h 41 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    Tout à fait d’accord sur un point : CHIRAC II (qu’Allah le bénisse !)aurait dû appliquer une loi votée régulièrement par le Parlement (1). Oui, mais voilà, par son incurie (pas seulement celle de Chirac et de Villepin, mais aussi celle de Sarkozy (2)), le Gouvernement a laissé la chienlit s’installer dans les facs et dans les universités, dans les lycées, dans la rue, et aujourd’hui sur les routes, les voies ferrées, dans les entreprises, etc. alors qu’il eût suffi primo, de faire appliquer la loi pour faire condamner des A.G. constituées en véritables soviets qui ont fait voter à main levée par une minorité, le blocage. Il suffisait de jugements imposant de fortes amendes, et des astreintes, aux “bloqueurs”, popur les inciter à plus de “démocratie”; deuxio, en faisant donner la force pour mettre fin aux blocages dès lors qu’un jugement était intervenu. On a vu, à Grenoble, que le Gouvernement en était incapable : le Préfet de l’Isère a en effet refusé (sur ordre du Ministre de l’Intérieur, j’imagine) de faire appliquer un jugement condamnant sous astreint per capita, les bloqueurs à rendre l’accès libre à l’Université de Greboble; tertio ; en sanctionnant, pour non respecte du “devoir de réserve”, tous les président d’Université, directeurs de facs ou d’Etablissements scolaires, qui se sont comportés en véritables “complices” des “bloqueurs”; quarto, en poursuivant les partis politiques (à commencer par le PC !) et les syndicats qui ont profité du désordre pour faire leur propagande (pas seulement sous forme d’affiches) dans les Etablissement Universitaires et scolaires. Passé quelques jours, le feu étant attisé par les médias (radio, TV et grands quotidiens ou hebdo, dits, d’information, mais toutjours de parti-pris à gauche toute), c’était trop tard. Je rappellerai qu’à New-York, à la fin de l’année dernière, une grève générale des transports décidée, et appliquée au mépris des lois, avait été interrompue au bout de trois jours. Après qu’un Tribunal eût condamné les Syndicats à une astreinte d’un million de $ par jour. Il y a longtemps d’ailleurs que je demande – en vain – que les syndicats, en France, soient, eux aussi condamnés dès lors qu’ils ne respectent pas la loi. Pas seulement dans leur manière de faire décider une grève (toujours à main levée(3)), mais aussi de bloquer les routes, d’empêcher les non-grévistes d’aller à leur travail, etc. Quand j’aurais rappelé que ces syndicats (largement minoritaires, y compris les “Grandes centrales” – le mot a un relent de prison !) ne subsistent que par les fonds que leur alloue généreusement le Gouvernement, ces amendes seraient une excellente façon de récupérer l’argent des contribuables, et de combler (très faiblement, j’en conviens) le déficit budgétaire. Mais voilà, selon un mot cher à Villepin qui l’utilise à tout bout de champ, nos ministres, tous nos ministres, de gauche comme de droite(4), n’ont pas de c…es ! Leur crédibilté en crève ! Nous aussi(5) ! et, hélas, la France avec ! Cordialement, Jean-Claude Lahitte (1) certes avec l’artifice du 49/3, mais les socialistes qui hurlent avec la “canaillerie” des facs et des lycées, et celle de syndicats archaïques, ont fait bien pire dans son utlisatiion (2) dont l’antisarkozyste que je suis n’ose penser qu’elle serait justifiée par son désir d’en découdre avec Villepin avant que l’heure des pré-présidentilles ne soit venue ! (3) il est curieux de constater que, dans ce pays prétendu “démocratique”, et ou règne le prétendu “Etat de droit”, si les grèves sont décidées à main levée, leur fin, elle, l’est toujours à billetins secrets ! (4) ceux de “droite” (mot que je place toujours entre guillemets !) un peu plus que les autres car, eux, ils ont peur de la gauche et des médias majoritairement fde gauche. Ce qui, j’en conviens – et on le voit avec l’affaire du CPE – complique leur tâche ! (5) ce sera tant pis pour pour les autruches qui, d’élections en élections, de fausse aletrenance en fausse alternance, ramènent toujours les mêmes aux affaires (à tous les sens que l’on peut donner au mot !). Ce sera aussi tant pis, hélas ! pour les gens de mon espèce qui, depuis des lustres, on décidé de ne plus jamais voter pour les partis dits de “gouvernement” et, bien entendu, pour les candidats qui se présentent sous leur bannière. Même quand, comme les Myard, Dupont-Aignan, Luca et autres députés, ils font semblant de se démarquer. AVANT LES PERIODES ELECTORALES.Jusqu’au moment où, craignant pour leur investiture, ils regnagnent le chenil …

    5 avril 2006 à 16 h 29 min
  • violette Répondre

    Je suis entièrement d’accord avec Alex. Internautement vôtre

    5 avril 2006 à 15 h 46 min
  • regis Répondre

    A la lecture des commentaires ci-dessus, je me dis avant tout que ces lecteurs (comme Alex ou grandpas) devraient apprendre à s’exprimer correctement en français avant de distiller leur discours douteux

    5 avril 2006 à 14 h 31 min
  • regis Répondre

    “Les bons, on les garde toujours !” et que fait on des moins bons ?

    5 avril 2006 à 14 h 27 min
  • R. Ed. Répondre

    Les étudiants en “grève” ? Moi je croyais que la grève était un droit du “travailleur”, du salarié ! Les étudiants ne “travaillent” pas, ils (devraient) étudient, donc, ne peuvent pas “faire la grève”. Manifester(après avoir reçu l’autorisation) oui, mais la grève, non. Surtout que ce ne sera pas eux qui payeront la note, mais dans la plupart des cas, leurs parents qui souvent se privent pour leur payer leurs études. Mais demander un peu de bon sens à des gamins de 15-20 ans, autant demander la lune.

    5 avril 2006 à 13 h 05 min
  • sas Répondre

    Messieur , je vous invite à suivre sur la chaine PLANETE,les enquêtes et émissions sur la maçonnerie et les illuminatis…afin de comprendre ce qui supplante et domine nos démocratie décadentes et agonisantes…fourrées de droits communs, déviants et maitres chanteurs… la vérité se fait enfin jour… sas qui se marre.

    5 avril 2006 à 12 h 47 min
  • brigitte martoia Répondre

    Bonjour, le CPE fera couler encore beaucoup d’encre, me semble t-il. Derrière l’agitation actuelle, la question du droit social se pose. Les faits: durant l’été 2005, il y a eu le CNE pour les séniors, puis quelque mois plus tard l’arrivée du CPE “au forceps”, pour les juniors. Quelles sont les finalités derrière ces actions ? Le droit social français est jugé, critiqué pour être inflexible, qu’en est-il du statut des salariés dans les autres pays émergeants ou occidentaux ? Quel système de valeurs repose la société de demain ? Quel héritage va t-on laisser aux futures générations ? Cordialement,

    5 avril 2006 à 12 h 37 min
  • Adolphos Répondre

    “hyperscolarisés” ? Ouaf ! “Sarkozy s’entête à ne rien vouloir faire de crainte que les choses s’enflamment. ” Oui, il a peur de la mort d’un jeune. En même temps, les enseignants les soutiennent, voir les excitent, alors.. “A mon avis, celui qui s’est montré de loin le plus digne, est Villepin. ” Oui, Villepin est remonté dans mon estime : ce n’est pas un Chirac bis. “La France ne pourra se relever qu’au prix de sacrifices énormes” Et c’est là qu’on rigole, en voyant tous ces cons brailler contre le CPE : S’ils savaient ce qui les attend !

    5 avril 2006 à 10 h 57 min
  • david martin Répondre

    Analyse redoutable et d’une logique implacable !! Bravo

    5 avril 2006 à 9 h 46 min
  • Aude Répondre

    L’occupation des universités et des lycées est scandaleuse. Bientôt ce seront des p’tits cons de collégiens qui occuperont leurs collèges ! Pourquoi les présidents d’universités et les proviseurs de lycées ne demandent-ils pas l’intervention des CRS pour virer toute cette racaille manipulée et politisée ??? Lorsqu’on voit ce qui se passe dans les Fac (surtout ici à Rennes…) on ne peut que se demander si les Chinois n’avaient pas raison en fin de compte avec la Place Tian Anh Mehn…

    5 avril 2006 à 9 h 36 min
  • Alex Répondre

    Les plus grands criminels en France sont les syndicats gauchistes qui se servent de ces pauvres jeunes pour provoquer la « Chienlit », précipiter tout le pays dans le cahot le plus complet, avec le secret espoir de prendre le pouvoir aux prochaines élections, ils distribueront alors l’argent des gens qui auront travaillé et pris des risques, à toute cette bande d’inconscient.(Prendre aux riches pour donner aux pauvres c’est un air bien connu) Notre productivité qui est déjà à la traine va en prendre un bon coup. Ça sera la plus grande pagaille et catastrophe de tous les temps. La France ne pourra se relever qu’au prix de sacrifices énormes, sans compter que les pays emmergeant, eux, non pas de CPE. Ces malades mentaux n’ont pas compris que la concurrence mondiale ne nous fera pas de cadeaux ….

    5 avril 2006 à 4 h 00 min
  • jacques Répondre

    Vous avez parfaitement raison. La faibless du gouvernement est inouíe. Sarkozy, est en grande partie la cause du problème. Son incompétence au Ministère de l’Intérieur est d’une évidence indiscutable. Avoir attendu 3 semaines d’émeutes pour décrété un couvre-feu démontre un manque de jugement impardonable. Au Canada un tel ministre aurait été congédié impitoyablement. Et maintenant que fait ce ministre ambitieux? Les journaux rapportent que le ministre de l’Education s’est engueulé avec Sarkozy pour qu’il ouvre les lycées et universités. Sarkozy s’entête à ne rien vouloir faire de crainte que les choses s’enflamment. Bref, une poignée de jeunes dans un lycée tient facilement tête à ce ministre pusillamine. Mais le grand responsable est Chirac. Il aurait du congédié Sarkozy qui non seulement ne fait pas son travail mais fait tout en son pouvoir pour nuire à Villepin. On ne peut tolérer dans un bateau qu’un avironneur rame dans le sens inverse des autres. Evidemment tout est calcul politique: Chirac veut que Villepin et Sarkozy s’entretuent pour lui laisser la voie libre. A mon avis, celui qui s’est montré de loin le plus digne, est Villepin. Il s’est montré ferme et courageux (quoique sa réforme était bien trop timide). Il lui reste à remettre sa démission avec la tête haute et le respect mérité des citoyens.

    5 avril 2006 à 3 h 21 min
  • grandpas Répondre

    Ce cher Jaures va hurler au complot de droite libérale.Car pour lui,la démocratie ne ce conçoit que dans le totalitarisme des braillards de rue. Quant aux demoiselles,elles pensent quand étant pires que les garçons de leur âge,elles obtiendront leurs passeports pour la liberté. Pauvres damoiselles,sitôt déçues

    4 avril 2006 à 21 h 55 min

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