Féminicide, féminisme et immigration

Féminicide, féminisme et immigration

Le mot « féminicide » m’est particulièrement insupportable, non seulement pour ce qu’il représente, mais aussi parce qu’il a été inventé par des femmes extrémistes qui souhaitent féminiser toute la langue française.

Les violences, agressions et homicides sur des femmes ne datent pas d’aujourd’hui, mais, depuis quelques décennies, avec l’arrivée d’une population étrangère, ils sont devenus de plus en plus nombreux.

Bien entendu, aucune statistique n’est autorisée pour connaître l’identité des agresseurs et des assassins.

Mais on peut facilement deviner que les agressions sont souvent le fait d’hommes dont la religion leur conseille de battre leurs femmes si elles ne sont pas suffisamment soumises.

Sans excuser ces violences, il faut reconnaître qu’un certain nombre de femmes sont aussi responsables de ce qui leur arrive, en particulier celles qui préfèrent l’exotisme en choisissant un partenaire originaire du sud de la Méditerranée. Il leur faut être un peu naïves pour penser que leur époux s’adaptera aux us et coutumes de notre pays et qu’elles pourront mener une paisible vie de famille.

Elles découvrent, souvent trop tard, que notre culture et celle de leur conjoint ne font pas bon ménage.

Quant aux petites starlettes en quête d’un rôle au théâtre ou au cinéma, j’ai de la peine à croire qu’elles ne connaissaient pas la réputation sulfureuse de prédateur des hommes qu’elles accusent de violences sexuelles ou de viol.

Comme dit le proverbe : « Qui s’y frotte s’y pique » !

D’autre part, aujourd’hui, les femmes exercent quasiment tous les métiers réservés autrefois aux hommes, même les plus pénibles. Elles jouent au foot, au rugby, font de la boxe et du catch.

Fort bien. Mais c’est aussi au risque que les hommes les respectent moins et les traitent comme des collègues masculins qui, entre eux, ne se font pas de cadeaux.

On ne peut à la fois vouloir faire tout comme les hommes et revendiquer un traitement particulier.

Je dois l’avouer, je suis un peu exaspéré par les manifestations et actions parfois violentes de ces associations et mouvements féministes comme « # MeToo » ou les « Femen » qui se posent en victimes, mais ne cessent de réclamer toujours plus de droits.

À force de manifester et de revendiquer, ces femmes finiront par agacer la population et desserviront la cause qu’elles souhaitent défendre.

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Comments (3)

  • Gérard Pierre Répondre

    Le féminisme est à la Féminité ce que le vitriol est à la Beauté d’un visage : …… l’instrument de vengeance d’une médiocrité narcissique !

    25 mars 2020 à 17 h 42 min
  • OMER DOUILLE Répondre

    Les maghrebins disent entr’eux “frappes ta femme tous les matins, si ne sais pas pourquoi, elle le sait”.
    Bonne chance aux candidates à l’exotisme !
    Chez nous, désormais, évitez de tenir la porte à l’approche d’une femme, ce serait mal vu. Et si cette dernière vous jette un regard à la me-too , lachez bien la porte, en l’accompagnant de préférence pour marquer votre volonté d’égalité “femmes-hommes”. Elle sera ravie d’avoir gagné…. le cocotier.

    25 mars 2020 à 0 h 34 min
    • Hagdik Répondre

      J’ai été élevé comme vous le décrivez et j’ai l’habitude de tenir la porte à la personne qui me suit.
      Depuis des années, j’ai noté une dérive – mâle ou femelle – qui fait que le ou la suiveur ne fait même pas mine de tendre la main pour prendre le relais. Je serais donc sensé leur tenir la porte. ERREUR !
      Alors j’utilise ce que vous indiquez : si l’individu n’esquisse pas de geste en direction de la porte, je la lâche et il ou elle se démerde !
      Je dois l’avouer, c’est assez jouissif dans certains cas !

      28 mars 2020 à 19 h 32 min

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