Fin des notes au primaires : le règne des ânes

Fin des notes au primaires : le règne des ânes

Le sociologue Pascal Bavoux, invité sur France-Culture lors du journal de 12h30 le jeudi 18 novembre 2010, explique pourquoi il est pour la suppression des notes au primaire.

Vingt personnalités se sont jointes à l’appel lancé par l’Afev pour réclamer la suppression des notes à l’école élémentaire, afin d’éviter une stigmatisation des élèves et la sélection par l’échec.

Parmi ces personnalités figurent le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, le directeur de Sciences Po Paris Richard Descoings, le sociologue François Dubet, le généticien et président d’université Axel Kahn, l’économiste Eric Maurin, l’écrivain Daniel Pennac ou l’ex-Premier ministre Michel Rocard.

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Comments (4)

  • Gédéon Répondre

    Quel nom du vocabulaire de la langue française donner à ces conneries, si l’on veut rester courtois et correct?..
    Ce qui m’étonne, c’est que l’on trouve des gens réputés remarquables et intelligents parmi ces pourvoyeurs de la non sélection.
    J’irai plus loin que Michel, après leur avoir donné le bac, le diplome universitaire et tutti quianti, fermons les écoles qui ne serviront plus à rien

    21 novembre 2010 à 17 h 04 min
  • DOE Jane Répondre

    c’est consternant de stupidité mais tout à fait digne des énarques que le monde entier nous envie ( mais qu’il embauche pas…..)pourtant ce serait bien un exode massif d’énarques et quelle économie pour nos finances !

    21 novembre 2010 à 16 h 16 min
  • Michel Répondre

    Et allez donc ! La dégringolade continue… Pour que nos chères têtes “blondes” (heu… là, j’exagère un peu) soient satisfaites, donnons-leur le bac, puis l’entrée automatique dans les universités. Et il n’y aura plus aucun problème…

    21 novembre 2010 à 10 h 02 min
  • MALBOS Isabelle Répondre

    quel échec ? les encouragements, plutôt !
    Et comment se situeraient les enfants pour l’entrée en 6ème ? Quel poids de douffrance à porter, de plus en plus lourd pour ceux qui ont des difficultés auxquelles il serait trop tard de remédier !Et quand les autres voudront faire de hautes études, comment vont-ils pouvoir se situer eux-aussi ? Et puis, on a chacun ses talents…et il faut apprendre aux tôt aux enfants qu’il y a et qu’il faut des intellectuels, des manuels et que ce qui prime, c’est le Q.C : Quotien du Coeur ! Il faut les notes et l’amour…

    20 novembre 2010 à 11 h 06 min

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