Foot
Pour ceux qui doutaient encore que le football soit l’archétype de la démesure, la récente Coupe du monde a été édifiante. Bien sûr, le football est incontestablement le sport le plus populaire de la planète.
Pour ceux qui doutaient encore que le football soit l’archétype de la démesure, la récente Coupe du monde a été édifiante. Bien sûr, le football est incontestablement le sport le plus populaire de la planète.
Pour lire la suite vous devez être abonné au 4 Vérités Hebdo.
Trois informations m’ont intéressé ce matin : – L’Union des démocrates musulmans français (UDMF) va déposer une liste « Free Palestine... Lire la suite
En 2022, les unions entre personnes de même sexe représentent 3 % des mariages et 5 % des Pacs. Lire la suite
En 2021, 25 % de la population française se faisait livrer des plats à domicile au moins une fois par mois.... Lire la suite
« Après l’attaque de l’Iran, j’attends avec impatience les réactions de LFI. Qu’est-ce qu’ils vont encore inventer ? Mélenchon va demander à... Lire la suite
« En politique, on existe quand on est attaqué, donc moi je me porte très bien depuis dix jours. » Bruno Le Maire, ministre... Lire la suite
« Avec le refus gouvernemental de présenter une loi de finances rectificative devant le Parlement, vous avez là une dérive illibérale... Lire la suite
« Il y a deux peuples sur notre sol, et La France Insoumise de Mélenchon ne cache plus sa préférence pour... Lire la suite
Le « Figaro » nous apprend (20 avril) que le port d’une arme blanche (un couteau en langue vulgaire), qui est à l’heure... Lire la suite
Immigration En 2022, le nombre de personnes immigrées entrées en France pour au moins un an a augmenté de 21 %... Lire la suite
67 % des Français souhaitent un couvre-feu pour les mineurs à partir de 23 heures. Lire la suite
Comments (5)
« L’équipe de France a battu …… », Je n’écoute déjà plus la suite.
Je ne suis pas un amateur des jeux du cirque. Jamais je n’ai pu comprendre l’engouement d’un spectateur assidu devant un groupe d’athlètes en transpiration. Ces vulgum pecus rustiques crachent sur la pelouse et s’y mouchent avec les doigts. Ils se poursuivent en s’agrippant et en se poussant afin de s’assurer la possession d’un ballon et d’en contrôler la trajectoire. Héros sans risques d’une guerre sans victimes ils se lancent des œillades mortelles entre deux tentatives acrobatiques comme si le sort du pays était irrémédiablement suspendu au bout de leurs chaussures. La foule éructant ses imprécations à l’endroit d’un joueur malhabile ou d’un arbitre peu complaisant m’a toujours rebuté. Les supporters entrent, à mes yeux, dans une catégorie d’aliénés particulièrement décérébrés. Une sorte d’embolie du cerveau gauche semble donner lieu, chez eux, à tous les débridements que la faculté traiterait en d’autres circonstances par voie médicamenteuse.
Dès l’enfance j’ai détesté les compétitions sportives.
M’aligner sur un trait de départ avec des congénères pour déterminer à l’arrivée lequel est le plus rapide d’entre nous m’a toujours paru indigne de la condition humaine. Cela peut, à la rigueur, convenir à des chevaux. La gloriole qu’en tire le plus musclé est souvent affligeante. Un jour que je m’étais senti particulièrement aérien et enclin à me dépenser j’ai gagné un cross scolaire. J’en fus contrarié. Redoutant la pression et la responsabilité qui n’allaient pas manquer de m’être infligés lors de confrontations inter établissements à venir, je pris soin dès lors de ne plus me distinguer et m’en trouvai fort aise.
Et pourtant, jusqu’à il y a quelques années, je ne rechignais guère devant l’effort physique. Durant près de cinq décennies je trottinais chaque semaine en solitaire sur des circuits de plusieurs kilomètres, aux moments et à l’allure qui me convenaient. Qu’on me dépasse m’indifférait. Que je double moi-même quelqu’un de plus lent ne me procurait aucun sentiment de victoire … La seule compétition qui valait à mes yeux était celle que je livrais contre moi-même depuis l’adolescence. J’étais heureux de voir mes jambes me transporter, de respirer pleinement, de sentir battre mes tempes. Mon programme comportait une série d’exercices d’assouplissement que je réalisais méticuleusement, avec régularité. Je mastiquais simplement la vie avec avidité. Que personne ne m’accompagne dans l’accomplissement de mes obscures performances ne me désolait pas.
Mon appartement n’est pas encombré de trophées baroques mentionnant le nom d’une mutuelle ou d’un donateur ostentatoire. Je ne cotise dans aucun club sportif nourrissant prioritairement présidents, trésoriers et autres assesseurs patentés. Mes vêtements de sport n’arboraient aucune marque prestigieuse. Je résumais par une formule lapidaire ma satisfaction abrupte après l’effort : « La pompe fonctionne toujours, le bonhomme a encore du jus ! »
Aujourd’hui, malheureusement, j’ai pris vingt kilos et tout ceci n’est plus que souvenirs d’un autre temps ! …… C’est que, depuis un peu plus de cinq ans, un nouveau ‘’métier‘’ à temps plus que plein m’est échu sans avoir préalablement déposé le moindre dossier de candidature ; aidant ! …… et les seules courses auxquelles je me livre désormais sont celles qu’il faut effectuer dans les magasins durant des créneaux horaires assez serrés !
Jeux de mains, jeux de villains.
Jeux de pieds, jeux de demeurés.
Avoir la main agile et le pied leste voilà ce qu’il faut pour vivre longtemps.
Chi va piano, va sano e va lontano.
// Bien sûr, le football est incontestablement le sport le plus populaire de la planète. //
Je croyais que c’était l’évasion fiscale, cela m’en bouche deux coins.
seulement deux ” coins “? ce n’ est vraiment pas beaucoup ! je pense que vous pouvez mieux faire ! commencez par essayer avec une simple ” livre ” !
Deux coins suffisent, un coin à boucher par main.
Pour quatre il faudrait embaucher le gorille du coin, il sait aussi se servir des ses doigts de pied lui.
Malheureusement je ne m’appelle pas Macron.