La grande misère des prisons de France

La grande misère des prisons de France

Depuis plusieurs jours, les surveillants de prison sont en conflit ouvert avec leur hiérarchie.
Les médias évoquent le « manque de moyens ».

Et il est vrai que la situation financière de l’administration judiciaire en général et pénitentiaire en particulier n’est pas belle à voir.

Au passage, notons l’inconsé­quence des syndicats d’extrême-gauche engagés dans ce mouvement qui réclament toujours plus de prestations sociales et s’étonnent ensuite qu’il n’y ait plus d’argent pour les missions régaliennes de l’État !
Toujours est-il que les surveillants doivent faire face à une surpopulation carcérale et, plus grave encore, à un mélange des criminels les plus dangereux avec les autres détenus.

En matière de surpopulation, les quelques chiffres qui suivent montrent la catastrophique réalité. Au 1er janvier 2017, 68 432 personnes écrouées étaient détenues dans les prisons françaises (dont 19 500 en détention provisoire), soit 17 % de plus que le nombre de places disponibles.

C’est déjà « problématique », mais c’est plus grave encore si l’on songe que la notion de détention couvre aussi, dans le jargon de l’administration, les régimes de semi-liberté et les 10 364 personnes écrouées mais non détenues.
Selon les chiffres qui circulent dans la presse, il faudrait environ 40 000 places de prison supplémentaires pour arriver à la moyenne européenne.

En attendant cette improbable construction de 40 000 places, la France, qui donne des leçons de droits de l’homme à la terre entière, offre un bien mauvais exemple.

Naturellement, ces chiffres ne donnent qu’un aperçu de la gravité du problème.

Il faudrait y ajouter que bien des condamnations ne sont pas prononcées pour ne pas engorger les prisons. Et, parmi celles qui sont prononcées, beaucoup ne sont pas appliquées (sous le règne glorieux de Mme Taubira, consigne avait été donnée de ne pas incarcérer les personnes condamnées à des peines inférieures à deux ans de prison ferme).

Évidemment, l’autorité d’une justice qui condamne sans appliquer les peines est légèrement entamée !

Mais revenons aux surveillants. Pour eux, le problème majeur tient au mélange des populations carcérales.

Les détenus de droit commun sont mélangés aux terroristes islamistes qui ne se privent pas de diffuser leur propagande.

Ces derniers, traités comme les autres détenus, peuvent aussi paisiblement organiser leurs prochains attentats depuis leur cellule. Ou « saigner » un surveillant qui ne leur revient pas, comme cela fut tenté à Vendin-le-Vieil récemment.

Quant au mélange entre « primo-délinquants » et criminels récidivistes, on ne peut pas imaginer meilleure école du crime et du terrorisme pour des petits malfrats qu’en d’autres temps, nous aurions pu réintégrer dans la société !

Inutile de dire qu’avec le zèle que semblent mettre les autorités à récupérer « nos » djihadistes pour leur épargner la peine de mort ou les prisons syriennes, le problème n’est pas près de s’arranger.

Il est urgent de classer les détenus selon la gravité de leurs actes et de mettre en place un système spécifique pour les terroristes.

Ce n’est pas l’augmentation du nombre de « détenus » munis de bracelets électroniques, comme vient de le proposer Benoît Hamon, qui risque d’améliorer la situation.

En 1981, les socialistes ont supprimé la peine de mort. Mais seulement pour les assassins. Les innocents, eux, peuvent toujours se faire assassiner en prison ou ailleurs.

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Comments (24)

  • BRENUS Répondre

    La ministre concernée par les prisons, insiste sans cesse sur la nécessité pour les gardiens de reprendre leurs postes, poussée qu’elle est par les mignonets du gouvernement. Avec menaces à la clé. Pourquoi les gendarmes dans le dos comme les régiments de 14/18? La prochaine injection a ceux qui ne veulent plus se faire égorger par les racailles islamistes se sera “mourrez, nous ne ferons toujours pas le reste”.

    29 janvier 2018 à 3 h 26 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    lire sur le site du J.D.D.

    David Thomson ( journaliste spécialiste du Djihadd )

    ” pourquoi j’ ai du quitter la France ” … [ … pour les E.U. ]

    où on ” apprend ” que certains fichés ” S” ” tiennent le guichet des … commissariats

    ah le laxisme cette vertu si française

    26 janvier 2018 à 16 h 00 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” la grande misère de … l’ Education Nationale ”

    lire sur le site de Valeurs Actuelles ( qui n’ est pas couramment ma tasse de thé … japonais … le plus subtile ) l’ article de Jean-Paul Brighelli ( qui semble avoir été vidé du ” Point ” … ) : …

    ” les illusionnistes de l’ éducation ”

    dans lequel figurent tout un tas de remarques pertinentes ou , comment sur une bonne idée permet de retomber dans les pires travers académiques et sociaux ?

    26 janvier 2018 à 15 h 52 min
  • HOMERE Répondre

    Je vous l’avais bien dit :
    La Guyane est le meilleur endroit possible et faisable….Guyanamo !!

    26 janvier 2018 à 15 h 08 min
    • Paul Répondre

      Pas d’accord ! Guantánamo n’est pas sur le territoire américain. Nos DOM TOM ne sont pas des dépotoirs !

      26 janvier 2018 à 16 h 16 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        selon le droit international … la base américaine est un territoire sur lequel s’ exerce la souveraineté américaine, comme Gibraltar pour le R.U. ; en effet l’ Etat américain ne la loue pas à l’ Etat cubain pas davantage qu’ il ne l’ occupe que pour un temps fixé par une convention entre les deux Etats , comme c’ est par exemple le cas à … Djibouti

        27 janvier 2018 à 9 h 22 min
        • Paul Répondre

          Pardonnez-moi mais je crois que vous faites erreur: les Etats-Unis louent ce territoire à Cuba même si, depuis Castro, le loyer n’est plus encaissé.

          30 janvier 2018 à 9 h 48 min
  • Hilarion Répondre

    Et bien moi, mon avis serait de sous traiter la garde de ces individus à la Russie. En effet, il doit bien exister là bas quelques anciens Goulags dans le grand Nord sibérien qui pourraient être réaménagés avec un confort moderne. On y garantirait dans les baraquements une température de zéro degré par moins quarante. Avantage, les “humanistes” de la gauchosphère ne pourraient pas réclamer, puisqu’il ne s’agirait là que de reproduire des situations de détention qu’ils connaissaient comme appartenant au paradis soviétique dont ils ne cessaient de faire la promotion.

    26 janvier 2018 à 13 h 35 min
  • fbrachet99623500 Répondre

    Les peines de prisons exécutées “chez eux”, mémé indemnises par la France sous le contrôle de celle ci aurait un double avantage : Cela coûterait moins cher aux contribuables français, cela désengorgerait nos prison, et surtout, a la sortie, ils ne seraient pas en France protégés par “la double peine” et seraient (???) bloqués aux entrés de nos frontiéres

    25 janvier 2018 à 18 h 21 min
  • Gérard Pierre Répondre

    « Au 1er janvier 2017, … 68.432 personnes écrouées étaient détenues dans les prisons françaises (dont 19 500 en détention provisoire), » …… dixit monsieur Guillaume de Thieulloy.

    Dont acte ! …… c’est précis.

    Les musulmans représentent les deux tiers de la population carcérale ! …… soit par conséquent environ 45.000 individus !

    …. Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, dans une lettre adressée à l’époque au ministre Manuel Valls pour justifier la réclamation d’une augmentation significative du nombre d’aumoniers coraniques dans les prisons ! ! !

    Ces gens là ayant un goût prononcé pour la migration, …… du Nord de l’Afrique vers la France, dans un premier temps, pour assurer leurs arrières, …… de la France vers la Syrie, la Libye, l’Iraq, le Mali ou ailleurs ensuite, pour ‘’exprimer‘’ leurs convictions, …… pourquoi ne migreraient-ils pas vers Cayenne, dans un troisième temps, pour y faire une retraite ‘’spirituelle‘’ ?

    Le 3ème Régiment Étranger d’Infanterie, dont le siège est en Guyane et dont la spécialité est le crapahut en forêt tropicale, se ferait, j’en suis sûr, un devoir, voire une joie … (dame Taubira, notable locale, parlerait de ‘’liesse‘’) … de conduire leurs exercices de méditation transcendantale !

    Avantage de cette solution ?

    Tout d’abord, un rappel : … « La prison est un lieu où nul n’est contractuellement tenu de se rendre sans raison ! ». C’est un établissement où sont détenues les personnes condamnées à une peine privative de liberté ou en instance de jugement.

    Entendu au cours d’un journal télévisé : « Pour trouver des prisons pires que celles que nous avons en France, il faut aller en Moldavie ! »

    Donc, les gens le savent qu’on n’y est pas bien !

    Cet argument ne semble pas rebuter les candidats à une intégration dans ce type de bâtiment. Chacun sait qu’il y a moins de places disponibles que d’ayant droits. Ceux qui insistent et font tout pour que la société leur accorde d’y séjourner ne sont donc pas raisonnables.

    Pour ma part, ayant résolu une bonne fois pour toute de ne pas tuer, de ne pas violer, de ne pas voler et de ne pas dealer, je me suis donné un maximum de chances de n’être pas sollicité par une proposition d’accueil. Jusqu’à présent, je dois admettre que cela a plutôt bien fonctionné.

    Par conséquent, si tout un chacun adopte ces quatre attitudes, les places restantes devraient être aménageables dans les meilleures conditions de confort et d’agrément pour traiter convenablement les erreurs judiciaires et les autres cas.

    Pourtant, nombreux sont encore les entêtés préférant jouer ces quatre comportements à la roulette russe. Sait – on – jamais, ……… sur un malentendu ! …… ça peut marcher ! ……… et le perdant récolte un ticket d’entrée surbooké……………… Bingo !

    Mais aussi, à supposer que l’on modernise ces lieux d’accueil pour personnes en contravention grave avec les règles élémentaires de la vie en société, au point de rendre ces endroits bien attractifs, ne risquerait-on pas de susciter l’éclosion de vocations tardives ?

    24 janvier 2018 à 13 h 18 min
    • Paul Répondre

      Je vous rappelle que Cayenne c’est encore la France ! Or si on expulse les délinquants étrangers et à double nationalité, nous vidons nos prisons d’au moins la moitié. Car tant que nous supporterons cette double appartenance, ces étrangers profiteront de nous jusqu’au bout.
      Toutes les personnes dotées d’une double nationalité doivent donc se voir déchues de la française et retourner dans leur pays d’origine où elles participeront, si elles le souhaitent, au développement de leur pays. Commençons par les délinquants, l’opinion suivra et constatera que ce chemin est le bon. Nous pourrons alors progressivement étendre les expulsions.

      24 janvier 2018 à 16 h 26 min
      • Gérard Pierre Répondre

        Paul ?

        Auriez-vous, par hasard, été touché par la grâce sur le chemin de Damas ?

        Que Cayenne soit la France ne m’avait pas échappé !

        Vous voulez renvoyer dans ‘’l’autre pays‘’, dont ils se réclament aussi, les étrangers à double appartenance nationale.

        À l’exception des Franco Israéliens qui ne pratiquent pas le terrorisme et qui sont généralement une source d’enrichissement autant culturel qu’économique pour notre pays, pour les autres, de confession mahométane je suis d’accord mais, … APRÈS … qu’ils aient accompli leur ‘’retraite spirituelle‘’ salvatrice sous la houlette tonique et éclairée de leurs « directeurs de conscience » du 3ème R.E.I. !

        Ils sauront leur enseigner, entre autres vertus, celle du renoncement !

        Sinon ce serait trop facile ! …… Ils pulvérisent, révolvérisent, égorgent, plastiquent, écrasent, défenestrent, torturent, …… et on leur dirait « Oups ! ce n’est pas bien ! on vous renvoie dans votre pays d’origine ! », …… sans qu’ils aient accompli une peine proportionnelle à leur forfaiture ! ! ! …… Ça risque de générer des crises de fou rires collectifs dans les gourbis !

        Et la semaine suivante, ils reviennent, sous un autre nom, avec un autre passe port, et ils nous remettent cent balles dans le bastringue !

        NON !

        24 janvier 2018 à 17 h 58 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          pour ce qui est des franco-israéliens certains sont aussi d’ habiles escrocs qui se réfugient dans un pays qui refuse l’ extradition

          24 janvier 2018 à 20 h 06 min
          • Gérard Pierre

            Je vois à quelle affaire vous faites allusion. Cela étant, chaque nation ayant son quota de crapules ne nous targuons pas de ne compter que des “Français de souche” exemplaires.

            25 janvier 2018 à 1 h 04 min
        • Paul Répondre

          Vous avez raison, je me suis mal exprimé. Il s’agit d’expulser les délinquants après l’exécution de leur peine. Ceci dit, on peut imaginer de sous traiter leur emprisonnement dans leur pays d’origine, moyennant finances. Quant aux juifs, s’ils ont la double nationalité, ils pourront effectivement rester car inoffensifs mais les délinquants seront expulsés vers Israël où, vous le soulignez, nombre d’entre eux trouvent refuge après avoir commis un délit.

          24 janvier 2018 à 21 h 17 min
          • Gérard Pierre

            Ci-après pour information un texte relevé sur le blog de Maître Anthony Bem, Avocat à la Cour, 27 bd Malesherbes – 75008 Paris, …… intitulé [Droit pénal international : le droit d’extradition entre la France et Israël] :

            « Il existe une information erronée couramment partagée selon laquelle il n’existerait pas d’accord d’extradition entre la France et Israël.

            Divers sujets télévisés ont récemment dénoncé une tendance de certaines personnes de nationalité française à l’exil vers la terre promise afin de se protéger de poursuites et sanctions judiciaires.

            Pour mémoire, l’extradition est la procédure par laquelle un État, appelé « État Requis », livre l’auteur d’une infraction pénale, se trouvant sur son territoire, à un autre État qui le réclame, appelé « État Requérant », afin qu’il puisse y être jugé ou y exécuter sa peine.

            Autrement dit, l’extradition permet de toucher au-delà des frontières les personnes présumées auteurs d’infractions pénales et celles jugées comme tels.

            En effet, il arrive que des personnes quittent le pays où elles sont accusées d’avoir commis une ou plusieurs infractions pénales dans un souci de protection juridique ou judiciaire.

            De même, des personnes condamnées pénalement peuvent aussi vouloir se réfugier dans un pays tiers.

            Cependant, la Convention européenne d’entraide judiciaire en matière pénale, signée par la France, le 13 Décembre 1957 et par l’État d’Israël, le 27 Septembre 1967, pose les principes de la mise en œuvre de la procédure d’extradition notamment entre ces deux états signataires.

            Aux termes de cette Convention, l’extradition peut être demandée par tout Etat signataire à un autre Etat signataire pour toutes les infractions réprimées par les lois des deux Etats d’une peine privative de liberté ou d’une mesure de sûreté d’au moins un an ou d’une peine plus sévère.

            Cependant, la France a émis deux réserves conditionnant la mise en œuvre de la procédure d’extradition :

            – aux infractions pénales dont la peine encourue est un emprisonnement de 2 ans minimum :
            – à ce que la personne réclamée n’ai pas la nationalité française au moment de la commission des faits reprochés.

            Ainsi, mis à part la procédure du mandat d’arrêt européen, la France n’extrade pas ses nationaux.

            S’agissant d’Israël, la loi sur l’extradition autorise l’extradition des ressortissants israéliens, à condition que :

            – la demande d’extradition émane d’un pays avec lequel Israël a conclu un traité d’extradition
            – le pays requérant accepte préalablement qu’en cas de condamnation de la personne extradée, de la renvoyer immédiatement en Israël pour y purger sa peine.

            S’agissant de l’affaire où deux français étaient impliqués dans un accident de la route mortel en Israël sur la personne de nationalité israélienne, leur nationalité française a permis juridiquement qu’ils ne soient pas extradés par la France.

            Par ailleurs, l’état d’Israël, dans une stricte application des conventions bilatérales signées avec les pays européens, refuse d’être une terre d’asile pour les personnes ayant enfreint la loi d’un pays tiers.

            Israël extrade donc ses nationaux.

            Très contestée, cette divergence de politique pénale entre la France et Israël a récemment fait l’objet de vifs débats devant la Cour Suprême israélienne.

            En effet, si la France s’accorde le droit de refuser l’extradition de ses nationaux, en vertu du principe de réciprocité du droit international, selon lequel un état applique un texte que si l’autre état signataire l’applique lui-même, Israël devrait pouvoir autoriser ou refuser l’extradition de la même manière qu’un état contractant. »

            25 janvier 2018 à 12 h 25 min
          • fbrachet99623500

            Les peines de prisons exécutées “chez eux”, mémé indemnises par la France sous le contrôle de celle ci aurait un double avantage : Cela coûterait moins cher aux contribuables français, cela désengorgerait nos prison, et surtout, a la sortie, ils ne seraient pas en France protégés par “la double peine” et seraient (???) bloqués aux entrés de nos frontiéres

            25 janvier 2018 à 18 h 20 min
          • Paul

            La peine exécutée à l’étranger ne peut être qu’une étape vers l’expulsion généralisée des binationaux. Les Français verront rapidement le bien qu’amène au pays l’expulsion des délinquants et comme un prolongement logique son extension à tous les étrangers de fait. Si la “droite” avait pris ce chemin quand elle en a eu l’occasion (en 2007) nous n’en serions pas là aujourd’hui.

            26 janvier 2018 à 13 h 05 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    faisons revivre ce bon vieux droit de Mésopotamie : la Loi du talion … après tout ils sont bien allés combattre sur les bords de l’ Euphrate et du Tigre !

    24 janvier 2018 à 12 h 36 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    vous aurez aussi noté que cela n’ est que l’ aboutissement logique de 50 années de lâchetés, d’ impérities, et de ” bonne conscience ” et que … cela continuera

    24 janvier 2018 à 12 h 19 min
  • BRENUS Répondre

    Gardés par la Légion, avec autorisation de tirer a vue sur les agresseurs qui seraient vite calmés. Même les amateurs des “72 vierges”

    23 janvier 2018 à 23 h 50 min
  • HOMERE Répondre

    un Gantanamo français à la Guyane pour les plus dangereux gardés par l’armée…voilà une idée quelle est bonne !!

    23 janvier 2018 à 18 h 00 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      En Guyane ? ouaf ! au chaud et gardés par Taubira ?

      au bagne aux Kerguelen , oui !

      de toute façon vous aurez tous noté qu’ il n’ est fait nulle part mention de l’ origine des produits ” consignés “

      24 janvier 2018 à 12 h 16 min
      • Gérard Pierre Répondre

        Surtout pas aux Kerguelen malheureux ! …… Ils vont importer leurs bactéries et autres miasmes dans l’une des dernières réserves naturelles de la planète !

        24 janvier 2018 à 19 h 02 min

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