Hésitations, reculades et hausse des impôts

Hésitations, reculades et hausse des impôts

Il ne se passe pas un jour sans qu’on nous annonce, d’un côté la création d’un nouvel impôt et, de l’autre, la modification de ce nouvel impôt dès le lendemain…

De nombreux exemples peuvent être donnés de cet état de fait. Mais je voudrais parler d’abord d’une dépense publique, qui entraînera nécessairement une hausse d’impôt, même si peu de commentateurs l’ont dit : la récente libération d’otages. Selon la majorité, elle se serait effectuée sans payer de rançon. Or, jusqu’à présent, la France a toujours payé des rançons pour libérer ses otages. Il est possible que, pour les 4 derniers otages, une rançon en espèces sonnantes et trébuchantes n’ait pas été versée directement aux ravisseurs. Mais, en échange de cette libération, obtenue par le Mali, la France a décidé d’intervenir avec son armée pour soutenir le gouvernement malien. Cette in­tervention coûte très cher.

La France est un des rares pays « riches » à payer une rançon pour libérer ses otages. Les USA ou l’Angleterre ne le font pas. Les preneurs d’otages le savent, et ils ne prennent plus de citoyens américains ou anglais en otage, mais seulement des citoyens français…

Dans un autre ordre d’idée, évoquons la taxation de l’épargne.

Les Français ont peur de l’avenir, du chômage en particulier. Ils placent donc une partie de leurs économies dans des plans d’épargne. Le gouvernement décide d’imposer ces plans d’épargne. Immédiatement, des membres du gouvernement disent que c’est une erreur et s’y opposent. Le gouvernement fait marche arrière.

Actuellement, même nos contrôleurs fiscaux ne savent plus très bien comment calculer nos impositions !

Le gouvernement annonce qu’il va imposer les revenus tirés des allocations familiales, ce qu’il ne faisait pas jusqu’à ce jour, pour favoriser la natalité. Immédiate­ment, des ministres ont réagi contre cette nouvelle taxe et le gouvernement a fait marche arrière, ne taxant qu’une partie des allocataires.

Le gouvernement a choisi de ne plus attendre 10 ans pour donner des allocations aux familles venues travailler illégalement en France, mais seulement 5 ans. Certains ont protesté et Fran­çois Hollande a dû, une fois de plus, faire machine arrière.

Dernière actualité fiscale en date : l’écotaxe. Elle ne touche que les camions pesant plus de 3 tonnes. Or, les cultivateurs utilisent des engins plus lourds pour cultiver leurs champs. Ils vont donc être obligés d’augmenter leurs prix. Ils ont manifesté à Quimper, en Bretagne, avec des bonnets rouges.

Du fait de cette valse fiscale permanente, les Français sont totalement incapables de prévoir leur imposition future…

Nos entreprises préfèrent aller s’installer ailleurs. Tandis que nos « riches » ouvrent des comptes en Suisse, au Luxem­bourg ou en Allemagne.

Le comportement de notre actuel gouvernement est de plus en plus difficilement supportable…

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Comments (22)

  • lavandin Répondre

    dans mon commentaire , lire elles memes et non eux memes

    12 novembre 2013 à 18 h 43 min
  • lavandin Répondre

    @Jaures Ce n’est pas le nombre d’associations qui fait peur , c’est le montant des sommes versées ,et dont l’usage est souvent douteux et non controlé. Les associations doivent subvenir à eux memes, ou faire appel à des souscriptions (les sommes versées par les contribuables pourraient alors etre déductibles des impots, ce qui permettrait de faire le ménage…)

    12 novembre 2013 à 18 h 41 min
  • Jaures Répondre

    ” 1°) repli de l’état sur ses missions régaliennes : armée, police, justice et diplomatie. 2°) Flat tax ; 3°) Salaire complet”
    Voilà en effet un programme précis et rigoureux plus que convaincant. Si vous pensez que celui-ci serait de toute façon rejeté, c’est sans doute qu’il n’est, même en cette ébauche squelettique, absolument pas crédible.
    Mais essayez tout de même: présentez-vous aux prochaines élections, gérez un village, une ville. Mettez vos idées à l’épreuve. Sinon à quoi sert de ruminer sur son rocher avec la Vérité Universelle sous le bras ?

    8 novembre 2013 à 23 h 01 min
    • orldiabolo Répondre

      Jaures, je suis élu de ma profession depuis trente ans, je ne l’ai pas trop mal protégée compte tenu du nombre de corbeaux socialistes qui lui tournaient autour : cela suffit à mon bonheur. Pour mes idées, elles ont été mises à l’épreuve par Pinay, Thatcher, Reagan, Pinochet deuxième époque… Elles n’ont rien de très nouveau (école autrichienne) et contrairement aux vôtres, elles ont surtout prouvé qu’elles marchaient… ;-)

      11 novembre 2013 à 17 h 13 min
      • Jaures Répondre

        “et contrairement aux vôtres, elles ont surtout prouvé qu’elles marchaient… “. Mais je ne le conteste pas. Ces idées marchent effectivement. Mais uniquement pour les plus riches, les actionnaires et les rentiers. Les salariés, eux, n’y ont rien gagné si ce n’est la baisse de leurs droits et de leur protection sociale, la précarité et la croissance des inégalités.

        12 novembre 2013 à 9 h 40 min
  • Magne Répondre

    Les plus pauvres et les précaires l’ont été manifestement grâce à une politique volontariste de tous les Gouvernements de la cinquiéme république qui se sont échinés à ruiner une partie des Français dans le but de rentabiliser leurs gains .
    Beaucoup de responsables politiques , , scientifiques , magistrature , syndicalistes etc… de ces 50 dernières années sont co – responsables , et ce d’une manière volontaire de la situation du pays .
    Ils tentent de se regrouper pour continuer leur oeuvre pernicieuse , mais je pense que c’est la fin .
    La Suisse est quand même un drôle de pays . Pendant la guerre de 39 – 45 elle sert de coffre – fort aux dignitaires nazis , maintenant elle acceuille beaucoup trop de Français .

    8 novembre 2013 à 9 h 38 min
  • lama65 Répondre

    vous parlez de 20 ou 25 millions £ alors que je viens de lire dans un autre article 400 ,qui dit -presque -la vérité

    7 novembre 2013 à 14 h 50 min
    • Jaures Répondre

      Vous en trouverez sans doute qui parleront d’un ou deux milliards.

      8 novembre 2013 à 11 h 36 min
  • Dodds Répondre

    ” l’écotaxe. Elle ne touche que les camions pesant plus de 3 tonnes. Or, les cultivateurs utilisent des engins plus lourds pour cultiver leurs champs” (sic) ?? Ah ! Vous voyez souvent les moissonneuses-batteuses sur les voies rapides et les autoroutes ? Là on est dans le n’importe quoi. Seuls seront concernés les poids-lourds équipés du terminal nécessaire à leur identification par les portiques Écotaxe.

    7 novembre 2013 à 11 h 53 min
  • Jaures Répondre

    On sombre là dans le pur délire ! La France serait intervenue au Mali en échange d’une libération d’otages ? Quelle ineptie ! Le Mali n’a aucun moyen d’agir sur les preneurs d’otages et l’intervention militaire a plutôt mis les otages en danger.
    Quant à l’éventuel coût de la libération, évalué entre 20 et 25 millions d’€, c’est à peine 15% de la somme allouée à B.Tapi pour laquelle Tremeau n’a jamais prétendu qu’elle allait alourdir les impôts.
    Concernant ces derniers, les finances publiques ne laissent qu’une alternative: augmenter la fiscalité ou supprimer des prestations. Dans la plupart des pays, on ne s’est pas gêné pour s’en prendre aux dépenses sociales, aux droits d’entrée à l’université. L’Italie laisse son patrimoine se dégrader. L’Espagne incite ses jeunes à partir, quitte à voir sa population décroître.
    En France, c’est vrai, on est plus réticent à supprimer les aides sociales.
    Que ceux qui veulent baisser les impôts nous expliquent quelles prestations supprimer et quels impôts baisser pour les sommes équivalentes.
    Quant aux riches Français, tout va bien pour eux, merci ! Avec 2,3 millions de millionnaires, la France détient le record européen (source Crédit Suisse 2012). Les milliardaires ne sont guère plus à plaindre: B.Arnault a vu sa fortune augmenter de 14,62% en 2012 (source Challenges).
    Et si on parlait un peu du sort des plus pauvres et des plus précaires ?

    6 novembre 2013 à 15 h 03 min
    • orldiabolo Répondre

      Jaures a dit : “En France, c’est vrai, on est plus réticent à supprimer les aides sociales.” Bien sûr, puisque la politique chez nous consiste depuis quarante ans à acheter les voix à crédit…
      Jaures a dit aussi : “Que ceux qui veulent baisser les impôts nous expliquent quelles prestations supprimer et quels impôts baisser pour les sommes équivalentes.” On peut déja commencer par sucrer les subventions des myriades d’associations faux-nez de l’état, présentées comme représentantes de la “société civile”, mais assurant de fait une dictature des minorités, et généralement composées de délateurs staliniens. Mais le gros morceau bien sûr, c’est la pléthore de fonctionnaires. Nous en avons deux fois plus par habitant que les pays comparables. Lisez donc “Ab-so-lu-ment Dé-bor-dée” de Zoë Shepard ! “Vous voulez moins de policiers ? Moins d’infirmières ?” assènent généralement les Jaures et consorts… Mais la réponse est oui, moins de policiers derrière les radars et les machines et écrire, et moins d’infirmières en commissions Théodule. Pour parler de ce que connais, les saisies judiciaires de dossiers médicaux, elles mobilisent généralement deux OPJ policiers ou gendarmes (armés !) pendant une demi journée, là où un fonctionnaire assermenté bac +2 suffirait largement. Je siège aussi six fois par an dans des grands messes départementales à la sécu, dans des locaux luxueux : 287,55 € pour 90′ de présence, non imposables. En face de moi, j’ai tout l’éventail du syndicalisme à la française, une bonne demi douzaine de gentils clampins qui restent silencieux (tout estprémâché par les administratifs), mais qui touchent la même chose. Et pas six fois par an, parce que le lendemain ils siègent avec les dentistes, le surlendemain avec les infirmières, et ainsi de suite avec ambulanciers, les kinés, les sages-femmes, les orthophonistes, etc… Et cela multiplié par le nombre de départements français !
      Jaures a dit enfin : “Et si on parlait un peu du sort des plus pauvres et des plus précaires ?” Mais volontiers… Ils sont pauvres et précaires, parce d’autres ont bétonné leurs situations et cumulés des “avantages acquis” considérés comme intouchables. Ils sont pauvres et précaires parce que l’éducation nationale les a embrigadés au lieu de les instruire, parce que le SMIC interdit à un employeur d’embaucher quelqun qui ne lui rapporte pas 2,2 SMIC / mois, parce qu’ils se laissent voler le fruit de leur travail par un système d’assurance maladie et de retraite qui est du pur Madoff, et parce que les syndicats censés les défendre les enfoncent de fait !

      7 novembre 2013 à 8 h 43 min
      • BAYLE Répondre

        Excellente analyse que je partage pleinement. Vous m’avez couper l’herbe sous le pied, mais fort mieux dit. Bravo.

        7 novembre 2013 à 10 h 08 min
      • Jaures Répondre

        Reprenons vos arguments:
        L’Etat subventionne 10 000 associations pour 1,23 milliards. Celle qui reçoit le plus est l’AFPA (66 millions). Les plus grands pourvoyeurs de subventions sont les collectivités locales. Allez donc jeter un oeil sur les délibérations de votre commune et demandez, si vous le souhaitez, qu’on arrête de subventionner le club de foot, l’association du 3ème âge ou les ateliers de peinture pour les enfants.
        Quant au nombre de fonctionnaires, en quoi est-ce un indicateur de la bonne santé économique d’un pays ? Ainsi, si la vertueuse Allemagne affiche 50 fonctionnaires pour 1000 habitants, la Grèce en déclare autant. Pour les mêmes performances ? La Norvège possède 160 fonctionnaires pour 1000 habs alors que la France n’en a “que” 90. Ecrasons-nous la Norvège ? Parmi les moins riches en fonctionnaires (- de 70/1000habs) on trouve l’Italie, l’Espagne et le Portugal. Des modèles pour vous ? (chiffres OCDE)
        On a bien vu avec le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux les désordres que l’on créait, des cours de math interrompus durant 4 à 6 semaines, des contrôles déficients, des attentes pour le permis de conduire, des commissariats qui ferment,…Comme je l’ai déjà dit, pour supprimer des fonctionnaires, il faut supprimer des prestations (école maternelle, défense nationale, culture et patrimoine,…). Et dire “moins de gendarmes derrière les radars” ne signifie rien d’autres que occupez-vous des délits des autres et pas des miens. Les chauffards tuent encore 6 fois plus que les meurtriers.
        Enfin, pouvez-vous affirmer que là où il n’existe pas de smic, il y aurait moins de pauvres ? En Allemagne, ils sont 12 millions à vivre avec moins de 940€/mois. Parmi les smic les plus bas d’Europe, on trouve l’Espagne (748€ pour 1400€ en France) où le taux de pauvreté dépasse les 20%.
        On voit bien que nous avons là des arguments simplistes totalement démentis par les faits.

        7 novembre 2013 à 11 h 47 min
        • orldiabolo Répondre

          Cher Jaurès, que les associations soient financées par l’état ou par d’autres collectivités, c’est toujours de l’argent qui sort de ma poche privée pour aller, sans que l’on ne m’ait rien demandé, dans une autre poche privée. Je considère que c’est aux gens qui aiment le football de financer le football, ses stades et ses équipes, et que si l’on veut faire faire de la peinture à ses enfants, on achète soi-même la peinture. “Pour supprimer des fonctionnaires, il faut supprimer des prestations”, dites-vous. Pour une fois je suis parfaitement d’accord, ce sera un début… Vous ergotez sur la valeur de l’indicateur “nombre de fonctionnaires / habitant”. Je dirai alors simplement qu’avec le nombre de fonctionnaires que nous avons, et s’ils travaillaient réellement comme nous serions en droit d’exiger, la France devrait être depuis des décennies championne du monde de la sécurité, de l’enseignement, de la recherche, de l’innovation, de la conquête spatiale et que sais-je encore… Il me semble que nous en sommes assez loin.
          Le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux attire mon attention sur ce rapport mathématique de un sur deux. Car il semble bien être un des nombre d’or de l’économie : on le retrouve presque à chaque fois qu’on compare le coût d’un service public à ce qu’il serait dans le privé, comme les pompiers dans certaines villes américaines, par exemple, ou la comparaison hôpital / clinique chez nous. Ce serait aussi l’économie si on libéralisait l’assurance-maladie. (Et quand je dis 1/2… la médecine du travail revient > 100 € / salarié pour l’employeur, alors qu’une consultation de spécialiste en ville est “honorée” 23 € !)
          Le sujet du permis de conduire mériterait à lui seule une tribune, tellement ce domaine illustre jusqu’à la caricature toutes les tares de la gestion “à la française”. (Et je sais de quoi je parle puisque mon dernier fils le potasse en ce moment.)
          Enfin l’absence de SMIC, chacun le sent bien, permet essentiellement d’entrer dans le monde du travail, et de commencer à y faire ses preuves avant de demander plus ; contrairement à la France qui bloque sa jeunesse dans le chômage et pis, dans le ressentiment, et lui donne la sensation frelatée d’un prétendu droit au travail et au salaire qui va avec.
          Mes arguments sont simplistes parce que les faits sont simples. Quelqun a dit “Souvent, quand on ne comprend pas, c’est parce que c’est trop simple…” Trop simple pour les intellectuels constructivistes nantis.

          8 novembre 2013 à 8 h 45 min
          • Jaures

            Mes exemples ont montré qu’il n’y a pas de rapport entre nombre de fonctionnaires et performance économique. Cela vaut dans les deux sens car ce qui compte n’est ni le montant de l’impôt, ni le nombre de fonctionnaire mais ce qui en est fait.
            Si vous dîtes que la fonction publique n’est pas assez performante, je vous suivrai sur certains aspects. Mais si vous dîtes que la supprimer améliorerait le fonctionnement du pays et le sort du peuple, je serai plus prudent et vous demanderai des preuves par l’exemple.
            De même, si vous dîtes qu’il faut supprimer des prestations, je vous demanderai lesquelles, pour quel montant économisé et pour supprimer quels impôts. A vous d’être convaincant.
            Enfin, vous avez bien le choix. Si votre maire juge que le sport et la culture sont nécessaires au lien social et qu’un enfant ne doit pas payer 1000€ par an de cotisation pour jouer au foot ou au tennis, dénoncez-le ! Montez une liste libérale prônant l’arrêt des subventions, le remplacement des associations sportives et culturelles par des clubs privés. Ensuite, le suffrage universel tranchera.

            8 novembre 2013 à 11 h 52 min
          • orldiabolo

            La liste des prestations à supprimer ? L’énumération serait fastidieuse. Reportez-vous au programme libéral de base : 1°) repli de l’état sur ses missions régaliennes : armée, police, justice et diplomatie. 2°) Flat tax ; 3°) Salaire complet. Le reste… on fait tout seuls comme des grands. Il y a bien sûr peu de chance que ce programme soit approuvé par le suffrage universel, puisque numériquement, il y a déjà plus de Français qui vivent d’argent volé par l’impôt et les cotisations, que d’argent gagné par échange libre. C’est d’ailleurs pour cela que la démocratie en est où elle en est : “Vote pour moi, j’irai voler le riche à ta place (ou j’emprunterai, et tes enfants rembourseront)”, ça marche à tous les coups. On aurait mieux fait d’écouter Bastiat : “Eh quoi ! est-il donc si difficile de laisser les hommes essayer, tâtonner, choisir, se tromper, se rectifier, apprendre, se concerter, gouverner leurs propriétés et leurs intérêts, agir pour eux-mêmes, à leurs périls et risques, sous leur propre responsabilité ; et ne voit-on pas que c’est ce qui les fait hommes ? Partira-t-on toujours de cette fatale hypothèse, que tous les gouvernants sont des tuteurs et tous les gouvernés des pupilles ?”
            J’ai cru lire aussi sous la plume de Jaures l’expression “lien social”… C’est vrai qu’il est joli, notre lien social, depuis quelque temps : tout le monde hait tout le monde dans notre beau pays. Beau résultat.

            8 novembre 2013 à 17 h 16 min
          • quinctius cincinnatus

            Vous oubliez de citer cette dernière ” avancée sociale ” si typiquement française que Barre lui-même aurait pu la proposer : la ” prime glandouille ” … la cerise sur un gâteau aux tranches de plus en plus fines jusqu’à en devenir transparentes

            12 novembre 2013 à 8 h 56 min
        • lavandin Répondre

          @Jaurès :”l’Etat subventionne 10000 associations pour 1,23 milliards” Erreur , les subventions aux associations diverses et variées, de l’utile à la plus subversive , y compris celles qui minent la cohésion du pays , se montent sensiblement à la moitié de ce que rapporte l’impot sur le revenu, soit env 30 milliards , toutes subventions comprises

          11 novembre 2013 à 12 h 24 min
          • Jaures

            Non, lavandin. Les 30 milliards que vous citez incluent les subventions accordées par l’Etat et les collectivités territoriales.
            Ce n’est plus dés lors 10 000 associations qui sont concernées mais 250 000. Pour l’Etat, vous pouvez vous référer au “jaune budgétaire” qui recense les associations subventionnées. Je crois que ce document est disponible sur internet mais il est de toute façon chaque année publié par la presse spécialisée (dans Les Echos notamment).

            11 novembre 2013 à 16 h 47 min
          • orldiabolo

            Beaucoup de ces associations sont en fait des faux-nez de l’état, qui va chercher trois gars sûrs -généralement fonctionnaires retraités ou en disponibilité- pour fonder une “assoce” de ceci ou de cela (qu’ils présideront, bien entendu.) Ensuite ils agrègent des braves gens. Je pratique un peu le CISS -Collectif interassociatif “sur” la santé” (sic)- censé représenté les malades : budget 2,4 millions d’euros, dont 80 % de financement public (honnêtement affiché sur leur site.) Eh bien c’est sûrement le hasard, le CISS est toujours de l’avis du ministre ou de la sécu ! Cela permet de doubler la communication. Le lundi le ministre passe à la télé pour dire un truc, et le mardi la télé demande son avis au CISS sur le truc, qui le trouve très bien. Comme disait ma grand mère, c’est celui qui paye les violons qui choisit la musique…

            11 novembre 2013 à 17 h 57 min
        • lavandin Répondre

          @ Jaures . “l’Etat subventionne 10000 associations pour 1,23 milliards” . Erreur tragique (pour les finances du pays) Le montant des subventions accordées aux association, de celle qui est utile à celle qui est la plus subversive pour la nation et l’unité nationale est de l’ordre de la moitié de ce que rapporte l’impot sur le revenu, soit environ 30 milliards d’euros , subventions accordées à tous les niveaux , des ministères jusqu’aux communes

          11 novembre 2013 à 16 h 20 min
  • mariedefrance Répondre

    mosco disait sur une radio, hier que notre “président” travaillait et qu’il avait un cap.

    Nous voyons vers quel “cap” nous sommes embarqués !
    Mensonges, mensonges, mensonges…. voilà le programme.

    Il insistait encore sur le fait que le chômage baisserait d’ici la fin de l’année !
    Râââa^…… “le chômage des jeunes” !!

    avec des postes subventionnés, yaka, faukon..

    Où est l’autre politique à part keynésienne ?

    Il suffit de regarder la Lorraine et la Bretagne et nous avons une vue d’ensemble de notre pays.

    Ce que 91% des Français veulent c’est un vrai travail, une vraie vision d’avenir. Pas un mur !

    6 novembre 2013 à 10 h 13 min

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